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Road-trip

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Jour un
Le camping-car est depuis un an notre nouveau passe-temps en famille. Les vacances ou juste les week-end cela nous permet de changer d’air facilement, vers de nombreuses destinations, simplement au gré de nos envies. Même si nous préférons les petits spots sauvages en pleine nature, il nous arrive aussi de faire des haltes plus longues en camping ou à la ferme.
Aujourd’hui nous partons de Normandie pour aller rejoindre notre famille dans le Languedoc. Les enfants sont déjà sur place depuis quelques jours et profitent de leurs cousins et de la piscine. Mon épouse et moi avons hâte de les retrouver mais nous devons admettre que ces quelques jours de répit font du bien à notre couple. À 42 ans chacun, nous avons passé plus de la moitié de notre vie ensemble. Cette longévité vient du fait que nous savons que dans un couple, rien n’est jamais acquis. Ma femme est tellement charmante qu’on lui donne encore 35 ans. Ses grands yeux verts et ses petites ridules continuent de me faire fondre après tout ce temps. Elle soulève toujours des regards appuyés d’autres hommes, et de femmes d’ailleurs. Peut-être que cela vient de ses épaules menues et de ses seins en poire qui pointent facilement. Ou bien de ses fesses généreuses et ses belles jambes. Je ne sais pas mais l’effet est toujours là. Quant à moi, il semblerait que j’aie de beaux restes: malgré mon crâne tondu, ma barbe grisonnante et ma peau bronzée me vont bien parait-il.
Nous voilà donc en route de bonne heure et de bonne humeur. Comme nous prendrons notre temps pour rouler, nous nous sommes mis à l’aise. Mon épouse en robe d’été et lunettes de soleil de circonstance a déjà calé ses jolis pieds nus sur le tableau de bord. Tandis que je conduis, nous discutons et nous nous taquinons. L’avantage d’un camping-car c’est que vous vous sentez en vacances avant même d’être arrivés. Ma femme se détend si bien que je repère vite son petit manège avec ses pieds. Elle sait que j’adore ses chevilles depuis toujours et les voir remuer ne me laisse pas indifférent. Un pied caresse l’autre pendant que tu te moques de mes cheveux disparus, merci madame. Un doigt qui tortille tes bouclettes châtains pendant que tu tires la langue à mes vannes de collégien. Bref, à peine une demie-heure de trajet et te voilà à passer ton autre main sur la courbure de tes seins. Un petit pincement discret par-ci et tes tétons dardent ta robe par-là. Tu as vite remarqué la bosse au creux de mon bermuda et tes yeux brillent encore davantage. Mais je suis sérieux et m’efforce de rester concentré sur la route. Je me contente de jeter de rapides coups d’oeil pour prendre la température oculaire. Et ça monte encore. Tu as sorti un sein de ta robe et tu le malaxes doucement, pinçant toujours un téton prisonnier. Tes jambes se sont ouvertes légèrement pour laisser ton autre main caresser ton pubis à travers ta culotte. Comme elle est vite mouillée et que tu veux la préserver pour le reste de la journée, tu l’écartes simplement sur le côté. J’aperçois tes doigts s’enfoncer dans cette toison fraichement taillée pour l’occasion. De mon côté, mon sexe s’est mis à durcir si bien que je tire un peu dessus pour lui faire une place et retrouver un semblant d’aise. Tu as les jambes bien écartées, robe remontée, deux doigts s’insinuant dans ta chatte au rythme du macadam. Le siège passager est assez haut, au point que toute voiture arrivant de face peut remarquer ma femme en train de se masturber au moment où nous nous croisons. Je crois que cela l’excite encore plus. Je la vois désormais chercher sous son siège et sortir de son sac à main, son petit vibro rose, spécial "urgence de voyage". Sans plus tarder, il disparaît entre ses cuisses. "Je suis désolée chéri mais j’ai un besoin urgent. Tache de garder un œil sur la route". Ben voyons, plus facile à dire qu’à faire. Surtout que des gémissements sont désormais de la partie. Cette voix suave qui laisse exprimer des souffles de plaisir pendant que moi je dois garder les mains sur le volant et les yeux sur la route, quel supplice!
