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Rightmove ou comment se taper son ex

Chapitre 2

Erotique
Enfin seule dans la salle de bains, je regardais une dernière fois ma silhouette dans le miroir. La tunique épousait la courbe de mes seins, un 80D, seule chose dont j’étais vraiment fière dans mon corps. Mes fesses étaient trop prononcées dans cet habit bleu foncé mais Juliette, ma meilleure amie, ne voudrait pas que je change de vêtement. J’avais laissé mes cheveux châtains libres après une journée entière enserrés dans une queue de cheval stricte. Quant à mon visage, maintenant qu’il n’y avait plus de maquillage pour le masquer, j’avais un air plus enfantin. Sans ce maquillage, il arrivait encore qu’on me demande mon âge.Il était maintenant temps que je rejoigne Juliette et Benjamin dans la cuisine. Dés que j’ouvris la porte, un agréable fumet vint m’emplir les narines, ce qui rappela à mon estomac que je n’avais pas mangé grand-chose ce midi.
— Miam, ça sent bon.
A mon arrivé dans la salle, j’eus le temps d’apercevoir la main de Juliette quitter le pantalon de Benjamin. Elle se tourna vers moi, heureuse de me voir. Je dus me mettre sur mes appuis pour ne pas tomber à la renverse quand elle vint me faire un câlin. Sa fine chemise et sa jupe courte permirent à mon corps de se trouver coller au sien, ce qui ne sembla pas la déranger.
— C’est bientôt prêt, allez-vous asseoir. Wow Alixia, ça te va super bien !
Benjamin s’était retourné en nous parlant et il m’observait de la tête aux pieds.
— Tu trouves aussi ? se venta Juliette, caressant rapidement mes hanches.
Je ne pus m’empêcher de ressentir un doux frisson.
— C’est Juliette qui me l’a prêté, me défendai-je, au cas où il connaissait déjà le vêtement.— Eh bien tu devrais le mettre plus souvent. Allez-vous mettre à table pour que je puisse apporter les cocktails.— Tu sais Benjamin, j’ai un dossier important à finir demain, je ne dois pas arriver avec une gueule de bois.
Juliette m’entrainait derrière elle jusqu’au salon au milieu duquel se trouvait une table basse en bois massif.
— Ne t’en fais pas, dit Benjamin en apportant deux verres à cocktail. Je n’ai pas bcp dosé en rhum.— Aller, goute.
Je m’empressais de porter mes lèvres au verre pour y découvrir un gout fruité et fort mais qui redemandait qu’on le goute.

