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Rick : l'épanouissement d'un Homme

Chapitre 6

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Hétéro
La semaine de vacances de la Toussaint passa beaucoup trop lentement à mon goût. Je commandai le jouet que Damien et Vanessa m’avait conseillé, j’en profitai aussi pour commander du lubrifiant, au cas où, et attendis fébrilement la rentrée. J’étais dans un état d’excitation tel que je passais la plupart du temps le sexe à la main durant ces quelques jours.Enfin ce fut le dimanche soir avant la reprise, je ne tenais plus en place lorsqu’on sonna à ma porte. Je me précipitai pour ouvrir et fus ravi de voir Marie, sur le seuil de mon appartement, toujours vêtue de son sempiternel sweat trop grand. Je ne lui laissais même pas le temps de me dire un seul mot et partais à l’assaut de ses lèvres. Tout en l’embrassant, je l’attirai dans mon appartement et fermai la porte derrière nous. A mon grand désespoir, Marie se recula légèrement.
— Vas-tu me laisser respirer ? Je veux bien croire que tu es heureux de me revoir mais je ne m’attendais pas à ce que ce soit à ce point !
Disant cela, elle me sourit, ce qui finit de faire descendre l’intégralité de mon sang de mon cerveau jusqu’à mon boxer. Dans ce dernier, ma virilité était comprimée à en être douloureuse. Marie baissa les yeux vers ma braguette et ajouta, d’un air un peu embarrassé :
— Bon, apparemment ça n’a pas rétréci en une semaine. De mon côté, je n’ai pas vraiment trouvé de solution. J’ai un peu cherché sur internet, et j’ai même consulté ma gynéco, tout ce qui en est sorti c’est « il faut être excité et il faut se détendre ». Pour le premier, tu y arrives bien. Pour le second point, c’est plus facile à dire qu’à faire, ils sont marrants eux.
Voyant son air contrit, je redescendais un peu sur terre et mon état de rut redevint contrôlable.
— Je crois que j’ai trouvé une solution pour ma part. J’ai bon espoir que ça marche, j’espère que ça ne va pas te choquer. C’est un jouet gonflable, pour t’habituer petit à petit à la taille de mon sexe.
Disant cela, je sortis le gode de ma table de chevet. Je vis les yeux de ma dulcinée s’arrondir et sa bouche s’entrouvrir légèrement du fait de l’étonnement.
— Euh, ok… je ne suis pas sure de bien comprendre mais… comment tu as eu l’idée de ce truc ? et comment tu as su où l’acheter ?
Lui adressant mon sourire le plus charmeur, je lui répondis :
— Ca ma belle, je te le dirai peut-être un jour, dans un couple il faut garder quelques secrets !
Sur ces paroles, je lui sautai de nouveau dessus, l’embrassant avec toute ma maigre technique. Mes mains se firent entreprenantes et se débarrassèrent vite de l’infâme bout de tissu qui cachait les atouts de ma partenaire. Cette fois, elle se laissa faire sans sourciller.
Je lui caressai les seins, les excitai de mes doigts puis mes mains descendirent pour lui frôler les hanches. Son jean ne mit pas longtemps à rejoindre son sweat et elle se retrouva en culotte devant moi. Je reculai légèrement pour l’admirer, et m’extasiai devant ma chance. Profitant de ce répit, ce fut elle qui s’activa. Ma chemise et mon jean partirent rejoindre ses vêtements et elle envoya aussi valser mon boxer. Mon sexe se dressa tel un ressort, venant heurter son ventre tandis que mes bourses, libérées du morceau de tissu qui les contraignait, retombèrent lourdement contre mes cuisses.
Marie prit alors les choses en main. L’une d’entre elle s’activant sur mes bourses, sans parvenir à les saisir complètement, tandis que son autre main caressait ma hampe, décalottant mon gland dans un va-et-vient régulier. Elle me regarda dans les yeux, m’embrassa de nouveau et me dit d’un air un peu craintif :
— C’est vraiment très gros, je vais faire de mon mieux, j’espère y arriver cette fois.
