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Rêve américain

Chapitre 3

Hétéro
CH 3 – Las Vegas, Un début de carrière prometteuse.
Ça faisait plusieurs semaines qu’elle écumait les ventes aux enchères avec Mitch, son patron. Comme prévu, beaucoup avaient du mal à se concentrer sur la vente et le contenu des box. A chacune de leurs sorties, elle s’arrangeait pour, soit avoir un T-shirt trop serré, soit ne porter qu’une chemise qu’elle n’avait pas boutonné mais plutôt nouée sur le devant laissant envisager qu’elle ne portait rien en dessous. Parfois elle se penchait en faisant « oh tiens, mon lacet est défait ». Inexorablement de nombreuses paires d’yeux se braquaient sur elle (y compris le commissaire priseur). Afin de ne pas impliquer Mitch dans cette pratique, elle ne portait pas son uniforme en sortie et ne le remettait que quand elle bossait au magasin. De plus, son patron lui confiait une petit somme pour lui permettre d’enchérir elle-même et parfois contre lui afin de brouiller les pistes.
Mitch s’étant fait beaucoup d’amis parmi les gérants des gardes meubles de la ville et des environs, il avait régulièrement des nouvelles sur ce qui entrait dans les zones de stockage. Moyennant un petit pourboire, il obtenait également, peu de temps avant les ventes, la liste des box concernés, le volume et leur loyer. Ça pouvait donner une petite idée de la valeur du contenu.
Dans ce milieu très concurrentiel, Mitch s’était aussi fait des ennemis et notamment un : le gérant de Spencer auctions, une des nombreuses boutiques d’occasion ayant fleuri un peu partout depuis la crise. Tiens donc …. Spencer …. Ce nom rappela à notre héroïne de douloureux souvenirs. Et pour cause car le gérant de cette boutique s’appelait Gabe Spencer et cet homme avait un frère qui bossait comme agent à Hollywood et qui était propriétaire du dit établissement. Une raison de plus pour Lydia de s’investir au près de Mitch. Un soir où ils revenaient d’une nouvelle vente avec le camion bourrée à craquer, après avoir vidé le camion et ranger la marchandise, Lydia fut convoquée dans le bureau de son patron.
— Vous m’avez fait demandé ?— Oui … je voulais vous féliciter de m’avoir aidé à remporté la vente du gros lot. On a cloué le bec à ce salopard de Gabe et rien que ça, ça vaut son pesant d’or.— Oh ça …. Ce fut un plaisir.— La revente du contenu de ce box bourré de tableau va nous rapporter gros. Heureusement que vous étiez là. L’ancien propriétaire était visiblement québécois et si vous n’aviez pas traduit l’expression « toile de maitre » sur les cartons, j’aurai lâché l’affaire. Pour moi « toile de maitre » ça représentait des rouleaux de tissus d’un mètre de largeur. Visiblement mon français est très rouillé.— Ecoutez si je peux vous aider c’est avec plaisir. — Grâce à ce coup, et vu ce que vous m’avez déjà fait gagner, je considère votre ardoise effacée.— Merci. Je me suis investi dans ce boulot, vous m’avez donné ma chance et j’ai bien l’intention de continuer.— Parfait…. Dites moi … j’aimerai vous poser une question d’ordre personnelle.— Allez-y.— Comment me trouvez-vous comme homme ?— Je ne sais pas … je ne m’attendais pas à ça... vous êtes costaud, bien bâti, gentil, juste …— Séduisant ?— D’une certaine manière oui mais pourquoi cette question ?— Il y a quelques semaines, j’ai découvert que ma femme me trompait avec un de ses collègues.— Aïe !— Comme vous dites. Toutes ces semaines à travailler à vos cotés, a vous voir aguicher mes adversaires … disons que ça à eut le même effet sur moi.— Euh j’ai peur de comprendre.
