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Richesse du Monde

Chapitre 3

La désillusion

Inceste
La nuit avait été compliquée...
Après avoir couché avec ma cousine Cindy, cette dernière avait pris la carte de dette et était partie. Mais elle m’avait lancé un regard avant de partir. Un mélange de honte et de colère. Qu’avais-je fait? J’avais abusé d’elle, l’avait acculé sur le jeu de notre enfance pour pouvoir profiter d’elle. J’avais cédé à mes bas instincts. Toute la nuit j’avais tourné dans mon lit en revivant la scène. Mélange d’excitation et de dégout envers moi-même. Il fallait que je lui parle, que je crève l’abcès, peut-être avait-elle aimé et finalement je n’avais pas causé tant de mal que cela.
Le matin est là depuis un bon moment, mais je n’ose pas me lever. J’ai peur de ce qu’il va se passer. Est-ce que Cindy en a parlé? Est-ce que quelqu’un va repérer quelque chose? Mon cousin Ernest est malin, il sait voir ce qui se trame.
Vers les coups de 10h, je me décide à me lever. J’enfile une robe de chambre et descends. Arrivé en bas, je dis bonjour à mes grands-parents. Ma grand-mère me dit:

— Tu veux petit-déjeuner? Nous n’allons pas tarder à aller en course.
— Non c’est bon merci.

Elle me regarde avec inquiétude, puis me lança:

— ça va? Tu n’as pas l’air bien.
— Si, j’ai juste mal dormi, où sont les autres?
— Ils sont à la piscine.

La piscine, cela s’annonce bien. Dans l’eau c’est plus facile d’être dans une bonne ambiance.Je monte chercher mon maillot puis sors. Mon grand-père a fabriqué il y a quelques années de cela à partir de son vieil établi, un local où l’on peut se changer à l’abri des regards et où l’on peut prendre une douche. Il a construit aussi à l’extérieur un autre local WC. Je me change en vitesse et file à la piscine.
Ma sœur et ma cousine sont en train de nager pendant qu’Ernest est sur un matelas gonflable. Je lance pour annoncer mon arrivée:

— Pas trop dur la vie?
— Oh si, tellement... sourit mon cousin.

Ma sœur me crie:

— Allez gros dormeur, plonge! Elle est super bonne!

Je suis soulagé, si ma sœur et mon cousin me font des blagues c’est qu’ils n’ont pas eu vent de ce qu’il s’est passé la veille avec Cindy. Cependant cette dernière ne me parle pas et ne me regarde pas non plus. Je dois cependant faire comme si de rien n’était. Je prends mon élan et plonge. L’eau est fraiche mais c’est revigorant. J’ai l’impression de me laver des impuretés de la veille.
Je joue avec ma sœur et essaye de la noyer tout en regardant d’un coin de l’œil Cindy qui ne parle pas et est en retrait. Elle a changé son maillot de bain, celui-ci est rouge vif. Je n’arrive pas à imaginer qu’hier je palpais ce corps ambré. Après avoir mis la tête sous l’eau de ma sœur à de multiples reprises, je me rapproche de ma cousine pour lui mettre la tête sous l’eau, mais je sens que celle-ci met une distance entre nous, qu’elle maintient quoiqu’il arrive. Je n’insiste pas et vais nager quelques longueurs. Il faut que je répare ce que j’ai fait, que je créé à nouveau une connexion entre nous tous.
J’attrape un ballon et lance aux autres:

— Hey on se fait une partie? On se met aux quatre coins de la piscine et on se le lance?
— Allez!! lance ma sœur.

Au moment de nous placer dans les coins, Cindy lance:

— Moi je sors.

Elle quitte la piscine, prend sa serviette et file vers le local. Nous restons bloqués devant cette froideur, je fais mine d’être aussi surpris. Ma sœur nage jusqu’à moi et me murmure:

— Je l’ai entendu sangloter cette nuit.
— Tu sais ce qu’elle a?
— Non, elle ne m’a rien dit.
— Je vais aller lui parler, lui dis-je.
— Oui tu as un don pour que les gens te parlent.
— Ne me dérangez pas du coup, je vais voir ce qu’il y a.

