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Rêve américain

Chapitre 1

Hétéro
CH 1 – Hollywood, un beau panier de crabe
C’est à l’aéroport de Roissy que Lydia s’apprête à embarquer pour Los Angeles. Si cette charmante jeune fille de presque 20 ans y va après avoir péniblement eut son BAC de justesse, c’est pour faire actrice, ou du moins vivre le rêve américain et devenir riche et célèbre. Lobotomisée par les émissions débiles telles que « les abrutis aux Antilles » où on y voit des filles superficielles passer des castings pour devenir starlette, elle s’est dit « pourquoi pas moi ». En France, elle a passé de nombreux concours pour des émissions de télé-réalité telle que « La maison des secrets » sur une grande chaîne de télé mais elle s’est fait gentiment refouler à chaque fois. Criant au complot car persuadée d’avoir le potentiel pour devenir une star, Un jour elle s’est dit « je me casse de ce pays de merde et je pars au States. Là bas au moins ils reconnaîtront mon talent » au grand désespoir de ses parents.
Plutôt que de la séquestrer dans sa chambre et la voir fuguer dès qu’ils auront le dos tourné, ils ont préféré la laisser partir en lui donnant un conseil : « Si jamais ça ne marche pas, tu pourras revenir. Ta chambre te sera toujours ouverte ». Au moins comme ça, elle ne partirait pas fâchée mais eux restaient inquiets. Contrairement à toutes ces pseudos starlettes de télé-réalité, Lydia parlait anglais. C’est une des rares matières où elle a eu une bonne note au BAC. Ses parents l’avaient aidé à trouver un point de chute : une sorte de résidence pour jeunes travailleurs où les locataires habitaient en colocation de trois ou quatre. Une fois installée, c’était à elle de jouer.
N’étant pas venue les mains dans les poches, elle était parvenue, depuis la France, à obtenir toute une liste d’agent artistique. C’est armé de son bagou, d’une tenue légère et d’un beau décolleté qu’elle est parti les voir. Beaucoup l’ont poliment remercié d’être venue mais ils n’avaient pas grand-chose à lui proposer (c’était la version polie). Mais ça elle s’en doutait, elle voulait juste se faire connaitre. Certains d’entre eux n’ayant pas de temps à perdre avec des débutants, elle n’eut droit qu’à l’hôtesse ou l’assistante qui était chargée de faire barrage. En attendant de décrocher un contrat, elle était tout de même parvenue à se faire remarquer par un directeur de cabaret en dansant en boite de nuit. Ce type, avec son faux air de Georges Clooney, cherchait de nouvelles danseuses pour son établissement. Son déhanché, son endurance à la tache et sa fraîcheur furent le meilleur des CV pour lui et il l’engagea pour danser en pole dance plusieurs soirs par semaine ce qui lui permettait de subvenir modestement à ses besoins.
Un jour, elle fut contactée par l’assistante d’un agent artistique qui cherchait à renouveler son « cheptel ». Cet agent était connu comme l’un des plus connus et des plus influents d’Hollywood et cherchait de nouvelles filles qu’il comptait tout d’abord placer au près d’un producteur de Rap pour le nouveau clip de sa star du moment. Etant donné qu’elle aimait le Hip-hop, danser sur ce type de musique ne lui faisait pas peur. Elle s’est pointée avec des chaussures, un mixte entre ballerine et basket, un petit short en jean coupé au raz de la dignité, et un T-shirt qui laissait son nombril visible. Sur place, il y avait de la concurrence c’est le moins qu’on puisse dire. Il y avait plus d’une vingtaine de fille. Toutes ont été emmenées sur une scène dans une grande salle d’audition par l’assistante. Elles venaient d’arriver quand un type obèse d’âge mur en costard gris, chemise ouverte au niveau de son col pelle à tarte, un pantalon assorti et des cheveux coupe en brosse poivre et sel apparu. Il s’approcha de la scène avec un air sévère pour se présenter.
— Bonjour à toute. Je suis Gary Spencer, directeur de l’agence. Aujourd’hui vous allez passer une audition pour un clip de Rap. Ce sera aussi un entretien d’embauche pour d’éventuelle prestation dans le domaine musical. si vous faites l’affaire, je deviendrais votre agent. Des questions ? — Oui, j’en ai une. En quoi consiste le teste exactement ? Demanda une des filles.— Je vais d’abord juger de votre allure physique, ensuite il y aura un teste de danse et enfin on verra en fonction du nombre de candidate restante.