— J’avais espéré que peut-être je vous plairais et que ….— STOP ! je crois que j’ai compris. En gros vous voulez coucher avec moi ?— A plus ou moins long terme, éventuellement. Vous me plaisez. Disons que pour l’instant devenir un peu plus intime me suffirait.— Ecoutez, vous avez été sympas avec moi mais votre fils est un ami et je n’ai pas envie de tout casser en couchant avec vous.— Au moins c’est clair. Tant pis j’aurais essayé.— Attendez, je n’ai pas fini … Je ne veux pas coucher avec vous mais si vous m’aidez à me trouver un appartement pas cher … je pourrais envisager de vous faire plaisir de temps en temps … avec ma bouche … pour l’instant du moins.— Ah bah, faut pas me le dire deux fois. J’ai un pote agent immobilier qui pourra m’aider.
Avec une telle promesse, Mitch n’a pas perdu de temps pour essayer de lui trouver un logement. De son coté Lydia avait envie de le remercier pour sa patience et pour ne pas l’avoir laissé tomber. Mitch avait été plus que correcte avec elle et avait annoncé la couleur. Au moins elle savait qu’elle pouvait lui faire confiance.
Mitch avait pu trouver et négocier le loyer d’ un petit appartement avec son ami agent immobilier. Lydia a pu trouver parmi les invendus de la boutique, des meubles et de quoi commencer à vivre dans son nouveau « chez soi ». C’est un soir après le boulot que Mitch l’aida à emménager utilisant le camion du magasin. Une fois fini, Lydia sorti deux bières de sa glacière et trinqua avec son boss.
— Bon ! Voila qui est fait. Merci de m’avoir trouvé ça et surtout merci de m’avoir aidé.— De rien.— Après tout ce que vous avez fait pour moi vous méritez une petite récompense. Dit-elle en commençant à déboutonner la ceinture de son boss.
Mitch affichait un large sourire à voir Lydia le défroquer. Pendant qu’elle le suçait, il savourait ce moment en sirotant sa bière, assis sur le canapé du salon. Il était ravi. Il sentait cette bouche douce et soyeuse monter et descendre le long de son engin et les coups de langue sur toute la longueur le mettaient dans tous ces états. Il n’a pas tardé à sentir qu’il allait jouir du coup, Lydia à retirer son haut et il a put lui asperger la poitrine avec son jus. Il ne restait plus, pour Mitch, qu’à lui masser ses deux globes pour tout étaler sur toutes la surface en prétextant « c’est bon pour la peau il parait. Ce serait dommage qu’ils se flétrissent ».
A partir ce jour, parfois dans son bureau où en s’arrêtant sur le trajet du retour après une vente quand ils étaient seuls, Mitch bénéficiait des petites attentions de Lydia. Lui espérait bien qu’un jour, elle change d’avis sur lui car il n’aurait pas été contre le fait qu’elle remplace sa femme adultère un jour. Lydia par contre ne voyait ça que comme un moyen de le remercier de ce qu’il avait fait pour elle. Il n’était pas vilain, au contraire mais …. Non elle n’envisageait rien de plus entre eux.
Un jour Mitch reçu une info de l’un des gardes meubles où allait se tenir une nouvelle vente. Le gérant de l’établissement l’informa qu’un des box en vente risquait de contenir les invendus d’une bijouterie ayant fait faillite suite à un problème de cambriolage et un défaut d’assurance. Compte tenu des loyers et de l’emplacement supposé du box, il semblait qu’il soit juste séparé du parking par un grillage. Il fit alors une réunion avec Lydia.
— Bon, demain on a une vente. Apparemment certains de nos adversaires habituels et notamment Gabe semblent avoir deviné notre petit stratagème. — Merde comment c’est possible ?— Oh c’est simple. Il suffit d’envoyer un complice comme faux client à la boutique. Il t’y aura vu approvisionner les rayonnages.— J’aurais dû être plus prudente. — Non ce n’est pas grave. Je savais que ça ne durerait pas. Ça nous a permis de faire de gros coup à leur insu. Donc cette fois on y va à trois. Junior nous accompagne. On va leur faire le même coup que d’habitude mais au cas où, j’ai un plan de secours. J’aimerais t’en parler.— Ok.— Mais avant < Ziiip >…. Si tu es d’accord ….— Tout de suite patron. Dit-elle avec le sourire avant de se baisser pour sucer son boss qui venait de sortir sa queue de son pantalon.
