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Rightmove ou comment se taper son ex

Chapitre 4

Avec plusieurs femmes
J’avais encore le sperme de Benjamin coulant sur mes joues alors que sa queue ramollissait entre mes mains. Qui aurait cru qu’un jour je sucerai le mec de ma meilleure amie et que je le ferai jouir devant elle ?A ce stade, il n’était même plus envisageable d’essayer de protéger la tunique que je portais. Déjà, une tache se formait à l’endroit où ma culotte aurait dû contenir mon liquide. Je n’avais pas besoin de plonger ma main dans mon entre jambes pour savoir que le liquide commençait doucement à couler le long de mes cuisses. Ma bouche rassasiée mais mon entre jambes toujours affamée de sensations, je m’essuyai le menton à l’aide d’une serviette et retournai m’asseoir à ma place.-A mon tour ! s’exclama Juliette, toujours aussi enthousiaste.Ma meilleure amie rejeta ses cheveux bruns dans son dos et se pencha pour faire tourner la flèche du plateau de jeu. Son décolleté me donnait une vue plongeante sur le galbe de ses petits seins, ce qui me rappela la salle de bains. J’aurais dû profiter de ce moment là pour gouter à ses seins et la caresser comme ils le méritaient. J’avais maintenant une terrible envie de m’occuper d’elle et de ses deux petits ballons alléchants.Je bus une nouvelle gorgée de vodka pour faire passer le gout du sperme de Benjamin dans ma gorge. L’effort que je venais de fournir m’avait aidée à revoir clair mais vu la vitesse à laquelle je descendais mon verre, ce ne serait bientôt plus le cas.-Erotique. Oh non, je voulais du hard comme Alixia.Juliette faisait la moue en voyant l’action qu’elle devait accomplir. Mon intuition se vérifia quand je la vis se passer furtivement la main entre les jambes, Elle avait faim, son clitoris appelait à la jouissante au moins autant que moins. Je ne pus m’empêcher d’imaginer son clitoris gonflé entre ses lèvres trempées, pulser à chaque excitation et mon doigt pénétrer avec douceur et délectation son intimité. Benjamin banderait de nouveau, rien qu’à voir cette scène.Juliette piocha une carte sur la pile à côté du plateau et lu l’inscription :-Faites passer un glaçon entre vous et votre partenaire jusqu’à ce qu’il fonde. Il y a mieux mais ça ne peut pas faire de mal.Un petit sourire en coin, elle partit dans la cuisine chercher un glaçon et revint pour s’asseoir directement sur Benjamin. Elle avait déjà le glaçon en bouche et ne tarda pas à le faire pénétrer dans la bouche de son amant. Je vis les mouvements de Benjamin se crisper, soit par surprise du froid soit parce que l’excitation était vite revenue. Ainsi le chevauchant, les deux poussaient de petits gémissements intrigants, Benjamin agrippait les fesses tendues de Juliette comme si sa vie en dépendait. Pendant ce temps, cette dernière n’avait pas attendu longtemps avant de plonger sa main dans le caleçon de Benjamin, pour son plus grand plaisir. J’imaginais leurs langues chaudes se rencontrer autour du glaçon qui apportait un contraste divin. Leur salive se mélangeait alors que leur entrejambe pulsait plus fort.Il me fallait calmer mes propres pulsions, aussi je m’éclipsai dans la cuisine pour me remplir un verre. La vodka à laquelle je voulais rajouter un peu de sirop de fraise se trouvait dans le frigo.-Miam, des myrtilles ! m’exclamai-je en ouvrant ce dernier.Pour m’en emparer, je serrai la bouteille de vodka contre ma poitrine, ce qui me fit échapper un cri. Le froid contre mon sein avait provoqué une décharge électrique dans mon corps. Déjà, mes tétons pointaient durement contre ma tunique bleue et je dus serrer les jambes pour contenir mon entre jambes brulante d’impatience.Accoudée au plan de travail en marbre, j’inspirai, expirai dans l’espoir de me calmer mais de toute évidence, j’étais bien trop excitée. Aussi, je me servis un bon verre de vodka avec du jus de fraise, que je bus en allant rejoindre le couple, titubant sur le chemin. Le liquide descendait facilement dans ma gorge, comparé au début de la soirée. Un peu au radar, je m’affalai sur le canapé et continuai à boire mon verre. Benjamin et Juliette ne faisaient plus trop attention à moi, chacun une main sur l’entre jambes de l’autre. Je sentais mon clitoris pulser entre mes cuisses même si la sensation était amoindrie par l’alcool. J’eus tout juste le temps de poser mon verre sur la table avant que mes yeux voient sombre.