Prenant mon air le plus rassurant et doux je lui répondis :
— Ne t’inquiète pas, essaie de te détendre et dis-toi que si ce n’est pas cette fois, ce sera une prochaine.
Disant cela, une pensée me traversa l’esprit : « j’espère quand même que ce sera pour cette fois, sinon je vais exploser ». Pensant cela, je souris, ce que Marie prit comme une preuve de bienveillance à son égard.
Je la soulevai et la posai sur mon lit, ma langue retrouva la sienne puis s’en désolidarisa, partant à l’assaut de ses mamelons. Pendant ce temps, mes mais caressaient ces seins lourds mais fermes qui, pour une raison inconnue, complexaient tant ma bien aimée. Sous mes caresses, Marie soupirait de plus en plus fort, je m’enhardis donc et fis descendre mes mains vers ses hanches et ses cuisses.
Le sexe de ma compagne était toujours emprisonné par ce petit morceau de tissu destiné à le cacher. Pour mon plus grand plaisir, ce dernier était en train de lentement s’humidifier, collant de mieux en mieux à l’anatomie féminine qu’il devait préserver, signe de l’excitation croissante de ma partenaire.
Je le fis donc descendre et partis à la conquête des parties les plus intimes de celle que je chérissais. Ma langue se fit tantôt douce, tantôt entreprenante. J’explorai ses petites lèvres, son clitoris, toujours caché sous son petit capuchon protecteur. J’embrassais fougueusement ses grandes lèvres, caressant toutes les parties du corps que mes mains pouvaient atteindre. Enfin, l’un de mes doigts s’immisça dans l’intimité que je convoitais. Il y entra sans rencontrer de résistance, glissant sans souci dans ce doux tunnel.
J’appliquai alors ce que Damien et Vanessa m’avaient enseigné et entamai de légers mouvements de massage sur la paroi antérieure du vagin. Marie eut un léger frisson accompagné d’un soupir de contentement. J’essayai donc de rentrer un deuxième doigt. Je sentis une très légère résistance mais, dans un gémissement, ma compagne accueillit ce nouvel intrus.
Cette fois, je massai plus longuement, jusqu’à ce que la lubrification naturelle de ce merveilleux organe me semble suffisante. Marie avait les yeux fermés, savourant son plaisir comme si rien ne se passait plus autour. Je saisis alors le gode que j’avais gardé à portée de main, sans en faire part à ma partenaire et tentai de le substituer à mes doigts de la façon la plus douce possible.
Marie gémit de plus belle et un frisson la parcourut. Je m’enhardis encore un peu et commençai à la pénétrer avec le jouet comme s’il s’était agi de mon sexe. Ce dernier avait atteint un volume que je ne lui connaissais pas, du liquide séminal coulait abondamment de mon méat, témoignant de mon état d’excitation, qui avait atteint un niveau jusqu’alors inégalé.
Comme on me l’avait montré, je ralentis le rythme de la pénétration et fis grossir le jouet à l’aide de la pompe. Ce grossissement fut accueilli par un gémissement, je recommençai donc mon manège plusieurs fois, pénétrant ma compagne avec le gode jusqu’à ce qu’elle se soit habituée à la taille avant de le faire grossir. Je n’eus aucune difficulté pour atteindre les quatre centimètres de diamètre. Le dernier centimètre prit plus longtemps mais j’y arrivai, mettant ma langue, mes mains, mes lèvres à contribution. A mon grand étonnement je n’eus même pas besoin de recourir au lubrifiant que j’avais acheté.
Enfin, le jouet avait atteint toute son ampleur. Juste sous mes yeux, la vulve de la femme que j’aimais était dilatée de plus de cinq centimètres par un jouet dont je contrôlais les mouvements. Marie gémissait maintenant régulièrement, son souffle était saccadé et des frissons lui parcouraient tout le corps à chaque fois que le jouet s’enfonçait en elle. Les yeux fermés, elle s’offrait totalement à moi. Je changeais alors ma manière de faire et, de temps en temps, faisais sortir entièrement le jouet de son vagin avant de l’y replonger lentement. Ce faisant, je changeai aussi de position, me mettant à genou entre ses jambes, mon sexe proche du sien.
