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Ritz

Chapitre unique

Hétéro
Ritz
 - On sait tous les deux comment ça se termine si je monte dans cette chambre…— Ah oui ? Et comment ?
Ca fait maintenant deux heures que nous nous sommes rejoints. Leela voulait aller boire un verre dans un endroit qui “sort de l’ordinaire”. Et nous voilà attablés dans l’un des trois bars de l’hôtel Ritz à Paris, pas du tout habillés pour l’occasion ! Enfin surtout moi. Jean et pull tout ce qu’il y a de plus classique, cachés sous une doudoune un peu vieillotte. Leela, elle, est très belle, un manteau noir très élégant porté au-dessus d’une robe noire qui la met parfaitement en valeur. Nous sommes arrivés ici un peu par hasard, surtout portés par son envie. J’étais un peu gêné en entrant dans l’hôtel, cette impression de ne pas du tout être à ma place. Et pourtant à aucun moment le personnel ne nous a renvoyé cette image. Nous étions traités comme tous les clients, la marque du grand luxe.On nous propose trois bars avec trois ambiances différentes, notre choix fait, nous déambulons une dizaine de minutes dans les méandres de l’immense hôtel, le temps d’atteindre notre destination. Manque de bol, le bar est plein, nous nous rabattons sur l’ambiance chic d’à côté, et une salle presque déserte. Je préfère, nous pourrons parler assez librement comme ça.
A peine installés, avant toute commande, nous sommes accueillis comme des rois, nous testons chacun l’un des cocktails de la carte et profitons de ce moment de détente, nous racontant nos vies respectives, revivant nos vies passées.
Je ne vous ai d’ailleurs pas présenté Leela. Leela était un été indien dans une vie d’aléas saisonniers, et je ne dis pas ça parce qu’elle est d’origine Népalaise. Nous nous sommes rencontrés il y a presque 10 ans maintenant et sommes très vite devenus amis. Mais je dois avouer que dès le début sa beauté orientale m’avait marqué. Nous avons profité de cette amitié pendant longtemps, apprenant à nous connaître, à découvrir nos divergences d’opinions. Petit à petit de légers instants de flirts venaient ponctuer notre relation, puis disparaissaient aussi vite qu’ils étaient apparus.
Ces flirts ont fini par changer, se transformant en conversations de plus en plus équivoques, en fin de soirées emplies de tension, en baisers volés et vite oubliés. Jusqu’au jour où le désir a fini par prendre le pas sur la raison et où nous avons laissé s’exprimer notre envie de l’autre. Ce fut l’une des périodes les plus érotiques de ma vie, ni en couple, ni célibataires, nous laissions libre court à notre imagination, profitant de notre amour commun du jeu.
Cette parenthèse hors du temps fut de courte durée, nos chemins se sont séparés. Leela est retournée vivre dans son sud adoré, moi sur la côte ouest. Nous nous sommes tous les deux mariés et étions heureux de nos vies respectives. Nous avons réussi à toujours garder contact et à nous rendre visite de temps à autre. Et par un heureux hasard de calendrier, nous voilà tous les deux sur Paris, le temps de quelques jours de déplacement professionnel pour moi, de visite chez une amie pour elle.
Notre conversation va bon train, on peut lire sur nos visages que nous sommes contents de nous retrouver, d’avoir la chance de pouvoir partager un moment juste entre nous. Nous dégustons des cocktails aux goûts inattendus qui nous font voyager dans ce décor luxueux. Notre échange est à l’image de notre relation, d’abord amicale et enjoué, puis le flirt s’invite à la table, rapidement suivi par le désir et la tension… 
A force de se remémorer notre passé commun, nos mémoires nous renvoient les images de nos échanges érotiques, de nos corps emmêlés, de nos jeux interdits… Je vois dans son regard les moments de vague ou Leela se perd dans ses souvenirs, suivis à chaque fois de sa moue adorable quand elle se mordille la lèvre inférieure. La voir ainsi me fait chavirer, je suis de retour dans le passé, dans nos parenthèses rien qu’à nous...
Joueur, je lui dis à moitié en rigolant que vu que nous sommes en déplacement, nous pourrions partager une chambre ici pour y passer la nuit.
— On sait tous les deux comment ça se termine si je monte dans cette chambre…— Ah oui ? Et comment ?
— Tu le sais…— Vraiment ? ça se termine avec ma langue entre tes jambes ? avec toi qui me supplie d’arrêter parce que tu n’en peux plus ?
