Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 80 J'aime
  • 1 Commentaire

Rick : l'épanouissement d'un Homme

Chapitre 1

Introduction

Divers
Bonjour, je m’appelle Richard, dit « Rick ». Nous sommes le 7 janvier, et aujourd’hui, c’est mon anniversaire. Je crois que mon épouse a décidé de rendre cette soirée mémorable, mais ce n’est pas le sujet de ce récit, en tout cas pas pour le moment. Peut-être est-ce la fameuse « crise de la quarantaine », mais, au tournant de cette nouvelle décennie, j’ai eu envie de raconter comment je suis passé d’ado complexé à ce que je suis aujourd’hui, un homme marié, heureux et épanoui.

Pour commencer, je pense qu’il faut que je me décrive physiquement. Je me suis toujours trouvé banal, mais apparemment ce n’est pas le cas, et il n’y a pas que ma femme qui le dit. Brun, les yeux bleus, je mesure 1m85, je n’ai pas un corps parfait, mais mes muscles sont bien dessinés et, je dois l’avouer, je suis assez fier de mon torse. Côté pilosité, mes cheveux me tombent presque jusqu’aux épaules, je n’ai pas de barbe et je prends soin d’entretenir impeccablement les poils qui ornent mes pectoraux et mon pubis.

Puisque j’en suis à parler de ce qui se passe entre mes cuisses, autant poursuivre, car cela fera une bonne introduction pour la suite. Mes testicules, entièrement épilés, sont... gros... Je ne sais pas comment les décrire autrement, parmi tous les hommes que j’ai vus nus, je n’en ai jamais trouvé un qui pouvait rivaliser avec moi, seulement un acteur dans un film porno un jour. Lorsque je suis dans de bonnes dispositions, mon sexe va avec mes bourses, la dernière fois que je l’ai mesuré, cela fait un certain temps, il mesurait un peu moins de 19 centimètres pour 5,5 de diamètre environ. Je suis non circoncis et, même lorsque je suis au mieux de ma forme, mon prépuce couvre encore les deux tiers de mon gland.

En revanche, je suis à classer dans la catégorie que les Anglais appellent les « growers », puisqu’au repos mon pénis est moyen, voire moins, mesurant un petit 8 centimètres pour un diamètre de 3. Autant dire qu’il paraît franchement ridicule, surtout avec ce qui pend en dessous, et avec le surplus de peau de mon prépuce.

Voici pour la description de ma personne, j’ai bien conscience qu’elle était un peu longue, mais je pense qu’elle était nécessaire pour comprendre ce qui suit, qui est en réalité ce qui a précédé.

Repartons maintenant plus de 20 ans en arrière, lorsque j’étais au lycée. A cette époque, j’étais quelqu’un de très timide. Mes parents voulant me « décoincer » m’avaient forcé à m’inscrire dans le club de handball de mon lycée, prétextant qu’un sport collectif m’aiderait à me faire des amis et à prendre confiance en moi. Cela n’avait pas vraiment eu cet effet puisque, ado complexé, je vivais très mal les douches collectives d’après match et je m’arrangeais toujours pour trouver un prétexte pour arriver après tout le monde.

Si dans l’équipe certains joueurs étaient sympathiques, un petit groupe de « stars du lycée » l’étaient beaucoup moins. Voulant sans cesse jouer les caïds, ils ressentaient un besoin permanent de rabaisser quelqu’un pour se valoriser. Hélas, cela tombait souvent sur moi.Je supportais les brimades, gardant en ligne de mire la fin du lycée, me disant qu’une fois dans le supérieur je n’aurais pu à subir cela.J’arrivais ainsi jusqu’en terminale et passai mon bac S, malheureusement je le ratai. Il paraît que, cette année-là, les sujets avaient été particulièrement difficiles. Cela n’excuse en rien mon échec mais explique pourquoi nous fûmes nombreux à rater l’examen.
A la rentrée suivante, redoublant ma classe de terminale, je changeais d’option pour partir en économie et essayais de négocier avec mes parents pour arrêter le handball puisque, dans ma chance légendaire, mes "tortionnaires" avaient, eux aussi, repiqué. Bien sûr, mes parents n’acceptèrent pas, apparemment persuadés que c’était la seule chose qui me donnait un semblant de vie sociale. Je repartais donc pour une année pas forcément agréable.Heureusement, je me retrouvais dans la classe d’Ulysse, mon ami d’enfance, qui avait un an de moins que moi et était donc arrivé en terminale.