Mes yeux avaient du mal à s’ouvrir alors que des bruits emplissaient ma tête. Tout paraissait fort autour de moi, les bruits, la lumière tamisée dans la pièce. Il me fallut un instant pour me souvenir que j’étais allongée sur le canapé chez ma meilleure amie. Mais en relevant la tête, un filet de bave sur ma joue, je ne voyais plus personne dans la pièce. L’instant d’avant, Benjamin et Juliette se touchaient sans retenue et maintenant je me retrouvai toute seule dans le salon. yLes verres, les bols de gâteaux, le jeu, tout était encore à sa place sauf que j’étais toute seule.Je me relevais prudemment, ma tête tournant un peu. J’avais un gout désagréable dans la bouche, comme si j’avais retenu un rejet. Assise, la tête dans les mains, je respirai un peu. Dehors, il faisait nuit noire, je n’entendais même pas les voitures passer. Je voulu boire un coup mais je me souvins au dernier moment que la dernière fois que j’avais vu de l’eau remontait à ce matin, au bureau.-Ahhhh…Une légère plainte arriva jusqu’à mon oreille, comme si quelqu’un souffrait. Et si quelqu’un était blessé ? Il fallait que j’aille vérifier.Je me levais du canapé, titubant un peu avec autant d’alcool dans le sang et plaçait un pied devant l’autre jusqu’au bruit.Dans les films d’horreur, ce n’était pas à ce moment que la victime allait mourir ? Cette pensée n’aurait pas du traverser mon esprit à ce moment précis. Je me figeai dans mon mouvement, ne sachant plus si je devais avancer ou reculer.-Non, pas là…Même si je devais mourir maintenant, il me fallait quand même vérifier que tout le monde allait bien. Ma conscience brumeuse me suppliait de le faire. En tendant bien l’oreille, je remarquai que le bruit venait de la gauche, vers le couloir et la salle de bains. A pas de loup, quoi que je n’entende que ma respiration bruyante, je continuai mon aventure pour apercevoir de la lumière venant d’une pièce dont je ne me souvenais pas. La porte était entrouverte et j’étais maintenant certaine que les bruits venaient de là. Je regardais par l’ouverture, prête au pire.Mais à la place, je tombais sur deux corps nus, bougeant à l’unisson.Mince ! Je pensais qu’il y avait un meurtrier mais en fait c’était Juliette et Benjamin qui baisaient. Quelle sotte je faisais ! Il ne fallait surtout pas que je les dérange, mieux valait que je m’éclipse vite.-Oh oui, Benjamin. Oh oui, j’aime quand tu me touches là.En même temps, ils avaient l’air de prendre tellement de plaisir tous les deux. Et puis mon clitoris restait affamé. Bon juste deux minutes, le temps de me rincer les yeux.Je ne voyais pas tout car la lumière était faible dans la chambre mais je voyais clairement la queue de Benjamin rentrer et sortir du vagin de Juliette, assise à quatre pattes comme un chien. Elle haletait à chaque coup de reins de son chéri, relevant la tête de temps en temps pour le regarder. D’où je me trouvais, ils ne pouvaient pas me voir et honnêtement, je doute que ça aurait changé grand-chose. Chaque fois que j’apercevais le membre de Benjamin, je l’imaginais de nouveau dans ma bouche, son gout exquis, rentrant jusqu’au fond de ma gorge. Et vu le bruit qu’ils faisaient, je me doutais que Juliette était aussi trempée que possible. J’entendais des claquements mouillés, ce qui accentua mon excitation. Je n’avais pas ressenti cette sensation de me faire pénétrer depuis bien longtemps mais comme si un fantôme de mes sensations refaisait surface, je me les imaginais bien. Devant leurs corps baisant avec passion, je ne résistai plus et laissai ma tunique tomber pour pouvoir enfouir ma main dans mon entre jambes.
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