Elle se mord à nouveau la lèvre, prise au dépourvue par mon assaut si frontal. Elle ne me répond pas. Son regard en dit suffisamment, brillant d’une lueur de désir pendant que son esprit lui met en scène mes mots.
— Oui c’est comme ça que ça se termine…— Et ce serait grave ?
Pas de réponse, je vois ses pensées défiler à toute vitesse dans ses yeux, envie, raison, désir, sérieux, plaisir, et amitiés se bousculent pour avoir le droit de vote. Nous sommes dérangés pile à ce moment par la serveuse qui vient nous demander notre prochaine commande… Trop tard, le moment est passé. Nous revenons à des échanges moins engageants...
Nous discutons encore une bonne heure, je sens que notre moment arrive à son terme, qu’il va être temps de se séparer mais je n’en ai pas envie. Je veux prolonger cet instant pour toujours, je cherche désespérément un moyen de la faire rester. Je ne veux pas qu’elle parte, je la veux elle. Je pianote sur mon téléphone, suivant d’une oreille ce qu’elle prévoit de faire pour ses prochaines vacances. Je la coupe: 
— C’est réservé ! — Réservé ? de quoi tu parles ?— Je viens de prendre une chambre ici pour cette nuit.— Hein ? Tu es sérieux ? Mais tu es fou ! — Un peu...— Mais tu veux quoi ? que je vienne dormir avec toi ? — Tu fais comme tu veux, moi je dors ici en tout cas. Libre à toi de te joindre à moi ou pas, rien ne t’y oblige et je ne t’en voudrai pas si tu ne veux pas. Sache par - contre que si tu viens, tu seras à moi pour le reste de la nuit...

Mon audace la laisse sans voix. Je pense ne l’avoir jamais vu aussi indécise. Elle aime profondément son mari, mais la chimie et le jeu qu’il y a entre nous sont si forts. Elle reste silencieuse de longues minutes, souhaitant ardemment pouvoir scinder son corps en deux, une Leela rentrant sagement chez son amie, l’autre venant se perdre dans les affres de la passion. Je profite de son égarement pour aller régler l’addition, je l’embrasse sur le front, lui répète que j’ai été très heureux de la revoir, et je la quitte pour aller récupérer la clé de ma chambre, la laissant seule au bar, perdue dans son énigme insoluble…

Je monte dans la chambre, m’émerveille devant le luxe de l’endroit, tous mes sens sont en éveil, le parfum des draps, la douceur du tapis, la beauté de la vue... Je décide de prendre une douche, de me faire beau, je ne sais pas si elle viendra mais autant être prêt. Je m’imagine déjà la scène dans cette chambre, où je la prendrai, comment je pourrai lui lier les mains aux barreaux du lit.J’ai chaud, je stress, je suis excité, je tourne en rond, une clope sur le balcon, un peu d’air frais pour me calmer. Mon téléphone vibre, un message, et au même instant on frappe à la porte.
Elle est là devant moi. L’appel de la chair à été le plus fort.
— Tu as vu mon message ?
Je prends mon téléphone, regarde le message reçu: “Pas de baisers, pas de pénétration…”. Je reste bloqué quelques secondes, alternant entre son regard perçant, et ce message qui en dit tellement et pas assez à la fois. Leela vient de poser les limites de notre nuit ensemble mais également toutes les promesses sous entendues…
Je me décale pour lui laisser le passage. Elle fait quelques pas pour se figer à l’entrée de la chambre. Observant son environnement, ne sachant pas quelle conduite adopter, elle ressemble à un animal apeuré, près à fuir à tout instant. Je me place derrière elle, lui bloquant toute sortie.
— Tu me fais confiance ?— Oui
Je lui glisse le foulard qu’elle porte autour du cou pour lui bander les yeux. Profitant d’être derrière elle pour souffler sur son cou, attisant le brasier naissant dans son corps.
— Tu te souviens de notre mot d’alerte ?— Oui

Elle est là, tendue dans l’attente du traitement qui va suivre. Elle sait ce que je vais lui faire, nous avons déjà joué ensemble, et le savoir rend l’instant encore plus excitant.Sans quitter ma position, je fais doucement glisser son manteau le long de ses épaules, je lui prends la main pour la faire avancer au milieu de la chambre. Je prends le temps de l’admirer dans sa robe noire qui couvre à peine sa peau hâlée. Le bruit de fond de la télé apporte un support bienvenu auquel se raccrocher.
