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Ricochets

Chapitre 7

Un nouveau jouet

Avec plusieurs femmes
Plusieurs semaines s’étaient écoulées depuis que Fabienne lui avait promis de lui rendre la pareille. C’était comme si elle avait momentanément rangé l’idée dans une petite case de son cerveau. Tout allait bien dans le couple, rien ne venait en perturber le fonctionnement. Il n’y avait pas le moindre souci, même au niveau des échanges amoureux. Elle se sentait heureuse et était certaine qu’Antoine l’était tout autant. Ils ne s’interdisaient rien, se permettant tous les gestes et toutes les caresses. En sortant de l’immeuble après avoir refermé le magasin, Fabienne se mit à rire en pensant à une réaction de son futur mari. Oh, bien sûr il n’avait rien dit, mais son attitude avait parlé pour lui. Souvent quand il la pénétrait pour pouvoir jouir en même temps elle lui introduisait deux doigts dans l’anus. Bien sûr les premières fois, il avait été surpris, mais sans toutefois avoir une réaction négative. Elle rit de plus belle en se disant qu’elle pouvait peut-être pimenter un peu plus leurs séances de jambes en l’air. Elle se dit qu’en se dépêchant, elle avait largement le temps de rentrer à la maison une fois ses emplettes faites. Il lui restait maintenant à trouver un scénario qui incite son cher et tendre à découvrir un nouveau jeu. Qu’il s’y soumette volontairement, sans réticence. Le détour qu’elle avait fait et le temps passé en boutique la ramenèrent au domicile familial relativement tard. Elle avait beaucoup de retard par rapport à son horaire habituel. Fabienne espérait que la réunion annoncée par Antoine durerait un peu plus. Elle commença par dissimuler le jouet spécial après avoir fait un essai et mis les liens du harnais à sa taille. Une manipulation qui lui déclencha un fou rire. Elle se rendit ensuite dans la chambre pour mettre en place quelques liens sur le lit, puis les dissimula. Elle soupira de soulagement quand, enfin elle estima que tout était prêt. Elle avait terminé les préparations dans le temps imparti. Fabienne sourit en entendant la porte se refermer.
— Bonsoir mon amour, comment s’est passée ta réunion ?— Sans grincement ni cahot, je ne pouvais rêver mieux.— Et toi, ma beauté ?— La recette de la journée a été bonne. J’ai eu une affluence record. J’ai même vu de nouvelles têtes. Ma patronne était ravie.
Il venait de la prendre dans ses bras pour l’embrasser, tout en passant ses mains sous la robe pour lui caresser les fesses et le minou. Elle se sentait heureuse dans ses bras, elle se laissait embrasser. Depuis qu’ils étaient ensemble, sur sa demande, elle s’habillait toujours en fille. Les pantalons et tout ce qui auparavant lui donnait un air androgyne étaient depuis relégués dans les placards. Elle s’était volontiers pliée à cette demande et sa patronne l’avait chaudement félicité pour s’être adapté à son environnement professionnel. Cette rencontre dans l’entrée de l’appartement était devenue un rituel.
— Ah ! Mon petit cœur je voulais te dire que j’ai vu un architecte pour notre projet.— Hi hi ! Cela avance et prend tournure, le syndic a répondu favorablement. Tu regarderas la lettre, je n’ai pas tout compris, c’est un peu technique.
Ils ne s’étaient pas lâchés, leurs mains tripotaient allégrement l’autre. Fabienne souriait en voyant qu’Antoine essayait de rester sérieux pendant qu’il sentait les doigts fureteurs de son amante lui titiller l’anus. Le voir réagir l’excitait, elle le sentait onduler sous cette attaque insistante de son anus.
— Euh..., ah..., oui, nous avons même l’autorisation d’installer un ascenseur hydraulique. Arrête, tu vas me faire éjaculer. Tu es de plus en plus coquine.— Hi hi, c’est de ta faute, dès que tu es rentré j’ai eu droit à un pelotage en règle. Oui, c’est vrai, je ne m’en plains pas. Nous allons pouvoir démarrer les modifications.— C.. , c’est ce que je..., ah... dis.
