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Rêves de femme

Chapitre unique

Divers
A quoi pensent les femmes, quand les maris, les amants sont absent et qu’elles sont seules ? Qu’elles sont les images qui défilent derrière leurs yeux fermés quand elles se font un petit plaisir solitaire ?Je n’ai pas la prétention de rassembler tous les scénarios de toutes mes consœurs mais je vais vous confier les miens quand je m’adonne à ces pratiques bien agréables. Je présente çà en une suite de petits scénarios, tantôt vécus, tantôt totalement imaginaires, tantôt un peu des deux, à vous de deviner. 1)Sur la scène du théâtre se joue un classique vaudeville, deux femmes, deux maris infidèles qui ont succombés aux charme de la voisine un peu salope et le voisin, mari de cette dernière. Pour passer l’éponge, ils exigent tous que la salope soit corrigée ici, devant eux. Je joue le rôle de la voisine.La salle, pleine à craquer, applaudit cette décision. Je rentre en scène.
·        Approche, trainée ! Ta conduite est inexcusable. Nos amis veulent que tu sois punie. Je vais donc te fesser devant eux·        Non pas devant eux, pitié !·        Il fallait y penser avant.
Je dois me coucher sur les genoux de mon mari, les fesses orientées vers la salle et les spectateurs. J’ai juste un string sous ma jupette que mon mari relève sur mes reins. Ils ont convenu que je dois prendre cent claques. A la moitié, j’ai les fesses brulantes et elles doivent être très rouges. Savoir que trois cent personnes regardent mon supplice m’excite au plus au point. Je commence à me tortiller sur les cuisses de mon homme et à battre des jambes.Puis mon mari baisse mon string au niveau des genoux. Les premiers rangs doivent bien voir l’humidité de mon abricot.
·        Une bonne correction, c’est cul nu.
Je reçois les claques restantes en écartant bien les cuisses, autant que le permet mon string qui m’entrave. Je jouis quand je sens une bosse grossir sous mon ventre… 2)Il y a, dans un grand magasin de la région parisienne, un genre de solderie, des cabines d’essayage, au moins une trentaine, disposées en U ce qui fait que dans la partie centrale, on voit toute la boutique et les deux coté sont face à face à quatre ou cinq mètres.Mon petit plaisir est de faire des essayages en sachant que si je ferme mal le rideau, la rangée d’en face va se rincer l’œil sur mon anatomie. Parfois même je le laisse grand ouvert. Je reste parfois une demi-heure à faire des strip-teases en séries.
J’aime surprendre les regards quand une robe tombe à mes pieds et que je passe sensuellement ma main sur le devant de mon string mine de rien. Puis faisant mine d’être surprise, je referme brutalement le rideau, avant de l’ouvrir à nouveau. Je fréquente aussi une boutique de fringues, plus petite, avec juste quatre cabines, deux de chaque côté d’une petite allée centrale. La particularité c’est qu’il n’y a pas de miroir dans les cabines mais juste une grande glace au fond de l’allée…
Donc, pour regarder l’effet produit il faut sortir de la cabine. J’aime bien y essayer des nuisettes sexy en me pavanant devant mon reflet et devant les autres utilisateurs. 3)A l’origine, j’ai vu une vidéo sur internet (style vidéo-gag) où l’on voit des filles dans la rue se promener avec la jupe malencontreusement coincés soit par le sac à dos, soit par la ceinture ou encore dans l’attache d’une banane. Bref,  elles se baladent la culotte à l’air… Je trouve çà très excitant de pouvoir montrer sa culotte mine de rien. ​Donc je fais pareil dans des lieux très fréquentés, Je coince l’arrière de ma jupe dans la sangle de ma banane et je me promène la culotte (ou le string) à l’air mine de rien en observant par des arrêts brutaux les yeux des suiveurs. Souvent mon mari marche quelques mètres en retrait pour observer et mieux me raconter après. 4)Avez-vous remarqué dans le RER que les sièges coté fenêtres sont encombrés au niveau des pieds par une petite marche qui diminue la place des jambes ou du sac ? Souvent on met un pied dessus. Pas de problème en pantalon, mais en jupe si vous mettez un pied sur la marche, c’est quasiment impossible de garder les jambes serrées.Alors je suis en jupe ou robe courte, je choisis un inconnu regardable et vais m’assoir en face de lui. Bien entendu je pose un pied sur la petite marche et avec mes talons, ma jambe remonte bien haut. Plongée dans mon Smartphone mine de rien, j’observe discrètement le regard d’abord hésitant, puis très vite affirmé de mon vis-à-vis sur ma petite culotte qui devient vite très humide. S’il lève les yeux et que nos regards se croisent, je le gratifie de mon plus beau sourire pour qu’il regarde encore, et çà marche. 