Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 43 J'aime
  • 2 Commentaires

Un réveillon qui rend dinde

Chapitre 2

Kristelle s'est régalée du tour joué à son beau-frère mais le retour de bâton sera ... fatal!

Divers
(Philippe) Quelle salope ! Ils s’étaient bien foutus de moi... Jamais je n’aurai pensé qu’elle aurait eu le cran de faire ça. Il fallait que je la fasse payer cette garce.
Tout en se brossant les dents, Philippe se remémorait comment il s’était retrouvé le dindon de la farce alors qu’il avait l’impression d’être en position de force lorsqu’il les avait trouvés en plein ébat dans la salle de bain. Il s’imaginait déjà se faire sucer à son tour devant son cousin impuissant. Au lieu de ça, il s’était retrouvé la bouche remplie de sperme. Un haut-le-cœur était monté et il avait fini la tête dans le lavabo pendant que son cousin se faisait la malle. Il ne les avait pas recroisés et était parti se coucher ensuite.Son fils dormait déjà, il se mit à regarder les dernières infos foot sur son téléphone et un site de cul pour soulager sa frustration. D’un coup, son regard se fixa sur les cadeaux. Arnaud avait fait allusion à un cadeau caché qu’il souhaitait offrir à sa nana plus tard mais qui se trouvait déjà parmi les cadeaux. Devant le regard inquiet de Kristelle, Arnaud l’avait rassuré parlant d’une sorte de mécanisme. Il n’avait pas pu entendre la suite, appelé par sa mère qui lui demandait s’il voulait de la dinde... L’idée venait de germer dans son esprit d’aller voir de plus près ce fameux cadeau, qu’il trouverait peut-être un moyen de s’en taper... de la dinde !Il s’approcha du sapin et après avoir tourné autour en recherchant le précieux bien, il le repéra un peu derrière dans une boîte en carton rose. Il se pencha sur le canapé et réussit à l’attraper. Un simple ruban fermait la boîte, Philippe le dénoua délicatement, ayant l’impression d’être un espion en mission. Il jetait des coups d’œil réguliers au couloir qui donnait sur la pièce mais tout le monde semblait dormir. Il ouvrit la boîte, à l’intérieur, un simple pyjama... La boîte semblait bien grande pour un simple pyjama et pourtant celui-ci semblait occuper l’ensemble de la boîte. En y regardant de plus près, un coin écorné de l’intérieur de la boîte lui fit repenser aux paroles de son cousin: il devait y avoir un double fond ! Il aperçut un bout de ruban rose qui dépassait. Il tira dessus et le fond de la boîte laissa apparaître plusieurs objets coquins entourés d’un ruban et disposés en dessous.Philippe sourit sachant déjà comment se venger, il allait inverser les cadeaux et assisterait à la honte du couple au moment de l’ouverture... Il rangea le pyjama sous le double fond, replaça ce dernier. Il s’apprêtait à redisposer les objets tendancieux quand il entendit un grincement de porte. Il referma précipitamment la boîte, la reposa derrière le canapé, la poussant pour qu’elle ne soit pas trop accessible pour le moment. Puis il alla se coucher sur le canapé en face rapidement. Il glissa les objets sous la couverture et ferma les yeux et se mit à simuler une respiration de personne endormie.Il était curieux de voir qui venait se promener et le déranger à plus de deux heures du mat.