Fabienne en sentant la semence gicler dans sa main émit un petit rire en embrassant Antoine sur la bouche. Après ce petit intermède, le couple vaqua à ses occupations habituelles. Ils évoquèrent divers sujets plus ou moins importants, dont la programmation de la date de leur mariage. Sans surprise, ils vivaient une soirée agréable et sans heurt. Fabienne avait préparé un repas simple et goûteux, et ils rangèrent ensemble la cuisine avant de passer par la salle de bain. Elle le regardait en souriant en se disant qu’elle avait eu de la chance de rencontrer son homme. Elle ne savait toujours pas comment provoquer le déclenchement de ce qu’elle avait organisé. Même s’ils avaient l’habitude de jouer et d’improviser, elle tenait à ce qu’il soit surpris de s’être mis lui-même dans la nasse. Elle avait un petit doute, mais elle se disait qu’il ne remarquerait pas les liens dissimulés.
— Ma petite chérie, j’aimerais savoir pourquoi tu as fait en sorte de me faire éjaculer quand je suis arrivé à la maison.— Hi hi ! Mon amour, je n’ai pas pu résister à ce plaisir quand j’ai vu et senti remuer ton joli popotin quand je te chatouillais ton anus avec mes doigts. J’ai vu dans tes yeux que cela te plaisait beaucoup mon petit cochon. Non ! Ne me dis pas le contraire ! Sois honnête !
Elle sourit franchement quand elle le vit écarquiller les yeux de surprise. D’être aussi transparent aux yeux de sa femme. Il mit quelques secondes avant de réagir, puis en souriant il lui répondit sans détour en pensant que cela ne l’engageait pas.
— Euh ! Ha ha ! Oui ! Je le reconnais, avec le temps tu m’as fait découvrir ce petit point faible avec tes doigts magiques. Pour être franc, j’aime que tu conjugues ce geste avec d’autres. J’ai remarqué que souvent tu aimais avoir le dessus, cela ne me dérange pas d’être dominé et devenir ton objet.— Hi hi ! Ça alors ! Si j’ai bien tout compris, si j’en ai envie, là maintenant tu vas accepter les yeux fermés, non les yeux bandés que je joue avec ton corps. Je peux te dévorer, tout te faire.— Les yeux bandés, qu’as-tu en tête ?— Bon, bon, n’insistons pas.
Elle était redevenue sérieuse épiant le visage d’Antoine pour savoir comment faire évoluer la situation. Elle faillit rire quand elle sut qu’il allait tout accepter.
— Oui, oui, tu as gagné tu pourras me placer un bandeau sur les yeux.— Et je t’attache sur le lit !
Il se passa une seconde avant qu’il réponde, il semblait à la fois étonné et curieux
— D’accord, je suis ton sujet, ma jolie maîtresse.— Attends ! Ne bouge pas, je reviens.
Il la vit retourner dans la salle de bain et en revenir avec un foulard en soie noire qu’il connaissait bien. Elle l’utilisait régulièrement pour ajouter une petite touche à ses robes. Elle revient vers lui et lui bande les yeux soigneusement en vérifiant qu’il ne pouvait voir. Ensuite, lentement et en le caressant elle lui retire les vêtements un à un.
— Ah ! Ma coquine, tu me déshabilles, tu triches, je ne vois rien.— Chut ! Ne bouge pas, je te surveille.
Elle se déplace en silence pour récupérer le jouet qu’elle avait acheté en fin d’après-midi. Elle le surveillait pendant qu’elle mettait en place le harnais où était fixé le godemiché double d’une taille identique au sexe d’Antoine. En s’introduisant le jouet sexuel, elle frémit, cela la fit sourire.
— Tends tes mains !
Obéissant, il se laissa entraîner dans la chambre. Fabienne avançait rapidement en faisant attention pour qu’il n’y ait pas de contact inopportun. Elle l’installa sur le lit et lui lia les mains, bras écartés.
