Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 97 J'aime
  • 1 Commentaire

réveil interdit

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Il est 23h quand un bruit me réveille. Je n’avais pas prévu de dormir ici, mais une bonne dispute avec Cloé m’a forcé à retrouver mon lit d’adolescent. Allongé sur mon lit, en boxer, je n’arrive plus à trouver le sommeil.

Je décide de sortir discrètement de ma chambre pour aller boire quelque chose de frais, il fait tellement chaud ce soir. La chambre en face de la mienne est ouverte, mais vide, je sais que le patriarche n’est pas là du week-end, il est parti à l’autre bout de la France pour un tournoi de judo. La chambre de Max est fermée.

Je descends les escaliers sur la pointe des pieds, bizarrement, une forte adrénaline me remplit le ventre, à la fois excité et stressé. Le salon est plongé dans une semi-pénombre et quelques bougies apportent un éclairage indirect.

Le décor est très érotique, j’aperçois une coupe de champagne posée sur la petite table, et entends également une petite musique de fond. Juste avant d’apercevoir ce que jamais je n’aurais imaginé auparavant. Elle est là, dansant dans le salon, vêtue d’une petite nuisette rose fuchsia à bretelles avec dentelle noire et petite culotte assortie, ses jambes gainées des bas noirs à couture et des escarpins noirs. Je ne peux m’empêcher de penser que pour une femme de 50 ans, elle est encore bien conservée, poitrine généreuse, un peu tombante, je dirai 95D ou plus, ses tétons, visibles par transparence, sont larges et bien foncés, son sexe légèrement bombé avec des lèvres gourmandes, bien visibles, on peut presque distinguer la bosse que forme son clitoris à travers le fin tissus transparent. Il faut avouer, elle est encore très baisable...

Elle termine sa coupe et traverse le salon d’une démarche chaloupée en direction de la petite table, où est placé un gode à ventouse. Reproduction très réaliste d’une verge humaine de très belle taille. Elle l’enduit d’un gel et commence lentement à le sucer du bas vers le haut en insistant bien sur la tige et le gland. Je n’en reviens pas, de la voir ainsi me procure une érection spectaculaire. Elle est dos à moi, à genoux au sol, les fesses tendues dans ma direction, en train de sucer ce gode réaliste. Je décide de continuer à avancer très discrètement, pour pouvoir changer d’angle de vue. Caché dans la cuisine plongée dans la pénombre, je deviens invisible, avec une vue imprenable sur son visage qui se déforme, lorsqu’elle engloutit ce sexe. Elle appuie ensuite sur la petite ventouse et un liquide blanchâtre jaillit dans sa bouche, elle l’avale goulûment. Je ne peux m’empêcher de sortir ma verge tendue, de mon boxer, pour entamer une lente masturbation. Ma main droite saisit ma hampe et coulisse lentement, tout en serrant la base pour faire gonfler mon gland, déjà tendu et lisse de plaisir.

Elle se relève, ôte rapidement sa petite culotte et introduit deux doigts dans son vagin, elle les remue doucement et continue à gémir, je sens l’excitation qui la traverse. Elle baisse les bretelles de sa nuisette et dégage ses seins, ces derniers sortent de manière insolente, bombés vers l’avant. Elle passe ses mains dessus et les malaxe avec érotisme et joue avec ses tétons, ils deviennent rapidement durs, elle introduit son majeur dans son sexe trempé puis le lèche avec gourmandise. Elle décide de continuer avec son gode, j’arrive subtilement à ramasser sa petite culotte qu’elle a envoyée à l’autre bout du salon, elle est trempée et chaude, son liquide de plaisir recouvre le fond du tissu, je joue avec, la porte à mon nez, et je la renifle, j’adore cette odeur. A la fois douce et épicée, légèrement amère, je ne peux m’empêcher de goûter ce nectar, je suis sur le point d’exploser, mais le spectacle n’est pas fini, je veux assister à toute la scène.