Je sors de l’eau, ils ne se doutent pas qu’elle est comme ça à cause de moi. J’attrape une serviette et m’avance près du local. Je vois la lumière allumée des toilettes. Je marche à pas lent, la porte est entrouverte. J’entends des pleurs. J’ai la gorge serrée. Je souffle et rentre dans les WC.A l’intérieur, mon grand-père avait mis du bois sur les murs. Un lavabo était face aux toilettes sur lesquelles était assise Cindy la tête dans les mains. Je referme la porte mais la clenche est bloquée. Je lui murmure:

— ça va?
— Non
— Tu veux parler?
— Ferme la porte.

Je tire sur la porte et tourne le loquet en métal pour verrouiller la porte. Puis je m’adosse sur le lavabo. La lumière des ampoules au-dessus de la glace donne un air de chalet, convivial même si la pièce est petite et que ce n’est pas sa vocation.
Elle ne parle pas, je m’approche d’elle et pose sa main sur son épaule. Elle a un mouvement d’une violence incroyable. Elle me repousse de toutes ses forces. Je m’écrase contre la porte. L’impact produit un petit cliquetis, et j’entends de l’autre côté un bruit métallique retentir sur le carrelage. Je panique: c’est sans doute la tige qui permet de fermer à clé. J’essaye alors de tourner le loquet, mais il tourne dans le vide. Nous sommes bloqués!
Je pose mes mains sur le visage, elle se redresse et tandis qu’elle a encore les larmes aux yeux elle me tape avec toute la rage qu’elle a en elle.

— Calme-toi Cindy!
— Comment tu veux que je me calme putain! Je suis coincée avec toi maintenant, avec ce que t’as fait hier!
— Écoute je suis désolé, je n’aurais pas dû c’était une erreur et...
— Oui mais tu l’as fait quand même! T’as profité de moi et tu m’as souillé Elias! Maintenant je vais devoir vivre avec ça toute ma vie! Tu ne te rends pas compte je crois! Il y aura toujours cette honte, quand j’entendrai des blagues sur l’inceste ou les gens du nord ça me rappellera à chaque fois à quel point je suis sale!

Tandis qu’elle me hurle dessus, j’essaye d’arrêter ses bras, puis je la lâche et lui murmure:

— Je suis vraiment désolé Cindy, je n’aurais jamais dû faire ça, si tu es en colère, frappe-moi. Ça va te faire du bien.

J’avoue que je pensais que ça allait la calmer mais il n’en est rien. Ses poings s’abattent sur moi avec une rage folle. Dans le ventre, les côtes, les jambes. Puis soudain ses phalanges atterrissent sur mon visage. L’impact fut tel que je tombe contre un mur, la face gauche complètement anesthésiée et glisse jusqu’au sol complètement sonné.
Elle se met à genou à côté de moi et continue de frapper, elle a besoin de soulager toute sa colère, je ne lui en veux pas même si c’est assez douloureux. Puis elle s’arrête. Sa respiration est forte. Elle desserre ses poings et regarde ce qu’elle vient de faire.
Elle est si belle en colère. Ses cheveux noirs semblent être des tentacules d’une pieuvre. Ses yeux de jais m’envoient des éclairs. A cet instant elle me hait, mais elle regrette de m’avoir fait aussi mal je pense. C’est vrai qu’elle ne m’a pas fait de cadeau.
Toujours à terre, elle pose sa main sur mon visage pour voir les dégâts. Ce contact me fait mal, mais je ne dis rien, ses doigts sur ma peau me sont d’un incroyable réconfort, enfin elle s’est calmée et peut être m’a-t-elle pardonnée. Puis à ma grande surprise elle m’enlace tendrement. Son étreinte me fait souffrir car elle appuie là où elle a frappé mais je me garde de ne faire ne serait-ce qu’un soupir de peur de rompre ce moment.
Son corps est sur le mien, son ventre caresse le mien, et sa poitrine comprimée contre mon torse, sa tête au creux de ma nuque. Je pose ma main sur son épaule, et caresse doucement sa peau qui sent le chlore. De son côté, sa paume se balade sur mon bras. Jamais nous n’avons été aussi proches. Hier soir je la baisais peut-être, mais là nous sommes plus soudés, plus tendres l’un envers l’autre. Il y avait quelque chose de plus amoureux, de plus doux. Comme pour lui dire que maintenant nous avons fait la paix, je dépose un baiser sur sa tête dans sa masse de cheveux mouillés.