— Tu es bien mystérieuse et silencieuse, mon amour.
En souriant, elle se déplaçait sur le lit, cela l’amusait de voir Antoine bouger sa tête suivant ses mouvements à l’aveugle. Visiblement, la situation l’excitait, sa verge montrait déjà des signes avant-coureurs. Il avait pourtant les jambes serrées, Fabienne se dit qu’il fallait remédier à cela. Il avait déjà les bras en croix, elle se dit qu’il fallait encore améliorer les choses. Elle émit un petit rire avant de passer à l’action.
— Pourquoi ris-tu ?
Elle prit une cheville qu’il essaya de lui soustraire, elle lui pinça le téton. Ce qui eut pour effet de lui rafraîchir la mémoire d’Antoine, il cessa de résister. En riant, elle lui attacha les deux chevilles en écartant les deux jambes. Une position qui lui donnait maintenant un accès total et une vue parfaite.
— Fabienne, ma chérie, dans cette position tu dois avoir une vue imprenable sur mes bijoux de famille. Je ne peux bouger, tu peux maintenant me retirer le bandeau. Cette situation est excitante, mais je le serais plus si je pouvais voir.— Chut ! Mon petit cœur patiente. Je le vois bien que cela t’excite, tu bandes déjà et au bout de ton prépuce il y a une petite goutte.
Tout en parlant, Fabienne venait de se placer entre les jambes de son prisonnier, elle commença par lécher le sexe, le scrotum, le périnée et l’anus. Cette caresse fit frissonner Antoine qui gémit en remuant le bassin pendant que ses membres tiraient sur les liens.
— Ah ! Coquine, c’est bon
En souriant sans répondre, elle entreprit de lui faire une fellation et en même temps elle lui introduisit deux doigts dans l’anus. Une pénétration un peu rapide qui lui fit projeter le bassin en avant plaquant son pubis sur la bouche de son amoureuse.
— Ouf ! Tu m’avais promis une surprise, c’en est une. J’aime me sentir à ta merci. C’est très excitant, hum !
Elle émit un petit rire étouffé, elle s’appliquait à sucer son homme et à l’avaler pendant que ses doigts faisaient pression sur la prostate. En sentant les réactions, elle savait que maintenant il ne tiendrait pas longtemps. Quelques caresses supplémentaires et il lui donnerait sa semence à boire. Elle fit donc le nécessaire pour que cela arrive sans tarder.
— AH ! OUI ! JE VIENS !
Sa voix avait résonné dans la pièce, il venait de crier sa jouissance. Fabienne prenait son temps, le suçant, lui léchant le gland. Elle le savait, ce contact labial lui était un peu désagréable après avoir éjaculé.
— Ah ! Arrête ! Je veux te voir.
Elle le regardait en souriant sans lui répondre. Elle s’était redressée tout en maintenant ses doigts dans l’anus. Depuis un bon moment en bougeant, elle sentait le godemiché dans son vagin. Cela l’excitait, elle se dit qu’elle allait mettre fin au petit supplice imposé à son amant. Il était complètement offert et cela lui plaisait de le voir dans cette position. Elle émit un petit rire en voyant que le sexe de son homme s’était totalement rabougri, la position des jambes le faisait paraître plus petit. Elle se plaça en position et de sa main libre dirigea le sexe factice sur l’anus. Elle remplaça ses doigts par l’objet très ressemblant à la verge d’Antoine. En poussant, elle sentit que la partie dans son vagin bougeait. Elle souriait, elle venait de vérifier qu’ils allaient partager des sensations identiques. En augmentant la pression, elle fit entrer le membre factice dans l’anus de son amant. En se sentant pénétré, il n’avait poussé qu’un petit cri de surprise. Aussitôt, elle se mit en mouvement, faisant entrer et sortir ce sexe. Elle le surveillait et au bout de quelques minutes elle se dit qu’elle avait vu juste. Antoine semblait apprécier le nouveau jeu, si elle en croyait les soupirs et les petits gémissements. Tout en s’activant, elle lui caressait le sexe qui restait petit, pourtant le prépuce laissait échapper du liquide séminal en bonne quantité. La chambre était remplie par leurs soupirs, gémissement et petits cris. Leur plaisir augmentant sans cesse ils ne parlaient plus, Fabienne essayait de se concentrer sur ses mouvements et son rôle de mâle actif. Cela continua jusqu’à ce qu’ils jouissent simultanément. Elle se laissa choir sur lui en soupirant.
