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Un réveil paternel

Chapitre 3

Inceste
Maman travaille de nuit.
« Au revoir maman, bonne nuit ! » Comme chaque soir en ce moment, Chloé saluait ainsi sa mère qui partait prendre son service nocturne à l’hôpital. Pendant ces périodes de service de nuit, ils se retrouvaient donc seuls, elle et son père Jacques, depuis que son frère aîné était parti habiter en province pour y suivre ses études. Depuis cette nuit de folie, pour l’anniversaire de son oncle, ces soirées avaient un tout autre goût que d’ordinaire. Le vague fantasme qu’elle entretenait depuis quelques temps sur son père s’était mué en désir beaucoup plus ardent, avec des idées bien plus précises depuis son expérience intensément érotique avec son oncle Fred et sa cousine Mélanie. De ce fait, elle rongeait son frein à chacune de ces occasions où, seule avec l’objet de ces pensées, elle cherchait le moyen d’en profiter.
Elle regarda sa mère partir en voiture dans la rue, puis rentra et alla s’installer dans un fauteuil dans le salon, où son père occupait déjà le canapé, regardant un journal télévisé. Elle l’observa l’air de rien, laissant glisser son regard vers son entrejambes subrepticement…
Elle se remémorait sa conversation avec son oncle, une dizaine de jours plus tôt… Tonton Fred venait d’envoyer sa fille au septième ciel sous ses yeux, au terme d’un incroyable cunnilingus pendant qu’assise près d’eux sur le lit elle les regardait faire, en se caressant. Après l’orgasme de Mélanie, Fred était venu près d’elle, et sa fille n’avait tardé à les rejoindre, toutes deux blotties contre ce grand corps d’homme puissant et viril qui leur avait donné tant de plaisir. « Quelle chance tu as Mélanie » avait dit Chloé, « j’adorerais que mon père s’occupe de moi ainsi. Tu penses que ce serait possible, tonton ? ». Fred ne s’était pas mouillé : « Oh, tu sais, c’est difficile à dire. Moi-même si on m’avait évoqué cette possibilité il y a peu de temps j’aurais juré que c’était absolument impensable ! » Chloé avait continué : « je me demande s’il a un sexe aussi gros que le tien ? Je suis sûr qu’il doit être bien monté, quand même ! Non ? ». Fred avait continué de botter en touche, du mieux qu’il pouvait : « Je ne te dirai rien à ce propos, Chloé, ce sera à toi de le découvrir par toi-même… ou pas ! Tout ce que je peux te dire… » « Oui, quoi ? » Fi-t-elle comme Fred s’interrompit, énigmatique. « Tout ce que je peux te dire, c’est que Jacques, quand il est sexuellement très excité, a une nette tendance à perdre toutes ses inhibitions. »
Son père se leva du canapé, ce qui sorti Chloé de ses pensées. Il dit qu’il voulait faire le travail que Chloé lui avait demandé avant la fin de la soirée. Chloé, à qui on avait acheté une imprimante pour ses cours, lui avait demandé d’installer une plus grande multiprise sous son bureau dans sa chambre pour pouvoir la brancher, si possible de manière à ce que le moins de fils possibles trainent au sol. Fred avait répondu qu’il pouvait lui installer sous le bureau une multiprise à fixer avec des vis, mais qu’il lui fallait adapter une rallonge dessus, car ces multiprises étaient vendues sans fil. C’était ce petit travail que voulait faire Fred, et le matériel nécessaire se trouvait au premier dans « le grand placard» : c’est ainsi qu’on nommait une petite pièce attenante à la salle de bain. Chloé lui dit que c’était une bonne idée, et se leva elle aussi, suivant son père au premier, pour se rendre dans sa chambre. Peu de temps après, Chloé sorti de sa chambre, et alla dans la salle de bain pour se préparer pour la nuit.
Au premier étage, il y avait trois chambres, une petite salle de bain donnant dans la chambre des parents, et une grande salle de bain ouvrant dans le couloir, équipée d’une baignoire et d’une douche plutôt étroite, encastrée dans un coin de mur. Il y avait en outre dans le couloir ce fameux « grand placard », qui jouxtait par une cloison le fond de la petite douche de la salle de bain. Depuis le départ de son frère, il y avait moins besoin de rangements dans la maison, et donc, la famille avait décidé d’agrandir la douche a détriment du placard. Les travaux étaient en cours, la cloison de séparation avait été abattue, et dans l’attente, une bâche avait été tendue à la place de la porte de la douche, démontée, pour séparer la salle de bain du placard.