5)Comme tout le monde (ou presque) nous voyageons et parfois sur l’autoroute. Comme il est conseillé de s’arrêter régulièrement, profitons-en pour se distraire un peu.  Mon mari me lance ce qu’il appelle des défis de salope.Il m’accompagne dans les toilettes, coté hommes, et au moment de m’enfermer, je dois lui remettre ma jupe et il s’en va. J’attends seule dans la cabine, un peu de stress, un peu la trouille, beaucoup d’excitation, j’ai les tétons tout durs et je mouille.Nous restons en contact téléphonique et c’est lui qui me dit quand je peux regagner la voiture garée tout au bout du parking ou dans une contre-allée, juste pour s’assurer  de l’absence d’enfants.Dès son signal, je sors des toilettes en culotte, parfois avec des bas selon les saisons. En général mon pervers de mari donne son feu vert quand il y a un homme (parfois deux), genre bcbg représentant de commerce, derrière les portes. Je dois fatalement les croiser en sortant.Effet de surprise, ils restent muets, les yeux exorbités et moi, leurs regards me brulent le ventre.J’entends dans mon dos « Quelle salope ! »  S’ils savaient qu’un de mes fantasmes serait  qu’ils me claquent les fesses quand je passe devant eux.Puis je rejoins la voiture en marchant (pas le droit de courir) devant les quelques véhicules garés. Je suis souvent invectivée, des mots cochons, des propositions. Je me retourne souvent pour voir où est mon homme, voir si on me suit et me montrer un peu plus. 6)J’ai une petite aventure dans une toute petite boutique de lingerie, bas collants sexy d’une chaine bien connue. La vendeuse me dévore des yeux depuis un bon moment. J’entre dans la cabine pour essayer un bustier. J’ai juste une petite robe, des bas auto-fixant, une culotte haute mais très fine et complètement transparente. La robe tombée, j’enfile le bustier mais je n’arrive pas à agrafer les attaches. Je passe la tête en écartant le rideau pour demander de l’aide.Et l’aide en question se précipite. Je suis face à la glace, juste ma culotte transparente et mes bas, elle dans mon dos et elle commence à agrafer le bustier, puis une de ces main passe devant, sous mon bras, pour soulever mes seins par en dessous pour détendre le tissu.​Effet immédiat, un gémissement incontrôlé, un grand frisson et un jet de cyprine imprévu mais très visible sur ma culotte.·        Oh ben vous alors !·        Excus….. Je ne fini pas ma phrase, elle prend ma bouche à pleine bouche et mon sexe à pleine main. J’en fait autant et nous prenons un plaisir magistral, debout dans la cabine. 7)L’homme, la soixantaine, me regarde intensément. Je dois aller lui dire que mon mari va me fesser et qu’il peu venir voir. Je suis toute rouge et je mouille ma culotte.Il arrive je sers un verre de rosé bien frais. Mon mari passe sa main entre mes cuisses et sent bien l’humidité de ma petite culotte en dentelle rose.·        Salope, ça t’excite de montrer tes fesses, retire ta jupe ! Il recule sa chaise et me fait signe de venir sur ses genoux. Je me suis docilement allongée et j’ai tendu mes fesses. Je sens bien le regard du monsieur sur ma croupe. Peut-être voit-il l’auréole grandissante à mon entre-jambes ?Après une bonne fessée, j’ai le cul brûlant et j’imagine bien rouge.·        Aller, va faire toucher tes fesses à notre invité, qu’il dise s’il les trouve assez chaudes.Je finis nue et je suis pénétrée par les doigts du monsieur. On entend plus que le clapotis de ma mouille et mes gémissements. J’ai eu deux bons orgasmes, comme ça, debout, la fontaine a coulé, je lui ai inondé la main.  8)Nous nous garons sur un parking avec des tables de pique-nique occupés par des routiers. Mon mari passe sur le siège passager.  Je dois alors me coucher sur ses genoux, jambe dehors et je prends une bonne fessée devant les routiers, je me fais déculotter et je dois relever mes fesses bien haut  en écartant les jambes pour tout montrer, y compris mon bijou anal.C’est quand mon mari dit «  Ah, salope ! Tu voulais monter ton cul, eh bien montre le » que je jouis comme une folle. Que voulez-vous, j’aime la fessée publique.  9)Je dois traverser un long couloir dans l’obscurité totale. J’entre, la porte se referme derrière moi. Des mains anonymes me touchent, me tripotent puis me poussent en avant. D’autre mains retroussent ma robe et me branlent l’abricot. A l’étape suivante, je reçois un sexe bandé dans ma bouche, je le suce. J’avance encore, je suis baisée par plusieurs hommes. J’ai plusieurs orgasmes. Arrivée au bout du couloir une autre porte s’ouvre et je me retrouve dans la lumière, dépenaillée et couverte de sperme. 10)Je me fais prendre par deux vigiles car je viens de voler dans un grand magasin. Je suis conduite dans le local des agents de sécurité. C’est ou la fouille et la punition, ou la police et la plainte. J’accepte d’être fouillée.