— Ah ! Ce fut vraiment bon, tu m’as exténuée.— Ho ho ! Tu ne manques pas d’air. Je t’ai épuisée. Tu viens de me sodomiser, tu m’as...— Hi hi ! Pourtant il me semble que cela t’a beaucoup plu.
Tout en parlant, elle lui retira le bandeau qui lui occultait le regard. Puis elle l’embrassa sur la bouche avec la même force qu’elle venait de la prendre. Toujours entravé, il se laissa embrasser et dominer une fois encore. Elle se redressa et de l’index lui montra son sexe d’où s’échappait la sécrétion. Cela le fit rire, il la regardait amoureusement.
— Oui, je le reconnais, j’ai aimé cette nouvelle expérience. Je ne savais pas où tu voulais en venir, j’ai été très surpris. Je dois admettre que cela a été agréable même si c’était inattendu. Tu es une sacrée coquine tout de même.— Peut-être, cependant je dois admettre que j’ai eu un excellent maître. Non, non, tu n’es pas mon seigneur et maître. Je sais maintenant que nous recommencerons parce que j’ai vu que cela t’a plu. Bien comme tu es gentil et mignon, je vais te détacher. Pourtant j’hésite un peu, te voir dans cette position me paraît très excitant et érotique. Il est temps de faire dodo, mon bel amour.
En riant, elle le libéra de ses liens, ce qui fut l’occasion d’une lutte amoureuse dont ils avaient le secret.
En ouvrant les yeux le lendemain matin, elle aperçut Antoine qui avait enfilé le harnais après avoir retiré le sexe factice. Elle rit en voyant qu’il avait fait passer son pénis dans l’ouverture.
— Ha ha ha ! C’est très mignon ! J’y trouve seulement deux petits défauts. Tes poils dépassent ce qui est plus que moyen. Ensuite, ton escargot est tout mou. Mais merci pour cette belle image au réveil.— Bof ! J’ai vouloir voir ce que cela faisait. De toute manière, c’était pour m’amuser. Allez petite fainéante, il est temps de te lever. L’heure d’aller bosser approche.— Hi hi ! Je sens que nous allons encore agrémenter nos soirées avec ce jouet.
En regardant l’heure, elle se dit qu’elle n’avait plus beaucoup de temps devant elle. Elle se dirigea d’un pas rapide vers la salle de bains. Antoine la rejoignit rapidement, un peu parce que lui aussi devait se préparer et aussi pour échanger quelques caresses matinales. Ces échanges amoureux étaient l’occasion de parler en s’émoustillant de leurs ébats précédents. Bien souvent, cette rencontre les contraignait à quitter l’appartement l’estomac vide.
— Mon chéri, nous devrions être un peu plus sages à l’avenir.— Oui, oui, pourtant c’est de ta faute, tu passes ton temps à me provoquer. Regarde ! Que fait ta main dans ma poche, tu y cherches quoi ?
En riant, il sortit la main indiscrète qui visiblement ne cherchait pas le trousseau de clefs ou le mouchoir.— Hé ! Tu me parais un peu prude ce matin. Je voulais voir si ton zizi était rangé à la bonne place.— Allez ! File ! Mauvaise fille dévergondée. Je ferme la maison.
Pour l’inciter à bouger, il lui claqua les fesses en riant.
— Hé ! Ça va pas non ?— Ho ho ! Pour une fois, que c’est moi qui te fais sentir des picotements sur ton joli fessier, n’en fait pas une montagne file !
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