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Un réveillon qui rend dinde

Chapitre 1

Kristelle s'attendait à un réveillon ennuyant mais celui-ci devient des plus réjouissants parfois à ses dépends...

Avec plusieurs hommes
- Kristelle -Cette année, nous fêtons Noël dans la famille d’Arnaud. Ça ne m’enchante guère mais je sais qu’il a envie de faire plaisir à ses parents, et moi en bonne poire, j’ai envie de faire plaisir à mon mari donc je me sacrifie ! Oui, je parle bien de sacrifice vu l’entente cordiale qui existe entre ma belle-mère et moi. Heureusement, une branche de sa famille le fête avec nous, il y aura sa cousine Béatrice et son mari translucide, Pierre, son cousin Philippe et son fils. Bon, Philippe, ce n’est pas le convive que j’inviterai à chaque Noël mais c’est toujours mieux qu’un tête à tête avec ma belle-mère. Je l’ai déjà rencontré une ou deux fois à des repas de famille. C’est un charmeur qui passe son temps à draguer tout ce qui bouge et à faire des blagues lourdes. Sa femme l’a quitté, il y a 3 ans et quand Arnaud me l’a annoncé, cela ne m’a pas surprise... Pour couronner le tout, nous dormons avec nos enfants. Tout le monde dormant sur place, nous nous retrouvons dans l’ancienne chambre d’Arnaud, sa cousine avec ses deux pestes de 6 et 8 ans dans la chambre d’amis et le cousin sur un lit d’appoint dans la salle à manger avec son fils. Au moins le réveillon ne durera pas des heures...
Arrivés sur place, la soirée s’est très bien déroulée. Ma belle-mère avait mis les petits plats dans les grands, très fière de recevoir tout le monde. Philippe n’a pas arrêté de faire des blagues lourdes et à passer son repas les yeux dans mon décolleté. Mon homme qui avait un peu bu et, piqué de l’intérêt que me portait son cousin, n’a pas arrêté de me faire du pied sous la table et me glisser des mots coquins dans l’oreille... Bref, j’étais aux anges, j’avais même très envie de mon homme et maudissais déjà l’organisation de la nuit qui nous mettait nos enfants dans des matelas collés à notre lit...
- Philippe -Cela faisait trois ans que Caroline m’avait quitté, après des débuts agréables à pouvoir revoir les quelques maîtresses que j’avais eues, l’intérêt qu’on me portait avait petit à petit disparu et cette année, je n’avais eu quelques histoires sans suite avec des pauvres filles paumées...
J’étais partagé à l’idée de revoir la famille de mon cousin. Content de revoir Kristelle qui portait toujours des tenues de chaudasse et, j’en étais sûr, faisait exprès de m’allumer. Cependant je ne supportais pas l’air condescendant de mon cousin, toujours souriant, étalant son bonheur aux autres, comme on étale de la confiture sur une tartine...
Je ne fus pas déçu, Arnaud passa son temps à chauffer sa poule sous la table, je voyais bien leur petit jeu. Dommage pour eux, ils dormaient avec leurs gamins ! Mais ça n’a pas découragé sa femme qui l’emmena dans la salle de bain. J’ai bien tenté de me glisser dans la salle de bain histoire de mettre un peu sable dans leur bonheur bien huilé mais cette salope m’a fermé la porte au nez.J’ai commencé à entendre des bruits étranges et un gémissement. J’ai essayé d’insister mais sans réponse...


- Kristelle -C’était le branle-bas de combat au moment du coucher, entre les tournées dans la salle de bain, les matelas à gonfler, les enfants qui s’étaient lancés dans une partie de Monopoly interminable. Je profitais que notre chambre était installée et de croiser Arnaud dans l’entrée pour l’emmener dans la salle de bain en même temps que moi, « pour gagner du temps » bien sûr ! Mon argumentaire était fin prêt en cas de mauvaise rencontre...Mais nous arrivâmes dans la salle de bain sans encombre et c’est au moment de fermer que son cousin lui aussi un peu saoul vint se coller à la porte pour rentrer:— Eh, je voudrais me brosser les dents ! C’est pas un hôtel ici.— Non c’est une salle de bain et on a bien le droit de se laver !! Et d’un coup sec, je repoussais la porte et fermais à clé.