Elle reboit une petite coupe. Je la regarde à la lueur des bougies, pommettes rouges, son mascara a légèrement coulé, et ses seins gonflés giclent toujours de sa nuisette.
Le gode est bien fixe à la table, elle repasse un doigt dans son vagin et le suce. La voilà qui s’agenouille sur la table et se place au-dessus du gode de belle taille, je dirais vingt centimètres comme mon sexe environ, peut-être plus fin que le mien. Elle vient de s’enfiler lentement la totalité du pénis en plastique, je l’entends gémir. Puis remonte doucement, avec sa chatte humide, elle frotte lentement le gland par petites touches, elle descend un peu et le gode la pénètre plus profondément. Elle monte et descend en rythme et s’enfonce le gode encore plus profondément, sa mouille coule sur la table. Elle gémit de plus en plus, se croyant seule. Je prends également mon pied, ma verge, dure et gonflée dans ma main est prête à décharger. Un moment d’arrêt, mon cœur va exploser, m’a-t-elle entendu ? Non, elle reprend juste son souffle, j’espère.

Elle reprend de plus belle le va-et-vient sur le gode et se doigte, se suce l’index et continue à se malaxer les seins, elle passe sa langue sur ses lèvres d’un air gourmand. Maintenant, elle pousse des cris et appuie sur la petite pompe, elle est en train de s’envoyer du pseudo sperme dans le vagin, oh le pied, j’ai failli décharger moi aussi. Toujours en bas et talons, nuisette relevée sur le ventre et ses seins insolents débordants, elle semble inanimée, comme si elle avait fait un malaise. Elle glisse de la table, et se retrouve allongée sur le dos, sur le tapis du salon, le sexe largement ouvert et du liquide blanchâtre lui dégouline de la fente. Les yeux fermés, elle est inerte. J’en profite pour m’approcher un peu, mon sexe toujours gonflé et dur dans ma main, sa culotte contre mon nez, j’accélère ma masturbation, ce spectacle m’excite au plus haut point, le risque de me faire surprendre rajoute de l’adrénaline. Son tissus contre mon gland, je termine ma masturbation jusqu’à l’éjaculation, un premier jet épais est propulsé contre sa culotte et fini sur le tapis, les autres remplissent le tissus et ma main, l’excitation est telle, que je ne peux m’empêcher de gémir, la quantité de sperme est impressionnante, et beaucoup de jets se répandent dans le salon, heureusement qu’aucuns ne touchent Sylvie, je me verrais mal expliquer à ma belle mère ce qu’il se passe.Je dépose discrètement sa culotte poisseuse sur le gode, et remonte dans ma chambre, pour essayer de dormir. Ce qui est particulièrement difficile avec toutes ces images en tête. Comment va-t-elle réagir si elle découvre que c’est du vrai sperme sur sa culotte ? A-t-elle fait semblant de s’évanouir et m’a t’elle vu ? Toutes ces questions vont devoir rester sans réponses au moins jusqu’au lendemain matin. Dimanche matin 9h, je suis réveillé par les voix des voisins et de leurs gosses trop bruyant. Je me lève du lit, avec une belle érection, c’est ainsi que je remarque que mon boxer est taché, certainement des résidus de mon éjaculation de la veille. Je le retire et passe juste un short avant de descendre. Sylvie est déjà en train de s’afférer au ménage, justement dans le salon, elle frotte le tapis, Max déjeune dans la cuisine."Hello, bien dormi?" lancé-je, en traversant la pièce.Max répond qu’il a passé une bonne nuit, et Sylvie sans rien répondre s’empress de venir m’embrasser sur la joue pour me souhaiter bonjour. Habituellement pas très tactile, elle en profite pour faire glisser sa main de mon épaule à mon coude pendant cette bise."Installe toi, ton café est encore chaud".Max se lève et débarrasse sa table, il est juste en boxer, et son érection matinale n’a pas l’air d’être redescendue, car son tissus est bien étiré.Nous le remarquons avec Sylvie, et on se regarde en rigolant, avant qu’elle ne lui fasse la réflexion,"Mon chéri, on est pas très pudique dans la famille, mais quand même, cache-moi cette bosse, un peu de respect pour ta vieille mère, tu vas finir par me choquer", dit elle en éclatant de rire. Puis s’interrompt instantanément, fixe Max, puis moi, et se plonge dans ses pensées....Que peut-elle bien imaginer?
Diffuse en direct !
Regarder son live