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Rick : l'épanouissement d'un Homme

Chapitre 2

Premiers émois

Hétéro
Rappel des principaux protagonistes :Richard, dit "Rick" : ce récit est celui de ma vie, et j’en suis donc le personnage principal. A cette époque, j’ai 19 ans, je reprends une terminale après avoir raté mon bac la première fois.Ulysse : Mon ami d’enfance, il a un an de moins que moi. Il m’a toujours été d’un grand soutien.Eloise : 19 ans elle aussi, une "nouvelle arrivée" dans le lycée, et la première personne qui me fait réellement fantasmer.Damien et Vanessa : modérateurs d’un site internet, jeune couple de 25 ans à l’époque des faits, ils deviendront par la suite de très bons amis à moi.
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Chapitre 2 :
Les semaines passèrent, j’étais toujours la cible des quolibets des abrutis de l’équipe de handball, et Stan me traitait toujours de « pédé » à chaque fois qu’il me croisait, mais je remarquais qu’il lorgnait très souvent mon entrejambe, ce que je mettais sur le compte de mon « anormalité », je compris plus tard que la raison était toute différente.
Pour ma part, je tentais de passer à autre chose, et mon cerveau d’adolescent était en grande partie occupé par Eloise, une fille qui était arrivée faire une deuxième terminale L dans notre lycée, après s’être fait renvoyer de son précédent établissement pour avoir raté son bac. Elle était magnifique, pas très grande, blonde, les yeux d’un vert éclatant, et un corps à faire se damner un saint. Sans grande surprise, elle avait un succès fou auprès de la gent masculine et enchaînait les petits amis, sans jamais en garder un plus d’un mois.
Un jour, alors que j’étais dans la cour en train de discuter avec Ulysse, qui m’avait bien aidé à aller de l’avant après l’épisode du vestiaire, Eloise passa près de nous, me regardant sans vraiment se cacher, et me gratifia de son plus beau sourire.
— Tu as la cote Rick !— Tu parles, je n’ai aucune chance, elle est superbe et moi je suis tout bizarre, en plus tout le monde se paye ma tronche, il n’y a aucune chance qu’elle veuille qu’ont la voie avec moi.
Ulysse me regarda d’un air dépité.
— Euh mec, déjà, j’aimerais bien être un « monstre » comme toi, t’es super beau gosse. En plus, sois pas parano, « tout le monde » ne se fout pas de toi, seulement quatre pauvres crétins de l’équipe de hand. Mais de toute façon, je te déconseille cette fille. Il paraît que c’est une vraie traînée et qu’elle largue tous les mecs une fois qu’elle a tiré son coup, voire juste une fois qu’elle les a vus à poil.
Cette dernière phrase me fit sortir de mes gonds, je n’avais jamais accepté qu’on parle de quelqu’un comme ça, et en plus il s’agissait d’Eloise, dont, comme sans doute la moitié des mâles du lycée, j’étais « amoureux ». S’en suivit donc une dispute à la suite de laquelle Ulysse se leva et partit :
— Fais ce que tu veux, je t’ai dit ça pour t’aider, maintenant démerde-toi, mais ne viens pas chialer après, j’en ai marre de te relever.
Je fis donc ce que je voulais et, quelques jours après, j’étais heureux de sortir avec Eloise. Elle m’apprit à embrasser, même si elle n’eut pas l’air d’apprécier d’être ma première copine. Au bout de deux semaines ensemble, elle m’invita chez elle après les cours, expliquant que ses parents rentraient tard et qu’elle voulait passer plus de temps avec moi. J’acceptais fébrilement, tiraillé entre l’excitation de perdre mon pucelage et le stress de me mettre nu devant une femme.
Je pourrais faire une description détaillée de ce qui s’est passé, mais autant la faire courte : arrivés chez elle, elle m’embrassa fougueusement et se jeta sur mon pantalon sans plus de préliminaires que cette phrase « Est-ce que c’est aussi gros que ça en a l’air ? ».
Elle déboutonna ma braguette, baissa le pantalon et mon boxer. J’aurais pensé que, dans cette situation, j’aurais été au mieux de ma forme, mais l’absence de préliminaires et le stress faisaient que mon sexe était totalement au repos. Je lus la déception dans le regard de ma conquête lorsque le boxer fut arrivé au milieu de mes cuisses.
— pfff tromperie sur la marchandise... t’as juste des boules énormes, pour le reste y a vraiment pas de quoi se vanter, on va voir au moins s’il est volontaire !