Chloé entendit son père farfouiller dans le placard en passant devant pour entrer dans la salle de bain. Elle ferma la porte derrière elle, et ôta ses vêtements, se retrouvant en petite culotte et soutien- gorge, pour se débarbouiller devant l’évier placé sur le mur faisant face à celui de la douche, légèrement décalé. Elle se démaquilla, puis prit un rasoir pour le passer sous ses aisselles. C’est alors qu’un mouvement dans le miroir au-dessus de l’évier, à la limite de son champ de vision, attira son regard. Chloé n’y prêta d’abord pas plus attention que ça, continuant à se passer un gant sur la figure, mais soudain elle s’arrêta net et scruta rapidement là où elle avait de nouveau senti plutôt que vu quelque chose bouger : le long du bord vertical de la bâche qui recouvrait sur quelques centimètres le coin du mur ou s’ouvrait la douche, à mi-hauteur, un pli s’était formé, de telle sorte que sur une dizaine de centimètres la bâche n’était plus plaquée sur le mur, formant à cet endroit un trou sombre, donnant dans le placard derrière. Chloé était certaine que ce pli n’était pas là avant, et elle se dit que ce devait être son père qui, en s’appuyant sur la bâche, en était à l’origine. Mais elle ne voyait pas du tout pourquoi son père serait venu dans le placard jusque cette bâche, puisque toutes les étagères étaient de l’autre côté du placard… Une idée soudaine lui traversa l’esprit : et si son père avait fait ce pli exprès pour regarder dans la salle de bain depuis le placard ? Pour la regarde elle, sa fille, faisant sa toilette ? Elle n’osait y croire ! Voulant en avoir le cœur net, elle continua à se nettoyer le visage, les bras, comme si de rien n’était, en observant du coin de l’œil dans le miroir le pli de la bâche. Et elle fut rapidement fixée !

Avec une vive surprise, elle vit un mouvement se faire dans l’obscurité de l’orifice du pli, et elle dut se rendre à l’évidence : la forme qu’elle distinguait dans le trou était, sans confusion possible, une partie du visage de son père, qui la regardait depuis le placard ! « Alors là, mon petit papa tu ne manques pas d’air ! » se dit-elle intérieurement, extrêmement ravie de ce rebondissement totalement inattendu dans sa quête infructueuse de rapports avec son paternel. Elle n’eut qu’une seule peur : que son père cesse de la mater pour retourner à son bricolage. Peut-être voulait-il juste bénéficier d’un petit regard, sans plus ? A nouveau, les indications de tonton Fred lui revinrent à la mémoire. La meilleure chance qu’elle avait de l’attirer dans ses filets était de réussir à l’exciter… Soit, elle allait s’y atteler et sans délai.
Chloé commença par se pencher au-dessus de l’évier, pour rapprocher son visage très près du miroir, comme si elle était à la recherche du plus petit point noir sur son front ou ses joues. Se faisant, elle cambrait nettement son joli cul, tout en écartant légèrement les jambes pour que vu de derrière l’effet soit le plus érotique possible… Elle imprima à son bassin quelques légers mouvements de balancier de droite à gauche pour renforcer encore le tableau… Après une longue minute, tout en notant que son père regardait toujours, elle se redressa, et dégrafa puis ôta son soutien-gorge, offrant à la vue son dos nu et ses seins bien fermes via le miroir. Elle se les massa légèrement, comme pour les soulager d’être restés coincés dans le tissu trop longtemps, ce qui lui permit de donner une idée précise de leur consistance, de leur douceur. S’exhiber de la sorte, alors que son père la pensait inconsciente de sa présence, l’excitait terriblement. Elle se tourna de profil par rapport à cet œil indiscret, et fit glisser sa culotte le long de ses jambes, resta un moment faisant semblant d’observer minutieusement ses ongles, puis se tourna à nouveau vers le miroir, offrant ses fesses nues à la vue de son père. Gardant un œil sur le trou de la bâche elle vit l’œil de son père disparaître, et pris peur d’avoir été trop loin. Mais au bout d’à peine une minute, le visage réapparut dans l’obscurité du placard, et elle fut soulagée. Elle se dit qu’il avait peut-être voulu stopper de faire son voyeur, mais que la tentation l’avait emporté… Si c’était le cas c’était bon signe !
