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Rêve d'une nuit (Complet)

Chapitre 1

Hétéro
Après une après-midi entière à faire des photos dans une maison en ruine au beau milieu de la forêt,Arthur et Sarah rentrèrent chez cette dernière. Tandis qu’Arthur regarda sur son ordinateur le résultat du shooting, Sarah préparait un chocolat chaud. Elle lui déposa une tasse de chocolat chaud, garni de chantilly et de petits marshmallows, et s’installa près de lui.
— Merci petite courgette !— ARRÊTE CE SURNOM TOUT DE SUITE SINON PAS DE CHOCOLAT CHAUD !— Euh... Non ! dit-il avec un petit sourire d’enfant, tout tirant la langue.— Bon, ça donne quoi ce shooting ?— Eh bien, c’est franchement pas mal, tu as fait du bon boulot !— Oui enfin moi, je suis juste modèle, c’est toi le photographe.— Une photo est belle si tout le monde fait son boulot !
Après presque une heure à analyser chaque photo et supprimer celles qui ne correspondaient pas à leurs attentes, Sarah commençait doucement à s’endormir sur l’épaule d’Arthur qui était concentré sur les retouches. C’est quelques minutes plus tard qu’il se rendit compte du poids sur son épaule. Il laissa donc dormir Sarah.
— Elle doit être épuisée, après tout ça... Qu’est-ce qu’elle est belle tout de même...
Et Arthur s’endormit également, se laissant bercer par la musique viking en fond sonore. Puis il se réveilla d’un coup, ce qui réveilla aussi Sarah.
— ça va ? demanda-t-elle.— Oui, oui, juste un rêve étrange !— C’était quoi ce rêve ?— Euh... Je ne sais plus, mais je sais que c’était bizarre.
Bien entendu, il se rappelait de tout. Il voit encore chaque instant de son rêve, mais par petits flashs. Un baiser, des yeux verts qui le regardent fixement, des souffles mélodieux, de la chaleur, des caresses...
— Je vais prendre une douche à l’étage, si tu veux, tu peux en prendre une en bas !
— Yes ! Ça va me faire du bien !
Chacun de leur côté, ils entrèrent dans une salle de bain. Se déshabillent en même temps, et sans savoir pourquoi, ils se regardent dans le miroir, puis entrent dans leur douche. Arthur n’arrivait pas à oublier son rêve, et il essayait d’imaginer à quoi ressemble la scène à l’étage. Il visualise une goutte qui tombe au ralenti sur l’épaule de Sarah, puis glisse doucement vers la pointe de son sein, continuant sa descente vers l’aine, glissant encore le long de sa jambe, et finit sa course parmi ses sœurs. Mais se doutait-il que Sarah visualisait la même chose ?
— Qu’est-ce qui m’arrive ? Pourquoi je pense à cela ? Qu’est-ce qui me prend ? Pourtant je ne suis pas attiré(e) par lui/elle.
Ils reprirent leurs esprits. Après s’être séchés et changés, les deux se rejoignent dans le salon !
— C’était bien ? Demande Arthur.— De quoi ?— Bah ta douche, patate !— Patate toi-même, d’abord ! Et c’était une douche quoi, rien de folichon... Et toi c’était bien ?— Folichon ?
Carrément ? Bah écoute-moi c’était pas mal, quoi qu’il manquait quelque chose !
— Et quoi donc ?— Toi, bien sûr ! dit-il en ricanant.— Ah bah fallait me proposer aussi ! En plus, on aurait économisé de l’eau !— C’est pas toujours à l’homme de proposer, désolé hein ! Bon, on fait à manger, j’ai les crocs, je pourrais manger un cheval en salade !— Un cheval en salade ? Ah ouais carrément !—... tu n’as pas la réf ? Kaamelott, non ça te dit rien ?— Euh non pas vraiment sur ce coup !— Bouuuuuh mécréante ! Hérétique ! Au bûcher !!!— MAIS TU VAS TE CALMER OUI ?— NON JE NE ME CALMERAI PAS !— Je vais t’en coller une si tu te calmes pas !— Me coller une quoi ?— Une bonne fessée déculottée !— Ah bah j’aimerais bien voir ça !— Tu verras !
Ils se mirent donc à faire la cuisine. Pendant que Sarah faisait la vaisselle, Arthur commença à découper les poivrons.
— Tu n’as pas une planche à découper, ça sera plus simple !— Si elle est là !