(Kris)— Nooooonn, tu n’as pas fait ça. — Si si...Suite à leur aventure, Arnaud et Kris s’étaient installés dans leur lit refaisant le déroulement de la soirée et cette fin en apothéose. Arnaud venait de rappeler à Kris cette histoire d’objets sexuels cachés dans l’une des boîtes qui lui étaient destinées...— Mais si quelqu’un se rend compte de quelque chose. — Impossible ou alors il faudrait vraiment fouiller...— Rhooooh, tu es incorrigible. Tout en réfléchissant à l’ouverture des cadeaux, Kris caressa la tête d’Arnaud qui s’endormit rapidement un sourire aux lèvres. La séance dans la salle de bain semblait l’avoir comblé. Elle, avait été un peu coupée dans son plaisir par l’arrivée du cousin et même si la vengeance avait fait oublier la honte d’être surpris, son cerveau tournait encore. Elle se souvenait du regard d’abord décomposé puis furieux de Philippe la bouche remplie de sperme. D’un coup, une idée effroyable lui vint. Et si Philippe s’amusait à mélanger les cadeaux pour se venger et tombait sur le "fameux cadeau". Après tout, il dormait dans la salle à manger face au sapin et une idée aussi nulle que celle-là pouvait traverser son esprit. Après quelques minutes à tergiverser, elle se décida à aller récupérer l’objet délictueux. Cela faisait bientôt une heure que tout le monde était parti se coucher. Vu l’heure, ça devait roupiller... Elle ouvrit sa porte qui fit un grincement sinistre. Heureusement personne ne se réveilla. Sur la pointe des pieds, elle se dirigea vers la salle à manger. Elle avançait doucement pour éviter de faire grincer le plancher en parquet. Elle ouvrit la porte, glissa sa tête. Philippe dormait, elle voyait son ventre monter et redescendre à rythme régulier et son fils aussi. Ce dernier ronflait d’ailleurs, tant mieux, cela couvrirait les bruits.
Elle s’avança vers le sapin. Le fameux cadeau se trouvait derrière, inaccessible sauf par le canapé. Kris se pencha pour l’attraper. Heureusement que tout le monde dormait, elle était en nuisette sans culotte penchée en avant. Elle toucha du bout des doigts le paquet, elle réussit à le faire glisser vers elle et essaya de se redresser quand elle sentit une présence derrière elle qui lui caressa les fesses. Son premier réflexe fut de lâcher la boîte, pousser un "eehh" feutré histoire de ne pas réveiller toute la belle famille. Elle essaya de se retourner mais elle n’avait aucun appui, sa main glissa sur le rebord du canapé, elle rebascula en avant, eut le souffle coupé par le rebord du canapé et réussit à se rattraper les deux mains sur le sol. Derrière, la personne continuait d’explorer ses fesses, positionnée comme elle l’était, elle ne voyait qu’une ombre. Ses caresses lui semblaient insupportables. Face à cette situation incongrue, elle n’eut qu’un réflexe stupide: essayer de rabattre sa nuisette sur ses fesses, elle tira de chaque côté, tête en avant et bras en arrière, elle avait l’impression d’être un oisillon essayant de prendre son envol quitte à finir par passer par-dessus le canapé tête la première, elle essayait de sauver les apparences mais se rendait compte du ridicule de son geste. C’est alors qu’elle sentit son poignet gauche attrapé par quelque chose de dur, l’étau se resserra puis ramena sa main dans le dos, et son deuxième poignet fut lui aussi menotté. Elle se sentit complètement à la merci de la personne derrière elle. Elle jura à voix basse: "putain, Arnaud si c’est une blague, elle n’est pas drôle, détache-moi bordel..." Elle disait ce qui lui venait pour se persuader que c’était son mari derrière mais sentait bien qu’elle perdait pied. Elle s’apprêtait à dire qu’elle allait crier quand quelque chose entrava sa bouche, elle sentit une lanière entourer sa tête et d’un coup, une voix qu’elle reconnut lui susurra à l’oreille: "Alors, ils te plaisent les petits cadeaux de ton homme ?".C’était Philippe, ce salop n’était absolument pas endormi et avait effectivement trouvé les objets tendancieux: une paire de menottes et un bâillon-boule en cuir.Ce qui devait être ses cadeaux fut le point de départ de sa torture. Kris était à sa merci. L’attrapant par les cheveux, il la redressa doucement d’une main et de l’autre caressa sa poitrine doucement puis vint pincer ses tétons du bout des doigts tout en lui glissant à l’oreille: " j’ai toujours fantasmé sur toi et ta poitrine avec laquelle tu m’aguichais...