Mon homme excité par mon assurance me regardait torse nu et en pantalon. Ne perdant pas un instant, j’allumais la douche puis me mettais à genoux pour le sucer. J’ouvrais son pantalon d’un geste ferme, faisais glisser pantalon et caleçon aux chevilles et m’emparais de sa queue que je glissais dans ma bouche avec avidité. En quelques mouvements, elle se durcit. Arnaud était excité et de l’autre côté de la porte, son cousin fulminait.La façon dont j’avais mené mon affaire m’avait moi aussi excitée. J’avais envie de faire jouir mon homme.Je pris sa queue dans ma main pour la caresser sur toute sa longueur. Je le branlais en le regardant dans les yeux. On entendait l’agitation à côté de nous mais nous étions dans notre bulle, centrés sur notre plaisir.
- Philippe-Vérifiant que personne ne traînait dans le coin, je me suis mis à genoux pour regarder à travers le trou de la serrure, et là, j’ai pu apercevoir Christelle en train de sucer Arnaud comme une salope de première. Elle donnait tout, laissant Arnaud lui enfoncer sa queue au fond de la bouche... Vu l’appétit qu’elle avait, je suis sûr qu’une autre bite ne l’aurait pas dérangée. J’étais en train de tenter de filmer leurs saloperies histoire de faire chanter cette garce quand mon fils est arrivé :— Papa, qu’est-ce que tu fais par terre ?— Rien, j’ai perdu un bouton de manchette en faisant le con avec Arnaud. T’as fini de gonfler le matelas ?— Non il me faut un autre embout. Ça ne marche pas...— Pareil pour moi bordel...— Hein ??!— Non, laisse tomber. Bon, traînez pas de trop, il y a du monde qui attend, criais-je en tapant dans la porte. Allez viens, on va trouver ça.
- Kristelle-Je me suis mise à lui lécher son sexe, ses boules tout en le branlant, il essayait de se retenir de gémir mais je voyais à son visage le plaisir qu’il prenait à être l’objet de mes envies. Je frappais son sexe contre mon visage, le gobais l’incitant à m’attraper les cheveux pour accompagner le va-et-vient de sa queue jusqu’au fond de ma gorge. Je sentais Arnaud proche de la jouissance au vu de l’intensité que je mettais à le sucer mais je voulais qu’il me prenne.
Je me suis relevée puis glissée dans la douche italienne spacieuse tout en tenant mon homme par sa queue.Je me suis penchée en avant et collée contre la paroi le cul tendu et tournant la tête vers lui, je lui ai chuchoté : "prends-moi, baise-moi comme une chienne..."
Arnaud ne s’est pas fait prier, il m’a attrapé par les hanches et m’a pris. J’étais toute mouillée d’excitation et malgré la dureté et l’épaisseur de son sexe, il s’enfonça en moi sans difficulté. Je le sentais tellement bien, ses couilles venaient taper contre moi, je ne pus m’empêcher un cri. J’entendis une voix derrière la porte, son cousin apparemment s’impatientait... Arnaud me tourna le visage et avec un regard impérieux me glissa un gant roulé en travers de la bouche. Un coup de bassin suivant qu’il appuya le plus loin possible, je mordis dans le gant et remerciai mon homme d’un regard soumis. Ce dernier avait repris le dessus et menait la danse. Ses ongles s’enfonçaient dans mes fesses. Il attrapa mes seins par les tétons et se mit à tirer dessus tout en me tenant par les cheveux. Il me susurrait des insultes à l’oreille: « petite pute, ça te plaît de te faire baiser par ton mec dans la maison de sa jeunesse... Je t’entends couiner à travers le gant, heureusement qu’il y a la douche... Tu ne peux pas t’en empêcher de gémir comme une chienne, t’as de la chance qu’on puisse pas faire plus de bruit, je t’aurai fessé comme tu le mérites... Je t’aurai sodomisé bien fort. »
C’est le moment qu’il choisit pour glisser son pouce entre mes fesses et se mettre à jouer avec mon petit trou. Le titiller, tourner dessus puis l’enfoncer en moi. Ce dernier petit jeu m’acheva, je sentis mes jambes fléchir et le plaisir m’envahir. Je me mis à jouir sous les coups de bassin de mon homme tout en me tournant pour le regarder et montrer dans mes yeux le plaisir dilater mes pupilles...Après m’avoir laissé savourer mon orgasme, mon homme se mit à accélérer, il arrivait lui aussi au bout mais je souhaitais le voir jouir aussi, voir son visage au moment de sa jouissance.Je m’échappais de son emprise, puis l’emmenais en dehors de la douche.
