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Un réveil paternel

Chapitre 5

Inceste
Chloé se tenait nue dans le placard grand ouvert, les joues rouges de honte et le souffle court, devant ses parents tout aussi nus qu’elle, qui la regardait sous toutes les coutures. Sophie, sa mère, posa une main sur son épaule droite et fit glisser son regard sur tout son corps, des pieds à la tête, en s’arrêtant un peu sur sa chatte, les rondeurs de ses hanches, ses seins… ce qui plongea encore plus la jeune fille dans l’embarras. Sur sa gauche, Jacques, son père, une main appuyée sur une étagère, se tenait tout près d’elle. Sa verge encore humide des ébats avec sa femme n’était qu’à une quinzaine de centimètre de la main droite de Chloé. Celle-ci se lança timidement : « j’ai eu un cauchemar, un terrible cauchemar… ça m’a réveillée, et je me sentais mal, oppressée. Alors je suis venu dans votre chambre pour me mettre à coté de papa dans le lit, pour me rassurer. Je ne savais pas que tu étais rentrée maman. » Sophie la coupa : « ah oui ? Et toi, tu viens te coucher avec ton père comme ça, toute nue, les seins et la chatte à l’air ? » De nouveau, elle fixait du regard son bas ventre, que Chloé ne pouvait cacher à son regard. « Oui, maman, il faisait nuit noire, c’est pour ça que quand je t’ai entendue chercher à allumer la lumière, je me suis cachée dans ce placard… Oh papa, maman, je suis désolée ! » Plutôt satisfaite d’avoir réussi à improviser une histoire qui tenait la route, Chloé repris un peu d’assurance. D’autant que Sophie, l’enlaçant dans ses bras pour la réconforter, lui dis « Oh, ma pauvre chérie, tu es bien embarrassée n’est-ce pas ? Allons viens, nous allons te consoler ». Joignant le geste à la parole, elle la conduisit jusqu’au lit, son père l’accompagnant, une main posée sur ses reins, et la fit s’assoir au milieu, le dos contre un oreiller remonté contre le mur. Sa mère s’agenouilla près d’elle, un bras autour de ses épaules, et son père s’agenouilla de l’autre côté, lui tenant la main.
De se tenir ainsi, nue dans le lit à côté de ses parents qui venaient d’y faire l’amour devant ses yeux, lui fit ressentir un sentiment d’étrangeté… qui devait s’accroître bien davantage. En effet sa mère lui dit : « Chloé, excuse-moi d’avoir joué avec toi. Je vais t’expliquer. Je ne dormais pas quand tu es entrée dans la chambre, et j’ai très distingué ta silhouette dans le noir. C’est exprès que j’ai fait en sorte que tu saches que j’étais là, pour te décontenancer un peu… J’ai bien ri intérieurement quand je t’ai vu te précipiter dans le placard… » Chloé ne comprenait pas très bien : « Ah bon ? Mais maman, pourquoi ? Tu croyais que je venais faire quoi ? ». « Tsss, ne crains rien, tout va bien » poursuivit Sophie. « C’est pour ça aussi que j’ai réveillé ton père et que je l’ai convaincu – ce n’est pas bien difficile – de faire l’amour, là, maintenant ». Chloé n’en revenait pas : « Tu savais que j’étais là, et vous avez fait l’amour exprès ? » Elle revit en mémoire la tête de sa mère se rejeter en arrière et ses yeux regarder le placard quand elle s’était mise à jouir. « Oui, Chloé, je savais très bien que tu nous regardais, et… » Elle eut un soupir soudain. « C’était très bien… Chloé, tu sais il faut que tu saches une chose : ton père et moi, nous nous disons tout, absolument tout. » Jacques lui serra un peu plus la main et renchérit « Oui. Et maintenant que tu es arrivée à un âge suffisant, nous pensons que nous devons tout te dire aussi ». Chloé les regarda alternativement l’un l’autre. Elle commençait à comprendre, mais n’arrivait pas y croire. « Tout… » Lâcha-t-elle dans un souffle. « Oui, je sais tout de vos