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Le rêve devenu réalité

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
Ayant eu un score positif, je continue mon histoire ^^
Le lendemain étant un samedi, on n’avait pas cours. C’était bien la première fois que je ne voulais pas être en week-end !Pendant ces deux jours-là, je ne me suis pas masturbé, mais je n’ai cessé de penser à elles et à ce petit moment dans la haie... Malheureusement, je n’avais pas leur numéro de portable et je n’avais pas le droit d’avoir Facebook.
Après les 48 heures les plus longues de ma vie, je reprenais enfin le collège... avec un léger retard (maudit réveil) ne me permettant pas de leur parler de suite. En outre, on commençait par du français, le cours que je déteste le plus...S’ensuivit un cours de maths particulièrement facile, sur les courbes de fonctions.Courbes... rien que ce nom me faisait penser à elles, qui n’arrêtaient pas de me jeter des regards depuis une heure...*Dadadam... dadam...* Ah, enfin la récré !
Pendant ces deux jours et deux heures, j’avais oublié un détail : je ne suis pas censé être leur ami...Ceci m’empêcha d’aller leur parler sans éveiller d’étranges soupçons (pas forcement de l’érotisme, mais les rumeurs de "machin aime machine" étaient assez fatigantes à la longue...)J’allai donc comme à mon habitude vers mes potes ("Weeesh la mouche, ça va ?" "Bien, le gros, et toi ?", délire entre nous, nous ne sommes pas des kairas), suivi de ma meilleure amie, ma confidente.
Alors qu’elle me racontait le dernier potin sur le mec qui était "le plus beau de la Terre" il y a trois jours, devenu "un gros connard moche et bête" (c’est tout elle, mais la vraie), elle me questionna : — Dis voir, pourquoi tu regardes tout le temps Camille et Hélène ?— Hein ? De quoi tu parles ?— Fais pas le cachottier ; qu’est-ce qu’il y a ?— Ben, heu... en fait...Je lui racontai la mésaventure (ou bonne aventure ?) et, à mon étonnement, elle sourit.— Tiens tiens...— Quoi ?— Rien ; ça sonne : viens !
Comme le midi elles rentraient chez elles alors que moi je restais manger à la cantine, et que la recréation de l’aprèm suivait le même schéma que le matin, je dus attendre le soir pour enfin leur parler.

Je m’étais un peu éloigné de l’établissement (ninja!) et les attendais sur le chemin habituel.— Ah ! Enfin, te voilà ! cria Camille.— Que croyiez-vous, que j’allais vous laisser dire que je matais des gros seins sur le web ?— Bien sûr que non ; mais ne t’inquiète pas : tu auras, tu en auras à mater, des seins. Et des chattes ! répliqua Hélène.— Viens voir un peu... reprit Camille en me poussant dans le même trou que la dernière fois.
Elles ne tardèrent pas à retirer mon jean et mon boxer et à découvrir mon fier charles-de-gaulle au garde-à-vous (yep, comparaison étrange…). Elles commencèrent donc à le sucer chacune leur tour, comme la dernière fois ; mais cette fois-ci, elles arrêtèrent rapidement.
— Bon, stop les gamineries, dit Camille, en retirant son jean slim, on va passer aux choses sérieuses !
Vision divine… Camille nue devant moi, son pubis rasé en ticket de métro, ses fesses rebondies comme une déesse, et Hélène, seins nus, me souriant... puis qui m’embrasse.
Le temps s’arrêta.
Je n’y croyais pas. Moi, le geekounet, gentil et conciliant, en train d’embrasser la plus belle fille de la classe, pendant que la seconde allait probablement engloutir mon pénis dans ses voies génitales... ce qui ne tarda pas.
— Ouh, putain, ce que c’est bon ! hurla Camille.— Pendant ce temps, lèche-moi. Mange ma chatte ! cria Hélène en retirant son pantalon ; elle ne portait pas de culotte.
À nouveau, je suivis ses ordres. J’ignorais s’il y avait des passants dans le coin, mais si c’était le cas, ils n’auraient pas pu ne pas entendre nos trois hurlements de jouissance ; moi éjaculant tout un week-end de sperme dans la jolie chatte de Camille tandis que je buvais toute la cyprine d’Hélène.
Haletants, en sueur, on se rhabilla péniblement et on sortit du trou.
— C’était pas mal ; mais demain, faudra faire mieux ! dit Hélène en repartant.
Oh oui, ne vous inquiétez pas... Ne vous inquiétez pas !
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