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Le réveil des sens

Chapitre 9

Avec plusieurs femmes
Je me maudis. J’aurai dû vérifier que la porte soit verrouillée mais maintenant que l’infirmière était là, il fallait gérer la situation. D’abord, elle nous avait passé en revue avec un regard effaré, il faut dire que de voir une jeune fille sur le lit, le bas du corps dénudé, un homme le sexe hors du pantalon, la prof, penchée en avant, jupe relevée jusqu’aux reins, sans culotte et moi en train de me masturber, ce n’est pas un tableau que l’on voit tous les jours puis avait ouvert la bouche pour crier son indignation mais aucun son ne sortit. Je consentis à retirer la main de ma culotte malgré ma terrible envie de jouir et d’une voix assurée j’interpelais la nouvelle arrivante. Elle avait un physique agréable, un corps plutôt grassouillet, boudiné dans sa blouse blanche qui aurait supporté deux tailles de plus.— Mais entrez donc et refermez la porte derrière vous lui dis-je. Vous voyez bien qu’avec nos tenues vestimentaires nous risquons d’avoir froid.    Le ton que j’avais employé fit son effet et l’infirmière obéit à mon adjonction. — Vous voyez ajoutai-je, nous sommes ici entre amis afin de mieux nous connaître, et avec le spectacle que nous vous offrons, vous serez convaincue que c’est pour faire connaissance plus intimement, de façon plus approfondie et si nous sommes ici, dans l’infirmerie, c’est à l’instigation e notre chère prof de français que vous n’avez peut-être pas reconnue étant donné sa position.— Mais vous... Mais vous êtes...Vous êtes... Bafouilla l’infirmière.— A moitié nus, oui et si vous étiez arrivée cinq minutes plus tôt, vous auriez surprise en plein délire. Etant donné votre âge ... Au fait, quel âge avez-vous ? Quel est votre prénom ?    Surprise par ma question indiscrète, elle y répondit spontanément. — Je me prénomme Martine et j’ai 48 ans.— Et bien ma chère Martine, je suppose qu’à votre âge vous n’êtes plus une ingénue, alors vous comprendrez que nous avons parfois des désirs à satisfaire même si cela peut paraître hors du commun pour des personnes ordinaires.    Je sentais l’infirmière troublée autant par mes propos que par notre tenue. J’avais pris l’avantage aussi, pour le conserver, je lui dis encore :— Voyez-vous Martine, cet homme, avec la queue un peu molle, c’est mon mari et si sa bite n’est pas bandée c’est qu’il vient de décharger dans le cul de cette salope de prof de français que vous avez du souvent croiser sans vous douter qu’elle était aussi vicieuse et là, sur la table ma fille Chloé que vous connaissez également. Je me doute que dans votre esprit pas mal de choses se bousculent. Vous vous dites : « que des adultes aime le sexe, je comprends mais en famille, c’est de l’inceste ». Mais malgré ce tabou, tout cela vous trouble et vous excite en même temps. N’ai-je pas raison ?— Nnnnon...Si... Peut-être un peu bafouilla Martine.— Etes-vous mariée ?— Non.— Jamais mariée ?— Non, je n’aime pas les hommes.— Donc vous aimez les femmes ?— Je ne sais pas.— N’avez-vous jamais essayé ?— Non, mais j’y pense souvent.— Que faites-vous quand vous y penser ?— Et bien je me...je me...— Branle, lui suggérais-je.— Ouuuiii répondit Martine dans un souffle.— Alors dites-le, assumez vos actes. Alors vous vous...
