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Chapitre unique

Soulager sa frustration

Zoophilie
Je n’ai pas fêté mes 50 ans. J’étais en pleine déprime. Les enfants avaient quitté la maison. Mon fils s’était mis en ménage avec sa copine. Ma fille était à l’université. Daniel, mon mari, travaillait beaucoup, et il avait presque perdu tout intérêt pour le sexe. Mon patron avait réduit mes heures, et je ne travaillais plus que le matin. Mes après-midi, je les passais à faire le ménage, les repas et les courses. Parfois, je restais simplement assise sur une chaise longue à me demander comment ma vie était devenue si merdique. Ma seule distraction, c’était une visite de ma copine Nathalie pour le thé.
Nathalie était célibataire et semblait heureuse. Un jour, elle m’a dit qu’elle avait elle aussi 50 ans. Pour fêter ça, on a ouvert une bouteille de vin. Deux verres, et je déversais ma mélancolie sur elle. Elle a écouté mes jérémiades, puis elle m’a offusquée :
— Combien de fois par semaine te masturbes-tu ? elle m’a demandé. Je suis restée médusée. Alors, combien de fois ? — Je ne fais pas ça, marmonnai-je, indignée.— Eh bien, voilà, ma chérie, tu es sexuellement frustrée. Moi, j’utilise un vibromasseur pour soulager ma frustration.
J’étais sans voix. Elle ne m’avait jamais parlé comme ça depuis que je la connaissais. Je suppose que le vin la désinhibait aussi.
— Est-ce que je te choque ? Il ne faut pas t’effaroucher ! Je suis ton amie, et je m’inquiète pour toi.
Elle s’est assise à côté de moi sur le canapé, et m’a enlacée.
— Je te dis cela, c’est pour ton bien. Je ne veux que ton bonheur.
Puis elle a changé de sujet et les choses se sont calmées. Quand je suis rentrée chez moi, assise seule dans mon salon, ses paroles ne quittaient pas mon esprit. Étais-je vraiment frustrée sexuellement ? Je ne me masturbais plus depuis mon mariage. Et un vibromasseur ? Je n’avais jamais envisagé d’en utiliser un. Je devrais peut-être essayer. Était-ce la frustration sexuelle ou le vin qui me faisait réfléchir ainsi ?
Ce soir-là, j’ai pris ma douche et mis une nuisette légère. Je ne la portais plus depuis des années. En fait, j’ai été étonnée qu’elle m’aille encore. Je me suis assise sur le canapé, à côté de Daniel. Il regardait la télé et ne m’a même pas remarquée. Je suis retournée dans ma chambre, j’ai enfilé ma chemise de nuit confortable et je me suis glissée dans mon lit. Je me demandais si je pouvais encore prendre du plaisir en me caressant.
J’ai commencé à me stimuler. Rien au début. Mais peu à peu, j’ai commencé à ressentir des sensations oubliées. Je respirais profondément en gémissant pour me motiver, et puis c’est arrivé. Mon premier orgasme depuis des lustres. J’ai continué, et je me suis fait plaisir une deuxième fois avant de m’endormir. Je n’ai même pas entendu Daniel venir se coucher.
Ayant retrouvé le plaisir grâce à la masturbation, je me suis livrée à mes démons solitaires toute la semaine. Je commençais à retrouver un meilleur moral. Je devais remercier Nathalie pour son aide. Elle était juste contente pour moi. Elle m’a tendu un morceau de papier avec une adresse Web écrite dessus.
— Va visiter ce site. Tu y trouveras tout un tas de fantasmes coquins.
Nous avons discuté de nos banalités habituelles en buvant un thé, puis je suis rentrée chez moi. Assise devant ma télévision, je me suis rappelée du site Web qu’elle m’avait conseillé. Par curiosité, je me suis connectée : Waouh. Il y avait de tout, pour tous les goûts. Bien sûr, j’en ai profité, et pas qu’un peu, pour me faire du bien. Daniel devait rentrer à la maison, alors j’ai supprimé l’historique.
