Chapitre 1 - Deux Jeunes Amis Grandissent Ensemble Les deux jeunes adultes maintenant, Jim et moi avons été les meilleurs amis depuis que nous évions 7 ans. La majeure partie de notre temps nous traînnons toujours l’un avec l’autre, bien que nous ayons eu et avons deux autres amis.Nous avons vécu dans une, rempli de fermes très grandes, mais dans les communautés très petites. Notre ferme était plus de 500 acres, la famille de Jim avait plus de 800. Son pere avait ajouté la terre d’un frère quand il a cessé de cultiver pour un travail d’usine. Nôtres étaient un comté pauvre, mais. Nous avons toujours eu une bonne nourriture à manger, une vie agréable, un air propre, et des environnements plaisants. Nos voitures étaient toujours plus anciennes, ainsi notre tracteur pourrait être plus nouveau. Nous avons eu tout ce que nous avons besoin, mais ce t’étaient pas le luxe. Le gouvernement s’est assuré que nos deux bâtiments scolaires ont été toujours peints et réparés.* * * * * J’étais chanceux, j’ai eu un ami qui a vécu ’proche de chez moi ’, enfin proche c’est quand même à un kilo-metre en bas de ma route. C’est toujours meilleur que d’autres, gosses qui n’avaient des copains de leur âge qu’a des kilometre. Aujourd’hui je comprends à quel point je suis chanceux ; Jim et moi avons été capables de parler de n’importe quel sujet. Nous sommes devenus des confidents. Nous pouvions nous faire confiance avec des secrets, des doutes et des craintes. ver l’âge de 8 ou 9ans nous avons commencé à nous interroger sur des filles. Nous partagions des histoires au sujet de voir sous la jupe de Margie à l’école, ou du frottement contre Suzie pendant un jeu de ’pile sur’. Ni l’un ni l’autre de nous n’était gay, mais nous avons éprouvé la réveillante sexuelle tôt ensemble. Naturellement nous avons noté les changements de l’un et l’autre quand la puberté est arrivée pour nous. Par exemple, des matins, nous nous reveillions avec des ’érections du matin. Nous avons découvert la masturbation séparément. Je ne sais pas lesquels de nous pouvaient venir d’abord, ni je me rappelle lequel de nous avait compris que nous pouvions éjaculer. Nous savons juste, que venir c’était ’çà’ ! Avant que nous ayons eu 18 ans, nous dormions toujours plus dans la maison de l’un ou l’autre régulièrement. ?tant des garçons sans petites amies, il n’était pas peu commune après que nos conversations tard le soir qu’ont se retrouvaient tous les deux avec des érections faisant rage. Par la suite nous masturbons dans nos sous-vêtements, sous les couvertures en présence de chacun. Bientôt notre timidité s’est affaiblie. Puis nous avons commencé a nous masturber à la vue l’un de l’autre. Nous étions la plupart du temps entrain de matté des images, mais il était normal de jeter un coup d’oeil l’un sur l’autre. Voir une autre bite dans l’action s’est ajouté à l’excitation parfois. Comme de vrais garçons, nous parierions même qui pourrait ’tirer sa substance’ le plus loin. jimmy avait deux soeurs plus jeunes, toutes les deux étaient sérieuses. Beth était à peine une année plus jeune que Jim tandis que Lynn était juste un an plus jeune que Beth. Elles se ressemblaient tellement que beaucoup de gens pensaient qu’elles étaient jumelles quand elles portaient les habilles pareilles. À ce jour elles restent les deux plus belles filles que j’ai jamais connues ; semblé fine et adorables dans tout ce qu’elles portaient, avec maquillage ou pas, matin ou soir. Beth et Lynn étaient comme des filles d’affiche bublicité. Une nuit je rappelle jimmy est revenue dans sa chambre en grimaçant, ’ salope salope !!’. Il était parti quelques minutes plus tôt à la salle de bains à côté de sa chambre à coucher. S’effondant sur le lit, jimmy a glissé sa main dans son pantalon pendant qu’il commençait à se tortiller comme un ver sur un crochet.