Elle ressorti un bon quart d’heure plus tard, après s’être essuyé la bouche et avoir discuté du fameux plan de secours. Elle alla chercher le fils du patron pour l’informer que, cette fois, il était de la partie. Afin de ne pas éveiller les soupçons, le père et son fils sont partis avec le camion et elle avec une bagnole banalisée de la boutique pour qu’on ne les voie pas arriver ensemble.
Mitch et son fils étaient déjà là et elle se gara à l’autre bout du parking. Elle se pointa à la vente et fut de suite prise à parti par le fameux Gabe, sous les yeux ébahis de l’assistance.
— Ah non ! toi tu te barres. J’ai bien compris ton petit manège.— Pardon ?— Les autres ne le savent pas mais je sais que tu bosses pour Mitch pour brouiller les pistes. Toi et ton patron vous nous avez tous entubé pour gagner les box aux dernières enchères.— Oui et alors ? C’est le jeu. C’est à vous de rester concentré. Mais je ne vois pas pourquoi je devrais partir. La règle c’est : celui qui propose le plus de fric qui gagne et c’est ce qu’on a fait. Demandez au commissaire priseur.— Je m’en fous— Ecoute j’ai ma place ici. Alors si tu veux vraiment en découdre sur la prochaine enchère, c’est toi contre moi.— … Ok mais pas d’entourloupe.
La tension était palpable. Mitch voulant rabattre son caquet à son adversaire, confia son argent à Lydia pour qu’elle ait une confortable marge de manœuvre. Quand le commissaire priseur ouvrit le box, tout le monde constata que c’était du matériel d’équitation. Il y avait de nombreuses caisses dont semblait ressortir selles, cravache, éperons, chapeaux, … Bref tout un attirail pour Cow-boy averti. Compte tenu des échauffourées verbales qu’il y avait eu quelques minutes avant, tout le monde laissa Lydia et Gabe sur ce box, ne voulant pas être pris dans un feu nourri.
Les enchères sont montées assez hauts. Il faut dire que Lydia, en plus d’avoir eu le feu vert de Mitch qui lui avait dit « Va z y, renvoi le chez sa mère », comptait bien indirectement régler ses comptes, le faisant payer pour ce que son frangin lui avait fait. Voyant qu’elle ne lâchait rien et qu’elle s’accrochait autant que les morbacs qu’il semblait avoir chopé avec une professionnelle bon marché récemment, il finit par lâcher l’affaire, las de cette bagarre.
Alors qu’il tournait le dos à l’assistance, dépitée de sa défaite, Lydia était félicitée par tout le monde. La « Frenchie » comme on l’appelait désormais, avait gagné le respect de tous. Cependant elle tenait à le narguer une dernière fois.
— Eh Gabe ! je te l’avais dit que tu ne gagnerais pas. Tu ne pourras pas plus y poser tes mains que tu pourras me peloter les nibards, regarde. Dit-elle tout en soulevant son T-shirt à la foule avant de le remettre tout de suite après. — C’était la chance du débutant. Une débutante qui utilise son cul pour gagner c’est pathétique.— Jaloux ! Comme j’ai eu ce que je voulais je vais vous laisser entre mec et revenir d’ici une heure pour aider Mitch et Junior à charger le camion. Allez bonne chance à vous. Dit-elle avant de faire un clin d’œil discret à Mitch qui avait compris ce ça voulait dire. Elle se préparait pour la petite stratégie qu’ils avaient mise en place.
Alors que le groupe se dirigeait vers le dernier Box de la journée, Gabe et Mitch eurent une conversation plus qu’houleuse.
— Dis donc Mitch, t’as pas honte d’exploiter le cul de cette fille devant tout le monde ?— Je n’exploite rien. Et puis c’est à toi de rester concentré sur l’enchère. Si t’es pas foutu de comprendre ça, change de métier. De toute façon, t’as rien à dire, étant donné que l’année dernière t’as été condamné à payer une amende pour avoir tenté de corrompre un commissaire-priseur en lui offrant une pute. — Peut-être mais au moins maintenant que ta petite trainée est partie, on va être tranquille.
