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Rick : l'épanouissement d'un Homme

Chapitre 10

Séance de sport

Gay
Depuis que Marie m’avait quitté, je m’étais laissé aller quelques mois puis je m’étais remis sérieusement au sport, et pas qu’en chambre. Mon corps, qui, selon moi, s’était un peu empâté durant ma période dépressive était maintenant très affûté et cela me plaisait. Je faisais donc tout mon possible pour le garder ainsi. Mon but n’était pas de ressembler à un taureau de concours mais juste d’être satisfait quand je me regardais dans le miroir. Je m’astreignais donc à une ou deux séances par semaine à la salle de sport et deux séances de course à pied par semaine.
Pour garder ma souplesse malgré mes entraînements, je n’oubliais jamais de bien m’étirer après chaque séance.Ce samedi, après être allé courir pendant une bonne partie de la matinée, je m’étais lancé dans ma séance habituelle d’étirements. Perdu dans mes rêveries, j’enchaînais les mouvements de façon automatique.
Mes épaules au sol, les jambes rejetées le plus loin possible derrière ma tête, j’étirais mon dos, qui me faisait un peu souffrir. Soudain, je remarquai que, dans cette position, la bosse provoquée dans mon short par mes attributs masculins était à quelques centimètres de mon visage. Une idée me traversa alors l’esprit et je me tortillai pour retirer le rempart de tissu qui emprisonnait mon anatomie.
Aussitôt enlevé, mon sexe et mes testicules tombèrent littéralement sur mon visage. Venant de courir, je sentais la transpiration et mon entrejambe exhalait une odeur musquée assez forte mais, étonnamment, cela m’excita plus qu’autre chose et mon sexe se mit à grossir contre ma joue.
Sortant ma langue, je me mis alors à lécher mes propres bourses. La sensation était inédite, et fort agréable. Si j’avais déjà prodigué ce genre de massage à des hommes, et si on me l’avait déjà prodigué aussi, ressentir à la fois une langue parcourant mon scrotum et le goût de ma transpiration ainsi que la douceur de ma peau sur ma langue n’avait rien de commun, et cela me transporta de joie.
Je continuai donc mon manège, alternant d’un testicule à l’autre, tentant de les gober sans y arriver vraiment, du fait de ma position, mais aussi de leur taille puis je joignis mes mains à la fête.Ma main droite saisit mon sexe, désormais proche de sa pleine vigueur et le posa sur mon menton. Pendant ce temps, je massais mes bourses de l’autre main, les guidant pour faciliter le travail de ma bouche, qui aspirait, léchait, suçait tout ce que j’avais à ma portée.
Ma respiration s’accélérait et, du fait de ma position, j’avais un peu de mal à respirer. Cela non plus ne me dérangea pas, les ondes de plaisir qui parcouraient tout mon abdomen suffisant à me faire oublier mon inconfort.
Après de longues minutes à m’occuper de mes grelots, je décidai de passer au plat de résistance et me mis à lécher la hampe de mon pénis. Mes testicules pendaient désormais sur mon nez, me faisant sans doute ressembler à un animal bien étrange. Heureusement, personne ne pouvait me voir, enfin je crois, il me semble que les rideaux étaient tirés.
Décidant de ne me servir que de ma bouche pour me contenter, et ayant besoin de stabilité, mes acrobaties devenant légèrement chancelantes, je remis mes bras au sol.Ma langue courait le long de mon sexe, au mieux de sa forme, je le goûtais, le léchais et, m’aidant tant que possible de mon bassin pour adapter ma position, finis par atteindre son extrémité, protégée par mon prépuce.
Je mis alors toute ma dextérité et ma volonté à l’œuvre et frottant ma langue contre ce rempart de peau sensible, je finis par réussir à le faire se rétracter. Mon gland était maintenant à nu, prêt à jouer son rôle. Sous ma langue, la zone de mon frein électrisait tout mon bas ventre.
Dans un sursaut, je fis entrer le bout de mon sexe entre mes lèvres, savourant chaque millimètre, aussi bien en longueur qu’en diamètre.Dans cette position, mon sexe en partie enfoncé dans ma bouche et mes bourses posées sur mes joues, je comprenais ce que mes partenaires ressentaient. En effet, vu d’aussi près, je pouvais attester que j’étais bien doté.
Cela ne m’empêcha pas de continuer à enfoncer mon membre viril dans ma bouche, faisant tournoyer autant que possible ma langue autour de cette colonne de chair chaude, au goût salé, et compliquant toujours plus ma respiration.
Les mouvements étant limités dans la position dans laquelle je me trouvais, je bougeais la tête et ondulais légèrement le bassin pour tenter de me contenter du mieux possible. A force de persévérance, je réussis à introduire environ sept centimètres de ma virilité dans ma bouche, ce qui me permit d’englober à la fois l’intégralité de mon gland mais aussi mon frein et toute la zone couverte par mon prépuce rétracté. La sensation était divine. Je sentais la chaleur de mon sexe dans ma bouche, ses sursauts, sa texture, son goût et celui du liquide visqueux qui s’en échappait pour se mêler à ma salive.
En même temps, je sentais la chaleur de ma bouche sur mon sexe, ma langue qui le caressait, ma bouche qui l’aspirait, tous les mouvements qui m’électrisaient le bas du corps.Je ne voulais pas que cela s’arrête et fis durer ce moment aussi longtemps que possible. Lorsque je sentais mon plaisir monter, j’arrêtais de bouger, me portant au bord de l’orgasme sans jamais me le procurer. A ce moment, je sentais systématiquement une grosse larme chaude et visqueuse s’écouler sur ma langue. Je profitais alors du moment, m’en délectais et reprenais mon activité.
Au bout d’un temps indéterminé, je sus que j’avais atteint ma limite lorsque je sentis mon sexe gonfler encore dans ma bouche et mes bourses se rétracter, décollant mes testicules de mon visage pour le grouper à la base de mon membre. Il ne m’était plus possible de m’arrêter. N’arrivant plus à respirer ou presque, et n’en éprouvant pas le besoin tellement j’étais aveuglé par le plaisir, je fis une dernier fois tournoyer ma langue autour de mon anatomie, l’aspirant à l’aide de mes joues.
Je sentis alors une décharge de plaisir envahir tout mon corps, qui remonta de mon bas ventre jusqu’à mes épaules en même temps qu’elle descendait de mon bas ventre jusqu’à mes pieds (ou l’inverse, je ne sais plus où étaient le haut et le bas). Sur mes lèvres, je sentis les veines de ma hampe saillir tandis que, dans ma bouche, mon gland se mettait à pulser, déversant une quantité industrielle de semence. Je faillis m’étouffer et n’arrivai pas à tout avaler, en recrachant une partie pour éviter de faire une fausse route.
Lorsque ce fut fini, j’étais hébété, toujours dans la même position, mon pénis ramollissant et reprenant une taille plus convenable entre mes lèvres je le suçais comme j’avais sucé mon pouce lorsque j’étais petit, extrayant jusqu’à la dernière goutte qui pouvait en sortir.
Je repris ensuite une position plus normale pour nettoyer mon visage (rien ne devait se perdre), puis me relevais chancelant pour aller prendre une douche.Ce jour, je venais encore de découvrir une nouvelle activité à laquelle je pourrais m’adonner lorsque j’aurais un peu de temps. Par la suite, je ne m’en privais d’ailleurs pas lors des rares soirées durant lesquelles je n’avais pas réussi à ramener chez moi un ou une partenaire.
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