exploits érotico-pornographiques à ton père et à toi ! ». Chloé se tourné vers son père : « Papa ?! » s’exclama-t-elle. Pour toute réponse son père sourit d’un air espiègle. Sa mère continua « Mais tu sais, il ne faut pas que tu te sentes coupable. A ton âge, j’ai eu exactement les mêmes expériences que toi, avec ton grand-père… ». Chloé était littéralement sidérée d’entendre ces révélations. « Et ce sont de très bons souvenirs, ma chérie, comme le sont les souvenirs des explorations d’autres plaisirs sexuels que j’ai eu avec Valérie ». « Toi et tante Valérie ?! » Chloé avait lâché cette phrase dans un souffle tant elle était surprise. Sa mère la regarda souriante, et posa une main sur le haut de sa cuisse, à la naissance de l’aine. « Et oui ! Moi et grand-père, moi et Valérie… Toi et ton père… Je me disais que c’était lié à ma personnalité, mais en fait, on dirait bien que c’est héréditaire ! »… et en faisant glisser sa main sur son bas-ventre, laissant ses doigts s’enfouir dans la toison blonde de son pubis, elle termina : « Et maintenant, toi, et moi… »
La stupéfaction de Chloé était telle qu’elle n’eut aucune réaction. Alors que tout le poids de la morale lui commandait de s’offusquer de ce qui était en train de se passer, elle ressentit très soudainement une profonde excitation sexuelle l’envahir, si forte qu’elle ne put la dissimuler. Elle se mise à trembler, et son souffle court soulevait rapidement sa poitrine aux tétons durs. Elle arriva à articuler un « Maman, non ! ». A quoi sa mère répondit tranquillement : « allons, tu ne vas pas me refuser ce que tu que tu as donné à ton père ? Ce ne serait pas équitable, ma chérie… » Jacques, qui lui tenait toujours la main, plaça celle-ci sur son sexe. Chloé se tourna vers son père, et vit sa verge, qu’elle connaissait si bien, bandée comme jamais, gonflée et dressée fièrement, encore plus appétissante que d’habitude. « Papa ! » fit-elle. Son père lui tint alors la tête d’une main et de l’autre dirigea so sexe vers sa bouche, qu’elle ouvrit instinctivement. Elle ressentit alors avec bonheur sa queue épaisse emplir sa bouche, glisser sur sa langue, frotter contre son palais, en même temps qu’elle sentit la bouche et la langue de sa mère se mettre à se délecter voluptueusement de sa chatte. Un grand frisson la parcourut, et elle gémit d’extase. « Là, tu vois que tu aimes !» Fit son père, en commençant à la prendre par la bouche lentement.
Chloé avait fantasmé sur son père pendant longtemps avant de passer l’acte. Mais elle n’avait jamais imaginé qu’elle pourrait avoir une expérience avec sa propre mère, et encore moins avec ses deux parents en même temps ! C’était pour elle une surprise totale, comme l’était le fait de ressentir une vive excitation sexuelle dans cette situation, dont elle aurait juré qu’elle l’aurait dégoûtée, avant que d’y être confrontée. Mais presque malgré elle, tout en accompagnant de la t^te les mouvement sde va et vient du sexe de son père dans sa bouche, Chloé écarta largement les jambes, renversant son bassin pour offrir totalement sa chatte à la bouche de sa mère… Celle-ci ne se fit pas prier, et poursuivi son cunni goulûment, émettant des gémissements de plaisir en se régalant du sexe de sa fille. Sa langue lui léchait le vagin, le pénétrait du plus loin qu’elle pouvait pendant que d’une main elle lui caressait le clito… Puis elle remontait sa bouche jusqu’au clito pour le lécher, le sucer, pendant que de son autre main elle introduisait deux doigts dans sa chatte et les remuait d’une manière experte pour arracher à Chloé des frissons et des gémissements étouffés par le sexe de son père. Puis elle inversait de nouveau bouche et main, glissant