Chloé décida de passer la seconde : elle ouvrit un tiroir sous l’évier et en sortit des ciseaux à ongles. Elle s’empara du porte-serviette qui se trouvait un peu plus loin, le plaça devant elle, et leva sa jambe gauche pour poser le pied sur le porte-serviette, afin de se couper les ongles… Vu de la douche, l’évier était décalé sur la gauche, ce qui faisait que la partie la plus intime de son anatomie restait cachée à son père, mais pour un temps seulement. Chloé termina son pied gauche, et le reposa alors à terre, marqua une courte pause, avant de lever sa jambe droite de la même manière, et se pencha au-dessus de son pied. Cette fois, ce geste eu pour conséquence de dévoiler à son père tout l’intérieur de ses cuisses : sa chatte blonde aux belles lèvres claires, son trou du cul de même couleur… Elle crut entendre un soupir venant de la douche, mais ne put en être sûre. Chloé se délectait de la situation. Tout en faisant mine de se concentrer sur ses ongles avec minutie, elle se déhanchait et faisait tout ce qu’elle pouvait pour offrir aux yeux de son père la meilleure vue possible, tout en glissant de temps à autres un regard rapide vers la bâche derrière laquelle elle l’imaginait, tout excité, la langue passant sur ses lèvres sèches, sans doute affublé d’une terrible érection… Ayant terminé sa pédicure, elle s’enhardit, posa les ciseaux et se laissa aller à sa caresser la cuisse de sa main gauche, de plus en plus loin, jusqu’à ce que sa main vienne parcourir sa chatte, et même caresser son anus. Cette fois elle en était certaine, c’était bien une profonde expiration qu’elle entendit venir de la douche… « Ah, mon petit père, on ne s’attendait pas à ça, hein ? » se dit-elle. « Tu dois trouver ta fille bien coquine. Et moi je te découvre bien pervers ! » Elle amena ses doigt sur son clito et se le frotta légèrement. Elle simula un gémissement, sans avoir besoin de forcer beaucoup, pour accroître encore l’excitation de son voyeur de père. Elle se dit qu’il devait être dans un bel état. Elle arrêta alors subitement, reposa ses pieds par terre, rangea le porte-serviette et enfila son peignoir de bain blanc qu’elle prit sur une patère près de l’évier. Elle entendit du bruit dans le placard : son père, supposant qu’elle allait sortir de la salle de bain, s’était vite écarté de la bâche. Le bruit étouffé de la porte du placard qui se referme parvint aux oreilles de Chloé, et elle entendit aussi le parquet du couloir craqué légèrement sous les pas du fuyard. Chloé pris son temps pour sortir de la salle de bain ; elle ne voulait pas risquer de brusquer les choses en surprenant son père en trop mauvaise posture, elle préférait tirer avantage de la situation lentement mais surement. « Allez ma grande tu as tout ce qu’il te faut pour l’achever, maintenant, à toi de jouer ! » pensa-t-elle en sortant de la salle de bain et en se dirigeant vers sa chambre comme si de rien n’était.