(Serrant son sein dans sa main), aujourd’hui j’ai le loisir d’en profiter, je ne vais pas me priver..." Kris sentit sa verge se redresser contre son cul, elle essaya de l’attraper pour la tordre dans tous les sens mais menottée elle réussit juste à lui attraper le bout donnant plus l’impression de vouloir le caresser ou le tripoter. Philippe s’amusa de ce geste et joua cette carte comme si le contexte dans lequel elle retrouvait, menottée et à sa merci, n’avait jamais existé:— Je sais que tu as envie de te la prendre mais sois patiente, ça va arriver... Elle essaya de l’injurier: -mmmmm... mmmm !Il lui chuchota: "Comment ? Tu veux que je te la glisse dans la bouche ? J’aimerais bien mais celle-ci est déjà prise, attends, je peux te faire plaisir quand même !"Se relevant du canapé, Philippe se déplaça de derrière elle pour venir se mettre debout à côté de son visage, la tenant toujours par les cheveux. Il la regarda puis se mit à fixer sa queue avec un air vicieux. Elle suivit son regard et vit sa queue épaisse. Kris adorait la queue de SON homme, bel et bien proportionnée. Celle-ci était courte mais terriblement épaisse et remplie de nervure. Philippe semblait être très excité par la situation. C’est alors qu’il attrapa son sexe et se mit à gifler le visage de Kris avec. "Tu aimes ça te prendre des biffles, ah ah ah". Il essuya les quelques gouttes d’excitation qui bavaient de son gland sur son visage tout en la regardant d’un regard triomphant. " Tu vois, t’as voulu faire ta maline, eh bien je vais te faire payer..."Il se replaça derrière Kris en ayant pris soin de glisser deux gros coussins devant elle, si bien que lorsqu’il la rebascula, elle se retrouva la tête sur l’accoudoir, le haut du corps et ses hanches reposant sur les coussins et les jambes retombant sur le canapé. Dans cette position, elle ne pouvait rien faire, si, basculer sur le côté pour tomber mais Philippe maintenait tout le temps une emprise physique sur elle pour que cela n’arrive pas. On avait vraiment l’impression qu’elle s’offrait.Kris attendait mains dans le dos, cul en l’air, tête sur l’accoudoir, elle sentit sa respiration proche de ses trous. Soudain elle vit de la lumière, fut prise de panique à l’idée que quelqu’un débarque tout en se disant que ça serait peut-être la meilleure solution, puis elle comprit.Ce salop filmait son cul, avec son flash, il écartait ses fesses d’une main, claquait doucement son cul, le griffait puis ce fut à nouveau la pénombre. Que faisait-il ? Kris se préparait à l’assaut qui risquait d’être douloureux. Elle hésitait, devait-elle tenter de crier quitte à réveiller le fils de Philippe qui ronflait comme si le monde était en parfaite osmose.Elle sentit une caresse longue et humide effleurer tout son sexe puis glisser entre ses deux fesses. Philippe s’était mis à lui lécher son intimité. Elle ne s’était pas attendue à ça et aurait presque préféré quelque chose de violent. Cette caresse n’avait rien d’agréable, au vu des circonstances et de la personne qui la pratiquait, mais bizarrement elle amenait chez elle des sensations agréables liées aux zones stimulées (son anus était une zone très sensible). Ce salop prenait son temps et s’appliquait. Il attrapa ses fesses à pleines mains, les écarta et enfonça son visage faisant tourner sa langue autour de son petit trou, insistant comme pour en forcer le passage puis s’éloignant. Le mélange de tension