ses lèvres jusqu’à l’anus, avant d’inverser encore et de caresser l’anus de Chloé avec un doigt inquisiteur, le forçant légèrement à l’entrée du rectum. Chloé mouillait comme une chatte en chaleur, et offrait sa propre bouche à la bite de son père, qui la pénétrait profondément, s‘engouffrant entre ses lèvres jusqu’au fond. Elle se concentrait pour lutter contre les haut-le-cœur qu’elle ressentait quand le gland venait trop loin dans sa gorge. « Oui, oui prends ma bite comme une petite salope, pendant que maman te gouine la chatte ! » Jacques savait que sa fille aimait ses mots crus, et il continua : « tiens, tiens ! Tu aimes la bite hein ? Tiens, régale-toi ! » La bouche pleine de sa grosse bite, Chloé ne pouvait qu’émettre des grognements approbateurs, des « Mmm ! Mmmm ! » Auxquels répondaient ceux de sa mère, qui se régalait copieusement de sa chatte et de son cul. Au bout d’un moment, Jacques ressortit son membre de sa bouche et, surplombant Chloé, vint poser ses couilles sur ses lèvres, pour qu’elle les lui lèche. Sa fille commença à s’exécuter mais elle senti alors un orgasme puissant monter dans son ventre. « Oh oui, maman, maman, maman !! » Son père continua de frotter son sexe et ses couilles contre son visage, pendant que sa mère s’activa, la doigtant à grande vitesse en lui léchant le clito à même allure. Chloé, haletante, saisit soudainement la tête de sa mère dans ses mains, agrippant ses cheveux, et fut secouée de grands spasmes qui lui firent trembler les jambes, comme elle se mettait à jouir dans un cri de délivrance « <Mam.. aaaaaaaan !! ». Elle jouit pendant un long moment, tortillant son bassin au gré des montées de plaisirs, sa mère accompagnant ses mouvements. Son père l’encourageait : « Prends ton pied, ma fille, voilà, c’est bien, prend ton pied ! » Ces soubresauts de jouissance s’espacèrent alors, et elle reprit son souffle, les yeux regardant dans le vide. Sa mère lui caressa encore un peu le ventre, les seins. « Quel délice, ta chatte, ma chérie ! Depuis le temps que je rêvais d’y goûter ! » Elle se laissa alors tomber en travers du lit, sur le dos, en soupirant d’aise.
Chloé se releva, et vint se placer à califourchon au-dessus de Sophie, et se pencha sans attendre sur son ventre. Elle se jeta sur sa chatte, très désireuse de lui rendre la monnaie de sa pièce, et se mit à lécher à son tour ce sexe tout humide de l’excitation de lui avoir donné tant de plaisir. Sa mère, le visage placé sous l’entre-jambe de Chloé, l’encouragea un main lui caressant les fesses, et l’autre les cheveux : « Mmm, vas-y Chloé, vas-y chérie, oui… » Chloé s’appliqua du mieux qu’elle put. Elle s’enhardit jusqu’à lécher l’anus de sa mère, et sentant que ça l’excitait, elle lui caressa tout en continuant de lui lécher la chatte, fit jouer un doigt au bord du trou, et l’enfonça sur deux phalanges. Sophie gémit de manière appuyée : elle aimait. « Ohhhh oui, doigte moi, doigte moi le cul. » Chloé fit entrer et ressortir lentement son doigt du cul de sa mère, et sentit celle-ci se mettre à son tour à lui lécher l’anus par en dessous, et peu après, elle senti un doigt de sa mère pénétrer son cul, en ressentant elle aussi une grande excitation. « Maman, ohhh, maman ». Sa mère retira son doigt, la lécha de nouveau pour bien lui mouiller l’anus, et s’est alors deux doigts qu’elle enfonça, avec un peu plus de mal, mais guère. « Han ! » fit Chloé, surprise. Elle fit alors la même chose à sa mère, et ses deux doigts glissèrent dans son anus sans difficulté. Sa mère haletait de plus en plus, et Chloé se remit à s’occuper de son clito, sans retirer ses doigts pour autant. Elle sentait pareillement les doigts de sa mère fouiller