Ne répondant pas, Mitch savait qu’il pouvait lui faire un sale coup. Dans sa voiture, Lydia voyait le groupe de loin avec des jumelles au travers du grillage. Mitch lui avait dit où se garer sur le parking pour qu’elle fasse son show. Le but de la manœuvre était de jouer la pin ’up affublée d’une perruque blonde peroxydée et d’un soutif rembourré, d’une paire de lunette de soleil et un mini short très sexe. Elle s’habilla et se prépara avant de garer sa voiture juste à côté du grillage. De là où elle était-elle n’entendait rien de ce qu’il se passait par contre dès qu’elle est descendue, elle voyait des hommes se tourner vers elle. Elle prit des poses lascives à la Maryline Monroe, ouvrit son coffre de voiture en prenant bien soin de mettre ses fesses en évidences. De son coffre, elle sortit une bouteille d’eau et bu a là bouteille mais en jouant à la maladroite s’aspergea les vêtements en renversant le contenu de la bouteille sur elle façon T-shirt mouillé. Prenant un faux air paniqué, elle retourna dans sa voiture et changea de tenue pour repartir.
Pendant qu’elle faisait son show, Gabe avait la bave aux lèvres à mater cette fille. Puis Mitch lui rappela qu’ils étaient à une vente aux enchères et que visiblement il n’était pas le seul à employer une jolie fille pour distraire ses concurrents (histoire de dire « ce n’est pas moi, je la connais pas cette fille »). Le box en question était effectivement ce qu’il restait d’une bijouterie mais Mitch a très vite vu que c’était de la merde. En enchérissant de manière agressive, il fit semblant de paraître intéressé, faisant semblant d’avoir aperçu quelque chose de valable dedans. Gabe, lui voulait lui piquer sous le nez, peu importe ce que c’était. Finalement Mitch lâcha l’affaire, prétextant que Lydia avait dépensé trop d’argent précédemment, le laissant à Gabe.
En sortant des enchères, Mitch et junior retrouvèrent Lydia à l’entrée du bureau pour payer leurs achats.
— Alors Mitch ? mon petit show a marché ?— Oui c’était parfait mais comme le contenu du box était merdique, j’ai rappelé à Gabe pourquoi il était là et j’ai fait en sorte de le laisser gagner ce tas d’ordure qu’il a payé au prix fort ... Junior, va chercher le camion.— …… Maintenant qu’il est parti, … Pour fêter notre victoire, je te réserve une petite surprise. Considère ça comme un cadeau en avance pour ton anniversaire dans une semaine.— J’ai hâte d’être à ce soir.
Après avoir payé leurs achats, ils ont chargé leurs box en entendant au loin Gabe pester « Mais pourquoi j’ai acheté cette merde » pour avoir payé à prix d’or le contenu d’une déchetterie. Ils sont rentrés avec leur chargement et ont fêté ça à trois. C’est une fois seule avec Mitch, après que Junior soit parti, qu’elle l’emmena dans son bureau, lieu où elle le suçait régulièrement. Comme d’habitude, Mitch prit place dans son fauteuil, pantalon baissé, et Lydia commença à le sucer, poitrine dénudée. Mitch était ravi de cette journée et lui promis un bon pourcentage sur la vente future du contenu des box qu’elle avait contribué à remporter. C’est sur cette bonne nouvelle, qu’elle lui annonça sa surprise.
— Bon, maintenant laisse-moi t’offrir ton cadeau d’anniversaire.— Je suis impatient dit-il en regardant Lydia retirer son pantalon et sa culotte, se retrouvant ainsi complètement à poil— Je sais que ton rêve c’est de coucher avec moi mais je ne me sentais pas prête à partager ton lit. Exceptionnellement aujourd’hui, je suis prête à te laisser profiter de moi mais je te demanderai de faire attention.— T’en fait pas je ne vais pas te frapper.— Ce n’est pas ça. C’est juste que …. Oh et puis merde tu verras bien.
Mitch la fit s’allonger sur son bureau, lui écarta les cuisses et lui lécha l’entrejambe tout en lui malaxant les seins. Lydia sentait la langue experte de Mitch lui faire un bien fou, elle était presque en transe quand il s’arrêta pour présenter son gland couvert à l’entrée de sa fente en commença à s’y introduire.
