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Le rêve devenu réalité

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Cette histoire est basée sur un fait réel survenu l’année dernière.
J’avais 16 ans ce jour-là. Ce jour où mon rêve est devenu réalité.J’étais en salle informatique avec ma classe, en TP de techno.Soudain, mon partenaire, un ami sympa quoique bordélique me sortit :– Dis-voir, toi tu regardes quoi, comme style de porno ?Une question presque banale, si ce n’est que les deux filles les plus bonnes de la classe étaient à côté de nous ; elles s’arrêtèrent de travailler.L’une se nommait Hélène. Elle était petite, gentille, extrêmement mignonne et avait une poitrine de rêve. Je savais également qu’elle était avide de sexe.L’autre se nommait Camille. Elle était plus grande, plus sournoise, assez mignonne et dotée d’une belle poitrine.Voyant qu’elles s’intéressaient à ma réponse, je répondis alors, non sans rougir :– J’aime bien regarder les rubriques "gros seins".Mon ami rit doucement, et les deux filles sourirent en gloussant.Quel fut mon choc quand Hélène me demanda :– Et tu trouves qu’entre Camille et moi, qui a les plus gros seins ?Le plus beau était qu’elles relevèrent leur poitrine, me laissant admirer leurs superbes seins dessinés à travers leur t-shirt assez moulant. Ce qui me fit bander comme un fou.En bégayant un peu, je répondis qu’Hélène avait les plus gros, mais que Camille n’était pas mal pour autant, mais que d’ici je n’avais pas de quoi juger.
Ainsi s’achève l’histoire réelle, le reste n’est que fantasme.
La fin de l’heure signifiait pour nous le début du week-end. Ouf, fini le collège !Je rentrais chez moi à pied quand Hélène cria derrière moi :– Eh, Baptiste (tel est mon nom) attends-nous !C’était la première fois qu’elle m’interpelait ; d’habitude, elle ne me voyait même pas. Camille était avec elle.Je les attendis, et Camille me dit : – Nous ne sommes pas satisfaites de ta réponse. On veut savoir comment tu nous trouves par rapport aux femmes que tu regardes pour te masturber.
Je ne compris pas sur le coup ; mais elles me poussèrent vers un petit cul de sac dans une haie.– Alors, tu vas nous répondre ou on te balance.Et là, elles relevèrent leur t-shirt me laissant voir leur soutien-gorge, l’un vert uni, l’autre léopard.Pendant un instant, je restai paralysé, bouche ouverte ; puis, me laissant gagner par mes instincts bestiaux, je répondis :– Je ne vois toujours pas assez.Elles échangèrent un regard en souriant, puis enlevèrent leur soutien gorge.
Le temps s’est arrêté pour moi. Devant moi, les deux plus belles filles de ma classe étaient en train de me montrer leur superbe poitrine, nue.Reprenant mes esprits, je dis :– Je continue de préférer ceux d’Hélène. Mais l’aspect n’est pas tout. La texture compte aussi.
Et, sans réfléchir à ce que je faisais, je pris les seins d’Hélène dans la main gauche et ceux de Camille dans la main droite. Enfin, j’essayai. Non pas qu’elles eurent bronché, mais parce que chacune de mes mains ne pouvait pas tout contenir. Je malaxais les beaux globes, pinçais les tétons... Mon pantalon allait exploser ; j’étais aux anges !Puis j’arrêtai et dis :– Ceux d’Hélène sont plus gros, mais ceux de Camille sont plus doux. Je dis "égalité".Elles échangèrent un regard, puis enlevèrent entièrement leur t-shirt.Hélène dit alors :– Maintenant que tu as vu nos seins, laisse-nous voir ta bite.Je ne me fis pas répéter. J’ouvris mon jeans et descendis mon caleçon, libérant mon engin bien dur.Je n’ai jamais eu de complexes quant à la taille de ma bite ; elle faisait déjà 16 centimètres à cette époque.Elles aussi restèrent bouche bée face à ma virilité.Camille fut la première à réagir : elle empoigna mon sexe et le fourra directement dans sa bouche. Hélène marmonna qu’elle n’en avait jamais vu un si gros, puis essaya de le prendre à Camille.– Fais pas ta pute ; chacune son tour !Elles se mirent alors à me sucer tour à tour. Les deux étaient aussi expertes.Au bout de dix minutes de paradis, je criai que j’allais jouir ; elles mirent mon pénis entre elles, de manière à se répartir le sperme équitablement.
Jamais je n’aurais cru que cet après-midi les plus belles filles de la classe allaient se disputer pour mon sperme. Je les laissai faire, puis on se rhabilla.Camille prit la parole :– Maintenant, t’as intérêt à nous satisfaire, sinon on balance ton secret à tout le monde !
Ça n’avait rien à voir avec mon secret, mais je n’avais aucune envie de ne pas leur donner satisfaction.

— à suivre si cette histoire est appréciée -
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