Elle trouve Jacques dans sa chambre, installé à son bureau, occupé à éteindre tous les périphériques pour changer les branchements sur la prise-multiple. Rien ne laissait paraître ce qui s’était passé dans la demi-heure précédente, et Chloé se dit qu’il jouait rudement bien la comédie. Affichant elle aussi une attitude tout à fait habituelle, elle vient s’appuyer les reins contre le bureau pour lui faire face : « Alors papa, ça a été, tout s’est déroulé comme tu le voulais ? » Le regard de son père devint soudain vague, et il émit un « heu… » embarrassé. Elle poursuivit aussitôt en le regardant dans les yeux « Tout s’est bien passé ? Tu as bientôt fini ? Je vais pouvoir me servir de mon ordi ce soir ? » « Oui, oui, pas de problème ! » répondit-il soulagé. « Il n’y a plus qu’à rebrancher tout ça et ce sera bon ». « Super, je te remercie ! » Toujours debout, les fesses appuyées sur le bureau, elle se rapprocha alors de son père, assis sur la chaise. « Et sinon, je crois que me mater dans la salle de bain, ça s’est bien passé aussi, n’est-ce pas ? Tu en as bien profité ? » Son père tenta d’esquiver l’attaque : « Hein ? N’importe quoi ! » s’exclama-t-il d’une manière assez peu convaincante… « Oh, papa, je t’ai vu alors ne nie pas. Tu pourras vérifier par toi-même, depuis l’évier on voit très bien le trou de la bâche, et je te promets qu’on distingue très bien aussi ce qui se trouve juste derrière… » Son interlocuteur tenta un repli en bon ordre : « qu’est-ce que tu vas t’imaginer, j’ai juste vu que la bâche ne tenait plus complètement, et j’ai vérifié si on pouvait voir dans la salle de bain, j’ai juste glissé un œil, c’est tout. Je suis désolé, je ne savais même pas que tu y étais. Dès que je t’es vue, j’ai arrêté. Je réparerai ce trou ce soir même ». Chloé dut reconnaître qu’il avait de l’aplomb, mais elle continua sur sa lancée : « Papa, laisse tomber c’est pas la peine, je t’ai vu, et pas seulement une seconde mais tout du long, je t’ai vu quand j’étais encore en sous-vêtements… » Son père la regarda, puis lâcha prise. « Bon, tu m’as vu. Ok. Ok, je l’ai fait, je t’ai maté pendant ta toilette, comme un vicelard. Je n’en suis pas fier tu sais ? Au début j’ai vraiment juste voulu voir si par ce trou on pouvait voir quelque chose ou pas. Quand je suis tombé sur toi en culotte, j’ai voulu arrêter tout de suite, mais… Chloé, tu as beau être ma fille tu es aussi une très jolie jeune fille et… bien sûr je suis sensible à ça… » Il était à la torture de lui avouer tout ça, ça se voyait nettement, mais il était décidé à aller jusqu’au bout : « quand tu as retiré ta culotte, j’ai failli réussir à m’arrêter de regarder. Mais je n’avais fait deux mètres que je revenais pour jeter un dernier coup d’œil sur tes fesses, et alors tu as commencé à te couper les ongles en levant la jambe de telle sorte que… je vois tout… Chloé, c’était très érotique, j’étais coincé, plus possible de par… » Il s’interrompit soudain, puis repris : « mais tu dis que tu savais que j’étais là dès le début ? Mais alors… ça veut dire que tu as fait tout ça exprès ? » Il semblait autant surpris que scandalisé, mais ce rebondissement lui permis de se déculpabiliser en partie : « Chloé, tu trouves ça bien, de se montrer ainsi devant son père ? ». Sa fille répondit sans délai : « Que veux-tu que je te dise ? Tu me dis que tu ne pouvais pas t’empêcher de me regarder ? Et bien moi, je ne pouvais pas m’empêcher de m’exhiber. De te savoir là, d’imaginer ta réaction, ça m’a excité et je ne pouvais plus m’arrêter, voilà.» «Quelle réaction crois-tu que j’avais ? » lui demanda-t-il. « Je t’imaginais me reluquant, respirant fort, te passant les langue sur les lèvres… en érection. » Son père soupira en la regardant : « ça tu peux le dire, je bandais comme un âne ! » Chloé, lui rendant son regard, demanda timidement : « tu t’es branlé ? » « Non, je ne voulais pas risquer d’être en trop mauvaise posture si tu m’avais découvert… Je ne savais pas que tu étais au courant. Mais j’avais du mal à me retenir de le faire ! »