— Je rêve où t’es pucelle ?— Plus maintenant.— Et c’est moi que t’as choisi pour te déflorer ?— Disons que j’en ai marre d’attendre le prince charmant et puis, de tous les hommes que j’ai fréquenté récemment, t’as été celui qui était le plus sympas et honnête avec moi. Pour m’avoir permis de remonter la pente, il fallait que je te remercie.— Je suis flatté. Honnêtement j’aurais cru, en te voyant, que t’étais du genre à collectionner les amants.— Ce n’est qu’une apparence. Maintenant, arrête de parler. Dit-elle en le plaquant la tête contre sa poitrine.
Ne voulant pas lui faire trop mal, Mitch se contenta d’une simple missionnaire mais était déjà content de pouvoir s’envoyer la petite Lydia, lui qui était en pleine procédure de divorce et qui du coup n’avait plus de rapport avec sa femme. A chaque coup de rein, il regardait sa partenaire qui au début fait un peu la grimace puis après commençait à apprécier. Compte tenu de son excitation, il a fait en sorte que ça se termine vite afin de la libérer au plus vite et d’éviter que qui que ce soit ne les surprenne en plein action.
A partir de ce moment-là, Mitch et Lydia ont commencé une relation ambiguë. Une fois par semaine, Mitch allait la rejoindre chez elle pour des « travaux pratiques ». A force de coucher ensemble, il espérait qu’un jour elle devienne sa régulière. Pour Lydia, c’était différent. Elle ne le voyait que comme un collaborateur auprès de qui, elle pouvait obtenir certains avantages. Dans un sens on peut dire qu’elle se servait de lui pour gagner du pognon mais tout en restant honnête avec son bienfaiteur. Elle gardait en tête son rêve américain, ce rêve pour lequel elle était prête à tout : faire fortune aux USA.
A la suite de ça, Lydia s’épanouissait dans son boulot. Elle partait souvent avec Mitch à des ventes aux enchères et lui accordait un petit bonus buccal sur le trajet du retour. Aujourd’hui ce n’était pas le cas. Compte tenu que c’était elle qui avait gagné le contenu du box avec les affaires de Cowboy, c’était à elle de trouver un acheteur. Et justement, cet acheteur, elle l’avait trouvé. L’homme de main d’un riche homme d’affaire Texan l’avait contacté après avoir vu le lot sur le site internet de la boutique. Quand cet homme est arrivé, il a examiné la marchandise et tout semblait lui convenir. Elle lui fit une petite démonstration de certains objets qu’elle avait essayés et il était épaté qu’une jeune fille comme elle s’y connaisse en chevaux et en accessoire de Cowboy. Il faut dire qu’étant gamine, elle passait ses vacances chez ses grands-parents qui possèdent un haras, ça plus la fameuse série américaine qu’elle regardait à la télé sur une famille Texane spécialisée dans le pétrole et vivant dans le Ranch de South Fork avait fait d’elle une incollable sur tout ce qui touche au Far West moderne américain. Au contact de ses grands-parents, elle avait beaucoup appris sur les chevaux et elle avait tellement étonné son client avec ses connaissances dans le domaine, qu’il l’invita à la recontacter au cas où elle cherchait à changer de boulot. Elle n’en avait pas l’intention mais le message était passé. Elle promit à son client que, si d’aventure ils obtenaient d’autres marchandises du même genre et de cette qualité, elle leur donnerait la priorité. A force elle avait compris comment fidéliser la clientèle.
Lydia était ravie de sa petite transaction. Elle avait obtenue plus qu’elle n’en espérait et cet homme lui avait laissé un joli pourboire. Son rêve américain commençait à prendre forme. Pas dans le domaine artistique comme elle l’avait prévue mais plutôt dans le domaine des affaires. Ok C’est moins « Bling Bling » que prévu mais plus encré dans la réalité. D’autant que, depuis qu’elle avait averti ses parents de son changement professionnel, son père était plus rassuré de la voir dans un domaine plus concret. Malheureusement, ça n’allait pas durer. Quelques semaines plus tard, de son retour d’une autre vente aux enchères, Mitch arriva comme une torpille vers Lydia.