son ventre… Jacques, debout au bord du lit, derrière Chloé, dit : « vas-y ma chérie, prépare-la bien comme il faut. » Chloé ne comprit pas tout de suite. Elle senti sa mère se remettre à lui lécher l’anus copieusement, y enfournant sa langue. Puis elle entendit sa mère, qui commençait à frissonner de plaisir sous les coups de langue de Chloé : « vas-y maintenant Jacques, maintenant ». Son père se mit à genoux derrière elle, les jambes écartées de part et d’autre de la tête de Sophie, et pénétra Chloé en levrette. Il donna quelques coups de reins, qui la firent gémir de plaisir. Sentant que le plaisir montait progressivement en sa mère, par ses gémissements et les frissons qui la parcouraient, Chloé se déchaina sur la vulve de sa mère, et lui tenait la tête de ses mains, l’appuyant bien contre son sexe. Elle senti alors son père se retirer de sa chatte, et sentis son gland glisser vers son anus, puis, s’y appuyer fermement. Cette fois elle comprenait. Elle avait eu envie quelque fois de tenter l’expérience mais n’avais jamais osé en parler à son père. Clairement, c’était pour ce soir. Elle allait connaître sa première sodomie.
Ressentant tout de même une certaine appréhension, Chloé écarta bien ses jambes, et cambra bien son bassin, pour offrir son cul à son père sans réserve, tout en continuant à lécher sa mère. « Tu n’attends que ça, hein ? » Dit Jacques « tu vas être servi tu vas voir ! ». Pendant que les mains de sa mère se crispaient sur ses cheveux, Chloé senti le gland de son père forcer contre son anus . Quelque chose n’allait pas, comme si c’était trop gros pour entrer. « Papa ! Attends ! » S’exclama-t-elle. En vain, car son père ne relâcha pas la pression, l’accentua même, et un bon tiers de son sexe se fraya soudain un chemin, dilatant son rectum. Chloé le senti passer : « Papaaa ! Aie ! AIE !! » cria-t-elle sous la douleur vive, avec l’impression que son père l‘avait déchirée. Celui-ci se mit a faire de petits mouvements de va et vient à sa queue, qui ce faisant entrait de plus profondément dans son cul. Sa mère l’encouragea : « oh oui, bourre lui le cul, bourre lui bien, oh oui, ohh, ohhhh !! » Ce faisant elle força de ses mains la tête de Chloé de telle sorte que sa bouche revint contre sa chatte, bougeant son bassin comme pour se caresser elle-même avec la bouche de sa fille. Chloé se laissa faire, pleurant à moitié de douleur sous les assauts de la bite de son père. «Chloé, Chloé, oui ! oui !! » Sa mère n’e pouvait plus. Elle prit une profonde inspiration, écarta les jambes en grand, puis les referma sur la tête de Chloé et les écarta de nouveau : elle se mit alors à jouir en criant de plaisir. « Ahhhh !!!! Ahhhh !! Ahhhhh !! ». Son orgasme redoubla l’excitation de son père, qui, sentant que son sexe glissait mieux dans le cul de Chloé, se mit à la pilonner sans retenue. « Putain c’est bon de t’enculer ! Putain que c’est bon ! ». Chloé, la tête toujours appuyée sur la chatte de sa mère, le suppliait d’une voix larmoyante : « Aïe ! Papa ! Papa ! Aïe ». Jacques alors cessa brutalement tout mouvement. Il se mit à gémir, de plus en plus fort, des gémissements ressemblant presque à des sanglots, et Chloé senti sa bite frémir en elle, et ses couilles se vider dans ses entrailles. Son père redonna juste trois coups de reins, et une dernière giclée de sperme vient termine sa jouissance. Il était hors de souffle.
Jacques ressortit sa bite du cul de fille, et Chloé se laissa alors tomber sur le côté. Une grimace de douleur encore sur le visage… Sa mère se retourna et vint tout contre elle, pour lui donner un baiser torride tout en l’enlaçant tendrement.
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