— Cette nuit, j’ai rêvé de nous, pourtant nous ne sommes plus ensemble, ça m’arrive souvent voire trop souvent. Dans ce rêve nous réalisions l’un de mes fantasmes, si tu me le permets je vais tout te raconter dans les moindres détails, je te souhaite une bonne lecture. Après une bonne nuit ensemble, on se réveille, comme à notre habitude, nous sommes nus l’un contre l’autre en cuillère, moi derrière toi devant, ma main posée sur ta poitrine et l’autre sous ta tête. C’était un réveil tout en douceur, des mots doux et des baisers dans le cou. Mais mes pensées elles n’étaient pas douces, j’avais une insatiable envie de te prendre de façon sauvage et puissante. J’ai donc décidé de t’en faire part à voix basse dans l’oreille : — J’ai envie de te prendre sauvagement chérie. Étant toujours en cuillère tu as tourné la tête vers moi avec un petit sourire et tu m’as embrassé langoureusement, tu es ensuite venu à mon oreille me répondre : — Défonce-moi comme tu ne l’as jamais fait, chéri, fais-moi ce que tu veux. A la suite de ces mots, des préliminaires intenses ont commencé, j’ai commencé par mettre du lubrifiant sur ton intimité afin de pouvoir y aller un plus fort dès le début et que tu n’aies pas de douleurs, j’ai ensuite commencé à te doigter activement, et après quelques instants de doigté, tu es venue entre mes cuisses pour me sucer. Tu ne m’avais jamais sucé de cette manière auparavant, la sensation que tu me procurais grâce à ta bouche était incroyable. Tu m’as poussé jusqu’à la limite de jouir dans ta bouche, mais tu t’es arrêtée avant pour qu’on profite un maximum par la suite. Après cette merveilleuse fellation, je suis descendu te faire un cunni et tout comme toi, je t’ai poussée jusqu’à la limite de l’orgasme me donnant à fond. Dans la volée, j’ai rapidement mis un préservatif, et pour ne pas te laisser le temps de redescendre, je suis venu en toi, tu mouillais tellement que je suis rentré d’un coup et j’ai tapé le fond, ce qui t’a fait pousser un gémissement intense. J’ai commencé à t’asséner de coups de reins puissants et profonds, tout en variant les cadences jusqu’à te faire jouir une première fois, tes jambes tremblaient, tes mains ont agrippé mes draps, tu gémissais terriblement fort. Mais je l’avoue, j’en voulais encore plus, je t’ai donc demandé si tu étais d’accord pour ré-essayer la sodomie (car il y a un an de cela tu n’avais pas apprécié, tu souhaitais qu’on ressaye plus tard, tu ne sentais pas prête), que je te prenne par les fesses ; tu as hésité, je t’ai laissée réfléchir, et quelques secondes après, tu es revenue à mon oreille et tu m’as dit : — Encule-moi. Je t’ai demandé si tu avais besoin d’aller aux toilettes au préalable pour éviter tout problème, mais tu m’as dit que je pouvais y aller, j’ai donc commencé par te doigter tout doucement après avoir eu un tel orgasme puis j’ai mis mon pouce dans ton anus pour t’habituer à cette sensation. Je voulais que tu kiffes autant que moi, donc j’y suis allé doucement. Après le pouce, j’ai mis du lubrifiant et j’ai inséré un autre doigt, ensuite j’ai fait quelques va-et-vient. Tu avais l’air prête, et j’en ai été sûr quand tu m’as dit : — Enlève ton préservatif et défonce-moi le cul. J’ai été agréablement surpris que tu sois aussi crue, ça m’a excité comme pas possible, je l’ai enlevé, et j’ai remis du lubrifiant sur ma queue. Tu t’es mise en levrette, les fesses bien relevées, et j’ai commencé à m’insérer, j’y suis allé doucement pour ne pas te faire mal, et même si c’était douloureux au début, tu m’as dit de continuer, ce que j’ai fait, j’ai fini par arriver aussi loin que je pouvais et j’ai commencé les va-et-vient. Putain comme c’était bon de sentir ma queue serrée en toi. Et toi tu avais l’air d’apprécier aussi, ça commençait à bien glisser, j’ai pu y aller plus fort, tu kiffais autant que moi, c’était tout ce que je voulais, je voulais qu’on prenne notre pied tous les deux ensemble. J’y suis allé encore plus fort, ce qui te faisait mouiller de plaisir au niveau de ton sexe, je voyais ta mouille couler, ce qui m’excitait terriblement et tu gémissais aussi terriblement fort, à ma grande surprise tu m’as dit : — Plus fort bébé, j’en veux encore. Alors je t’ai écoutée et j’ai tout donné, tu commençais à crier de plaisirs, et je grognais tellement c’était bon, ma queue se contractait de plus en plus et tu m’as dit : — Jouis en moi, lâche-toi en moi mon amour, je veux que tu me remplisses. Je n’ai donc pas arrêté, j’ai lancé l’assaut final, j’y suis allé à fond, et c’est là que je t’ai entendue jouir de toute ton âme, comme je ne t’avais jamais entendue jouir auparavant, et ton orgasme a provoqué le mien, j’ai joui au fond de ton trou, je n’avais jamais joui autant, tu étais toute remplie. A la suite de notre orgasme pratiquement simultané on s’est écroulé. Je me suis retiré en douceur, mon sperme s’écoulait entre tes fesses, ce qui à ma grande surprise m’a excité, tu m’as dit avoir kiffé (avec un grand sourire d’extase), mais qu’on ferait ça rarement, ce que j’ai compris et j’étais d’accord, ce n’est pas le genre de plaisir dont il faut abuser. On s’est allongé ensemble et endormi d’épuisement.
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