- Philippe -Avoir trouvé un embout pour le gonflage du matelas avait eu une certaine utilité, car dans le pot à objets trouvés, j’étais tombé sur un double de clé qui devait fermer les différentes serrures des portes de la maison et donc la salle de bain.M’assurant que personne ne me suivait, je retournais devant la salle de bain. Dans un premier temps, j’ai poussé la clé derrière la porte. Le tapis qui jouxtait la douche avait dû amortir le bruit ou bien ces derniers étaient tellement occupés qu’ils n’avaient rien entendu. Doucement j’ai tourné la clé et entrouvert la porte. Ils étaient là en face. A ce moment-là, je...
- Kris -A genoux sur le tapis, je me mis à le sucer lentement en le regardant. Je tenais fermement sa queue, lui massait ces petits bijoux et avec un regard malicieux, lui caressant la zone entre ses jambes qui stimulait sa prostate. Il y avait du bruit proche de la porte mais Arnaud n’entendait plus rien, il se livrait à mes caresses et sa jouissance semblait proche.Je voulais qu’il jouisse au fond de ma bouche, je tenais fermement mon homme par les hanches et enfonçais son sexe dans ma bouche. Arnaud se tenait au petit meuble derrière lui, appuyé dessus, les yeux à moitié fermés.
Il ne vit pas la porte s’entrouvrir sur le côté et la tête victorieuse de son cousin fier de nous prendre sur le vif...A ce moment-là, je n’avais plus que deux choix : me relever et laisser mon homme à la limite de son plaisir, chose horrible quand on sait qu’il est juste là, surtout pour découvrir son cousin. Soit aller jusqu’au bout et assumer de faire plaisir à mon homme.
Ce que je fis avec amour. Mon homme gicla dans ma bouche. Je pressai sa queue pour bien le terminer puis me relevai et enfilai mon peignoir en regardant Philippe avec défi. Mon mari venait de se rendre compte de sa présence et je sentais sa colère monter.
Me cousin d’abord estomaqué par mon assurance lança :— Eh bien, c’est limite si tu te serais pas arrêtée. Mais vas-y continue ! Ah ah. Si tu veux, je suis dispo après.
Arnaud me regarda, Philippe n’avait pas compris que j’avais été au bout et je vis une lueur dans les yeux de mon homme. Il s’adressa à lui sur un temps désinvolte:— Oh mais tu sais, Kris est quelqu’un de très ouvert. Je suis sûr qu’elle t’accordera un baiser pour voir si tu mérites plus. Tu veux ou tu as peur de ne pas assurer ?
Il semblait hésiter sentant qu’il se passait quelque chose mais, devant nos sourires amusés, il fut piqué au vif et dit sur un ton ferme:— Pas de problème. Je vais lui montrer ce que c’est un mâle.
Je m’approchai de lui, collai mes lèvres contre lui, attendis qu’il ouvre la bouche. Il en profita pour coller ses mains sur mes fesses mais j’étais prêt à ce sacrifice...Lorsqu’il ouvrit la bouche, je m’engageai dans la sienne y glissant un maximum de sperme d’Arnaud. Au début, il ne réagit pas puis je sentis ses mains se crisper et sa langue s’arrêter. Il recula et j’ouvris la bouche pour lui dire : — Tiens c’est de la part de ton cousin !
Il se jeta la tête dans le lavabo pour cracher. J’en profitai pour m’enfuir dans la chambre avec Arnaud en rigolant...
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