Elle se redresse, et regarde mon visage, je sais en voyant son expression que je dois avoir un cocard. Elle a un air compatissant. Soudain, nos regards se croisent. Nos caresses s’arrêtent tandis que l’on fixe les iris de l’un et de l’autre. Nous sommes en train de partager quelque chose d’unique. Son visage n’est qu’à quelques centimètres du mien. Puis comme aimantées, nos lèvres s’attirent, puis s’effleurent. Je sens son souffle près de ma bouche. Je ferme les yeux et craque.
Je l’embrasse, doucement, avec affection. C’est beaucoup plus intime que la veille, j’ai l’impression de partager avec quelque chose de plus profond que mon corps, j’ai l’impression de lui donner mon âme. Nous ne volons rien l’un à l’autre, nous construisons quelque chose à deux. Il n’y a pas de tabou ni d’interdit. Juste deux êtres qui s’aiment. Est-ce que je suis amoureux d’elle? L’est-elle de moi? A cet instant peu importe finalement, il y a quelque chose de magique que je n’avais jamais ressenti auparavant.
Je mets ma main sur sa joue tandis que je continue de l’embrasser. Je la caresse passionnément tandis que nos langues se rencontrent. Maladroitement au début, et puis, cela devient comme un jeu. Un chat où plus on s’échappe et plus les retrouvailles sont passionnées. Au fur et à mesure de nos échanges de salives, la tension commence à monter. Tout en restant doux, je ne peux m’empêcher d’avoir une érection.
Elle le sent, et frotte son bassin sur moi en se dandinant. C’est tellement intense. J’ai l’impression que la veille j’étais passé à côté de quelque chose, que j’avais mangé un fast food, alors que de prendre le temps de cuisiner apportait de meilleure saveur. Dans cette pièce étriquée aux airs de chalet se déroule un spectacle féérique. Ma queue devient de plus en plus dure, et nos baisers de plus en plus fougueux.
Puis je descends ma main et palpe ses fesses, l’excitation grimpe follement. Je la décale sur le côté et appuie avec de petits mouvements circulaires son entrejambe à travers son maillot de bain. Elle pousse un soupir, je continue de tourner. Je n’ose pas aller plus loin. C’est elle qui est audacieuse et met la main dans mon caleçon de bain. Elle enserre mon sexe et fais de petits va-et-vient.
A mon tour, je rentre dans son maillot de bain, et sans que je le décide vraiment, mon doigt glisse dans son vagin. Elle s’arrête un moment. Je rentre doucement, puis fais une grande rotation dans son vagin. Elle a l’air d’apprécier beaucoup vu la fougue qu’elle a à me branler. Elle n’y va pas de main morte, j’ai l’impression qu’elle va me péter le frein à certains moments, mais parler maintenant serait détruire ce qui est en train de se passer.

Elle me repousse sur le dos. Se redresse et retire son maillot de bain. Je ne bouge pas. Elle attrape ma bite et doucement se met à califourchon sur moi. Mon gland est à l’entrée et je sens doucement ma bite se faire engloutir. Elle se laisse empaler sur moi. Elle pose ses mains sur ma poitrine et je la laisse faire. Elle fait des petits mouvements de bassin. Et elle danse sur moi. C’est tellement bon. De temps en temps je donne des petits coups de reins pour lui donner un autre rythme. Je touche ses seins, et elle monte et s’écrase de toutes ses forces pour une pénétration plus profonde. Je ne tiens plus. Je vais venir. Je grimace pour lui indiquer que je vais éjaculer, mais elle n’en fait rien et reste posée sur moi et faisant juste de petits mouvements de bassin. Ma jouissance est entre ses mains, je ne contrôle rien et cela me donne un orgasme inhabituel. Je me vide en elle en gémissant.Nous restons ainsi enlacés. Inséparables. Nous câlinant, puis au loin j’entends une voix:

— Cindy? Ça va? Tu es coincée? J’ai remis la tige en fer, tu peux sortir maintenant.

Notre moment était donc écoulé. Nous devions à présent faire comme si de rien n’était. Notre séparation est assez douloureuse, plus que mon corps d’ailleurs. Elle partit la première. Quelques secondes après mon départ, elle me manque déjà. Pas un manque sexuel, un manque affectif.
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