C’est à cette époque que la sœur de Daniel, Audrey, et son mari, ont décidé de changer de vie. Ils partaient vivre à l’étranger et n’emmenaient pas leur chien, un berger allemand appelé Prince. Je ne voulais pas d’un chien. Bien sûr, Daniel a dit que nous serions heureux de nous en occuper. Nous avons reçu tout ce qui va avec. La nourriture, son panier, et la liste détaillée de ce qu’il faut faire.
Audrey m’a confié à voix basse qu’il était très "affectueux".
— Oh, génial ! j’ai pensé, mais j’ai compris beaucoup plus tard ce qu’elle voulait dire.
Bien sûr, Daniel était très heureux d’avoir un chien, mais c’était moi qui m’occupais de lui. Les promenades quotidiennes, sa nourriture, etc. Je lui avais installé une niche sous le porche arrière, parce que je n’en voulais pas dans la maison. Le chien n’aimait pas ça, mais mes après-midi m’appartenaient.
Ma fascination pour ce site porno faisait que je me connectais tous les jours. Je suppose que j’étais accro. Dans le feu de l’action, je me sentais bien. Mais une fois l’excitation retombée, je ressentais un grand vide.
Tout a changé pendant un après-midi orageux. Un coup de tonnerre qui semblait s’être produit juste au-dessus de la maison fit japper Prince de peur. Ça m’a fait sursauter. Je l’ai fait entrer dans la maison le temps qu’il se calme, et je suis retourné vers mon ordinateur portable.
Je portais une jupe, et j’avais enlevé ma culotte. En y repensant, ce doit être l’odeur qui a attiré le chien. J’ai repris mes activités manuelles, lorsque Prince a collé son museau dans mon entrejambe. J’ai crié et je l’ai repoussé, mais il est revenu à la charge.
Cela faisait si longtemps que je ne m’étais pas fait lécher la chatte. Dès que sa langue s’est enfoncée dans ma fente, j’ai frissonné. C’était si agréable. Je fixais son crâne, puis je fermais les yeux. J’ai essayé d’imaginer que c’était un beau gars entre mes cuisses, puis j’ai réalisé que c’était meilleur d’admettre que c’était un chien. Je n’avais aucune expérience de la bestialité.
Je n’avais aucune idée de ce qu’il fallait faire ou ne pas faire. Tout ce que je savais, c’est que c’était bon. J’écartais les jambes, m’appuyais au dossier en poussant mon bassin vers l’avant. Je m’abandonnais totalement au délice de cette nouvelle expérience. Je suppose que Prince s’est finalement lassé parce qu’il s’est arrêté.
— Oh ! N’arrête pas, Prince. Continue, c’est si bon ! dis-je à haute voix. Il se tenait là, la tête penchée sur le côté, probablement dans l’attente de quelque chose, mais quoi ?
J’ai pensé qu’il devait y avoir des sites Web sur des chiens avec des femmes, alors j’ai commencé à chercher. Après plusieurs recherches infructueuses, j’ai enfin trouvé ce que je cherchais. J’ai été choquée de constater que des femmes se faisant lécher par des chiens n’étaient qu’une petite partie de l’activité.Il y avait des femmes qui avaient des relations sexuelles complètes avec des chiens, et même des relations anales ou orales. Certains chiens avaient des pénis vraiment énormes. L’idée de faire l’amour avec un chien était à la fois dégoûtante et intrigante. Je ne m’imaginais pas le faire, mais je n’ai pas pu m’empêcher de me caresser. J’ai regardé Prince. Pourrais-je le faire ? Comment le faire ?
J’étais pratiquement sûre que je ne le laisserais pas me pénétrer, mais je me souvenais encore des frissons provoqués par sa langue. Je m’installai sur le canapé du salon, troussée jusqu’à la taille.
— Allez, viens, mec, viens me lécher la chatte.
J’avais mes jambes ouvertes, et il a semblé comprendre ce que je voulais. Je ne savais pas comment il me devinait, mais, à ce stade, cela n’avait aucune importance pour moi. Il s’installa et recommença à me lécher. C’était encore mieux que la première fois. Monstrueusement bon.