Profitant d’un des retraits du jouet, je pris sa place, pénétrant très lentement dans le corps de ma compagne. Celle-ci se raidit, émit un gémissement un peu plus appuyé dans lequel je crus percevoir de la douleur. J’arrêtai immédiatement le mouvement.
— Ça ne va pas ?— Je n’ai pas besoin d’ouvrir les yeux, je sais que ce n’est plus le jouet. Tu es encore plus gros. Ça tire un peu mais continue, je crois que j’aime ça.
Marie avait toujours les yeux fermés et le souffle saccadé. Je repris donc ma progression, enfonçant une bonne moitié de mon membre en elle avant de ressentir une résistance plus forte. Je sentis alors que j’avais atteint le fond du vagin et que j’étais en train de pousser ce dernier à s’étendre encore plus. J’arrêtai donc et repartis dans l’autre sens jusqu’à ce que l’intégralité de ma hampe soit sortie. Puis je m’enfonçai de nouveau en elle, profitant de chaque centimètre gagné. La sensation était incroyable. Je sentais mon membre entouré d’une douce chaleur, glissant contre les parois serrées et humides du vagin de ma compagne. Je m’allongeai alors sur elle pour lui voler un baiser, activant mon bassin tout en prenant garde de ne pas pénétrer trop profondément de peur de lui faire mal.
Je me sentais puissant, viril, aimé et aimant. Malheureusement cela ne dura pas très longtemps. J’étais tellement excité que je jouis au bout de quelques poussées. A cet instant j’étais juste heureux, une décharge de plaisir submergeant mon corps d’une sensation que je n’avais jamais expérimentée. Je ne parvenais plus à garder les yeux ouverts, mon corps tremblait et mes bras ne me portaient plus, un râle incontrôlable s’élevait de ma gorge tandis qu’une quantité de sperme, que même moi je ne pensais pas pouvoir produire, se déversait en longues giclées dans le ventre de Marie.
Vaincu, je m’effondrai. Mon sexe, redevenu mou, s’échappa du vagin de ma compagne, laissant s’écouler tout ce que j’y avais injecté.Marie me caressa la joue, m’embrassa et me sourit :
— Voilà mon beau, nous avons réussi. Merci, je ne sais pas comment tu as appris ça mais c’était vraiment parfait.— Je… j’aurais aimé tenir plus longtemps, je n’ai même pas réussi à te faire jouir. C’était ma première fois, je suis désolé.
Elle m’embrassa de nouveau tendrement, sur la joue cette fois.
— Il n’y a vraiment pas de quoi être désolé, je n’ai jamais rien connu d’aussi bon. Et si, tu m’as fait jouir, plusieurs fois même, et pas qu’avec ton sexe. Je suis heureuse d’avoir réussi à t’accueillir.
Sur ces mots, elle s’assit et constata l’ampleur des dégâts, avant d’ajouter, un sourire mutin aux lèvres :
— Par contre il va falloir changer les draps… et il faut que j’aille me doucher. Tout est à l’avenant chez toi mon étalon, je crois que je n’ai jamais vu une telle quantité de sperme, même dans les pornos.
Cette dernière phrase éveilla une petite voix dans ma tête « Marie regarde du porno ? ». Je lui souris et ajoutai :
— Merci pour ça, je sais que ça t’a un peu fait mal, j’espère quand même qu’on recommencera.— Bien sûr qu’on recommencera, je t’ai dit que c’était super, et si j’ai bien vu, il me reste encore quasiment la moitié de ton sexe pour expérimenter de nouvelles sensations !
Ainsi, elle avait noté que je n’étais pas allé jusqu’au bout et elle voulait essayer. Pendant qu’elle se levait pour aller se doucher, mes fluides ruisselant le long de ses cuisses en une vision qui me rendait fou, je sus que j’étais l’homme le plus chanceux du monde et que je ne voulais jamais quitter cette femme.
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