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Ma révélation sexuelle

Chapitre 1

La rencontre et le chamin jusqu'à la chambre

Hétéro
Si j’avais su. Si j’avais su, en acceptant ce travail. Si j’avais su, en acceptant ce rendez-vous. Si j’avais su, est-ce que je le ferais à nouveau ? Je pense que oui, c’est d’ailleurs probablement la raison pour laquelle je couche par écrit ses souvenirs, pour les revivre. Tout a été un conte de fée, simple, en tous cas jusqu’à il y a peu. Mais chaque chose en son temps. Chapitre 1 : La rencontreDonc, j’accepte un travail de caissière dans un supermarché. Travail alimentaire en attendant de trouver quelque chose dans ma branche. Ha oui, j’ai 26 ans, je suis ronde, ni belle ni moche, sans grande expérience sexuelle et je viens tout juste de finir un master 2 en gestion de l’environnement.Je découvre la vie de caissière, enfin pardon, d’hôte de caisse. Les mémés, pour qui il faut compter la monnaie, les mecs trop mignons qui ne me voient même pas et me font rêver, les hautaines, que j’ai envie d’étrangler et bien d’autres, …, et puis lui.Lui c’est JM (ça s’invente pas^^), Jean-Marc, la cinquantaine, grisonnant, plutôt bien conservé, toujours souriant et à l’aise, prompt à faire une petite blague. Toujours un peu en train de draguer (sait-on jamais, sur un malentendu), l’œil baladeur, mais gentiment. Prenant toujours le temps de bavarder un peu, un mec vivant et humain quoi.Et finalement il a eu une touche. Moi. Au bien sûr je ne me l’avouais pas. Bon, je savais que tous les mercredi et vendredi je me faisais un peu plus belle qu’à l’accoutumée, maquillage et surtout décolleté. Un décolleté convenable certes, pour mon travail, mais un décolleté qui attraperait l’œil de JM. Je pensais que c’était seulement pour avoir le plaisir d’avoir un homme, même s’il eut pu être mon père, qui me regarde comme on regarde une friandise.
Même lorsqu’il me proposa d’aller boire un verre, le vendredi à 19h, comme par hasard juste avant la fermeture des caisses et la fin de mon service, j’acceptais juste pour l’amusement, et puis parce qu’il semblait agréable de passer un moment avec lui. J’ai dit oui, mais qu’il fallait que je parte à 21h pour prendre mon dernier bus.
En effet, c’était agréable de passer un moment avec lui. Je le retrouvais à 19h30. On a bu un coup et deux coups. Il était marrant, sérieux, intelligent, dragueur, bien dragueur. 20h30, je commençais à être un peu guillerette. Je lui ai dit que je devais y aller. Il m’a supplié que non, il m’a dit qu’il me ramènerait, et qu’au pire, si je n’avais pas confiance, il me paierait le taxi. Alors j’ai accepté, mais je ne devais pas rentrer tard parce que je bossais le lendemain matin à 8h. Tout content il a regardé la carte. Puis comme il n’y avait que des planches de charcuterie et de fromage il m’a invité chez lui, il n’habitait pas loin et on pouvait y aller à pied. J’étais un peu réticente à partir avec un inconnu, aussi sympa soit-il, alors, en rigolant, il m’a dit que je pouvais prévenir une copine et donner son adresse et que comme ça j’aurais l’occasion de gouter sa gastronomie. Le plan m’a paru honnête et, curieuse, flattée, j’ai accepté, juste histoire de voir, après tout j’avais passé un bon moment avec lui, ç’aurait été dommage de s’arrêter là à cause de conventions.
Il avait un appartement sympa, bien rangé, chaleureux. On est tout de suite passé en cuisine. Je lui ai servie de marmiton pour préparer l’entrée, une salade de pomme de terre/betterave/œuf/haricot vert et le plat principal, un poulet à la moutarde et l’estragon accompagné de riz et de vin. On a passé un moment très agréable, j’étais vraiment à l’aise avec lui. Pendant le repas on a parlé de tout, musique, cinéma, série, livre, un peu de nos vies et de nos métiers, de politique, … Pour le dessert, juste de la glace. Après quoi il m’a proposé un digestif. Il était prés de minuit. Heure fatidique s’il en est. Heure à laquelle on se transforme en princesse ou en citrouille. Ce soir-là, je n’avais pas envie de me transformer en citrouille. J’avais été une princesse toute la soirée et, sans vraiment trop y croire, je me disais que je pourrais peut-être me transformer en reine, en reine d’un soir au moins. Et c’est un « oui » malgré tout peu convaincu et un peu timide qui sortit de ma bouche.
