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Road-trip

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
Jour 4
Après deux jours dans les Landes à profiter de l’océan nous longeons la côte avec notre camping-car. Le temps est radieux, la chaleur plus clémente. Comme la route n’est pas surchargée de vacanciers, nous passons Biarritz sur le midi. Après avoir déjeuné, nous amorçons notre voyage dans les Pyrénées par le bord Atlantique. Fuyant les grandes voies, nous profitons du temps à notre disposition pour admirer le paysage sur des routes secondaires. Évidemment en camping-car, la moindre route de campagne est déjà un appel à la levée du pied sur le champignon. Sur les routes sinueuses de montagne je n’en parle même pas. C’est ainsi qu’en fin d’après-midi, nous traversons un charmant village dont le centre-ville est en effervescence relative. C’est un jour de marché, une dizaine de commerçants sont installés. Nous décidons de nous arrêter un peu plus loin, sur un parking très calme attenant à une petite caserne de pompiers. Nous nous dégourdissons les jambes en direction du marché.
Les senteurs des produits frais envahissent nos narines, nous faisons un ravitaillement opportun: légumes, pain, charcuterie, fromage local...
De retour au camping-car, nous estimons l’endroit vraiment calme et accueillant. La nuit se fera donc ici. D’un côté, vue sur les montagnes, et de l’autre, à quelques mètres, la petite caserne qui parait déserte. Nous préparons le repas avec nos produits frais tout en discutant de nos dernières rencontres. Le souvenir de ces ébats à la sauvette nous amuse et nous détend. Je taquine mon épouse à propos du concombre que j’épluche, une idée de travers en tête, non dissimulée. Juste une moitié épluchée, je l’agite bien en évidence en remémorant le sexe de l’homme au cabriolet. Ma femme estime que le concombre ne tient pas la comparaison: j’en suis presque choqué! Mais elle affirme qu’en tant que femme, sa curiosité a été piquée: que ferait-elle d’un engin pareil ? Ce coup-ci j’en suis vexé...
Bon perdant, je lui demande si au moins elle se sentirait capable d’une simple mise en bouche. M’attrapant la main, elle relève le défi et commence à le lécher. Ses yeux me regardent d’un air aguicheur. Le concombre à demi-dévêtu et humide, semble heureux, face à la raison de son existence. Pour me taquiner davantage, elle ouvre sa bouche en grand et le suce assidument. D’abord le bout, puis elle en engloutit une bonne partie à nue. Les va-et-vient en me regardant ont vite fait de me mettre en érection. Et au toucher de ma main sous sa robe, sa vulve n’en semble pas laissée pour compte. Un doigt lui tourne son clitoris à travers la dentelle de son slip. Tout de suite, je le sens durcir comme si c’était un téton. Elle se retourne alors, se penche en avant sur le plan de travail de la cuisine et remonte sa robe au-dessus de ses reins. Après avoir fait glisser sa petite culotte jusqu’à ses chevilles, elle me tend le concombre.
— Mets-le moi...
Me susurre-t-elle en écartant ses jambes. Une main écarte aussi ses fesses pour dégager la voie. La vision de son cul aussi ouvertement offert laisse mon sexe très à l’étroit dans mon jean. Je l’attrape avec douceur par la nuque d’une main et je commence à lui masser la vulve avec le concombre humide de l’autre main. Après l’avoir caressée quelques instants tout le long de sa fente, je pointe le bout entre ses petites lèvres. En le tournant simplement sur lui-même, l’extrémité ne tarde pas à s’enfoncer légèrement. Au bout de longues secondes de patience, sa chatte se dilate suffisamment pour s’adapter au diamètre de l’engin. Elle commence à gémir, d’abord de douleur, puis très vite, de plaisir. Quand elle se tortille le derrière je comprends que je peux "pousser le bouchon" un peu plus loin. Quelques centimètres suffisent à lui faire lâcher un long gémissement bien poussif.
Comme elle se trémousse davantage et qu’elle a sorti un de ses seins pour le caresser, j’intime de lents et courts aller-retours avec ma main. Elle gémit désormais à chaque fois que je lui enfonce le concombre.
— Continue, baise-moi avec...
J’accélère donc les mouvements du fétiche vegan. Sa chatte est à présent toute dilatée et crémeuse. Je peux sortir le concombre et le rentrer directement sans forcer. Compte-tenu du bruit produit et de ses plaintes, je prends un malin plaisir à la besogner ainsi. Devant elle, par la fenêtre de l’évier, nous voyons le soleil se coucher dans un ciel rose. Elle se pince désormais le téton si fort qu’il en perle une minuscule goutte. Dans son arrière-train, le concombre l’entraîne sauvagement.
— Allez ! Baise-moi avec lui !
