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Richesse du Monde

Chapitre 2

Inceste
Chapitre 2: La carte de dette
Un nouveau jour s’est levé, seul dans ma chambre je regarde les rayons du soleil pénétrés la pièce. Tandis que ma soeur et mes cousins dorment dans une chambre commune, je suis dans un grand lit entouré de placard et de bibelots d’un autre temps. Face au lit, des étagères sont remplies de poupées en porcelaine aux allures anciennes et terrifiantes. Cependant elles ne m’effraient pas, c’est moi qui m’effraie. Je ressasse les pensées que j’ai eu envers ma soeur la veille, et les palpations que j’ai faites à ma cousine.
Après la piscine, je veux me masturber, mais impossible de trouver un moment seul dans cette maison. Et puis je ne veux pas me vider en pensant à quelqu’un de ma famille. Je m’interdis de le faire car cela voulait dire banaliser cette pensée, l’accepter en quelque sorte. Cependant cette envie me colle à la peau.
Je me décide à me lever, et la journée se passe de manière tout à fait classique. Je parle et je ris avec le reste de ma famille, nous alternons entre Richesse du monde et la piscine. Les choses se passent de manière tranquille. Dans le jeu, j’arrive à reprendre du poil de la bête et ne plus être endetté, cependant je suis loin d’être sorti d’affaire. Ernest par un accord que je ne connais pas avec Amélie a récupéré beaucoup de ressource qu’il lui manquait pour avoir un gros pécule si quelqu’un tombe sur ses cases.
J’arrive à m’en sortir, mais à ma grande surprise c’est Cindy qui tombe sur toutes les cases d’Ernest. Elle paye 10 millions, 13 millions, et d’autres sommes du genre. Sa fortune baisse enfin, et elle est proche de la banqueroute. Aussitôt je sors du jeu, et me rappelle mon objectif de la veille: appauvrir Cindy pour ensuite pouvoir aller plus loin avec elle. Malgré les tabous et les remords du matin, l’excitation était trop forte. À chacun de ses lancers de dés, mon coeur bat la chamade. Si elle tombe sur une de mes cases, elle m’appartiendra.
J’essaie de chasser ces pensées, mais c’est plus fort que moi, le jeu devient beaucoup plus intense. Soudain elle arrive vers le continent africain qui était "mon" terrain, j’avais 3 cases avec mes ressources dessus: La Houilles, l’Or et le Sucre. Si elle faisait 5, 8 ou 10 elle tombait sur mes cases et me devait minimum 10 millions et il ne lui restait plus que 2 millions.
Je regarde avec attention les dés dans sa main droite qu’elle secoue. Le résultat de ces cubes d’ivoire décide de ce qu’il va se passer. Est-ce que je pourrais retoucher ce corps caramel? Elle les lance. J’ai l’impression que mon coeur s’arrête que mes veines se gèlent. Mon corps se fige tandis que les dés dansent sur la table. Le premier s’arrête, c’est un 6, tout est possible, je prie pour un 2 ou un 4. Le deuxième s’écrase ensuite. Le temps s’arrête. C’est un 5. Je tente de dissimuler ma frustration tandis que ma cousine avance son personnage.
Mon cousin Ernest lève ses mains et hurle:
-Cindy tu viens de tomber sur Pétrole, et j’en ai 90% mouhahahaha tu me dois 22 Millions!!!!!!
Il se met à avoir un rire démoniaque qui m’agace, je l’envie, s’il savait....
-Bon, fit Cindy, je te fais une carte de dette?-ça me va, on la fait maintenant!
Nous faisions souvent des cartes de dette quand nous étions plus jeunes. Lorsque quelqu’un ne pouvait pas payer mais qu’il ne voulait pas vendre ses ressources, alors nous faisions une carte de dette avec le montant de la dette et la signature du débiteur.
"Je soussigné Cindy devoir 22 millions au porteur de cette carte, de plus, le montant augmente de 10% chaque jour"
Ernest est euphorique tandis qu’à contrecœur ma cousine signe. Quel veinard me dis je.
Ma grand-mère nous appelle pour diner. Après le repas, ma sœur propose d’aller à la piscine pour une baignade nocturne. Je monte dans ma chambre pour mettre mon maillot de bain et je croise sur le palier Ernest qui joue à la Game Boy, je lui lance:
-Tu ne vas pas te baigner?-Non, je préfère jouer, là je joue à Pokemon je suis à la 3e arène.-Tu as bien mérité une petite baignade, tu as ruiné Cindy-C’est ça les affaires haha!
Une idée me vient alors à l’esprit tandis que je le vois les yeux rivés vers son écran:
-Je pourrais récupérer la carte de dette de Cindy?-Tu veux me l’acheter? demanda mon cousin en quittant son écran.-Je n’ai pas les moyens, lui répondis je, mais il y a bien quelque chose que tu voudrais en échange?-J’en sais rien, fais-moi une offre et on verra
Quelle intransigeance, me dis je. Quand il était dans un jeu, que ce soit jeu de société ou jeu vidéo il se donnait à fond! Soudain une idée me vint, je devais la tenter:
— Je t’échange la carte de dette contre mon dracaufeu niveau 100
Cette phrase le fit décrocher immédiatement. Et je savais qu’elle aurait cet impact. Il me lance un regard et me demande de répéter tant il n’en croit pas ses oreilles.