·        Déshabillez-vous ! Aller, vite.Je retire ma robe·        Il y a des femmes qui portent une culotte, d’autres qui n’en portent pas, mais deux culottes c’est rare !·        Ou bien c’est les voleuses.·        C’est bon, vous avez trouvé je peux me rhabiller ?·        Non, non retirez tout on ne sait jamais avec les filles comme vous.
Je retire mes deux culottes et mon soutien-gorge. Je suis nue devant les deux hommes.·        Levez les bras et écartez les cuisses, il nous faut chercher partout.
L’un me fouille la chatte de deux doigts et l’autre me met un doigt dans les fesses.·        Mais, elle est trempée cette salope.
A partir de ce constat, ils se lâchent. Ils me branlent. Je suis surprise de mouiller autant. On entend plus que le clapotis de mon sexe. Je gémis de plaisir. Mes tétons sont malmenés. Je m’entends dire :·        Oui, oui, encore, plus fort, baisez-moi fort !
Je me retrouve avec un sexe dans chaque main, je les branle aussi. Je jouis. Ils sont surpris par mon jet de cyprine. Je suis poussée sur le bord de la table et aussitôt enfilée comme une vulgaire catin pendant que l’autre grimpe sur la table et vient se faire sucer. Puis ils inversent les rôles au moment où la porte s’ouvre sur deux autres vigiles qui encadrent une autre voleuse.Cette conne me regarde jouir et choisit l’option «police et plainte». Elle est conduite dans un bureau attenant et je reste avec les quatre. Ils me baisent tous, je les suce tous et ils se finissent en éjaculant sur mon visage.Je quitte les lieux souillée, avec du foutre collant sur le visage, dans la bouche, dans les cheveux. Mais quel plaisir ! J’ai eu une dizaine d’orgasmes. Vite, la douche. 11)Nous sommes au vernissage de l’expo d’un ami peintre. Il y a du Champagne, des mignardises et nous déambulons dans les allées. Des écrans vidéo diffusent le parcours du peintre et ses œuvres. Mon mari m’attire vers une porte. Derrière, dans un salon cosy, il y a trois hommes et un banc à fessée. Je suis liée sur le banc, déculottée et copieusement fessée par mon mari pendant que tour à tour les hommes viennent se faire sucer et se soulager sur mon visage. J’ai un orgasme fabuleux.Nous regagnons l’expo et là, surprise, les écrans vidéo diffusent en boucle la scène du petit salon. Je m’y vois fessée, souillée et surtout, on voit très bien le plaisir que j’y trouve. C’est le feu vert pour que je sois pelotée, tripotée par ceux qui me croisent et me reconnaissent. J’ai des mains aux fesses, on me pince les tétons à travers ma fine robe, le tout avec des commentaires graveleux.
·        Vous trouvez que c’est meilleur que le Champagne, Avez-vous encore les fesses rouges, Vous êtes une belle salope, Gourmande, vous avez de la mayonnaise jusque dans les cheveux, S’il en fait un tableau, je l’achète de suite, …
Je demande à mon mari si on peut retourner au petit salon car j’ai une terrible envie de me faire baiser, en vidéo ou pas.
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