Je suppose que ces vidéos m’avaient excitée. Je gémissais de plaisir. Soudain, il s’est arrêté et m’a grimpée dessus, ses hanches s’agitant dans les airs. J’ai crié et je l’ai repoussé, mais il a résisté. J’ai réalisé qu’il essayait de me couvrir. Il voulait que je sois sa femelle. J’étais choquée, d’autant plus que sa bite était sortie, et qu’elle était magnifique.
Mon cerveau tournait à l’envers. Dans ma tête, je rejouais des passages des vidéos que je venais de visionner. J’imaginais être une de ces femmes saillies par leur chien. Vautrée sur le dos, les fesses dans le vide, ce chien qui luttait pour me pénétrer. Il était lourd, et j’étais faible. Le chien grognait de frustration.
Soudain, j’ai vu l’horloge. Il était tard, et Daniel serait là dans 30 minutes. J’ai paniqué. J’ai repoussé Prince et j’ai bondi sur mes pieds. Il m’a grogné après, probablement de frustration. J’étais frustrée aussi. J’ai rapidement supprimé l’historique de l’ordinateur, mais j’ai gardé l’adresse du site de bestialité.
J’ai mis le chien dehors, j’ai repris une apparence humaine, et je suis allée dans ma cuisine pour préparer le dîner. Je tremblais en pensant à ce qui avait failli se produire. J’en avais mal au ventre à force de penser à ce chien et à ce qu’il voulait faire de moi.
Le lendemain matin au travail, je ne parvenais pas à me concentrer. Je ne pensais qu’à Prince, et à sa bite magnifique. Mon patron m’a demandé si j’étais malade. S’il savait.
De retour à la maison, j’ai décidé d’aborder cela comme une leçon de choses. Une expérience de la vie. Je devais en savoir plus. Je suis retournée sur le site de bestialité. J’ai trouvé une vidéo intitulée "comment dresser votre chien". Je l’ai regardée, fascinée. Elle expliquait le mécanisme du sexe avec un chien.
Tout de la psychologie qui motivait l’animal, jusqu’à la formation du nœud. Il attachait le mâle à la femelle, pour qu’il soit sûr de l’imprégner. Pendant que je regardais cette vidéo éducative, il m’est apparu clairement que Prince semblait savoir quoi faire. La vidéo n’arrêtait pas d’expliquer qu’il fallait du temps pour dresser un chien. Puis ça m’a frappée. Audrey avait dit que Prince était très affectueux. C’était donc ce qu’elle voulait dire. Ma belle-sœur était une salope. Prince savait quoi faire, car il était déjà dressé.
J’ai regardé Prince avec son museau pressé contre la fenêtre. Je tremblais. J’avais regardé avec ardeur ces vidéos de femmes montées par des chiens. Mais là, c’était la réalité. C’était moi qui voulais me souiller avec un animal. Je me suis trouvé un prétexte, une excuse.
— Je vais juste le laisser me lécher, et je l’ai fait entrer. Vautrée sur le canapé, troussée jusqu’à la taille, jambes ouvertes, je m’offrais impudiquement au chien. Il n’était pas rancunier et il est venu me lécher. Sa langue agile, râpeuse et large, massait les moindres recoins de mon entrejambe, des fesses au pubis.
Je gémissais de bonheur. Plusieurs fois, il m’a fait toucher les étoiles. Cette fois, lorsqu’il m’a grimpée dessus, je ne lui ai pas résisté. Je le désirais de tout mon être. Je tremblais d’impatience parce qu’il ne trouvait pas l’ouverture, et sa bite heurtait mes chairs au hasard.
Je glissais ma main entre nous pour le guider. Sa bite était déjà poisseuse de liquide éjaculatoire. Je l’ai alignée sur l’entrée de ma chatte. Quand il s’est aperçu qu’il était au bon endroit, il a poussé. Il m’a pénétrée sans prévenance, d’une seule poussée énergique.