Pour vous situer l’importance de ma proposition, il faut savoir qu’étant l’ainé j’ai eu les premiers jeux Pokémon que je prêtais souvent à mon cousin plus jeune que moi. Et qui représentait pour lui la toute-puissance. De plus sur la version du jeu qu’il avait (la version argent), Dracaufeu était un Pokémon impossible à avoir. Lui donner ce pokemon, même s’il ne s’agissait que de pixel était assez lourd de sens puisqu’il s’agissait d’un vrai symbole de mon enfance.
Mon cousin se redresse, je lui donne la cartouche que j’ai pour qu’il procède à l’échange. Il ne cherche même pas à marchander. Il me tend la carte de dette comme s’il ne s’agissait que d’un bout de papier. Mais pour moi, il s’agit d’un ticket d’or!
J’attends que ma cousine rentre de sa baignade, puis lorsqu’elle s’apprête à aller se coucher je lui présente la carte de dette. Elle est interloquée et demande:
-Comment est-ce que tu l’as eu?-Je l’ai échangé à Ernest.-Tu lui...-Peu importe, lui dis je, viens dans ma chambre, on va négocier de ce que tu me dois.
Elle rentre dans ma chambre que je ferme immédiatement, comme par peur qu’elle ne s’échappe. Elle a sa serviette autour de sa taille. Ce qui signifie qu’elle a encore son maillot de bain. J’observe sa poitrine qui est comprimée par la serviette couleur saumon. Ses cheveux mouillés ondulent sur ses épaules. J’allume ma lampe de chevet qui donne une lumière chaude dans la chambre. Cindy se tourne vers moi et me souffle:
-Alors tu veux quoi contre ma dette?-Toi-Comment ça?-Je te veux toi-Mais Elias, je suis ta cousine
Cette phrase me fait douter, qu’est ce que je suis en train de faire. Je pose la carte de dette sur la table de chevet comme pour lui dire que désormais elle devait la rembourser. Je m’approche d’elle, et lui retire sa serviette qui tombe au sol. Elle ne bouge pas. Je me place derrière elle, et délace son haut de maillot de bain jaune. Puis je place mes mains sur sa grosse poitrine, je malaxe ses seins, mes doigts encadrent ses tétons. Puis j’écarte ses cheveux et embrasse son cou, tandis que ma main droite plonge dans son maillot de bain encore trempé. Elle pousse un petit soupir mais je ne peux pas voir son visage. Mes doigts parcourent une vallée épilée pour arriver à un clitoris que je caresse délicatement.
Je prends un moment pour savourer ce qu’il se passe. Mon torse est plaqué contre le dos de ma cousine, ma bite en érection contre les fesses de Cindy pendant que je lui stimule la chatte. C’en est trop pour moi. Je la tourne et l’allonge sur le lit. Tandis que je lui retire son maillot, elle plonge son regard dans le mien. J’ai envie de l’embrasser, mais cela me gêne. Je n’ose pas. Cependant je présente mon pénis à l’entrée de son vagin. Je caresse ses seins tandis que mon bassin appuie pour mettre une pression à l’entrée de son antre. Nous respirons tous les deux très fort.
Mon gland s’enfonce doucement dans ce fourreau qui s’humidifie, puis ma tige rentre peu à peu. J’avance avec lenteur tout en essayant de décrypter le visage de ma cousine. Elle fait une sorte de grimace, elle oscille entre douleur et plaisir. Elle gémit un coup puis serre les dents après. Je fais très attention à elle. Je ne veux pas lui faire mal. Ce moment que je suis en train de vivre est exceptionnel. Ma bite est dans ma cousine! Je rentre jusqu’à la garde. Son corps encore mouillé de la piscine perle de fines gouttelettes d’eau. J’étais fou. Je fais des aller-retour très doux. Je contemple ses lèvres s’ouvrir quand ma queue sort puis se refermer quand je la rentre. L’odeur de son vagin me rend fou. J’attrape ses hanches et je la lime. Je ressors au maximum tout en restant en elle puis donne un puissant coup où je rentre complètement. J’accélère le rythme.
Sa respiration accélère, tout comme mon coeur. Le fait qu’elle me regarde me dérange un peu, j’ai l’impression d’être jugé. J’attrape ses cheveux mouillés et amène sa tête à la mienne pour l’embrasser. Nos lèvres s’entremêlent et nos langues se touchent. J’entends ses petits cris de plaisir. Je n’en peux plus, je vais venir. Je ne sais pas si elle prend la pilule, mieux vaut ne pas prendre de risque. Je sors de sa chatte et me finit à la main. Très vite la jouissance arrive et avec l’excitation elle est encore plus puissante. J’éjacule de copieux jets de sperme sur le ventre de ma cousine, un des jets atteints même ses seins. Je suis épuisé. J’ai l’impression que cette éjaculation m’a vidé de toute force vitale.
Ma cousine se lève s’essuie avec la serviette, elle se penche pour ramasser la carte de dette, lorsque je pose ma main dessus avant elle en lui disant:
-Il est minuit deux Cindy, ta dette augmente donc de 10% il te reste donc encore une partie à rembourser.
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