Elle me masturba rapidement, deux ou trois allers-retours, mais cela ne me fit que grossir très légèrement, honnêtement ce n’était pas très agréable.
— OK, tu bandes mou, remballe la marchandise mec, j’ai des devoirs à faire, et pas la peine de revenir.
Je sortis donc, dépité, de chez mon « ex copine », comprenant qu’Ulysse avait raison et qu’il ne m’avait pas juste dit ce qu’il m’avait dit par jalousie.
Tout à ma tristesse et à ma frustration, je rentrai chez moi et me posai devant mon ordinateur. Je me perdis un peu dans les méandres d’Internet, en cherchant des renseignements et des études sur ce qu’était un sexe « normal ». Finalement, j’atterris sur un site sur lequel il fallait entrer ses mensurations et envoyer une photographie au repos et en érection pour se comparer aux autres. Je décidai de le faire.
Pour la première photo, je n’eus qu’à baisser mon pantalon, mettre une règle à côté de l’engin et le tour était joué. Pas glorieux, mais c’était anonyme donc je franchis le pas.
Ensuite, il fallait la photo en érection. J’ouvris donc un nouvel onglet et entrai l’adresse de mon site porno préféré, rubrique « creampie ». J’avais toujours fantasmé sur les gros sexes qui éjaculaient au plus profond de l’intimité de leur partenaire.
Je choisis une vidéo où très belle jeune femme, les mains appuyées sur un mur se faisait prendre tendrement par son amant, un homme bronzé, musclé comme un taureau, et possédant un sexe démesuré. A cette époque, je ne savais pas que les acteurs pornos étaient triés pour la taille de leurs attributs et je pensais que tous les sexes en érection mesuraient un bon 20 centimètres.
Il ne me fallut pas longtemps pour atteindre le meilleur de ma forme, oubliant la vexation reçue un peu plus tôt dans la journée. Alors que j’étais au bord de l’orgasme, mon sexe sur le point d’exploser, je pris la deuxième photo, et terminais ma petite affaire, inondant mon torse d’une quantité impressionnante de sperme.
En regardant mon torse, je me dis qu’il m’aurait fallu la boîte entière de kleenex pour nettoyer tout ça. Mais depuis quelque temps, en fait depuis que mes éjaculations étaient devenues très abondantes, j’avais pris l’habitude de « recycler ». Je récupérai donc les larmes de sperme une par une sur mon torse et les portai à ma bouche. J’aimais le goût de mes sécrétions, en tout cas la plupart du temps. J’essuyai ensuite les quelques traces restantes avec un unique mouchoir en papier, rédigeai ma « candidature » sur le site de comparaison et, après une ultime hésitation, postai la demande.
Il ne fallut que quelques secondes avant qu’elle soit validée et que mon compte soit créé. Me connectant de suite pour enfin voir à quoi devait ressembler un sexe « normal », je me rendis compte que j’avais déjà un message, j’ouvris donc ma boîte.
« Bonjour bel inconnu, je m’appelle Damien et ma femme s’appelle Vanessa, nous avons 25 ans et faisons partie de l’équipe de modération du site. Nous venons de valider ton profil. Félicitations pour ce que tu promènes entre tes cuisses, je suis jaloux, tu dois en faire des heureuses !
En tout cas, bienvenue sur le site, j’espère que nous pourrons discuter, échanger, voire plus ! »Dans un premier temps, je ne compris pas vraiment ce message, pensant qu’il se moquait de moi, je décidai de passer outre et de commencer mes investigations : direction la galerie.
Le site recensait un nombre important de membres, dans tous les sens du terme, de toutes nationalités. Comme chacun devait se plier au même rituel que moi pour avoir un compte, les fiches étaient composées de 2 photographies (au minimum, chacun était libre d’en ajouter) ainsi que des mensurations de la chose. Les photographies étaient validées et, en cas de doute, c’était signalé sur la photo. Je passai donc ma soirée à... mater des sexes. C’est là que je me rendis compte que, si au repos je n’étais pas le roi de la jungle, en érection, peu de pénis pouvaient rivaliser avec moi.
C’est à ce moment que je reçus un message instantané par le chat du site. C’était Damien qui voulait discuter.
— Salut l’étalon, qu’est-ce qui t’amène sur notre site, envie de discuter un peu ?
Je cliquai sur le message. J’hésitai, mais me décidai à répondre de la façon la plus honnête possible. Après tout, c’était anonyme.
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