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Rien de tel qu'un massage après un long voyage!

Chapitre 1

Lesbienne
La société où je travaille, bien qu’ayant grossi jusqu’à une taille internationale, a conservé l’état d’esprit des débuts - on ne disait pas encore start-up -. Le fondateur, toujours enthousiaste, veille à garder de véritables relations humaines. (Je n’irai pas, comme Jackie, jusqu’à l’appeler par son surnom, je n’ai rien fait pour avoir ce privilège…)Donc régulièrement des séminaires ont lieu* et, toujours dans le but “de renforcer la cohésion des équipes“, de temps en temps des échanges poste pour poste permettent de tisser des liens plus profonds. C’est ainsi que l’an passé mon homologue, Isako, est venue passer un mois avec moi. Aujourd’hui c’est à mon tour de découvrir le bureau de Tokyo et ses méthodes.
Même en classe affaire le voyage est long et l’étape depuis longtemps oubliée lorsque j’arrive enfin à destination. Le comité d’accueil consiste en Isako, que je suis ravie de retrouver. Nous nous étions très bien entendues lors de son séjour parisien, dont elle garde une véritable nostalgie. Les relations professionnelles sont beaucoup plus hiérarchisées au Japon.Depuis que le premier directeur est parti en retraite l’agence est dirigée par une femme dont une des premières mesures, très symbolique a été de remplacer la Lexus noire par une Citroën haut de gamme.Ma collègue s’amuse beaucoup de l’attitude compassée du chauffeur qui a paraît-il manifesté sa désapprobation en portant un brassard noir le premier jour où il l’a conduite! En attendant, Narita-Tokyo est effectué en silence et dans le confort et je récupère sans difficulté les clefs de ma chambre au Ginza hotel.  Isako facilite les démarches et nous prenons rendez-vous pour le lendemain matin, car il me faudra quelques jours pour me sentir à l’aise. Elle ne s’attarde pas, toute heureuse de pouvoir profiter d’un après-midi de liberté.
Après une douche méritée, je descends dans la rue car ma chambre est minuscule! Je n’ai jamais été aussi dépaysée depuis mon voyage scolaire à Londres! J’arrive à dégotter un bar pour boire une bière, je suis la seule femme, voyant que je suis étrangère tout le monde me sourit, mais je sens que je détonne!Je me balade dans le quartier bourré de boutiques, fais deux-trois emplettes, dont un très astucieux mini-vibro de voyage (sur un étal de marché, avec démonstration par le vendeur dans l’indifférence générale). J’apprécie le fait de ne pas être importunée ou hélée par des dragueurs à la mie de pain lorsque je me promène pour rentrer.J’allume la télé et trouve vite la chaine « X ». Pas de chance, les parties sexuelles sont floutées ou cachées pudiquement par un frustrant pot de fleur ôtant tout intérêt à l’action!Je commence à ressentir le décalage horaire et m’apprête à prendre une nouvelle douche avant de dormir quand un petit carton posé sur la table de nuit attire mon attention : un service de massage est à ma disposition de 08 à 22h.C’est clairement du luxe, mais la boîte peut bien m’offrir ça. Après tout, c’est dans son intérêt que je sois en forme pour le boulot!  
Je n’ai pas à attendre longtemps au téléphone, j’ai rendez-vous pour dans une demi-heure, il m’est demandé d’avoir pris une douche et de garder mes sous-vêtement ou un tee-shirt.Avec la précision d’une horloge à quartz, on frappe à ma porte. Difficile de donner un âge à la masseuse, je dirais la quarantaine… Elle ne s’attendait pas à avoir une femme comme cliente et s’adresse à moi en anglais limite pidgin compensé par beaucoup de sourires.Je m’allonge sur le lit, lui tournant le dos. Elle me propose de mettre de la musique et après mon accord allume la petite radio qui diffuse de la pop japonaise. A petite doses ç’est supportable. Elle se met aussitôt à chantonner.L’huile à une légère odeur d’amande et j’apprécie les mouvements agiles de ses mains sur mon dos. Il y a un petit miroir derrière la table de chevet, elle est agréable à regarder (pas la table!), de temps en temps nos yeux se croisent. Elle sourit mais est-ce professionnel, par gêne ou sincère?On peut éliminer la gêne, elle me demande d’où je viens car explique-t-elle mes muscles sont