Arthur alla donc à côté de Sarah pour prendre la planche en bois, et en se penchant, il saisit discrètement la hanche de son modèle. Ce qui la fit rougir. Le reste de la préparation se passa normalement, et le temps de la cuisson, ils allèrent se poser sur le canapé et regardaient quelques vidéos sur YouTube. Le four sonna, il était temps de dîner. Pendant qu’ils mangeaient, ils parlaient de tout et de rien. Et pendant un moment de silence, Arthur regarda Sarah. Se rappelant la goutte d’eau qu’il visualisait plus tôt. Et il admira la beauté de ses yeux verts.
— J’adore tes yeux... Ils sont... reposants...— Celle-là, on me l’avait jamais dite ! Répondit Sarah tout en rigolant.— Je t’assure... ça m’apaise de les regarder...— Eh bah continue à les regarder si ça te plaît !
Il entendit, émanant de l’ordinateur, la musique « Time of my life » du film Dirty Dancing. Il se leva d’un coup, saisit la main de Sarah, et l’emmena dans le salon pour danser. Peut-on appeler cela de la danse ? Pas sûr, mais ils s’amusaient. Vint le moment où il l’attrape par les hanches et la rapproche de lui. Après quelques secondes interminables à se regarder, ne sachant pas quoi faire, Sarah propose à son invité un verre de Jägermeister.
— Avec plaisir !— Stupide Sarah... Stupide moi... pourquoi tu ne l’as pas embrassé ?— Je propose de pimenter un peu tout ça. Un Shifudrink ? proposa-t-elle.— Allez !
Sarah alla chercher des verres à shooters et la bouteille de Jägermeister. Elle s’assoit à côté d’Arthur, pose sur la table ce qu’elle était partie chercher. Ils commencèrent leur partie de Shifumi... Arthur perd exprès pour ne pas décevoir la demoiselle... Et si on pimentait encore ? Celui qui perd les deux prochaines manches a un gage !
— Bon changement de tactique, je vais tout faire pour gagner...
Sarah perd donc les deux manches suivantes...
— Et merde ! Vas-y, annonce le gage !— Embrasse-moi.— Pardon ?— Embrasse-moi, sinon tu bois...— Arthur...— C’est juste un bisou !
Elle ne répondit pas, s’avançant vers lui et posant ses douces lèvres sur celles de son ami. En quelques secondes, le baiser si innocent, ce baiser de jeu d’enfant, devint un peu plus adulte, plus chaleureux, moins timide, plus langoureux. Arthur se surprit à caresser doucement le bras de Sarah de sa main droite, sa main gauche ayant agrippé la main de la femme aux yeux verts.
— Comme dans mon rêve...
Sarah s’arrêta d’un coup.
— Suis-moi à l’étage.— Euh... si tu veux. Répondit Arthur, n’ayant pas tout à fait repris ses esprits.
Elle lui attrape la main, ils montent ensemble les 17 marches. Avant de rentrer dans la chambre de Sarah, cette dernière attrape un foulard qui traînait sur la rambarde et bande les yeux d’Arthur.
— Attends ici.— D’accord, mais ça me rassure pas.— Tu vas aimer...
Il ravala sa salive, et n’osait pas imaginer quoi que ce soit. Si ça se trouve, elle veut juste faire un colin-maillard... Au bout de deux minutes ou plus, elle revient. Attire Arthur dans la chambre et lui enlève le foulard. Il ouvre les yeux et remarqua les bougies allumées disposées aux quatre coins de la pièce.
— Euh c’est quoi tout ç... ah !
Il se retourna vers Sarah et la vit dans un sublime Body en dentelles noires.
— Tais-toi et profite...
Avant qu’Arthur n’ait eu le temps de dire quoi que ce soit, elle saisit à deux mains le col du sweat-shirt, l’embrassa longuement, et tout en décollant ses lèvres, elle mordilla la lèvre inférieure du jeune homme. Il y eut un petit moment de silence, moment durant lequel Arthur s’était perdu dans les yeux émeraude de son modèle, son amie... Il ne put se retenir...
— Tout ça pour ça ? Je suis un peu déçu ! dit-il sur un ton sarcastique.