Toutes les filles furent alignées les unes à coté des autres et il passa l’inspection d’abord devant elle, puis derrière. Il demanda à certaines de faire un pas en avant, ce qu’elles firent avec le sourire puis descendis de la scène en disant : « A celles qui se sont avancées, merci d’être venu. La porte est là bas ». Au moins, c’était expéditif. Il n’aimait pas perdre son temps. Vint ensuite le teste de danse. Une série de musique toutes plus différentes les unes que les autres passèrent sans transition aucune entre elles. Il fallait danser sur chacune d’elle de manière personnalisé en variant les styles. Au fur et à mesure du teste on entendait « Numéro 14 merci d’être venu » ou encore « numéro 5 veuillez sortir de scène ». Ce fut l’hécatombe car, sur la fin, elle n’était plus que quatre. Lydia s’en était bien sorti grâce à ces cours de danse classique et moderne. Merci papa de les lui avoir payés.
C’était le moment de l’ultime étape. Le directeur se leva pour énoncer les consignes de cette dernière épreuve aux quatre filles qui restaient et dont Lydia faisait partie.
— Bon Bravo à vous toutes. Maintenant on va voir si vous êtes motivées. Vous avez dix secondes pour enlever le haut.
Les filles se regardèrent bizarrement mais Lydia n’hésita pas une seconde à retirer son T-shirt et son soutif alors que les autres s’interrogèrent sur le bien fondé de cette requête. Voyant que personne d’autre ne semblait bouger, le directeur donna son verdict.
— Dans ce métier on n’a pas besoin de filles timorées. Vous serez parfois amenées à bosser nue pour les besoins d’un contrat et si vous ne le faites pas ici ce n’est pas la peine de venir me faire perdre mon temps. A toutes celles qui sont restées habillées, La porte est là bas. Quant à vous ma demoiselle, je vous laisse avec mon assistante. Vous passerez ensuite dans mon bureau pour signer votre contrat.
Lydia avait réussi. Elle venait de décrocher son premier contrat. YES ! Elle était pressée d’appeler ses parents pour leur dire mais avec le décalage horaire, c’était trop tard pour aujourd’hui. L’assistante pris ses mesures et son poids compte tenu qu’elle ne pouvait les lui donner en unité de mesure américaines. Elle fit également quelques photos puis l’assistante, après l’avoir examiné de haut en bas donna sa conclusion.

— A première vue, je pense que vous avez le potentiel pour travailler avec nous. — Merci madame.— Notre agence a vu débuter de nombreuses grandes stars. Si vous suivez nos instructions, une grande carrière vous attend.— Je suis là pour ça et je n’ai peur de rien ni personne.— J’aime cet état d’esprit. Monsieur Spencer vous attend dans son bureau. C’est la porte au fond. Inutile de vous rhabiller, allez y comme ça. Vous récupérerez vos affaires en sortant.
Conformément aux consignes de l’assistante, Lydia se rendit seins nus dans le bureau de M Spencer qui était affalé dans son fauteuil à fumer le cigare. Il lui fit signe de s’assoir en face de lui avec un sourire non dissimulé et lui demanda de fermer la porte derrière elle.
— Mademoiselle … Lydia c’est ça ? Vous avez fait forte impression.— Merci monsieur.— Vous êtes française c’est ça ? Vous êtes venue vivre le rêve américain ?— Exactement.— Vous êtes très bien parti dans ce cas là. Bon voici votre contrat. Lisez-le et signez-le.
Alors qu’elle lisait son contrat, elle ne manqua pas de remarquer que cet obsédé ne décrochait pas son regard de ses seins. C’est vrai qu’elle a toujours été bien faite car elle s’entretenait régulièrement. Ses rares petits copains occasionnels avaient plusieurs fois pu profiter de ses formes affriolantes. Une fois le coté administratif réglé, celui qui était désormais son agent se recula un peu pour être à l’aise, déboutonna son pantalon pour faire sortir une queue de bonne taille et déjà au garde à vous et commença à se masturber devant elle avec le sourire. N’étant pas conne et comprenant ce qu’il voulait, elle se leva, contourna le bureau et se positionna à genou entre ses cuisses pour le sucer avec gourmandise.
— Ah oui C’est bon …. C’est bien t’as vite compris comment ça marchait ici. Tu sais, toutes les starlettes dont tu vois les photos sur les murs et qui ont commencé ici, elles me doivent toute leur carrière. Elles ont toute goûté à ma queue. Tu as compris qu’ici, on n’a rien sans rien…. Oui va z y … lèche bien sur toute la longueur ….mmh comme ça, parfait.
