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Rex, ma liberté

Chapitre 1

Zoophilie
Bonjour,je m’appelle Jade. J’ai des origines chinoises qu’on peut aisément reconnaître et je suis étudiante endroit social.— Jade ! Dépêche toi, on va être en retard !Je pris une grande inspiration. Cette soirée était pour moi, pour fêter mes 21 ans, organisée par desamis de longue date. Mais, je n’avais simplement pas envie d’y aller. Je me regardai une dernièrefois dans la glace. Amélie, ma colocataire s’était fait un plaisir de me trouver une robe parfaite pourle thème de la soirée ’année 1800’. J’avais en effet un corset à basque rouge qui rendait ma poitrinegénéreuse et attirante et une jupe à jupon d’étamine. Elle s’était également attachée à me faire unecoiffure digne d’une comtesse. Le tout donnait un ensemble assez harmonieux, sexy même.— J’arrive ! Criai-jeAprès dix minutes de bus nous étions arrivées au bar où se tenait la fête. Une multitude depersonnes en costume d’époque entraient dans la salle de réception, ça donnait un rendu assezétrange dans les rues de Paris. Il y a avait une reproduction antique de couples fortunés, de damesdistinguées et de jeunes hommes charmeurs.Je respirai un grand coup et j’entrai dans la salle. Elle était chaude et agréable. La marche desDavidsbûndler contre les Philistins de Robert Schumann résonnait en fond créant une atmosphèredouce et chaleureuse. Des lustres antiques étaient suspendus au plafond, des tables en bois pouvantaccueillir plusieurs convives étaient parsemées partout dans la salle, il y avait même des ancienstableaux sur les murs de bois clairs.Je scrutai la salle des yeux et reconnu une partie des visages dont une ancienne amie d’enfanceincarnant pour la soirée le rôle de Joséphine de Beauharnais. La joie me gagna et je m’empressaid’aller vers elle pour la saluer et prendre de ses nouvelles. Elle me raconta qu’elle suivait des étudesen Belgique pour devenir avocate. Elle me parlait et me parlait encore mais je ne l’écoutais plus.Derrière elle se tenait un homme que je ne connaissais pas. Il était blond et il avait l’air d’avoir des
yeux verts. En costume, avec une grande cape noire et un haut chapeau il incarnait le charisme purde l’époque. Je me rendis soudain compte que je m’étais approchée de cet homme mystérieux,délaissant mon amie et ses histoires scolaires. J’avais envie de découvrir cet homme, de sonder sonâme, de voir plus loin que ces yeux pétillants.— Bonjour, je m’appelle Jade et vous ? Balbutiai-je.J’ouvris grand les yeux, il était encore plus beau de près. Ses yeux que j’avais cru verts étaient enréalité parsemés de bleu. Une barbe de quelques jours sur son menton. Il me regarda d’un airsurpris.— Bonjour mademoiselle, Emilian. Dit-il avec un sourire au coin de ses lèvres.Il plongea ses grands yeux dans les miens. Me regarda d’une manière si profonde, j’en eu le soufflecoupé. Devenais-je folle ? Était-ce ça, un coup de foudre ?— Puis-je vous offrir un verre Jade ? En dépit de ne vous avoir amené quelconque cadeaux.Dans un deuxième et troisième verre, il me parla de sa famille en Norvège, du fait qu’il avait faitfortune dans l’audiovisuel, qu’il vivait seul non loin de là. Très vite, la tête me tournait alors quemon verre n’était jamais vide. Je ne pouvais lui refuser quoi que ce soit, il était bien trop attirantpour le laisser passer. Cette soirée que j’appréhendais se passait mieux que ce que j’avais puimaginer.Puis ce fut le trou noir.Un cri strident de femme retentit, je m’éveillai d’un bond. Ne sachant pas où j’étais, je scrutail’obscurité en espérant repérer quelque chose. Comment avais-je atterri ici ? Autour de moi se tenaitune grande chambre blanche, froide. Le lit était blanc, le mur fait de carrelage, il n’y avait aucunefenêtre pour indiquer si on était encore la nuit ou le jour. J’essayai de me remémorer la soirée maisje me souvins juste de ses beaux yeux. Comment était-ce possible que ça m’arrive à moi ? Jepaniquais.