Un jour, après l’entraînement de reprise au retour des vacances d’hiver, alors que je « cherchais » depuis 10 bonnes minutes mon gel douche, refusant tout prêt sous des prétextes de plus en plus fumeux, les autres membres de l’équipe décidèrent de constater de leurs yeux la raison pour laquelle je refusais de me montrer nu.

Je fus donc bloqué dans un coin et deux de mes camarades de redoublement tant aimés me saisirent chacun un bras pour que je ne puisse pas me défendre ou tenter de cacher quoi que ce soit. Edouard, le chef de la bande, s’approcha :

— Alors Rick qu’est-ce que tu as à cacher ? C’est intriguant à la longue, et je suis d’un naturel curieux, pas vous les gars ?

Autour, quelques-uns acquiescèrent en chœur, certains se turent, et d’autres détournèrent les yeux. Seul mon ami Ulysse tenta de voler à mon secours, mais il fut bien vite écarté.
Edouard continua, frôlant mon entrejambe.

— C’est bizarre quand même, parce qu’avec la bosse que tu as au niveau du short, ça ne doit pas être si terrible que ça. Et puis il n’y a pas à avoir honte, on a tous vu celle de Stan, si tu fais pire c’est que t’as un clito !

J’entendis grogner celui qui tenait mon bras droit puis il répliqua :

— Ta mère ne s’en est jamais plainte !
— C’est fin ça, l’année prochaine inscris-toi au concours d’impro ! répondit Edouard. Bon, passons aux choses sérieuses.

Joignant le geste à la parole, il baissa mon short puis mon boxer, dévoilant les attributs masculins qui me complexaient tant. J’essayais de me débattre comme je pouvais, mais cela n’eut que deux effets. Le premier, faire balloter de droite à gauche les deux grelots démesurés qui pendaient entre mes cuisses, le second, de poser ma main sur le service trois pièces de Stan. Je peux attester, ce n’était pas gros ! Je retirais ma main aussi vite que possible, troublé par ce contact, mais je crois que le mal était fait, Stan m’arracha presque le bras en gueulant comme un putois.

— Putain les gars, je sais pourquoi il veut pas se mettre à poil devant nous, c’est un pédé, il a peur de bander !

A la grande frustration de Stan, personne ne répondit, les autres membres de l’assemblée semblaient hypnotisés par ce qu’ils venaient de découvrir. Puis Edouard brisa le sort, éclatant d’un rire sonore et forcé.

— La taille de ces couilles, je n’en ai jamais vu d’aussi grosses.

Il me regarda ensuite dans les yeux, avant d’ajouter :

— Et tu as une petite bite, d’ailleurs je ne sais pas si tu as une bite ou seulement de la peau. Sans déconner gars, tu devrais aller te doucher dans les sanitaires handicapés, parce que t’es clairement monté à l’envers.

Il fit signe aux autres de me lâcher et repartit se changer comme si de rien n’était, me laissant prostré dans un coin tentant de cacher mon intimité avec mon short déchiré.
A partir de ce jour, la bande d’Edouard m’appela « Rickiwi », apparemment ma virilité avait évoqué ce fruit à Edouard (à cette époque je ne m’épilais pas). Pour ma part, je ne parlais de cet « incident » à personne, j’expliquais à ma mère que mon short s’était déchiré en « chahutant avec les copains ». Elle me crut, je pense que dans sa tête j’avais toujours 8 ans. Par la suite, j’arrêtai le Handball, ce qui me valut la plus belle dispute de ma vie avec mon père, mais pour une fois je lui tins tête, à sa grande surprise.
Diffuse en direct !
Regarder son live