Elle avait en effet deviné que la promotion canapé existait dans ce milieu et qu’en tant que nouvelle, elle allait devoir s’y soumettre si elle voulait que ça décolle, même si personnellement elle préférait faire sans. Elle n’était pas prête à tout accepter non plus, elle avait ses limites. A un moment l’assistante entra dans le bureau, nullement surprise par ce qu’elle y voyait comme si c’était normal. Quand il lui demanda ce qu’elle pensait de cette nouvelle recrue, l’assistante la qualifia de « star de demain » avant de repartir. Lydia continua de sucer jusqu’a ce qu’il appuis sur l’arrière de sa tête, fiché contre son gros ventre, pour qu’elle lui prenne sa queue toute entière dans sa bouche et qu’il finisse par lui éjaculer tout le sperme au fond de la gorge. Elle termina en lui nettoyant le gland avec sa langue avant de se relever. Son agent avait le sourire aux lèvres. Avant de la laisser partir, il ne prononça que ces quelques mots : « Bien … toutes les infos sur le lieu et l’heure sont dans cette enveloppe. Fais moi honneur et n’arrives pas en retard. ». Elle ressorti du bureau, récupéra ses affaires et rentra chez elle, son contrat en poche.
Quelques jours plus tard, elle se rendit au studio où se tournait le clip de Rap et elle y fit merveille. A la fin de la journée, le metteur en scène pris ses coordonnées car Il avait été ravi de sa prestation et souhaitait la revoir pour retravailler avec elle.
A la suite de ça, durant les mois qui suivirent, Gary son agent lui trouva d’autres contrats ponctuels : Hôtesse lors d’une cérémonie prestigieuse du Show biz, plusieurs fois figurante dans des films et des séries, danseuse dans des clips musicaux et même choriste. Comme il est en vigueur dans ce métier, Gary se prenait une commission de 10% sur le cachet de l’artiste en plus de la bouche de sa protégée. A chaque fois que Lydia venait le voir, prétendant vouloir lui parler d’un nouveau contrat pour elle, dès que les papiers furent signés, il sortait sa queue de son fourreau et elle le rejoignait pour la lui sucer et la lécher. A chacune de leurs séances, elle sentait la main de ce gros pachyderme lubrique lui caresser la tête et la bloquer en gorge profonde à chaque fois que monsieur allait jouir en poussant des grognements rauques. Les contrats étant signés avant de devoir satisfaire buccalement cet homme, elle aurait très bien pu lui dire « merci et au revoir » sans avoir à donner de sa personne. Seulement si elle le faisait, elle imaginait bien qu’il serait moins disposé à la faire travailler, donc elle consentait à cette situation qu’elle avait connue avec ses trop rares petits copains, en France.
Un jour elle arriva voir son agent car il souhaitait la placer sur un casting pour un premier rôle féminin d’un grand film qui se préparait. C’était, pour Lydia, l’occasion de se démarquer. Comme elle en avait pris l’habitude, après que Gary lui présenta le rôle, elle se retrouva avec sa bite dans la bouche ou à lui titiller le gland avec sa langue. A cela, rien d’extraordinaire. Jusqu’à un moment qu’elle n’avait pas vu venir. Il lui demanda de s’arrêter, de retirer ses fringues et de s’allonger sur le canapé les cuisses écartées. Il était facile de deviner qu’il voulait plus que ce à quoi elle avait été habituée cette fois ci.
— Non s’il vous plait Gary. Je ne veux pas.— Allons, tu ne vas pas jouer ta petite sainte nitouche ?— Ce n’est pas ça mais j’ai quelques principes. Donner du plaisir à un homme avec la bouche ça ne me dérange pas mais je ne suis pas prête à aller plus loin.— Bizarre, moi qui pensais que la rumeur selon laquelle toutes les françaises étaient des salopes était vraie. Je me trompais.— Il y en a, c’est vrai mais pas tant que ça et surtout je n’en fais pas parti. Par contre je suis toujours disposée à vous faire du bien avec ma bouche comme nous en avons pris l’habitude.— OK, J’aurais aimé plus mais je m’en contenterai.
Elle continua alors à le sucer langoureusement, accueillant avec le sourire la sauce de Gary et en l’avalant devant lui pour tenter de lui faire plaisir et de faire oublier sa déception.