Le plaisir de la femelle qu’il besognait n’était pas sa principale préoccupation. Il m’a baisée avec rigueur et efficacité. Maintenue en place par le poids du chien qui s’agitait sur moi, la taille prise entre ses pattes avant, je n’étais plus qu’une femelle soumise à son désir de reproduction. Prince me baisait royalement, et je couinais de plaisir.
Je n’avais jamais rien connu de comparable. La taille de l’engin, autant que l’énergie dont il faisait preuve, rien ne m’avait préparée à subir un tel assaut. J’ai perdu la tête, et j’ai oublié le nœud. Lorsque le nœud s’est formé et qu’il m’a pénétrée, j’ai cru mourir éventrée. Il a fallu de longues minutes avant qu’il ne me libère.
Il m’a léchée, semblant apprécier les jus qui s’échappaient de mon ventre. Je me suis installée à quatre pattes sur le tapis du salon. Prince a grogné de plaisir. Immédiatement, il a compris ce que cela signifiait, et il m’a couverte. Évidemment, cette position lui était plus coutumière.
Accroché à moi, il m’a baisée à me retourner le cerveau. À chaque poussée, sa bite semblait plus grosse. Il était beaucoup plus long et plus épais qu’un homme. Plus énergique et plus endurant aussi. J’ai senti son nœud me pénétrer. J’ai essayé de me dégager. Il a grogné, et il a saisi mon cou dans sa gueule.
J’étais maintenant officiellement sa chienne. Il a percuté son membre au fond de ma vulve. Puis il a cessé de bouger pour inonder mon vagin de son sperme chaud et fécond. Là aussi, j’ai dû patienter avant qu’il ne me libère. Son sperme coulait hors de moi.
Il m’a léchée longtemps, amoureusement. J’étais choquée. Pas parce que je m’étais offerte à un chien. Mais parce que je l’avais tellement apprécié. Je me traînai jusqu’à la salle de bain. Je me suis accroupie dans la douche pour me laver la chatte. J’étais affreusement distendue et boursouflée. Je pouvais rentrer mes doigts dedans comme dans un sac à main.
Mais je n’ai pas pu finir de me nettoyer. Prince m’avait suivie dans la salle de bain, et il voulait me monter. Sa bite était dure. J’étais surprise. Comment avait-il pu redevenir si vite opérationnel ? Je me suis accroupie sur le carrelage, et je l’ai laissé faire tout ce qu’il voulait de moi. C’était encore meilleur à chaque fois. Je savais à quoi m’attendre cette fois. J’ai mis Prince dehors avant d’essayer de nettoyer le désordre.
Ensuite, je me suis assise sur le canapé en essayant de méditer pour comprendre la situation. Certains faits étaient évidents. Premièrement, la sœur de Daniel était une salope. Elle l’avait dressé. Deuxièmement, moi aussi, j’étais maintenant officiellement une salope. Troisièmement, il n’y aurait pas de retour en arrière.
J’avais adoré être prise par ce chien, et j’en voulais encore. Mais je devais être prudente. Daniel ne pouvait pas savoir, ni même me soupçonner. Mon futur plaisir reposait sur le secret. J’ai prévu un mode opératoire.
Forniquer avec Prince seulement quand j’en avais envie. Couvrir le tapis avec un linge. Traquer les taches de sperme. Aérer après la copulation. Cela ressemblait à un plan sensé. Bien sûr, je ne m’y suis pas toujours tenue. J’ai réalisé que le pouvoir de récupération de Prince était rapide. J’ai aussi réalisé qu’une fois ne suffisait pas. J’ai aussi réalisé que j’en avais envie tous les jours.

Nous voici donc trois mois plus tard. Je n’embête plus Daniel pour le sexe. Prince couvre mes besoins. Il n’est pas rare de me donner à lui plusieurs fois dans un après-midi. Daniel n’a aucun soupçon ni aucune envie de sexe. La vue d’une femme en train de sucer la bite d’un chien m’avait choquée, mais maintenant j’apprécie beaucoup ça. Je ne pense pas que Prince aime ça, mais il est conciliant. Ma frustration sexuelle n’est plus qu’un lointain souvenir.
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