— Je me branle ! Fit-elle par dire d’une voix plus ferme.— Et bien voilà, vous voyez que ce n’est pas si compliqué que de dire « je me branle » en ajoutant : « et j’aime ça ».    L’infirmière prit une bonne inspiration et cria :— Oui je me branle et j’aime ça.— Mes chers amis, voilà une femme qui se masturbe en pensant aux femmes, nous sommes trois et je pense que Martine serait heureuse de ne plus penser mais de voir en vrai des femmes qui se donnent en spectacle. Etes-vous d’accord ?La prof et ma fille acquiescèrent à ma suggestion.— Que devons-nous faire demanda Chloé.— Dans un premier temps nous allons exposer nos chattes à la vue de Martine.    Sitôt dit, sitôt fait et toutes les trois, côte-à-côte, jupes relevées, jambes ouvertes, nous montrons notre minou.Dans un premier temps, l’infirmière tourna la tête mais, lentement, son regard reprit la direction de nos chatounes.— Qu’en penses-tu lui demandai-je en la tutoyant pour la première fois.— C’est merveilleux répondit-elle, jamais je n’aurais pensé qu’un jour je ferais en réel tout ce que j’avais déjà imaginé.— A part voir des chattes ajoutai-je, à quoi pensais-tu encore.    La voix de Martine avait pris de l’assurance.— Je pensais qu’elles se caressaient devant moi.— Allons mes sours, offrons-lui ce plaisir .Je commence la première, n’oubliez pas que je n’ai pas encore joui moi.    Sans attendre j’introduisais plusieurs doigts dans ma chatte et, d’avoir tant attendu ce moment, presque aussitôt, je me mis à jouir mais mon désir de jouissance n’avait pas disparu, au contraire, il devint plus impérieux, je continuais donc mes caresses mais cette fois-ci plus sereinement, regardant la prof et ma fille, elles aussi à la recherche du plaisir. Seuls les clapotis de nos mouilles troublaient le silence quasi religieux, qui s’était installé. Ce silence fut tout à coup rompu par Chloé.— Maman, regardes Martine.    Martine avait, elle aussi relevé sa jupe et écarté sa culotte sur le côté. Entre ses cuisses un peu forte, ses doigts avaient ouvert sa chatte toute luisante et l’autre main vint exécuter des va-et-vient entre ses petites lèvres gonflées par l’excitation.— Vous voyez dis-je, Elle aussi a une chatte de branleuse comme notre prof, mis à part, peut-être, la longueur de son clito bien qu’il soit d’une longueur respectable.     A ces mots Martine fit saillir son bouton un peu plus.— Il n’est pas aussi gros que le sien j’en conviens mais il me donne de fantastiques jouissances ajouta-t-elle en le titillant d’un doigt agile. Je vais bientôt venir. Ah ! Quel cadeau me faites-vous là.    Contre toute attente ce fut Chloé qui jouit la première suivie de l’infirmière qui poussait des petits cris en se plantant trois doigts dans son vagin.     Mon mari, heureux d’un tel spectacle, nous regardait en se caressant. Sa queue n’avait pas encore retrouvé toute sa vigueur aussi, je demandai à ma fille de s’occuper de lui.     A la voir à genoux devant son père, lui prenant la bite dans la bouche, je me mis à jouir moi aussi. Seule la prof s’acharnait encore à la recherche de son plaisir qui tardait à venir.— Martine, s’il te plait, ne pourrais-tu pas aider notre chère prof à jouir.— Ce n’est pas difficile, lui dis-je, dans tes pensées tu as bien dû déjà sucer une chatte ?— Oui mais...— Pas de mais, vas-y !    Martine s’approcha de la prof qui, ayant entendu ma demande, s’était déjà assise sur le lit, les fesses sur le bord, et tenant ses petites lèvres ouvertes, faisant pointer son gros clito elle inséra sa tête entre les cuisses maigres et la lécha avec fougue. La prof se mit à jouir en crachant des insanités. Mon mari avait, quant à lui, sorti sa bite de la bouche de sa fille et de branlait fermement jusqu’à ce que son sperme arrose le visage de Chloé.J’étais contente de moi. Non seulement j’avais asservi la prof mais j’avais recruté une nouvelle adepte des plaisirs de la chair. Je pensais déjà à l’étape suivante quand Claudine et sa fille Anne se joindraient parmi nous.
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