Chez elle, elle se prépara pour son audition en s’imprégnant du personnage et en lisant des livres d’histoire sur l’époque en question. Connaissant le rôle pour lequel elle devait auditionner : celui d’une paysanne qui allait taper dans l’œil d’un riche propriétaire terrien bref un remake de cendrillon à la sauce 19 eme siècle, elle était gonflée à bloc. Quand elle s’est pointée quelques jour plus tard dans la salle affrétée pour l’occasion, après voir donné son nom à la personne chargée de filtrée les candidate de la liste, on lui signala qu’elle n’était pas dessus. Elle tenta de comprendre pourquoi et demanda une explication au responsable. Pour lui Gary Spencer n’aurait inscrit personne pour l’audition. Ne pouvant passer l’audition, même en candidate libre, elle retourna chez elle en larmes. Une fois calmée elle se pointa à l’agence de son agent mais il n’était pas là. Elle tenta ensuite de l’avoir au téléphone : toujours aucune réponse. Elle a multiplié les appels mais il ne répondait toujours pas et à chaque fois qu’elle se pointant à son bureau, l’hôtesse l’invita gentiment à repartir. Elle en était venue à penser qu’il n’avait pas accepté qu’elle refuse de coucher avec lui et de ne recevoir d’elle qu’une petite pipe. Pourtant avant il s’en contentait.
Sachant qu’il travaillait parfois tard, elle est retournée à l’agence, la nuit commençait à tomber. De la fenêtre du bureau de Gary, elle distinguait une certaine activité au travers des vitres translucides. Ainsi il était là. En s’approchant de la porte elle constata que son assistante était à son bureau. Comme elle pensait qu’elle lui faisait barrage, elle a attendu qu’elle parte au toilettes ou se faire un café pour entrer sans être vu. Elle se retrouvait devant le bureau. A travers la porte, elle entendait les gémissements de plaisir d’une femme qui criait le nom de Gary à répétition et lui en train de la traiter de salope, de garage à bite, j’en passe et des meilleurs …. Tout en lui promettant monts et merveilles si elle couchait avec lui à chaque fois. Elle prit alors son courage à deux mains et ouvrit la porte.
Le spectacle était affligeant. Gary était vautré sur cette jeune fille qui devait être plus jeune qu’elle. Il lui malaxait ses seins surement refait et la prenait comme un sauvage en poussant des râles rauques d’animaux sauvage.
— Qu’est ce que tu fous là toi ? Qui t’as laissé entrer ?— Je suis venu pour savoir pourquoi tu refusais de me répondre quand je t’appelle et pourquoi je n’étais pas inscrite pour l’audition, la semaine dernière ?— D’après toi ? La première fois que t’es venu, je te l’ai dit. Je ne veux pas perdre mon temps avec des filles qui font des manières.— Attends,… c’est parce que j’ai refusé de coucher avec toi que tu m’as torpillé la gueule ?— Et toi, t’as eu besoin de venir me faire chier pour comprendre ça ? En plus d’être coincé, t’es conne. Chuis bien content de ne plus bosser avec toi. D’ailleurs tu ne bosseras plus avec personne à Hollywood ma belle. En tout cas pas tant que tu ne « t’ouvriras pas plus ». Compte sur moi pour te griller au près de toute la profession. Maintenant casse toi, j’ai un entretien d’embauche à finir.
Partant en larmes et laissant la porte ouverte d’où s’échappait des « Allez salope, donne moi ton cul » ou des « Va z y crie mon nom <clac sur les fesses> », elle comprit que, pour elle, ça allait être plus difficile désormais. Elle qui rendait compte à ses parents de ce qu’elle faisait dans les grandes lignes et en oubliant volontairement quelques détails, se voyait mal leur raconter ce qu’il venait de se passer. Avant que Gary ne la rejette comme une vulgaire courtisane à la cour du roi soleil, elle avait régulièrement des contrats pour gagner sa vie même s’ils étaient courts, pour débuter c’était bien.
Ça faisait deux mois qu’elle se faisait jeter de toutes les auditions dés qu’elle se présentait. Elle connaissait ses capacités et voyait parfois des filles totalement nulles être choisies à sa place alors qu’elle les surpassait totalement. La menace de Gary selon laquelle il allait la griller dans le métier ne semblait pas être des paroles en l’air. Durant ces auditions, elle revoyait souvent la jeune fille qu’elle avait vue avec Gary dans son bureau. Très souvent elle était choisie et reconnaissant Lydia dans la masse, elle passait la voir pour la dénigrer devant tout le monde. Elle en avait marre de cette fille et un jour elle l’a suivi jusqu’à une grande maison. C’est quand elle vit la porte s’ouvrir qu’elle comprit qu’elle était en fait chez Gary. Il l’accueillait à poil en peignoir de satin et elle se jetait à son cou pour le galocher et lui caresser les bourses. En gros cette fille était devenue sa pute qu’il pouvait siffler comme une chienne en lui téléphonant, lui intimant l’ordre de le rejoindre pour … non, il ne vaut mieux pas savoir pour quoi.