Je veux prendre tout mon temps avec elle, graver chaque instant de ce moment, chaque sensation dans ma mémoire. Je m’approche doucement d’elle, joignant mon front au sien, je caresse son nez du miens, nos lèvres sont à quelques centimètres mais ne se rencontrent pas, nos souffles se mélangent, sa peau est si douce comparée à ma barbe naissante.
Je la rattrape par les hanches avant qu’elle ne perde l’équilibre. Ma bouche se glisse au coin de ses lèvres avant de continuer son voyage sur sa joue, le creux de son cou, son épaule dénudée. Je passe sur sa peau sans l’embrasser, l’effleurant juste d’une caresse qui disparaît rapidement. Mes mains ne restent pas inactives bien longtemps. Elles glissent lentement le long de son corps, épousant parfaitement sa fine silhouette. Je redécouvre ce corps qui me plaît tant, ce ventre plat et sensible, ces petites fesses rebondies… Arrivée à la lisière de la robe je remonte lentement, caressant du bout du doigt la peau de ses cuisses, dévoilant petit à petit ses jambes galbées jusqu’à venir empoigner son petit cul à pleine main.
La température vient encore de monter d’un cran, mon geste lui arrache un cri de surprise, elle se rattrape à mes épaules, son corps est venu se presser contre le miens, son bas ventre venant à la rencontre de mon érection déjà bien avancée. Je m’écarte d’elle. Je veux faire monter l’excitation à un point insoutenable. Contrôler cette ascension vers le plaisir. Je la laisse seule quelques instants, le temps que son esprit se pose assez de questions. Et je reviens me placer derrière elle, la bouche dans son cou, les bras autour d’elle et mon entre jambe pressée entre ses fesses.. Elle pousse un gémissement de soulagement, retrouvant la chaleur de mon corps. Je la serre fort contre moi, je veux qu’elle ressente tout ce désir pour elle qui me consume, je m’empare de ses seins à travers sa robe, presse mon membre dur contre elle. Elle laisse sa tête tomber sur mon épaule, s’agrippe à mes cheveux, cambre son corps contre le mien, l’appelle dans un simulacre d’accouplement sauvage. Les gémissements résonnent déjà dans toute la chambre…
Je glisse les pans de sa robe le long de ses épaules, embrassant chaque parcelle de peau qui se dévoile à moi. Le température monte en flèche dans cette chambre. Très vite sa robe se retrouve à ses pieds, elle la quitte d’un pas souple, ses talons vite oubliés à leur tour. J’ai devant les yeux une magnifique beauté indienne, les courbes de son corps parfaitement mises en valeur par un ensemble de lingerie noir en fines dentelles. Je prends quelques secondes pour l’admirer avant de revenir réchauffer son corps du miens, mes mains prenant maintenant possession de sa peau dénudée. Tous mes souvenirs ne rendent pas justice à la sensation de sa peau sous mes doigts, je vois les frissons qui la prennent, les tremblements d’excitation, sa respiration qui s’accélère… Leela s’abandonne complètement à moi.

On a toute la nuit, mais je ne résiste pas, je veux l’entendre, je veux à nouveau profiter du son de ses cris de plaisir. Mes doigts se glissent entre ses jambes, franchissent la barrière de sa culotte et viennent embraser son intimité déjà luisante d’excitation. De mon autre main, j’enserre son cou, la maintenant contre moi pendant que mes doigts caressent vivement son clitoris, envoyant des décharges de plaisir dans tout son être. Je glisse un doigt en elle, accueilli par un profond gémissement et la chaleur humide son sexe. A nouveau mes mouvements sont rapides, je la pousse à bout et me stoppe à nouveau. Je veux qu’elle sache qu’elle m’appartient maintenant. Je me retire, descends sa culotte le long de ses jambes, défait le dernier rempart qui protège ses pointes dressées. Tout en lui retirant ses derniers vêtements je dépose de légers baisers le long de sa peau. Je défais ma ceinture, place ses poignets derrière son dos et les attachent entre eux. Sa respiration s’accélère encore. Je viens reprendre possession de son entrejambe et l’amène au bord du précipice pendant que ses mains explorent comme elles le peuvent mon membre dur à craquer… Je lui refuse son plaisir pour le moment et lui susurre à l’oreille :
— A genoux
Un instant d’hésitation, le temps de reprendre le contrôle de son corps. Leela s’agenouille sur le tapis blanc au pied du lit, le contraste avec son teint halé est saisissant. 