— Lydia, tu es en règle au niveau de tes papiers ?— Pourquoi tu demandes ça ?— Je ne sais pas comment il l’a appris mais Gabe m’a subtilement fait comprendre que tu ne serais pas en règle, que ton VISA aurait expiré et qu’il allait faire intervenir les services d’immigration, par vengeance surement.— …. C’est vrai …..— Pourquoi tu ne me l’as pas dit dès le début ? j’aurais pu essayer d’arranger les choses. Maintenant c’est trop tard.— Je suis désolé. Mais avec l’histoire de l’accident dans l’entrepôt, j’avais la tête ailleurs. Cette charogne de Gabe a dû l’apprendre par son frère. Quand j’ai atterri à Los Angeles, j’ai fourni mes papiers à son frangin qui fut mon agent avant qu’il ne me vire pour avoir refusé de coucher avec lui.— Je vois. …. Compte tenu de ce que tu m’as rapporté, je ne vais pas te laisser tomber par contre tu ne peux pas rester ici. On va t’aider, sauf si tu souhaites rentrer en France.— Non Je veux rester.— OK alors j’ai un plan. Par contre il va te falloir un point de chute. Tu sais où tu vas pouvoir aller ?— Oui j’en ai une petite idée dit-elle en regardant la carte du cow-boy qu’elle avait conservé.
Lydia amena Mitch et son fils à son appartement, elle y prit des affaires, et ils commencèrent à charger le camion avec le reste. Pendant que Junior reparti avec le camion, Mitch installa Lydia dans un hôtel de la ville. Son but : la faire partir discrètement. Après lui avoir payé sa chambre et l’avoir accompagné, Lydia, touchée par ce qu’il faisait pour elle, lui proposa de rester pour la nuit, ne voulant pas rester seule.
Ce fut pour Mitch, une des meilleures nuits qu’il passa avec une femme. Après s’être longtemps embrassé allongé sur le lit, Lydia lui retira son froc pour mieux le sucer. Une fellation qui a fini en 69. Ils ont ensuite alterné les positions : missionnaire, cuillère, levrette, … tout en terminant par une sodomie. Pour Lydia comme pour Mitch, ça été très intense. Ne voulant pas attirer l’attention, Mitch n’est pas resté, préférant rentrer chez lui.
Mitch a eu du flair de réagir aussi vite car c’est dès le lendemain que Gabe et les services de l’immigration sont arrivés.
— Messieurs, bonjour, que puis-je pour vous ?— Ne joue pas aux cons avec nous. On est là pour la grenouille et la renvoyer dans son pays de merde. Elle est où ?— Bonne question. Si vous la croisez, vous lui direz qu’elle est virée pour abandon de poste.— Bah voyons. Comme c’est pratique.— Ecoute moi bien mon grand. Avant que tu ne me le dises, je ne savais même pas qu’elle était en situation irrégulière. Quand je lui ai posé la question elle ne me l’a pas caché. Je ne l’ai pas revu depuis qu’elle est partie hier soir.— Oh la belle histoire.— Je ne sais pas quel est le but de la manœuvre mais si tu tiens à me porter préjudice en me privant d’une employée exemplaire, je trouve ça petit. Surtout venant d’un homme qui emploi lui-même quantité de Chicanos illégalement. Ces messieurs de l’immigration qui t’accompagnent devraient apprécier….
Tout ce petit monde a fouillé les locaux de la boutique sans rien trouver. Pendant ce temps Mitch donna une enveloppe à son fils à destination de Lydia afin qu’elle ait ce qu’il lui fallait pour le voyage. Après ça, Mitch les accompagna à ce que fut le logement de Lydia et ils ne trouvèrent plus rien. N’ayant plus rien à faire avec lui, les personnes de l’immigration saluèrent Mitch pour sa coopération et partirent directement dans la boutique de Gabe afin de vérifier les allégations prononcées quelques heures auparavant.
De son coté, Lydia était en train de remercier Junior de son aide. Son billet pour le Texas en poche, c’est le cœur lourd qu’elle est partie de Vegas laissant Mitch et son fils qui avaient tant fait pour elle.
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