’qu’est-ce qu’il ya ? qu’est-ce qu’il ya?’ J’ai demandé. Jimmy a glissé son pantalon vers le bas. Sa bite était dur comme poteau de barrière ; il a commencé à se pomper avec les yeux fermés tout en disant toujours ’salope salope!’ Encore j’ai prié de savoir que diable lui arrivait il. Enfin jimmy a ouvert ses yeux, ils étaient pratiquement glacés. Comme s’il était drogué et dit, ’j’ai juste passé les deux dernières minutes à regarder Beth nu. Laisse moi seul maintenant, j’ai juste envi de venir son image dans ma tête!’ Mais j’ai voulu tout entendre immédiatement. La pensée de beth nue ma exité. J’ai promis de le branler, et lui donné la meilleur jouissance qu’il a jamais espéré pour, qu’il s’étendrait juste là avec ses yeux fermés et ’pensez dehors fort.’ Jim a couvert ses yeux de ses mains, et alors commencé à parler tranquillement. J’ai saisi son pénis et ai commencé à le pomper lentement. Quand il est parti de sa chambre, juste avant l’entrée de la salle de bains, il a remarqué que la porte de Beth était entre-ouvert. Jimmy aimé matter ses soeurs. Par habitude, il a passé des étapes supplémentaires un coup d’oeil dans sa chambre. BETH SE D?SHABILLAIT. Il régardait pour la première fois dans sa chambre, elle enlevait son haut. Ses soeurs faisaient attention normalement que leurs portes soit bien fermé, mais pas cette fois, ainsi jimmy avait eu son premier bon regard sur une fille nue. Il pouvait seulement voir son sein gauche ; c’était la taille d’une orange juteuse, et bien ferme. jimmy a décrit avoir vu un long mamelon. Après elle s’est pliée à la taille pour retirait ses chaussures. Pendant qu’elle se penchait en avant, le jimmy a décrit comment ses sein ont balancés vers le bas. Avant qu’il ait eu le temps pour absorber entièrement cette vue, le pantalon était abaissé. Son cul était soudainement devant ses yeux. Beth est très sportif, apparemment ses fesses étaient aussi ferme que que tout ceux nous jamais vu dans le play-boy. Beth avait fait un pas hors du pantalon et s’était levé.Elle avait, de longues jambes, des fesses fermes, en d’autres termes une déesse de l’adolescence. Beth a marché à sa table, déposée ses bijoux. Le processus a été renversé pendant qu’elle mettait un soutien-gorge soyeux, alors elle a fait un pas dans ses culottes. Pendant que Jim regardait Beth se pliant plus encore pour faire un pas dans ses culottes, sa respiration est devenu si loqueteuse que j’ai su qu’il était prêt à tirer. Saisissant une bouteille de lotion de main, j’en ai injecté sur la tête de sa bite. Laissant tomber la bouteille, j’ai rapidement enroulé ma main libre autour de son manche comme une batte de base-ball. Cela l’a fait ! la fait jouir dans mes mains, il venait comme fou. Ses hanches ont tromblaient, j’ai pu à peine me tenir sur son pénis. Son sperme chaud a enduit mes doigts, c’était réellement exitant, comme aucune expérimenté avant. Haletant toujours, Jim a continué à dire qu’il ne viendrait jamais comme ça, jamais ; il a continué à me remercier. Tandis que j’étais sorti de mon choc, j’étais également encore excité comme l’enfer ; Je n’avais pas encore joui, mais je voulais. Je ne pourrais pas me retenir plus. J’ai dit ’si t’es vraiment reconnaissant commence alors du début où Beth se déshabillait, et fait pour moi ce que j’ai fait pour toi!’ Les hormones de Jim faisaient toujours rage tellement fort qu’il a aisément convenu. Après que j’aie enlevé mon pantalon, nous avons commuté de place. Alors, j’ai fermé mes yeux. Hésitant pendant quelques secondes, Jim a enfin saisi mon pénis pour me branler pendant qu’il se souvenait encore la bande d’observation de Beth. Prenant plus longtemps ce temps, Jim a décrit le sein gauche de Beth comme il l’a vu de trois quarts qu’il l’a vu pendant qu’elle bougeait, puis a relevait ses bras au-dessus de sa tête. Il a répété la partie où Beth se pliait plus pour tirer son pantalon ver le bas . Encore il a décrit, en détail, la vu de son téton relevait en l’air, puis repèrer clairement sa fente bien lisse. Le récit graphique de Jim, combiné avec quelques coups de main sur ma bite, m’a poussé au- bord de l’explosion; J’ai perdu le controle. Gémissant, j’ai tendu mes hanches vers le haut. Réalisant ce qui allait se produire, Jim a maintenu ma bite fermement mon gland juste quand je lançais mes premiers jaillissements. L’effet devait baigner mon bout dans un bain chaud de sperme. Jim a rectifié sa paume autour de mon gland, me permettant à la bosse mon pénis dans sa paume. C’était l’orgasme le plus étonnant et le plus puissant que je jamais connu. * * * * * Nous vivons dans un secteur et nous allons à une école très petite. Il est difficile d’avoir une petite amie quand ont voient très peu de filles à l’école. De plus, les quelques femelles dans notre patlin vivaient au moins à plusieurs kilo mettre de distance. Dans notre école il y avait seulment deux-pièce où nous pouvions parler a une fille et seulment pendant quelques minutes, mais sans aucune vraie intimité. Plusieurs fois au cours de l’année j’ai obtenu un RDV avec une fille seul, mais juste pour parler d’etude. Une nuit tard nous étions tous les deux. J’ai juste heureux de partagé ces moment avec Charlene. C’était un jour frais ; un groupe de jeune s’était blotti ensemble dans une chambrette extérieure pour se protéger du vent. Ils se son tous bousculaient nous nous somme retrouvé entasser, de façon que Charlene et moi étions dans le coin. Heureusement j’ai été écrasé contre Charlene. Son parfum était délicieux comme toujours. Tellement doucement, si mignonne ; Je l’ai vraiment aimée ; elle était peut-être la fille la plus mignonne de mon âge à l’école. Soudain ma main était exactement, bien contre sa chatte ! J’ai tourné ma paume ainsi je touchais sa chatte par le pantalon. J’ai commencé à la frotter, clairement sentant sa chaleur. Comme elle n’a pas crié ou protestait je suis vraiment allé de bonne main. Je ne savais plus ce que je faisais, mais j’ai beaucoup aimé. Me serrant plus contre elle, légèrement devant elle. Comme j’ai regardé fixement dans les yeux de Charlene ; elle a regardé fixement en arrière comme elle a réalisé que c’était ma main entre ses jambes. Soigneusement j’ai placé sa main sur mon pénis. Nous n’avons pas parlé, ou avons souri, ou avons montré n’importe quelle réaction particulière, mais elle a commencé à frotter mon pénis pendant que nous regardions fixement simplement profondément dans les yeux de chacun. Dieu, si seulement nous étoins seuls quelque part. Mon coeur est descendu quand la cloche a retenti. Le petit groupe s’est cassé, ainsi nous avons dû nous arrêter. Pendant que je décrivais à haute voix à Jim comment c’était doux et chaud entre ses jambes, nos mains ont glissé dans nos poches pour masser tranquillement nos bite gonflés.Pui nous avons commencé fantasmer sur ce qui nous voudrions que tel ou tel fille nous fasse, jusqu’à ce que Jim a plaisantait ’t’es sûr que tu ne peut pas obliger ta cousine à venir pour une visite?’ Ma cousine Cheryl avait l’habitude d’être la fille ’facile’. De fil en aiguille la plaisanterie a continué sur le souhaiter de sucer nos propres bites puisqu’il n’y avait aucune fille tout près pour le faire pour nous. Le pantalon est descendu ; nous avons fait un pari pour voir qui pourrait avoir la bouche le plus proche sa propre bite. Ni l’un ni l’autre de nous n’était particulièrement pret, mais nous avions toujours des érections qui ne stoppaient pas. Le souvenir de mon jour avec Charlene. Jim me rappelant ma cousine l’a seulement que nous avons eu! Enfin la curiosité aussi. Je ne me sentais pas gai ; J’ai juste voulu sentir mon pénis droit dans un endroit chaud et humide. Cette nuit, j’étais assez désespéré pour pour jouir car je ne voulait pas me quantanter d’une simple masturbation. Jim était aussi exité que moi, ainsi il convenait. Nous avons fait un serment de sang pour ne pas venir dans la bouche, nous devons nous avertir ou mourir. Cette nuit j’ai appris que avoir sa bite dans une bouche est bon, mais il y avait certainement des choses qui sont sont encore mieux. Puisque c’était mon idée, j’ai convaincu Jim pour me faire d’abord. Se reposant sur le bord du lit, j’ai donné un coup de pied mon pantalon au loin pendant que j’ouvrais un play-boy sur une bombe. L’image était très chaude, de plus elle ressemblait à ma soeur mignonne, qui était pour moi un sexe symbole. Sans avertissement, Jim a glissé mon pénis dans sa bouche, il m’a fait mieux que je pouvais rêvé. C’était un cas de force majeur. Nous avons simplement decrit comment nous devions nous prendre, ainsi au lieu d’être maladroit, je dit ce que je veux quand c’est mon tour ! seigneur que c’est incroyablement bon. Sa main mise en marche pour pomper mon axe inférieur pendant que sa bouche et langue a jouait sur la moitié supérieure. Ca n’a pas duré plus de deux minutes avant que j’ai averti que j’était sur le point de venir. J’ai regardé fixement l’image glacé, ’Dieu la pensée, d’avoir une fille comme elle et mettre ma bite à l’intérieur de sa chatte. haaaaaaaa je te baise Barbi... ’Jim commuté de une poignée à deux mains sur ma bite tellement glissante. Bientôt jet après jet le sperme a giclé de moi. Mon orgasme a duré des minutes. Après peut-être une douzaine de giclé, je m’étendrais juste là, bien que mes hanches sautent de temps en temps car un autre spasme éjaculatoire étirait mon corps. Par la suite je me suis effondré, disant à Jim qu’il pouvait laisser aller de ma bite. Quand j’ai repris mes esprits, Jim était retourné de se laver les mains. Ainsi Jim a pu se reposer à ma place, j’ai sauté du lit.Comme moi il a ouvert une sur une page de sa cochone préférés pendant que je prenais position. Saisissant son pénis, je l’ai lentement frotté plusieurs fois. Quelques secondes passées comme j’ai étudié son pénis un peu. Je ne l’avais pas vu de si près avant.J’ai plongé ma bouche vers le bas, engloutissant sa construction. Jim a fait un bruit comme s’il s’etait perforé l’intestin. Pour moi c’était une sensation raisonnablement plaisante ; son bite était dur roche, mais la peau était cependant très douce. Elle était gorgé de sang, elle était étonnamment chaude, ainsi sa bite s’est senti bien contre ma langue. Jimmy produisait le pré-sperme presque immédiatement. Peut-être en raison du lien mental au sexe en général, il a même bon goût. Sur la réflexion, je n’ai pas été sexuellement excité, mais comme donner à Noël, sachant je l’incitais à sentir les sensations hallucinantes que j’ai juste senti plus tôt. Je n’étais pas sûr, mais je ne pense pas que Jim pourrait duré aussi longtemps que moi. Avant que Jim pourrait même m’avertir, je l’ai senti gonfler et se tendre. Je double la cadance pour le finir de la même manière qu’il m’avait fait. La plupart du temps notre ’sexe’ ensemble se déclenchait avec des images sales. Mais le contact occasionnel de entre garçon. Il s’est avéré être une porte menant à mes imaginations sexuelles les plus sauvages. * * * * Cette saga continue dans le chapitre 2 - deux garçons apprennent beaucoup de deux soeurs