Je me mets également à l’aise, ne gardant sur moi que mon désir, mon érection fièrement dressée. Je ne la laisse pas attendre trop longtemps et vient lui présenter ma queue qu’elle dévore directement, je sens toute sa frustration dans la fellation qu’elle me procure. Je ne retiens pas mes gémissements, elle sait que j’ai toujours adoré les merveilles qu’elle fait avec sa bouche… Elle me demande soudainement une photo, mon sexe entre ses lèvres, le temps de capturer l’instant, elle est tellement belle soumise ainsi. Nous aimions beaucoup immortaliser ces moments ensemble. Cette douce torture dure quelques minutes de plus avant que je lui retire son nouveau jouet. Je m’installe face à elle, à genou.
— Ecarte
Elle se mord la lèvre. Doucement elle m’ouvre ses jambes, m’offrant une vue délicieuse sur son intimitée toute lisse, brillante d’envie. Ma main glisse sur l’intérieur de sa cuisse, je m’égare quelques instants, surpris par tant de douceur. Mes doigts retrouvent sa chaleur et très vite ses cris remplissent à nouveau la chambre. Je la maintiens d’une main sur son cul tandis que de l’autre je la caresse sauvagement. Tout son corps se tend en une explosion de plaisir, son sexe brulant inonde ma main et le tapis, puis elle s’écroule sur mois, le corps encore pris de temblement, moi aussi je gémis sans m’en rendre compte, de la voir ainsi…
Je lui laisse quelques instants de répit, je lui détache les poignets, l’aide à se relever et la dirige sur le lit. Ses poignets finissent à nouveau attachés aux barreaux du lit, la coquine s’empare à nouveau de ma queue avec ses lèvres pendant que je tente de l’attacher. Je profite du plaisir qu’elle me donne, plonge à nouveau mes doigts en elle, rythmant mes mouvements à ceux de sa bouche sur moi. Je sens ses gémissements autour de moi, ses contractions autour de mes doigts… Elle m’excite tellement, je la stoppe, cette fois c’est moi qui suis au bord du précipice. Il faut que je me calme un peu. Je prends le temps de capturer une nouvelle photo d’elle, nue, les yeux bandés, attachée, complètement offerte sur cette immense lit, son corps se tortillant dans tous les sens, cherchant les caresses…Je me place à ses pieds, les caresse, les lèche, les embrasse, centimètre après centimètre ma bouche remonte le long de ses jambes. Centimètre après centimètre ses jambes s’écartent pour me laisser venir prendre mon du. Mes dents se plantent dans l’intérieur de sa cuisse, ma bouche se colle à ses lèvres, ma langue s’enroule autour de son clitoris gonflé d’envie et nous repartons pour un incessant ballet de cris, de spasmes et de plaisir…
— Oooooh oui… c’est trop bon…
Je n’ai pas oublié ce qu’elle aime, ma langue plonge en elle, je la dévore littéralement pendant que mes mains caressent tout son corps. Et très vite elle est prise d’un second orgasme violent, je la goûte entièrement pendant qu’elle se cambre dans un tableau des plus érotiques… 
La voir prendre du plaisir ainsi m’excite au plus haut point. Je ne tiens plus, je la veux, je veux qu’elle abandonne ses foutues limites. Je lui laisse à peine le temps de se remettre, la retourne brusquement, ses mains sont toujours attachées au lit, je m’empare de ses hanches, la place à genou, la forçant à me présenter sa croupe si tentante…

Je suis maintenant juste derrière elle, les mains posées sur son cul délicieusement tendu, mon membre glisse le long de ses lèvres trempées, allant et venant doucement, comme si nous baisions en levrette. A chaque mouvement, mon gland ouvre légèrement ses lèvres, glisse jusqu’à venir frotter son bouton d’amour, lui arrachant mille gémissements. J’ose à peine imaginer l’envie qui doit lui brûler le ventre.Lors d’un mouvement un peu trop rapide, mon gland ouvre un peu plus son intimité, nos corps se figent un court instant, à quelques secondes de s’unir totalement. Elle ne fait pas mine de fuir, me laissant décider si je dois la faire mienne ou pas, hésitant surement aussi si elle doit venir s’empaler sur mon membre dur à craquer. Je n’aurais qu’un geste à faire pour la remplir de tout mon long. Le moment passe et je glisse une nouvelle fois à l’extérieur de son sexe, nous arrachant à tous les deux un grogrement de frustration…
— Aaaaaah... On avait dit pas de pénétration…
Je ne sais pas si c’est une réprimande, une demande, un avertissement… Ce que je sais c’est que je veux qu’elle me dise clairement ce qu’elle veut. Que ce soit elle qui décide de franchir la limite. Et je compte bien l’y inciter fortement...J’accélère mes mouvements de bassin, nos sexes se frottant maintenant l’un à l’autre en continu. Leela gémit sans s’arrêter, les mains toujours entravées au lit, la tête plongée dans les oreillers, son corps venant à la rencontre du mien.