Il dissimula plutôt bien sa satisfaction. Plus prévenant que jamais, comme s’il marchait sur des œufs alors que le moment critique s’approchait, il prit un air exagérément pompeux « Si madame veut bien prend place dans le canapé ». Tout sourire et flattée, un peu hasardeuse mais désinhibée grâce aux quelques verres bus, je pris place. Il revint promptement avec deux verres « Vendanges tardives » dit-il, emphatique, en me tendant un verre et en s’installant à côté de moi. Je ne connaissais pas. On a trinqué. J’ai trempé mes lèvres. Hm, frais et sucré, fleurit, un délice !!
Il me regardait fixement, comme pour voir si j’appréciais, à moins que lui aussi ne soit en train de déguster, mais pas le vin, et pas avec la bouche, mais ses yeux. J’étais complétement pétrifiée. Je n’ai jamais été bonne à franchir le pas, manque de confiance, d’expérience, peur de me prendre un vent. Je lui souris donc, nerveusement. Un sourire gêné qui explique tout. « Délicieux » dis-je en levant mon verre, mes yeux fuyant rapidement les siens.
Il a tendu sa main libre vers moi. Voyant son geste j’ai tourné mes yeux vers lui. Il m’a caressé la joue du revers de sa main. « Exquis » a-t-il dit, un peu comme s’il répondait à mon commentaire sur le vin. Lui avait visiblement plus l’habitude que moi de passer le pas. Je savais bien qu’il disait cela pour me faire plaisir. Il le pensait probablement un peu et, bien que ce fut exagéré, j’appréciait le compliment et me sentie rougir un peu.
Puis il se pencha vers moi pour m’embrasser. Hm, il m’embrassa comme un dieu. Je ne sais pas comment dire. Il arrivait à être tout à la fois délicat, doux et coquin. Je sentais ses doigts effleurer ma gorge, ou alors glisser légèrement derrière ma nuque, comme s’il saisissait quelque chose de précieux, un calice.
Il finit par mettre fin au baiser. « Hm, vraiment exquis » dit-il coquin. Quoique j’étais persuadée qu’il avait dû procéder de la même façon avec de nombreuses femmes, jeunes femmes, je ne pus m’empêcher de lui sourire, flattée.
« Ça va ? » me demanda-t-il. Je hochais la tête. « Plutôt oui » j’ajoutais. Il descendit une main sur l’un de mes seins. « Et eux ? » continua-t-il. Je souris en le voyant porter son attention sur ma poitrine en palpant mon sein, en le faisant gonfler et ressortir un peu plus de mon décolleté. « Je pense qu’ils apprécient l’attention que tu leur porte » répondis-je coquine.
Je fus surprise lorsqu’il releva les yeux vers moi pour me demander si les regards des hommes sur ma poitrine me dérangeaient. Ce faisant je le sentais chercher mon téton. Je lui répondis, sincère, que cela dépendait, que le sien m’avait rarement dérangé, et même plutôt plu. Ça y est, il avait trouvé le téton et le tripotait gentiment, l’excitait. Il durcit vite.
J’étais frustrée. Je voulais lui montrer que j’étais en train de m’exciter, mais je ne savais pas comment faire. Il me sourit, semblant le comprendre et, délicatement, sa main glissa sur mon épaule pour rejeter la bretelle de mon débardeur. Il l’a fit descendre le long de mon bras en même temps que je manœuvrais pour lui faciliter la tâche.
Dès que ce fut fait il découvrit mon sein et, tout en le plotant, se pencha pour l’embrasser, le lécher. Il le sortit du soutien-gorge pour s’occuper tout particulièrement de mon téton. Je gémissais doucement à mesure que le désir croissait en moi. Je caressais sa tête.
Je m’attendais à ce qu’il pose une main sur ma cuisse et remonte, histoire d’aller plus loin, mais non. Il semblait se satisfaire de la situation pour l’instant, à moins qu’il ne préférât que je fasse le prochain pas. En tous cas, prise par une soudaine audace, je décidais de retirer ma culotte.Il se redressa et me regarda, un peu surpris au début. Il avait probablement pensé que j’étais gênée et que je bougeais pour lui signifier mon inconfort. Puis il comprit et me regarda faire. Holala, j’étais toute à la fois excitée et gênée.
Je le regardais, pris l’une de ses mains et la posait sur ma cuisse, rouge comme une pivoine j’en suis sure, en tous cas bouillante d’excitation et de trac. Il se leva soudainement et me tendit la main pour m’inviter à me lever. Je compris tout de suite qu’il voulait m’emmener dans un endroit plus adéquat. Quel gentleman. Je pris sa main et me levait.
« Je ne t’ai pas fait visiter au fait » dit-il pour combler le silence un peu gêné qui risquait de s’installer. Sur le chemin de la chambre, je remis la bretelle de mon débardeur. « Voici, la salle de bain, …, et puis la chambre ». Audacieuse, je rentrais dedans. Que faire maintenant ? Je m’assis sur le lit et, coquine, éprouvait le matelas. « Il a l’air confortable » dis-je en le regardant et en lui rendant la direction des opérations.
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