Mon salut vient du bas côté de la route à l’horizon. Une jeune femme tient une pancarte en carton avec un simple "Toulouse?" pour demande. Perfide envers mon épouse éberluée, je me range rapidement pour la laisser monter à l’arrière. Son siège est dos à celui de mon épouse qui me jette un regard courroucé, furieuse d’avoir été interrompue si promptement. Nous repartons et faisons connaissance. Il s’agit d’une étudiante en dernière année de Lettres qui rentre chez sa famille pour les vacances. Ma femme bien qu’encore désappointée de son goujat de mari, se retourne pour faire la conversation à notre nouvelle compagne de voyage. Il nous reste encore plusieurs heures à tuer, cela nous distraira. Pourtant je sens mon épouse mal remise de sa douche froide. Elle a les joues encore rouges d’excitation et je comprends qu’elle n’a pas eu le temps d’enlever le gênant petit vibro qui continue sa besogne comme un bon petit soldat.
Malheureusement, la jeune femme s’est avancée au dessus du siège de ma compagne pour nous parler. Même si elle est ravissante avec ses nattes rousses et ses lèvres pulpeuses je vois bien que ma femme ne va pas pouvoir supporter cette proximité encore bien longtemps. Elle s’est retournée vers la vitre et vient d’étouffer un cri dans son poing. Ses jambes croisées n’y changeront rien, bien au contraire. La pression monte autour du vaillant petit vibro. Notre passagère comprend que quelque chose cloche et lorsqu’elle demande à mon épouse si tout va bien, je lui réponds qu’elle est parfois sujete à des migraines brèves mais intenses.
"Je suis une spécialiste des maux de tête à cause de ces fichus partiels, laissez-moi faire!" Sans attendre, la voilà à genoux sur sa banquette en train de masser la nuque de mon épouse. Nous comprenons alors tous les deux que tout ça va vite dégénérer.
Je m’efforce de rouler prudemment pendant que ma femme essaye de contrôler sa respiration. Heureusement, je suis le seul à pouvoir contempler le tableau. Mon épouse a remis une jambe calée sur le tableau de bord, sa robe relevée à demi-cuisse. Je peux voir le bout de son vibro rose. La situation sur son siège est digne d’une montée soudaine des eaux dans le Gard. L’index en travers de sa bouche, elle parvient à peine à contenir des gémissements de plus en plus audibles. Lorsque les mains passent sur sa gorge pour masser le haut de sa poitrine, mon épouse en pleine agonie vient appuyer sur le vibro qui essaye de ressortir. Ce qui ne fait que déclencher un vrai râle de plaisir, sans équivoque possible.
"J’ai vu vos jambes écartées et votre sein à l’air avant de monter. Je sais très bien à quoi vous étiez en train de jouer." Là-dessus, l’étudiante, (en anatomie désormais), fourre une main sous la robe de ma femme et lui pelote un sein avec fermeté. Son autre main fait de même sur l’autre sein, la poitrine désormais gonflée et dévêtue. Lorsqu’elle lui tire les tétons vers le haut, ma femme pousse un cri de joie qui n’est pourtant pas d’orgasme. C’est lorsqu’elle vient lui susurrer des mots inaudibles dans le creux de l’oreille que le vibro saute comme un bouchon de champagne. Tandis qu’il vient rebondir au sol, ma femme cambre ses reins très fort vers le haut. Des petits cris semblent accompagner des courts jets de cyprine qui viennent éclabousser le pare-brise de fines perles de rosée.
Toute pantelante, en attendant de retrouver ses esprits, je quitte ma femme des yeux pour regarder sa masseuse improvisée. Avec un sourire au coin des lèvres et contente de son résultat, elle me demande si je peux la déposer à la prochaine ville. C’est ainsi que nous la laissons à la gare. Après nous avoir rapidement remerciés, nous la voyons disparaître dans le hall principal, un dernier clin d’oeil complice destiné à mon épouse, à peine remise de cette rencontre.
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