— aah… Tu peux… aah… tu peux me prendre les fesses si tu veux…
Je marque un temps d’arrêt. Le temps que mon cerveau à moitié irrigué comprenne ce qu’il vient d’entendre. Elle de son côté ne s’arrête pas, quémandant toujours plus de plaisir.
— Tu es sûre ? — Oui…— Dis le...— Oui vas-y, prends moi le cul !— Ok ne bouge pas
Ça y est, toutes les barrières sont tombées. Il n’y a plus que l’instant présent qui compte, et ce désir qui brûle nos corps qui doit être assouvi. Je ne peux décemment pas la prendre comme ça même si j’en meurs d’envie. Je me recule à regret, m’allonge sous elle, la tête entre ses jambes, de mes mains j’appuie sur ses fesses rebondies pour amener sa chatte jusqu’à ma langue.. Et pendant que je m’applique à jouer avec son clitoris, mes doigts plongent en elle, ressortent luisant de plaisir avant de venir jouer avec son petit trou, glissant délicatement autour, l’amenant à se détendre de plus en plus avant de glisser à l’intérieur…
Cette torture dure de longueur minutes, allant toujours plus loin, la préparant à m’accueillir, la stimulant comme jamais, mes doigts sont dans ses fesses, dans sa chatte, ma langue ne laisse aucun répit à son bouton gorger de sang. Leela explose à nouveau contre moi, je l’entend hurler son plaisir dans le coussin qu’elle mord. Son corps est pris de spasmes violents avant de s’écrouler, épuisée.
Je me libère de son étreinte, me place derrière, me présente à son entrée, et sans attendre je m’introduis doucement entre ses fesses, m’enfonçant lentement en elle, son corps suffisamment détendu pour m’accueillir. 
— aaaaaaaah….
Je la pénètre de tout mon long et jouit directement au creux de son ventre, impossible pour moi de résister plus longtemps. Mon orgasme lui offre un répit salutaire, mais malgré ça je reste durement en elle. C’est elle qui petit à petit, se met à se mouvoir, mon membre va et vient en elle, lentement, la remplissant entièrement, la sensation est terrible. Étrangement Leela devient beaucoup plus bavarde, ses derniers remparts sont tombés…
— Vas y... plus fort… baise moi fort…
Je ne me fais pas prier pour lui donner ce qu’elle réclame. Venant de jouir je peux me lâcher et la prendre sauvagement si c’est ce qu’elle souhaite. A chacun de mes coups, Leela grogne d’un plaisir teinté de douleur. D’une main je lui claque les fesses, ajoutant encore aux sensations extrêmes qui nous assaillent. J’agrippe ses cheveux pour la tirer en arrière, la forçant à se cambrer complètement, m’enfonçant encore plus en elle, j’y vais tellement fort que son corps me semble sur le point de lâcher. Je lui libère une main pour qu’elle puisse se caresser en même temps, nous sommes deux bêtes en rut déchaînées, consummés par la passion, nos corps perlés de sueur, une odeur de sexe remplissant toute la chambre… Je sens sa main entre ses jambes, contractant encore plus son corps autour de moi, il ne nous en faut pas beaucoup plus pour nous précipiter de l’autre côté, nous hurlons littéralement notre plaisir ensemble, et je me déverse à nouveau en elle…
Je la détache rapidement, la libère du bandeau, vient la serrer contre moi dans une étreinte rassurante. Nous avons du mal à reprendre notre souffle, je pense que nous n’avons jamais été aussi loin ensemble. Nous ne parlons pas, il n’y a rien à dire. Quelques minutes plus tard, je la sens tourner son regard vers moi, je plonge dans ses yeux sombres, nos lèvres se rejoignent presque amoureusement, elle m’invite sur elle, et l’instant d’après nos corps s’unissent à nouveau, embarquant pour un nouveau voyage de plaisir loin de nos vies…
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