Alors le nigaud que je suis comprends enfin. Elle se relève, le concombre en main et s’allonge dos sur la table en face de l’évier, vue sur la caserne. Elle en profite pour ouvrir entièrement le chemisier de sa robe, libérant sa poitrine opulente, aux tétons gonflés. Le concombre en bouche et une main sur ses seins, elle soulève ses jambes et les replie bien haut. Son cul parfaitement offert n’attend que moi. J’enlève rapidement mes vêtements pour être nu à mon tour. Je viens directement fourrer sa chatte dans un petit bruit de succion. Je n’ai besoin d’aucun préliminaire devant une telle envie de sa part et je la baise brutalement. Chaque coup de reins dans son vagin dilaté fait un bruit vulgaire et ô combien excitant. La fenêtre entre-ouverte juste derrière sa tête nous apporte un peu d’air frais. Nous gémissons tous les deux en cadence, le camping-car en pleine chambranle.
— Je t’ai dit de me baiser AVEC lui...

Me dit-elle entre deux râles. C’est alors qu’elle me repousse pour me remplacer par ce satané concombre. Comme elle penche ses genoux pliés encore plus vers elle, presque au niveau de ses épaules, je finis par comprendre là où elle veut en venir. Son derrière complètement relevé m’offre une vue admirable sur son cul. Je fais donc glisser mon gland entre ses larges fesses, au bord de la table. Le jouet végétal se retrouve alors calé contre mon bas-ventre. Je lui pousse mon gland dans la rondelle, le légume imitant mon mouvement dans sa chatte. Un peu gêné par cet emmanché, je joue simplement à taquiner ses fesses avec mon gland. Son cul se retrouve bientôt lui aussi complètement assorti à ma bite et je peux entrer et sortir librement, tout glissant. Je prends mon temps pour laisser son corps accepter la double étreinte. Une fois à l’aise, j’accélère le rythme et m’enfonce chaque coup plus profondément dans ses entrailles.
Il se dégage de cette scène une obscénité et une odeur de rut indescriptible. Ma femme a plaqué ses mains contre la vitre, au-dessus de sa tête. Elle jouit ouvertement, avec de grands râles de plaisir, qui j’espère n’ameuteront pas le voisinage. Je la pilonne doublement équipé encore quelques instants tout en contemplant son visage, en plein orgasme, et illuminé d’un étrange sourire. Son regard est attiré dehors pendant que je me concentre pour jouir et mettre un terme à cette cavalcade du potager. Quand enfin, je me libère de ma semence juste à l’entrée de son cul qui me serre le gland, je comprends ce qui la faisait sourire. Des pompiers à une des fenêtres de la caserne, applaudissent en choeur le clou du spectacle ! Dans un geste réflexe, je baisse le store brutalement pendant que ma femme rit de bon cœur de la situation.

Après s’être douchés, nous rangeons le champ de bataille, nettoyons les zones sinistrées et jetons les restes peu glorieux du concombre. Nous terminons de préparer le repas, puis mangeons, réfrénant plusieurs fous rires. Quand enfin nous nous couchons, la nuit est déjà bien avancée. Je suis rincé par cette journée de conduite et ne donne pas de réponse aux caresses répétées de mon épouse. Je la sens même se frotter le pubis contre ma cuisse. Quelle insatiable ! Tout ça attendra bien demain...
Bizarrement je me réveille au beau milieu de la nuit. Il fait plutôt frais. Ma femme n’est plus là et la porte est entrouverte. Je me lève en passant un pull et un bas de survêtement, puis je pars à sa recherche. Ne la trouvant pas sur le parking, je commence un peu à m’inquiéter, lorsque j’aperçois une lumière allumée au rez-de-chaussée de la caserne. Contournant le bâtiment, je constate une porte à demie fermée d’où provient la lumière. Poussé par un étrange pressentiment je me rapproche lorsqu’à quelques mètres, des bruits arrêtent mes pas: des voix derrière la porte. Plus que des paroles, ce sont des gloussements, des gémissements et des petits cris que je reconnais parfaitement. Mon épouse se trouve ici et ne semble pas fatiguée de sa journée, bien au contraire.
Discrètement, j"entrebaille la porte pour y jeter un coup d’œil. Ce que je vois me laisse pantois, avec sur le cœur un mélange de malaise et de honte mais aussi et surtout d’admiration et d’excitation. Mon épouse qui s’est faite, disons-le, ramoner par un concombre (et ma bite tout de même !), il y a juste quelques heures, se trouve actuellement avec trois pompiers: lustrage de casque, vérification des lances à incendie, feu de cuisses, c’est le 14 juillet à la caserne !
La voici allongée complètement nue, sur le dos, sur un des bancs de ce qui ressemble à un vestiaire. Les pompiers sont tous quasiment habillés, à croire qu’un départ pour éteindre Notre-Dame-de-Paris est sur le point d’arriver: bottes, treillis et polo. Seules leurs bites dépassent de leur uniforme bleu aux liserets rouges.
Deux d’entre eux se sont placés de chaque côté et se font polir le casque dans sa bouche. Elle les lustre à tour de rôle, branlant celui en attente. Comme cela ne va pas assez vite, elle suce même leurs deux glands simultanément. Sa langue dépasse entre leurs queues et butine à la recherche de nectar. Le troisième homme est entre ses cuisses et la laboure en lui tenant les jambes par les chevilles. Vu la quantité de sperme qui coule en continue de sa chatte, je me dis que ce n’est pas le premier à tenter d’éteindre l’incendie...