— à l’aide ! Criai-jeJe me levai pour tambouriner à la porte.— Que quelqu’un vienne m’aider, s’il vous plaît !Des bruits de pas raisonnèrent au loin. La porte s’ouvrit avec fracas.— Jade ! Arrêtez d’avoir peur ainsi. Dit-il nerveusement en se passant la main dans les cheveux, unéclair de peur traversa ses yeux une fraction de seconde avant de redevenir normal.Il était là, mon étranger, mon sauveur. Emilian.— Ecoutez, vous avez trop bu hier soir. Vous ne teniez plus debout, je m’inquiétais pour vous alors jevous ai ramenée chez moi, dans mon hôpital privé. Est-ce que ça va mieux ? Me demanda t-il, meregardant à nouveau droit dans les yeux.— Je ... Je crois, merci balbutiai-je. Je me rendis alors compte que j’avais quitté ma tenue de soiréepour une simple robe en mousseline, rouge.— Venez ! Dit-il en me prenant par la main pour me sortir de la chambre.Dehors, se trouvait une dizaine de portes pareilles aux miennes. Au fond de moi je me demandaisquel genre de patients il pouvait accueillir ici mais je me retins de tout commentaire, je me contentaide le suivre, ébahie par tant de richesse. Je remarquai que le jour s’était déjà levé dehors.Il m’entraîna dans un grand salon luxueux. Un feu ouvert crépitait sur une musique de MelodyGardot, Baby I’m a fool. Deux grands fauteuils en cuir clairs entouraient une table basse en boismassif, juste devant le feu.— Puis-je vous proposer de vous asseoir, Jade ? Quémanda t-ilAbasourdie par tant de luxe et de charme, je m’exécutai. Me demandant ce qu’il allait se passer parla suite. Il me proposa ensuite un verre de vin blanc que j’acceptai avec plaisir. Alors qu’il était alléchercher la bouteille, j’étudiai plus le salon. Une tête de tigre et une tête de lion se tenaient au dessusdu feu ouvert, me fixant dans le blanc des yeux. Dehors, à travers une grande baie vitrée je pouvaisapercevoir un parc très bien entretenu, magnifique. Il revint pour me donner mon verre de vin blancet je pris le temps de le détailler lui aussi, timidement. Il portait une chemise de soie blanche avecun pantalon assez simple, noir. Ça épousait ses formes d’une manière à souligner ses musclessaillants et son corps si bien dessiné.Il surprit mes yeux sur son corps et une lueur étrange passa dans son regardJe détournai les yeux, rougissant malgré moi, sentant mon coeur s’emballer.Il s’assit alors à côté de moi, me tendant le verre de vin dont je bu une petite gorgée. Délicieux.-Est-ce que vous vous êtes remise de vos émotions ?-Oui, je pense que ça va ... Je ne voulais pas crier tout à l’heure, j’ai juste eu peur mais maintenant çava mieux, ici avec vous.— Ma belle Jade, savez vous que vous n’êtes pas comme les autres ? Vous m’avez tout de suite plu.Il me dit ça en me regardant avec son regard puissant, enflammé.Alors que je commençais à sentir une chaleur monter dans mon ventre et m’envahir entièrement, nevoulant plus que l’effleurer, sentir le contact de sa peau contre la mienne, il se pencha pourm’embrasser ... Mais il s’arrêta et me susurra dans l’oreille d’une voix qui se voulait être autoritaire.— On va bien s’amuser tous les deux, viens par ici.Il m’empoigna et me tira jusqu’à un jardin. J’eus peur, qu’allait-il me faire ? Alors que nousdescendions les marches vers le jardin, j’aperçus un berger allemand.— Rex, au pied ! Cria t-il.— Je te présente Rex, me dit-il en me regardant avec malice. Il a 3 ans et demi et adore les femmescomme toi. Je te conseille de faire ce qu’il désire car si tu veux rentrer chez toi, tu dois devenir sonesclave sexuelle.Le monde s’arrêta de tourner. Son esclave sexuelle ? J’étais perdue. Moi qui n’avais eu que desamants de mon âge, des garçons respectables ... Je ne pouvais pas imaginer ça. Du dégoût se pris demoi. Je vais refuser, pensais-je. Il est complètement dingue, un chien !