Elle répondit de la meilleure des manières : elle l’embrassa à nouveau, mais plus passionnément. Dans la confusion de ce baiser torride, elle trouva difficilement la fermeture éclair du sweat-shirt, l’ouvrit d’un coup sec et lui enleva le vêtement sans décoller ses lèvres. Elle jeta le vêtement au sol, et Arthur sur le lit. Elle se positionna telle une amazone. Et c’est reparti pour les baisers. Arthur qui jusque-là se laissa faire, osa poser ses mains sur le séant superbement sculpté de la jeune femme.À une seule main, Sarah parvint à déboucler la ceinture d’Arthur, ouvrir son pantalon suffisamment pour qu’elle puisse saisir son vit.
— Pas le temps pour les préliminaires. Je te veux... tout de suite... Dit-elle, d’une voix calme, et érotisante.
Arthur acquiesça d’un simple sourire. Sarah déboutonna les deux morceaux de dentelles qui jusque-là cachaient l’objet du désir. Elle se place au-dessus de la verge vive et se laissa lentement, très lentement tomber afin de faciliter l’entrée. Elle entame des mouvements de hanches. Une cavalière au grand galop sur ton étalon pas si sauvage...
Au bout de 10 minutes, lassé de ne pas avoir le contrôle de la situation, Arthur, dans un mouvement agile et souple, se retrouva maître. Il porta Sarah et la posa délicatement sur le bureau avant d’entreprendre une pénétration assez rythmée. D’une main habile, il caresse délicatement le clitoris... Les minutes s’écoulent, et la chaleur monte. Sarah ne parvient pas à retenir son orgasme. C’est pendant ces spasmes incessants qu’elle ouvrit grand les yeux pour regarder son photographe, lui par contre, n’osait pas regarder...
Sarah se remit de ses émotions et embrassa Arthur. Elle se retourna et se pencha en avant. Il la saisit par les hanches. C’est parti pour une dernière chevauchée. Dans un râle similaire à celui d’un homo sapiens, il y a trois cent mille ans.
Sarah l’embrassa une fois de plus...Étourdis, désorientés, ils s’allongent tous les deux sur le lit. Deux corps nus, transpirants, à la respiration saccadée, seul orchestre durant ce long silence qui dura des secondes, des minutes...Un rire commun vint briser ce silence et camoufla les bruits de respiration. Aucun des deux ne savait s’il faillait parler.
Sarah se leva et sortit de la chambre sans rien dire. Quelques minutes après, elle revient et dit ses premiers mots :
— Tu viens prendre une douche ?— J’arrive !
Pendant la douche, il y eut des caresses, des baisers, et c’est tout. Ils allèrent donc se coucher, chacun de leur côté. Alors qu’elle dormait, exténuée par tout cela, rêvant de Dieu sait quoi, son sommeil fut interrompu par des bruits de pas venant du couloir. Arthur était venu pour la rejoindre. D’une voix basse, elle lui dit :
— Tu ne dors pas ?— Je ne trouve pas le sommeil, je voulais absolument venir dormir avec toi.
Le lendemain matin, Sarah ouvrit ses yeux, se redressa, et face à elle se tenaient un ciel bleu et un soleil éclatant.10H48Elle remarqua l’absence d’Arthur à ses côtés. Elle en déduit donc qu’elle avait dû rêver. Et quel rêve c’était ! Elle se leva, sortit de sa chambre et constata que la chambre d’amis était ouverte, le lit était fait. Il n’y avait personne à l’étage. Elle descendit dans la cuisine, se prépara un chocolat chaud, et réalisa qu’il n’y avait définitivement personne. Sa voiture était la seule garée dehors. Tout était flou pour elle. Toute la journée d’hier semblait si réelle pourtant, elle ne pouvait pas l’avoir rêvé. Elle décida donc d’aller prendre une douche, puis elle retourna se coucher, pensant qu’elle avait encore besoin de dormir.
Lorsque ses paupières allaient se fermer complètement, elle entendit une voiture, une portière claquer et la porte de l’entrée s’ouvrir. Elle se précipita en bas et vit Arthur avec un sachet de viennoiseries.
— Je n’allais tout de même pas laisser une demoiselle sans petit-déjeuner !?— Donc ce n’était pas un rêve...— Un rêve ? Ça y ressemble, mais ce n’en est pas un ! dit-il en souriant.
Alors qu’il alla se préparer un café, Sarah lui sauta dessus pour lui mordiller l’oreille.
— Mais t’es tarée ma pauvre !— Quoi ? J’ai le droit non ?— Oh non ! Mais moi oui !
Il la plaque contre le poteau de bois de la cuisine. Embrassa chaque parcelle de son cou, redescendant lentement vers la poitrine. Il lui défait la ceinture de sa robe de chambre, laissant s’échapper sa magnifique poitrine et dévoilant sa culotte en dentelle noire qu’elle ne portait pas cette nuit.