Ils restèrent silencieux tous deux, les yeux dans les yeux, pendant un moment. Chloé s’était tant rapprochée que sa jambe effleurait la cuisse de son père. Celui-ci rompit le silence : « Bon, Chloé, écoute, je te propose qu’on en reste là, et qu’on ne parle de tout ça à personne, jamais. » Chloé baissa les yeux et dit doucement d’une voix lente : « moi, je propose qu’on ne parle de tout ça à personne, soit, mais aussi qu’on aille un peu plus loin… » Son père prit une profonde inspiration pour lui répondre, mais elle ne lui en laissa pas le temps, et tout en lançant un « où en étions-nous déjà… », elle défit la ceinture de son peignoir, dont les pans s’ouvrirent, suffisamment largement pour faire apparaître ses seins, son ventre, son pubis et ses cuisses aux yeux de son père, qui cessa tout net de respirer, les yeux figés sur le bas ventre de Chloé, comme subjugué. Chloé fit glisser sa main le long de ses cuisses, amusée de son effet de surprise. « Papa, tu avoueras que ce n’est pas plus mal, vu de près, n’est-ce pas ? » jacques ne dit rien, mais leva les yeux vers elle, et son regard en disait long sur son état d’excitation. Il écarta les jambes, et Chloé put voir la bosse que lui faisait son érection, à l’entrejambe de sn jogging. Chloé passa une jambe par-dessus celles de son père, pour la poser sur l’accoudoir du fauteuil de bureau. S’aidant de ses mains, elle se cala plus confortablement sur le bureau, s’asseyant dessus. De nouveau, le regard de Jacques descendit pour se fixer sur cette chatte offerte à sa vue, à moins de 50 centimètres de lui, cette chatte aux lèvres gonflées de désir, perlée d’une humidité révélatrice de l’état de sa fille. « Mon petit papa, tu sais, je t’autorise à toucher si tu le veux… » Jacques sortit de son mutisme : « Chloé, on ne devrait pas faire ça, on va faire des choses qu’on va regretter tous les deux amèrement pendant longtemps.» Mais à peine ses paroles de sagesses prononcées, il se pencha sur ce sexe interdit, et Chloé sentit la bouche et la langue de son père commencer à s’affairer sur sa chatte, son clito, sa vulve, produisant en elle des sensations décuplées par cette situation d’immoralité notoire. « Ohhhh ouiii… » Son soupir était autant dû à l’effet que la langue de Jacques lui procurait qu’au sentiment de victoire qu’elle ressentait à ce moment. Elle y était arrivée, comme Mélanie, elle allait se taper son père !
Jacques y allait sans retenue, lui bouffant littéralement la chatte avec avidité et gourmandise, et ses mains n’étaient pas en reste, caressant ses seins, puis ses cuisses, avant de venir lui frotter le clito d’une main pendant qu’il introduisait deux doigts de l’autre dans son vagin et qu’il leur fit faire un mouvement de va et vient tour à tour lent et rapide. Il se délectait de son goût à grands cops de langue, et pressant son nez contre sa vulve, s’enivrait de son odeur. Chloé, haletante et gémissante, le dos calé contre le mur, entre l’écran et l’imprimante, un pied sur chaque accoudoir du fauteuil, lui caressait les cheveux. Entre ses soupirs et ses plaintes rauques, elle répétait comme une supplique « papa, oh papa, oui, oui, oh papaaa… ». A ce rythme, elle ne tarda pas à sentir monter en elle les prémisses de l’orgasme. Son père sentit des frissons la parcourir, l’entendit haleter de plus en plus fort, et ses caresses et ses coups de langue redoublèrent… jusqu’à ce que dans un dernier « papa ! » lancé dans un cri, sa fille se mit à jouir copieusement, tremblante, secouée de spasmes de plaisir, enserrant ses cheveux dans ses mains, qui plaquaient sa bouche contre sa chatte mouillant délicieusement. Les vagues de plaisir déferlèrent sur Chloé, puis s’espacèrent de plus en plus en s’amenuisant. Jacques sentit le corps de sa fille se détendre, ses muscles se relâcher un à un. Ses mains abandonnèrent ses cheveux, ses bras retombant le long de son corps, inertes. Elle reprenait son souffle, pendant que Jacques abandonnait lui aussi sa chatte, et lui embrassait l’intérieur des cuisses, en disant doucement : « là, Chloé, là…. C’est génial d’avoir pu te faire jouir comme ça… Tu n’attendais que ça, hein ? ». Chloé ne répondit rien mais acquiesça de la tête en souriant.