En l’entendant gémir, elle en demande encore: "plus fort ! plus vite !" Rien que ça ! Le pompier, service public oblige, lui remplit copieusement la chatte, pendant que ses collègues bâillonnent ses cris plaintifs. Mais pleine de ressources, voilà qu’un des deux latéraux lâche prise et laisse échapper de gros jets de sperme sur la poitrine de ma femme. Elle en est couverte et brille de grosses tâches laiteuses qui lui coulent sur le galbe des seins. Sentant son avantage s’amplifier, elle se met à sucer vigoureusement son coéquipier en lui léchant les couilles au passage. Le capitaine de l’équipe reprend les choses en main entre ses cuisses. Il la retourne et la met à quatre pattes sur le banc. Désormais à hauteur idéale, il peut alors s’enfoncer jusqu’à la garde dans sa chatte et basculer en mode grand galop. Plus il lui met la fessée, plus les cris de ma femme remplissent la caserne. Son adjoint la bâillonne de sa bite à la limite de la suffocation.
Quant à moi, je suis subjugué par cette vision de toutes ces années de vie commune qui n’attendaient que de faire sauter quelques verrous libidineux. La voir ainsi m’excite comme jamais, me branlant dans mon survêtement. Alors que l’homme derrière elle finit par éjaculer partout sur ses fesses, elle enchaîne et couche le dernier pompier sur le banc puis monte sur cette dernière bite, bien décidée à les achever tous les trois. Après un instant, les deux pompiers repus repartent alors dans le dédale du bâtiment, conscience professionnelle oblige. Il ne reste que ce pauvre homme sur lequel elle s’acharne. Sur la pointe des pieds, et penchée complètement sur lui en avant, elle le monte en lui polissant juste le gland de sa chatte. C’est à ce moment que je me décide à intervenir. En entrant discrètement l’index sur la bouche, j’intime au pompier l’ordre de se taire. Bite en avant je m’apprête à lui prêter main forte.
Son cul encore recouvert de sperme est bien surélevé: une invitation vicieuse à la forniquer. C’est donc à mon tour de m’en délecter, à ma manière. Lorsque je pousse mon gland droit dans son rectum, ma sainte épouse pousse un juron cabalistique. La découverte récente de cette nouvelle zone érogène est vite devenue un plaisir pervers pour nous deux. Heureusement, notre dernière relation culinaire a laissé des traces d’élasticité à ce niveau-là. Et vu tout le foutre qui lui coule dans la raie depuis son échappée nocturne, je dois avouer que son cul est tout bonnement très accueillant. Sentiment confirmé lorsqu’elle tourne la tête avec un sourire enchanté, sans aucune surprise de me voir. Comme si elle pouvait reconnaître ma bite rien qu’à la sentir dans son cul. "Puisque tu es là, rends-toi utile et fourre-moi mieux que ça !" Me dit-elle.
C’est donc encouragé par tant de perversité que je lui enfonce d’un coup le reste de mon sexe dans la dunette arrière. Le pompier ragaillardi de ce soutien logistique, prend appui sur le banc avec ses bottes et la soulève avec ses mains par le bassin. Libéré de ses mouvements, il peut alors pilonner sa chatte vigoureusement. L’attrapant par la crinière je me mets à mon tour à lui ouvrir le cul à grands coups de reins. Je bande tellement de cette situation que son trou se trouve très vite dilaté à la perfection. Nous la baisons si brutalement que ses pieds ne touchent même plus le sol. Ses jambes pantelantes dans le vide, sont secouées au rythme de la chevauchée. Ses fesses reçoivent les ondes de choc de nos coups de bites coordonnés. La tête tirée en arrière, elle ne retient plus ses râles courts et plaintifs. Quand enfin le pompier et moi sentons l’inondation de sa chatte gicler sur nos sexes, nous relâchons nous aussi les barrages de nos éjaculations avec de sourds grognements.
Quelques secondes plus tard, sous nos corps détendus, les dégâts des eaux sont terribles.
Nous relevant mutuellement, nous soutenons mon épouse pour l’emmener sous les douches collectives. La chaleur revigorante de l’eau et le parfum du savon nous embaument. Nous la lavons avec beaucoup de douceur pendant qu’elle reprend ses esprits. Après quelques minutes, le pompier rejoint ses collègues en nous souhaitant une bonne nuit (à un moment donné il va bien falloir, en effet). Je termine soigneusement la toilette de ma femme, puis procède à la mienne rapidement. Finalement, lorsqu’elle me demande de la ramener au lit, je la porte dans mes bras pour sortir. Séchés et habillés, l’air est frais au dehors, mais cela nous fait du bien. A notre réveil, ce périple touchera à sa fin, nous n’en garderons que des souvenirs aussi pervers qu’excitants. Est-ce la fin d’une aventure ou le début d’une autre ? Sait-on jamais...
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