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Road-trip

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Jour 2
Nous avons passé la nuit près des châteaux de la Loire sur une petite aire aménagée très sympa, avec des emplacements bordés de haies pour les véhicules. Nous ne sommes pas revenus sur les évènements de la veille et sommes repartis au petit matin comme si rien ne s’était passé avec cette étudiante. Pourtant j’ai senti que ma femme avait mal dormi, surement encore gênée par cette histoire. Du coup, l’humeur est plus morose durant la matinée. Le midi, nous faisons une pause près d’un petit étang, complètement désert et d’un calme absolu. J’en profite pour revenir sur ce qui s’est passé la veille, en dédramatisant la situation. Ma femme me répond que ce qui la gêne est le fait qu’elle n’a ressenti aucune honte et même énormément de plaisir. J’en suis ravi pour elle, c’est très bien comme ça. Un peu plus à l’aise, elle me dit vouloir faire une petite sieste avant de repartir pour récupérer un peu de sommeil. Nous nous installons donc dans le lit capucine au dessus de la cabine. Des fenêtres donnent de chaque coté du lit et permettent de profiter de la vue à 3m de hauteur. En les ouvrant, un courant d’air frais vient nous rafraichir. Nous nous déshabillons entièrement afin de mieux en profiter en pleine chaleur estivale. Les caresses de cet air frais hérissent nos poils pourtant la chaleur est loin de redescendre. Surtout quand je sens ses doigts glisser sur mon corps. Nos bouches s’unissent pour y mêler nos langues et les images de la veille reviennent doucement à la surface. Placé derrière elle, mes doigts fouillent déjà son petit abricot. J’ai fais passer mon autre bras sous sa tête et mes doigts se font lécher et sucer à tour de rôle. Pendant que je sens sa chatte s’ouvrir plus largement pour y insérer deux doigts déjà pleins de mouille, son corps se love tout contre le mien et ondule. Ma bite ne tarde pas à durcir contre ses fesses me forçant à suivre le rythme de sa cambrure de reins. Tandis que mes deux doigts s’enfoncent désormais complètement et ressortent de tout leur long dans un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide, ses gémissements s’interrompent alors brutalement. Une voiture vient de faire son apparition pour se garer à une dizaine de mètres.
C’est un cabriolet gris au toit complètement ouvert. Un couple y est assis et discute sans descendre du véhicule. La quarantaine aussi, monsieur porte un pantalon et un polo décontracté, madame une robe assez moulante noire. Son décolleté est superbe et d’en haut, nous voyons clairement le sillon entre ses seins. Ils n’ont pas remarqué notre fenêtre ouverte et ne peuvent pas nous apercevoir heureusement.
Nous avons stoppé pour un temps notre numéro pour ne pas nous faire repérer. Pourtant loin de débander, ma bite est venue se glisser lubriquement entre les fesses de mon épouse et lui lustre abondamment sa raie devenue toute glissante. C’est à ce moment-là que les choses prennent une autre tournure dans le cabriolet. La passagère se penche vers le conducteur, lui ouvre rapidement la braguette et avale entièrement sa bite qui grossit en quelques secondes. Il l’a énorme et large, mais gorge-profonde semble la connaître par cœur. Les mains de l’homme attrapent la longue crinière brune pour ordonner la cadence. Se relevant, elle baisse sa robe sous ses seins nus. Superbes, gros, aux tétons durcis, elle aide son compagnon à abaisser le dossier de son siège et vient se mettre à califourchon au dessus de son visage. La jupe remontée sur la taille et sans aucune lingerie, elle vient appuyer sa chatte velue sur la bouche de son amant qui lui lèche les petites lèvres qui dépassent, déjà baveuses. De son côté, elle reprend le lustrage de sa bite à grands coups de langue.Dans la capucine, mon épouse qui était sur le ventre pour mieux observer la scène a parfaitement écarté les jambes pour que je me love sur elle, par derrière. Ma bite lui rempli la chatte et je joue de mon gland pour lui en dilater l’entrée. Des petits bruits adorablement vulgaires attestent de la bonne lubrification. Comme elle parvient mal à contenir ses gémissements, je lui plaque une main contre la bouche. À chaque coup de boutoir de plus en plus fort, sa tête avance vers la fenêtre pour obtenir d’avantage d’air frais.Dans le cabriolet, Madame s’est mise à quatre pattes sur la banquette arrière, nous tournant le postérieur, le visage enfoui dans le siège. Nous pouvons admirer sa chatte béante et baveuse. Monsieur en profite pour venir derrière et se lubrifier la bite puis en pousser le gland directement contre son anus. C’est une fois rentré que nous entendons les premiers cris de sa partenaire. Après quelques rapides secondes d’adaptation à son engin, il se met à la labourer de fond en comble, sans ménagement. Les fesses de son amante tremblent à chaque coup et ses cris étouffés nous parviennent distinctement. Il lui agrippe son large cul et l’encule profondément par des coups de reins vifs et brutaux.
De notre côté, notre position a très peu changé mais mon épouse a passé la tête complètement à travers la fenêtre, profitant que le couple nous tourne le dos. Malgré ses bras ballants au dehors, sa main étouffe ses cris pendant que je fais passer ma bite de sa chatte à l’entrée de son cul. Alternant entre les deux orifices pour profiter de sa mouille et lui ouvrir largement son petit trou, je la pénètre de plus en plus profondément. Je sens rapidement mon ventre venir buter lascivement contre son cul qui s’agite et se tortille pour accélérer la cadence. Lorsqu’elle aperçoit l’homme se retirer pour libérer sa semence sur les fesses de sa partenaire, je sens son corps moite se plaquer avec force contre moi et contracter mon gland au plus profond d’elle même. C’est alors que je ne peux plus retenir ces deux jours d’excitation intense et que je décharge de grosses saccades de sperme au plus loin dans son intimité. Pendant plusieurs secondes, je sens mes couilles se vider de leur semence contenue trop longtemps. La bouche contre son épaule, j’étouffe mes propres gémissements.
Dans un dernier réflexe, mon épouse rentre alors sa tête à l’intérieur et nous restons de marbre, nos corps à l’unisson. Au bout d’un moment, nous entendons la voiture démarrer et s’éloigner tranquillement. Nous reprenons notre souffle, nos coeurs battent à nouveau normalement. Le calme de l’étang revenu, nous entendons le coassement de quelques grenouilles. La sieste se prolonge encore quelques minutes puis, parfaitement détendus, nous nous préparons pour reprendre la route
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