— J’adore ! Qu’est-ce que tu as mis dedans ?— Je suis content que ça te plaise. Je sais que tu aimes le rhum donc j’y ai ajouté un peu de citron, quelques jus de fruits et un ingrédient spécial.
Maintenant qu’il le disait, ce cocktail ressemblait à un Don Papa mais il y avait un gout qui s’en démarquait ?
— Ah oui ? Quel est cet ingrédient secret ? demandai-je suis le même ton taquin.— Je te le dirais si tu es sage, répliqua-t-il avec un grand clin d’œil.
Me draguait-il ouvertement ou était-ce moi qui voyait le mal tout autour de moi ? En tout cas, vu comme Juliette le dévorait des yeux, elle ne pouvait pas passer à côté. Sauf qu’elle ne faisait aucune remarque. Je me détendis donc, m’enfonçant dans le dossier du canapé pour siroter le reste de mon verre.
— Alors raconte-nous, sur quel projet tu bosses en ce moment ?
Benjamin travaillait dans la finance et il adorait se changer les idées en écoutant mes récits de journaliste.
— Justement, il y a ce cas que je dois traiter urgemment, un homme qui aurait balancé son bébé contre un mur mais la mère ne veut pas qu’il soit inculqué. Du coup la décision me revient de faire éclater toute l’histoire au grand jour ou minimiser l’affaire.— Mais dénonce-les ! Imagine qu’il s’en tire, alors en plus s’ils refont un gosse.
J’éclatai de rire à la suite de Benjamin. Je n’avais pas ri comme ça depuis longtemps.
— On peut parler d’autre chose ? se plaignit Juliette.— Si tu veux ma petite chochotte, rigola Benjamin en l’embrassant. Tu reveux un cocktail ?
Leurs verres étaient déjà vides. Benjamin se levait déjà pour aller préparer une nouvelle tournée mais il tourna vers moi :
— Je t’en refais un aussi, hein ?
Mon cerveau me disait non mais mes papilles en voulaient plus.
— Juste un verre alors.
Je le finis d’une traite avant de lui tendre mon verre. L’alcool coulait dans ma gorge en réchauffant chaque parcelle en contact avec.
— Faut que je te raconte la dernière, s’exclama Juliette. L’autre jour, Valérie, ma gentille collègue m’a demandé un service. Au début je pensais qu’elle voulait que je la remplace pour qu’elle aille chercher ses gosses. Mais en fait pas du tout ! T’aurais du voir ma surprise quand j’ai ouvert la porte des toilettes et que je l’ai vu contre le miroir et le boss qui la mitraillait de l’intérieur. Un vrai film de cul et gratos. Il y en avait partout, de la mouille, du sperme, de la sueur. Et puis les cris, t’aurais du voir ça. Elle devait le mordre à pleine dents pour ne pas faire trop de bruits. J’en ai même mouillé ma culotte.— C’est la fois où tu es revenue à la maison en chaleur et qu’on a baisé pendant deux heures non-stop ? s’enquit Benjamin en revenant avec de nouveaux verres remplis.
Je m’empressais de prendre le mien pour continuer à écouter les histoires de Juliette.
— Et le pire dans tout ça, c’est que j’y ai trouvé mon compte. Le boss a une réputation à tenir et une femme qui ne doit rien savoir du coup il m’a filé une grosse promotion.
Des étoiles semblaient briller au fond de ses yeux. J’avoue qu’en écoutant son récit, ma propre culotte commençait à se retrouver mouillée. Je gigotais un peu sur mon siège pour atténuer l’envie de me toucher et pris quelques chips pour expliquer mon mouvement soudain. Surtout qu’il ne fallait pas que je salisse la tunique de Juliette.
— Du coup on va s’organiser un voyage bien mérité avec cet argent. Mais bon, tout ça pour dire que la baise c’est le pied.
Nous rîmes tous de bon cœur face à sa blague. L’ambiance se détendait toujours quand Juliette racontait sa vie palpitante.
— Bon, je propose qu’on fasse un jeu d’alcool. Picolo, ça vous tente ?
Il y avait pire que de jouer à ça quand on avait un délicieux cocktail dans la main. La partie commença doucement. Au moment où je devais faire la tortue pendant cinq secondes, mon verre diminua un peu. Benjamin et Juliette se prêtaient au jeu, à mon plus grand amusement. Le repas arriva enfin pour éponger déjà les trois verres que j’avais descendus.La partie s’enchaina avec beaucoup de rires et les actions devinrent plus cocasses. Je descendais mes verres plus vite que des escaliers avec une envie pressante de pisser. Le repas s’éternisait mais pas les parties et Benjamin avait remplacé les cocktails par des boissons plus fortes comme du rhum/coca ou du gin/tonic.
— Mime ta première pipe ou bois cinq gorgés.
Juliette venait de me poser l’action inscrite sur le portable, qui suffit à me dégriser partiellement.
— Où sont passées les actions drôles de tout à l’heure ?— Je me suis dit que ce serait bien de corser un peu le jeu, répliqua Benjamin sans voir le mal.— Je ne fais pas ce genre de jeu, je refuse.— Oh aller ne fais pas ta chochotte. Ce n’est pas comme si tu ne savais pas faire. Tu m’as déjà dit à quel point c’était chaud entre Liam et…
Benjamin lui donna un coup de coude au même moment mais le mal était fait.
— Okay, tu n’es pas obligée de le faire mais alors on double le nombre de gorgées pour que ce soit plus drôle.— Dix gorgés ??— A ce stade, il faut bien s’amuser.
Avais-je vraiment envie de me retrouver rétamée sur le tapis ? D’autant plus que j’avais un dossier important à finir le lendemain.
— Vous avez gagné.
Résignée, je pris une bouteille vide et je commençai d’abord par lécher doucement le goulot par petits coups avant d’y aller plus franchement. Au début, je me sentais gênée mais vite, l’alcool accentua mon envie accumulée et je léchai et suçai avidement ce goulot à l’aspect d’un sexe malformé mais que je pouvais quand même engloutir. Ma langue n’épargnait aucun endroit et ma main venait branler ce pénis fictif. J’arrêtais enfin ma démonstration pour constater que les deux me regardaient avidement.
— Eh bien, il ne devait pas être déçu ton ex, ne put s’empêcher de dire Benjamin.
Je remarquais qu’une bosse s’était formée sous sa ceinture. Ce qui n’échappa pas non plus à Juliette.
— Toi non plus à ce que je vois ? Ma copine t’excite ?
Elle ne lui laissa pas le temps de lui répondre car elle l’embrassait déjà, sa langue s’engouffrant dans sa bouche. Benjamin caressa sa nuque d’une main pendant que l’autre se glissait vers ses reins. Juliette ne perdait pas de temps non plus car sa main vint agripper la bosse qui ne demandait qu’à sortir. Tous les deux haletaient. J’imaginais les tétons de Juliette qui pointaient comme les miens et le désir de chacun était palpable.
— Si vous ne pouvez plus vous retenir, allez au moins dans la chambre, ris-je.
Ce qui les arrêta net.
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