Les lèvres du jeune homme descendirent encore et encore. Il attrapa à pleine dent la dentelle et abaissa doucement le tissu jusqu’aux genoux. Puis il remonte, centimètre par centimètre, sans que ses lèvres ne quittent le corps de Sarah.
Puis il s’arrête. Embrassa son sexe épilé et d’un coup de langue, il provoqua une sorte de décharge dans tout le corps de la jeune femme. Il s’arrêta d’un coup, se redresse, et saisit Sarah pour la poser sur le comptoir et il reprit de plus belle. Chaque coup de langue était un court instant de plaisir pur, qui semblait devenir puissant à chaque instant. Il jouait de sa langue, de ses doigts habiles, et il ressentait l’excitation du bout des doigts. Sarah mouillait de plus en plus, gémissait crescendo, jusqu’à l’orgasme.
Il se redressa, fit couler son café. Et regarda Sarah se remettre de ses émotions.
— J’étais pas prête à ça... Ouah... Tu es plein de surprise !— C’est un de mes talents.— Moi aussi j’ai un talent... dit-elle en souriant.— Ah ouais ? Et c’est quoi ?— Je vais te montrer !
Elle s’approcha de lui, l’embrassa tout en débouclant sa ceinture en cuir, déboutonnant son pantalon. Elle s’agenouille et baisse le pantalon ainsi que le caleçon d’Arthur. Laissant apparaître sa verge durcissant à vue d’œil. D’un coup de langue, elle remonta de la base jusqu’au gland. Elle engloutit soudainement la bite d’Arthur. Faisant des allers-retours de plus en plus rapides. S’arrêtant de temps à autre pour jouer avec sa langue. Tandis qu’elle suçait ardemment, elle sentit qu’il n’était pas très loin de jouir. Ce à quoi elle décida de mettre sa bite plus profondément, ce qui provoqua l’inévitable. Une giclée intense se déversa dans la bouche de Sarah. Elle s’empressa d’avaler avant de se lever, prendre une gorgée de chocolat chaud et d’embrasser à nouveau Arthur qui semblait perdu.
— J’étais pas prêt à ça...— Je sais !
Elle sourit et s’en alla vers l’escalier, laissant par terre sa robe de chambre rouge et sa culotte en dentelle noire. Arthur se rhabilla, finit son café, et une pensée jaillit dans son esprit.
— Je dois être en train de rêver...
Arthur réunit ses affaires et les chargea dans sa voiture. En partant, il serra Sarah dans ses bras et l’embrassa sur le front. Ils se disent au revoir. Sarah regardait partir Arthur le long du chemin en lui faisant des signes de la main.
— Au revoir... Je t’aime...
Pensait-elle.
— Pourquoi je ne lui ai pas dit avant qu’il parte ?
Sur la route, Arthur semblait tout juste réaliser ce qu’il venait de se passer. Il revit chaque instant dans les moindres détails. Il imaginait même un texte racontant cette aventure. Ce qui le déconcentra de la route le temps d’un instant. Plus tard, il ouvrit les yeux, dans son lit. Il est 8h47.
— Ce n’était qu’un rêve... alors.
Il prit son petit-déjeuner, tout en regardant la télé. Il allume son ordinateur, branche la carte SD de son appareil photo et commence à faire le tri.
— Quels beaux yeux elle a... Quel beau rêve c’était !
Quelqu’un frappe à la porte de son appartement. Il n’attendait personne, il alla ouvrir. Avant même de voir qui était présent, une jeune femme lui sauta dessus en l’embrassant. Il reconnut bien sûr les lèvres de Sarah.
— Donc ce n’était pas un rêve...— Eh non, gros bêta...
Elle ferma la porte de l’appartement et lui dit un simple :
— Je t’aime...
Le temps s’arrêta pour lui. Jamais une femme ne lui avait dit cela.
— Je... Je t’aime, Sarah.— J’ai juste une petite question... pourquoi t’es en Kigurumi Licorne ?— Je ne m’attendais pas à ce qu’une femme magnifique vienne aujourd’hui vois-tu ?— Crétin !— Un crétin que tu aimes, apparemment !— C’est vrai !
Comment cela va se finir ?Ça ne se finira pas, parce que ça n’a pas commencé.Ou peut-être bien que oui. Finalement, était-ce un rêve ? Allez savoir !
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