très tendus. L’effet “Paris“ fonctionne, elle adorerait y aller, tout le romantisme supposé , etc…Maintenant on peut aussi rayer le côté professionnel, elle se révèle bavarde, une vraie midinette! Ses mains sont toujours aussi efficaces. Elle est dans le bas de mon dos et me détend les lombaires au point de m’arracher un petit cri de bien-être. Je vois dans son reflet qu’elle est sensible à mon appréciation.Ses mouvements m’écartent légèrement les globes fessiers et petit à petit mon derrière s’éveille. Les terminaisons nerveuses de mon étoile commencent à communiquer avec celles de mon minou… qui réémettent vers mon cerveau.Celui-ci commence par décider que le tee-shirt retroussé sur mes épaules est décidément inconfortable.Je me cambre pour le retirer, ce faisant mes tétons saillent, ce qui n’échappe pas à ma masseuse. Je rêve que la transmission de pensées fonctionne en la surveillant par glace interposée.J’attends que ses mains remontent vers mes omoplates pour me recaler maladroitement et d’un sein frôler sa main. Sans réaction de sa part j’insiste en soulevant ostensiblement le côté vers lequel elle se dirige.Mes petits soupirs sont sans équivoque et je mets les points sur les “I“ en poussant sa main avec la mienne vers mon téton.
Elle rougit et veut cacher son visage de ses mains mais je retiens celle qui est sur mon sein. Elle ne résiste pas longtemps et me laisse me caresser avec.Je me tourne et la regarde directement en lui souriant. Je la sens désemparée, pas tant par ce que je lui propose semble-t-il que parce qu’elle ne s’y attendait pas. Sa réponse est claire :— Miss, I did not expect…— I feel so relaxed, won’t you relax too?   Elle n’a pas le temps de dire quoi que ce soit, ma bouche est sur la sienne et la couvre de baisers-papillon. Tu n’as jamais caressé de femme?— …Vraiment?Si… mais pas ici…
J’ai glissé une main dans sa petite blouse sous laquelle elle n’a que son soutien-gorge. Elle a un réflexe lorsque je passe sur son ventre.    Tu as déjà fait avec une Européenne?Non…Moi non plus avec une Japonaise!J’embrasse son cou, elle est moins rétive, quand je caresse ses hanches elle frémit de nouveau. Je m’enhardis jusqu’à la petite culotte bien sage que j’évite pour aller chercher la chaleur de ses cuisses.
Et puis je la libère :Veux-tu rester?Elle regarde sa montre, me désigne 22h30 et me montre sa main. On y lit la marque d’une bague.Mariée? Elle hoche la tête.Et puisqu’elle me prend la bouche, je considère la réponse positive!Le temps que je retire mon slip, sa blouse et ses sous-vêtements giclent par terre.Elle a un joli corps, mince, pas trop de hanches, de petites fesses et de jolis seins, un peu plus gros que les miens. Elle s’assied à côté de moi et pose sa poitrine sur la mienne avec une mimique comique en comparant leurs tailles. Fini la pro, elle se fait plaisir en me pelotant.  C’est alors que je me souviens de mon acquisition de l’après-midi et décide de le tester. Ca l’amuse carrément, elle s’en saisit et me l’applique en tournant de plus en plus près de mon sexe qu’elle ouvre d’une main, de l’autre elle passe le jouet en s’adressant à moi dans sa langue natale. Sa voix est plus aiguë et trahit son excitation.
Je m’allonge et me place en 69. Elle a un joli minou, ceint d’une fine couronne de poils noirs tout doux malgré leur aspect dru.J’aime le goût de sa rosée, mêlée à un peu de sueur. Son ventre ondule sous ma langue à un rythme proche de la caresse mécanique avec lequel elle me pénètre juste assez pour mouiller l’embout qui revient tarabuster mon bouton.Je serre ses hanches  pour lui indiquer l’imminence de ma jouissance.La sienne s’annonce peu après par une contraction du sexe accompagné d’une litanie gutturale qui, j’imagine, choquerait un charretier. Un bref coup d’œil sur sa montre lui indique qu’elle a le temps de prendre une douche.Encore ensuquée je la contemple se lever et disparaître dans la (mini) salle de bain.Elle se rhabille rapidement et avant de partir serre fort mon visage entre ses mains avec un énorme sourire.Je la retiens par un poignet :Tu travailles tous les jours?Oui, sauf dimanche et lundi.
Chouette, nous sommes mardi.

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