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Un rêve devenu réalité

Chapitre 1

Erotique
C’était une nuit pas comme les autres. Je me présente je m’appelle Nicolas et j’ai fais un rêve qui a bouleversé une partie de ma vie d’adolescent. J’ai 17 ans et ceci s’est passé il y a quelques semaines de ça. Dans mon rêve, se faisait agresser une fille de ma classe de philosophie, classe recomposée du fait d’un manque de personnel, qui jusqu’à cet instant ne m’a jamais vraiment intriguée. Celle ci ce faisait maltraiter et frapper par des individus que je ne connaissais pas. Le reste de ma classe me disait derrière moi "Défend la, défend la !", ce que je fis. Ainsi j’essayai du mieux que je pouvais de défendre cette pauvre fille puis vint le moment où je n’avais plus le contrôle de cette situation. La fille, allongée sur le dos, était tout tremblante de peur et continuait à se faire frapper malgré moi.Une pulsion à fait que je me suis mis au dessus d’elle pour la protéger de tout coups portants. Je me suis retrouvée au dessus, face à elle avec un instinct très protecteur et je vis la beauté de son visage. Drôle de rêve ! Je ne me prenais aucuns coups et puis... le réveil sonna, je me suis réveillé. Je bandais comme pas possible, encore choqué de ce rêve. Non pas de la violence mais de la beauté de la fille. C’était d’ailleurs le jour où j’ai une heure de philosophie. J’étais tout content à l’idée d’aller en cour pour une fois...
A 14h55, la sonnerie s’est activé je me suis presser de ranger mes affaires pour mon cours suivant : la philosophie. J’allai enfin retrouver cette fille qui m’a fait avoir tant de sensations que je commençais à bander... Étant ranger dans le couloir, le professeur arriva mais je ne vis pas la fille de mon rêve. Triste et déçu, j’arrive en cours avec le moral au plus bas, je m’assoie au fond de la classe puis le professeur commença son cours. Je repensais à elle sans cesse, et au bout d’un quart d’heure, j’entendis la porte toqué :
— "Oui ?"— "Excusez moi de mon retard monsieur, j’ai loupé mon bus"— "Vous avez fait votre case de retard ?"— "Oui ici"— "Très bien, vous pouvez aller vous asseoir..."
Mon cœur commençait à s’emballer, le temps me paraissait long à chaque pas qu’elle faisait. Je l’admirais de tout les coins possibles et je remarqua qu’elle était extrêmement belle. Elle marchait très bien, faisait de beaux pas et rejoins la place qui était celle à coté de moi, voyant qu’il n’y avait plus de places.Le stress me parcourait le corps, à chaque fois qu’elle me parlait je répondais en balbutiant... Elle était habillée d’un léger débardeur et d’un jean moulant. Elle avait aussi de très beaux cheveux bruns. Le professeur m’appelait, je n’entendais même plus ce qu’il disait. Puis sa douce voix fit part dans l’atmosphère dans lequel j’étais.

-"Ça ne va pas ?"-"Euh... Si ça va... ça va très bien pourquoi? Euh... et toi ?"-"Qu’est ce qui se passe enfin ? T’es pas comme ça d’habitude. Il t’ai arrivé quelque chose ?
Je pris mon courage à deux mains et lui avoua le rêve étrange que je fis. A la fin très gêné, je pris mon stylo écrivait tant bien que mal les pauvres mots audible de mon professeur qui n’était pas intéressant à écouter.
Soudain elle me fit :
— "Je trouve ça trop mignon, c’est très flatteur de rêver d’une fille. Je t’avoue que j’ai déjà rêvé de toi, et là, on faisait... comment dire..."— "On faisait quoi ? Dis moi."Elle chuchota "l’amour" me regardant dans les yeux. Et elle rajouta "Ce n’était pas désagréable" avec un sourire sur le coin de la bouche.
Le sonnerie s’activa, elle se relevait pour ranger ses affaires et fit des mouvement très sensuelles, enfin, plus sensuelle que d’habitude. Je dirais même qu’elle faisait exprès de se pencher pour que je vois son cul magnifique sous mes yeux et de se tourner pour que je vois dans son débardeur ses jolies seins.J’allais partir le premier et elle me fit :
— "Demain soir à 18h, on reparle de tout ça si tu veux bien. En tête à tête d’accord mon choux ?"— "Euh... demain 18h d’accord" répondis-je encore choqué de cette proposition qui laissa une part de mon excitation se manifester dans mon caleçon.
Je suis donc partie, envoûté de sentiments de stress de panique mais aussi d’excitation...
La suite prochainement...
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