et de stimulation amena son corps à la trahir... Elle sentit son bas-ventre chauffer, ses sens exacerbés et sa respiration devenir plus forte...D’une main, il caressa ses lèvres par en dessous. Elle savait sa chatte humide, elle essaya de serrer ses jambes mais cela amena les doigts de Philippe à venir stimuler encore plus tout l’intérieur de sa chatte. Son index allait et venait contre son clitoris qui avait gonflé et durci. Il inséra son pouce dans son vagin tout en poursuivant ses caresses buccales et manuelles. Son autre main avait glissé sur le côté et attrapé son sein gauche, il la pelotait avec ardeur et tirait sur ses tétons juste ce qu’il fallait pour stimuler cette partie de son corps. Elle s’était déjà retrouvée dans ce genre de position avec son homme comme spectateur, et c’était quelque chose d’excitant mais la situation respectait un cadre et un scénario réfléchi et co-approuvé à l’avance, rien de comparable à cela. Elle sentait néanmoins ses défenses tomber et se dit que si le plaisir de ce salop était de lui bouffer le cul, elle attendrait patiemment qu’il se lasse en gérant son plaisir pour éviter de trop nourrir le sien. A ce moment-là, la chaleur procurée par la langue disparut et d’un coup, elle sentit son gland venir pousser sa rondelle. Ce salop lui avait suffisamment humidifié pour qu’elle s’ouvre à sa queue. Elle résista mais le mal était fait et il réussit à s’enfoncer, Kris se sentit transpercée et irradiée de douleur au vu de la taille de l’engin. Il fait quelques allers-retours violents qui tirèrent des gémissements de douleur de la pauvre. Puis il se retira et lui dit doucement: — Alors ma belle, tu préfères que ce soit ma queue ou ma langue qui te fouille ? Pour joindre les gestes à la parole, il la sodomisa de nouveau avant de se retirer et lui laisser quelques secondes de répit. Il lui posa de nouveau la question, mais tournée différemment, comme s’il prenait un malin plaisir à omettre que son avis n’était que consultatif et ne lui laissait que peu de choix si elle ne tenait pas à se faire à nouveau embrocher comme une vulgaire dinde : — Veux-tu que je lèche à nouveau ton petit cul, ma salope de belle-cousine ?Elle hocha vivement la tête pour ne pas subir de nouvel assaut serrant sa mâchoire et se disant qu’elle trouverait le moyen de se venger.Il reprit alors de plus belle ces caresses initiales. Le décalage entre la violence dont il avait fait preuve et l’application avec laquelle il s’occupait de son intimité la rendit perplexe car son corps semblait quand même réagir à chaque stimulation. Elle était perdue entre la rancœur qu’elle accumulait et les sensations extrêmes que lui renvoyait son corps. Lui poursuivait s’attardant au plus profond d’elle avec sa langue. Dans cette position, il n’avait presque plus d’équilibre si bien que son visage s’enfonçait littéralement entre les fesses de Kris. Cette dernière chercha bien à le déséquilibrer mais cela ne faisait qu’offrir encore plus chacun de ses trous. A chaque mouvement, son pouce et sa langue rentraient un peu plus en elle. A la fin, elle ne savait plus si elle cherchait à se débattre ou si elle rythmait la pénétration. La vague de plaisir tomba sur elle sans qu’elle puisse la refréner. Elle eut une jouissance forte et sonore. Philippe se redressa puis lui murmura en lui tournant la tête vers la table basse: — Quand ton mari va voir ça, tu crois qu’il va bander ?? J’hésite à l’envoyer au cousin ou à l’ensemble de la famille...Elle regarda effarée et vit le téléphone posé en équilibre contre un verre qui avait certainement filmé toute la scène. L’angle était tel qu’on avait certainement l’impression qu’elle s’offrait, les menottes dans son dos n’étant pas visibles.Il lança alors une phrase qui fit comprendre à Kris que son calvaire était loin d’être fini:— Je sens que la nuit va être longue...
Diffuse en direct !
Regarder son live