Au fur et à mesure des contrats qu’elle avait faits sous l’égide de Gary, elle avait gardé quelques bonnes adresses. Elle en a appelé certains directement qui l’ont gentiment remercié sauf un qui lui a expliqué qu’avec l’influence qu’il a dans le métier, Gary avait colporté des rumeurs sur elle et que à cause de ça, personne ne lui laisserait sa chance. Ok elle avait consenti à sucer pour travailler mais elle avait un minimum de moral. Elle s’est quand même acharné à passer des castings, même en prenant un pseudonyme mais soit on la reconnaissait soit la maîtresse de Gary qui passait presque les mêmes castings qu’elle, la dénonçait quand elle était presque choisie pour lui casser son coup.
Ça faisait six mois qu’elle était à Los Angeles et ça faisait presque trois mois qu’elle enchaînait les échecs. Depuis qu’elle avait refusée de coucher avec Gary, elle n’était parvenu qu’à décrocher qu’un rôle de figurante dans une pub pour du shampoing. Ce n’est pas ça qui va payer les factures. Heureusement elle avait toujours son boulot de danseuse. Ça lui permettait de survivre jusqu’à ce que Gary foute tout par terre.
Un soir où elle était en train de danser sur son podium autour de sa barre, sous les yeux admiratifs de ses habitués, elle eut la mauvaise surprise de voir s’incruster sur son podium une blonde platine aux attributs mammaires plus que visibles. Ne voulant pas flinguer son show, elle s’était arrangée pour que cette fille s’intègre dans sa prestation. Une fois fini, cette fille lui indiqua à l’oreille de regarder au fond de la salle pour qu’elle constate qui était assis à la table du fond. Elle reconnu de suite Gary qui était entouré de deux brunettes aux airs d’adolescentes. Il était en train de discuter avec le patron du bar. Quand il s’aperçu qu’elle l’avait remarqué, il claqua des doigts et les deux jeunes filles qui l’accompagnaient se sont glissé sous la table. Connaissant l’animal, Elle imaginait bien qu’il lui préparait un sale coup. Gary et son patron sont restés dix bonnes minutes tout en se faisant astiquer le manche par ses jolies demoiselles sous la table.
Depuis les coulisses, Lydia les observait de loin. Elle s’inquiétait de les voir rigoler ensemble. Après les avoir fait jouir, les deux jeunes filles sous la table sont réapparu mais pour partir s’amuser et danser sur le podium comme il arrivait parfois que certaines clientes le fasse. La fille blonde platine s’était immiscer entre les deux hommes et à voir leur gestuelle ils semblaient parler d’elle. Elle qui, au vu de l’emplacement de ses mains devait être en train de les branler, un dans chaque main. Ils discutèrent, rigolèrent et au bout de quelques minutes se séparèrent, la blonde platine suivant le patron du bar et Gary repartant au bras des deux jeunes filles dont il allait surement abuser plus tard dans la soirée.
C’est à la fin de son service que Lydia fut convoquée par son boss dans son bureau. Il lui signifia qu’elle était virée pour un motif totalement injustifié mais dans ce milieu là, la protection des salariés on ne connait pas, surtout aux Etats unis. Comprenant que c’était Gary qui avait manigancé ça, elle comprit que la blonde platine qui était en train de s’activer sous la table, d’après la pointe de ses pieds qui dépassaient de dessous le bureau et les bruits de succion, allait être sa remplaçante et qu’elle allait, en plus, être dispo pour satisfaire son patron autrement qu’en poussant les clients à consommer grâce à des danses érotiques. C’en était trop. De retour chez elle, elle prit la décision de faire ses bagages, de vendre ce qu’elle ne pouvait emporter avec elle et de quitter la ville. Même si elle aurait préféré faire carrière et fortune dans le domaine artistique, elle avait trouvé sur internet des articles parlant des petits « Frenchies » qui avaient réussis à faire leur beurre aux States de différentes manières. Si eux y sont parvenu pourquoi pas elle. Elle avait d’autres cordes à son arc.
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