Elle se redressa alors, forçant son père à écarter un peu son fauteuil du bureau. « C’est à mon tour de te donner du plaisir, papa » dit-elle en s’agenouillant près de son père. « Je veux te dévorer, je veux déguster ta bite jusqu’à te sentir et t’entendre jouir. Tu es d’accord n’est-ce pas ? » Jacques ne dit rien, se contentant de regarder sa fille dénouer le cordon de son jogging, puis le faire glisser le long de ses jambes, l’ôter et le jeter dans la pièce. Il enleva son tee-shirt, et bascula le fauteuil en position plus confortable, regardant toujours Chloé qui, après le pantalon, retira son boxer, libérant son sexe. Bandé à l’extrême, son pénis se dressa fièrement sous les yeux de sa fille. Celle-ci se dit qu’il devait avoir à peu près la même longueur que celui de Fred – environ 18 centimètres. « C’est de famille ! » pensa-t-elle, amusée. Mais la ressemblance s’arrêtait là. Le sexe de Fred était droit, de même épaisseur tout du long, avec un gland proéminent. Celui de Jacques était recourbé vers le haut à partir du premier tiers de la longueur, et il était très épais à la base, s’amincissait un peu ensuite tout en restant de belle largeur, et se terminait par un gland moins volumineux que celui de Fred. Il était de couleur foncée, avec un pubis brun très fourni, et quelques poils poussant à la base de la verge. L’ensemble semblait magnifiquement bestial aux yeux de Chloé, qui d’emblée décida qu’elle adorait ce sexe. Elle prit un peu de recul, et admira le corps de son père, puissant, bien musclé, poilu juste ce qu’il faut. Elle se glissa entre ses jambes et posa ses mains sur le haut de ses cuisses, et attendit. Son père posa une main sur son épaule : « prends mon sexe dans ta bouche, amuse toi et fait moi plaisir. Regarde : il n’attend que ça. Tu l’as tellement excité depuis toute à l’heure, qu’il est déjà prêt à gicler. » Chloé se pencha sur cette queue magnifique et l’enveloppa de sa bouche grande ouverte. Elle commença à sucer son père en avançant er reculant sa tête, laissant ses mains posées sur le haut des cuisses. Jacques émis des grognements de plaisir, bien calé dans son fauteuil, tout entier offert à sa fille. « C’est ce que tu voulais, hein ? Tu voulais faire l’amour avec moi, n’est-ce pas ? Tu dois être bien contente, là, non ? » La bouche pleine, Chloé ne répondit rien, mais le regarda en haussant les sourcils et en plissant ses yeux en guise d’acquiescement. « Que c’est bon te sentir me sucer. Que c’est bon de te voir engloutir ma queue comme ça… oh, oui. Oui, que c’est bon. » Chloé ressortit son sexe de sa bouche, et fit lentement glisser ses lèvres le long de la tige, jusqu’à la naissance des couilles, où elle s’attarda un peu, les léchant, les suçant. Jacques posa une jambe sur le bureau pour lui faciliter la tâche, et elle s’enhardit à lui embrasser la base des couilles, et comme son père aimait visiblement ça, elle alla plus loin, et commença à lui embrasser le cul, à le lécher consciencieusement ce qui lui fit frotter son visage contre ses testicules. En même temps, elle enserra sa queue dans une main et le branla doucement. Puis, elle remonta sa bouche jusqu’au gland et le fit de nouveau glisser dans sa bouche, pendant que de son autre main, elle lui massait l’anus. Elle entendait son père respirer de plus en plus fort, et ses grognements devenaient de petits gémissements… Elle avait du mal à le croire, mais c’était vrai : elle était sur le point de faire jouir son père, de le sentir gicler dans sa bouche. Elle força un de ses doigts dans son anus en même temps qu’elle se mit à le pomper plus fort, tout en le branlant ; la réaction fut immédiate. « Oh, Chloé, tu vas me faire jouir, oh, Chloé, Chloé ». Elle sentit le corps de son père se tendre, et il lui saisit la tête dans ses deux mains. Elle enfonça sa bite profondément dans sa bouche, et le branla de plus belle. Jacques soudain pris une profonde inspiration, et se mit à jouir en gémissant de plaisir. Elle sentit ses giclées de sperme jaillir dans sa gorge et l’avala aussitôt. Son anus enserrait son doigt fortement à chaque giclée. Sa tête fermement maintenue ne pouvait plus bouger. Puis, son père relâcha son étreinte, son sexe état toujours secoué de spasmes mais ne giclait plus. Chloé ressortit son doigt, et garda sa bite en bouche encore un peu. Elle avait pu tout avaler et reprenait sa respiration par le nez. Elle fit couler les dernières gouttes de sperme en lui massant le sexe lentement depuis la base jusqu’au gland, en serrant bien. Elle léchait ses restes de jouissance avec bonheur. Enfin, elle se releva, fière d’elle-même, regarda son père toujours allongé sur le fauteuil, le regard encore hagard. Elle se laissa tomber sur son lit un peu plus loin, les bras en croix. « Merci papa, merci beaucoup, ta bite est un délice, te sucer est vraiment quelque chose de génial. »
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