— Il n’en est pas question répliquais-je, les larmes aux yeux. Jamais votre fichu chien mettra unepatte sur moi !— C’est toi qui choisis, ma jolie me dit-il en passant un doigt sur mes lèvres.Il s’éloigna et j’aperçus les caméras présentes dans le jardin, elles le couvrait en entier. Je savaispertinemment qu’il me regardait, quelque part derrière ces caméras, j’étais dégoûtée. Comment mavie pouvait elle prendre un tel tournant ? Me faire saillir par un animal, tel était le prix à payer pourma liberté.Alors que je réfléchissais, je sentis une truffe humide entre mes jambes. Rex était là, la languependue attendant que je m’offre à lui.— Va t’en ! Mais il commença à grogner, il montra ses dents et je pris peur.Il revint à la charge, sentant mon entre jambe avec entrain. Je me rendis alors compte que dans cetterobe de mousseline, je n’avais pas de sous vêtements. Il se montra plus féroce, grognant d’avantageen mettant ses pattes sur mon dos. Je me couchai donc, la mort dans l’âme pour découvrir unenouvelle forme de sexe.Remuant la queue, heureux il vint à nouveau renifler mon entre jambe. Alors que je pensais que çane pourrait être pire, je sentis une langue chaude et rugueuse sur mon clitoris. Il me léchait.Étrangement, c’était ... Différent.Différent de ce que j’avais pu connaître. Comme si il savait exactement où appuyer pour que ça meprocure du plaisir.J’entendais la voix chaude d’Emilian dans ma tête me poussant à continuer, si je voulais malibération.Je regardai le chien. Il me léchait avec de plus en plus de vigueur, son sexe, une petite tige rougeétait sortie de son fourreau. Je me relevai et posai ma main dessus. C’était étrange, un peu commechez l’humain mais différent en même temps. Des petits jets de spermes coulaient déjà le long de saverge et je me surpris à passer mes doigts dans ma bouche.Salé.C’est alors que Rex s’excita. Il essaya de me monter en donnant des coups de reins dans le vide. «Etsi je me laissais faire ... C’est peut-être un meilleur coup que mes ex.»Je me positionnai à quatre pattes, les fesses en l’air. Rex n’en attendit pas plus, il s’élança sur moi,me tenant par la taille par ses deux pattes avant, toute griffes sorties. Je me remerciai intérieurementd’avoir gardé la robe.Il commença à grogner, il donnait des coups de rein dans le vide et ça n’avait pas l’air de lui plaire,j’aidai donc sa verge à trouver le bon chemin.Dans un coup de rein puissant il entra en moi. Je criai, il avait une verge plus énorme que ce que jen’aurais cru, il me faisait mal et allait extrêmement vite, il allait, il venait en aboyant de plaisir.J’étais sa chienne.Alors que je commençais à aimer ses coups de boutoirs violents, je sentis une masse de chaire àl’entrée de ma vulve. Elle essayait d’entrer, m’écartelait. Je n’avais jamais sentis quelque chosed’aussi énorme, je pris peur et me contractai ce qui fit grogner le chien qui s’excita encore plus àessayer de faire entrer cette chose énorme en moi. Enfin, il y arriva et se calma, ne bougea plus. Jesentis alors au plus profond de moi des jets de sperme canin chaud m’envahir.Je voulu me retirer mais on était comme collés par cette boule. Je paniquai mais au bout de 5minutes dans un SPLOTCH bruyant, il se retira. Du sperme coulait en quantité le long de mesjambes. Épuisée, je tremblais.Emilian, derrière son pc regardait cette scène avec sadisme.— Une chienne de plus, souffla t-il.— Denise ! clama-t-il. J’en ai assez, faites entrer la suivante.
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