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Roadtrip

Chapitre 8

Naxos - 2ème partie

Orgie / Partouze
Je me suis réveillé de ma sieste au bout de ce que je pensais être une petite demie-heure, mais l’horloge posée à côté du lit m’indiquait que j’avais dormi presque une heure et demie. J’aurais même pu dormir encore si Nina n’avait pas décidé de me réveiller en passant sa tête entre mes cuisses. Allongée en travers du lit, nue au-dessus du drap, je sentais sa langue titiller mes bourses, remonter ma hampe, lécher mon gland. Je défie tout homme de ne pas se réveiller de bonne humeur avec pareil traitement. Les yeux encore clos et le sourire aux lèvres, j’ai alors passé mes mains dans ses cheveux, et elle m’a pris complètement en bouche. Elle m’a rapidement fait jouir, sans oublier de m’avaler jusqu’à la dernière goutte, puis elle a relevé la tête vers moi en passant son pouce sur ses lèvres encore humides, de la plus érotiques des façons.
— Bien dormi ? m’a-t-elle demandé en s’allongeant contre moi.— Bien réveillé surtout ! Et toi ?— J’ai pas vraiment dormi. J’ai plutôt profité du calme, du bruit de la mer, tout ça... On est pas mal, ici !— C’est sûr. Qu’est-ce que tu penses de nos hôtes ? lui ai-je ensuite demandé en repensant aux évènements survenus depuis notre arrivée.— A part que c’est une maison de fous, mais ça on s’y attendait, ils sont sympa.— Oui, c’est ce que je me dis aussi. J’ai l’impression qu’ils ont encore beaucoup de surprises en réserve...
Nina s’est alors relevée et a attrapé son short en jean.
— Comment était Kriestin ? m’a-t-elle demandé en se rhabillant sommairement.— Tu suces mieux qu’elle, si c’est ce que tu veux savoir.— C’est ce que je voulais savoir, a-t-elle répondu en souriant. Je préfère aussi ta langue. Je préfèrerai toujours ta langue.
Elle est ensuite sortie de la chambre pour rejoindre les autres.
En descendant à mon tour, j’ai croisé Kriestin dans la cuisine. Toujours aussi nue, elle préparait visiblement le repas du soir. Moi-même, je n’avais enfilé qu’un short, sans sous-vêtement. L’ambiance dénudée de cette maison me plaisait, et je me sentais de mieux en mieux avec le minimum de tissu sur le corps. Kriestin m’a souri en me voyant, et m’a indiqué que les autres étaient sur la terrasse. Simon était allongé sur un transat, et parlait avec Nina qui avait les pieds dans l’eau.
— Simon me disait qu’il avait invité des gens ce soir, m’a dit Nina alors que je m’asseyais à ses côtés.— Oh, ça promet !— Je ne vous le fais pas dire, a renchéri Simon. Marietta est une vieille amie de la famille, elle est du coin, comme moi. Je crois qu’elle a été une des amantes de mon père, mais je n’en suis pas sûr. Mais bref. On s’est surtout connus il y a trois ans, je l’ai rencontrée par hasard dans un club de Naxos où je vais de temps en temps.— J’imagine déjà le genre de club, a dit Nina en plaisantant.— Je vois que vous commencez déjà à bien me connaître, a-t-il répondu avec un sourire. Marietta a presque vingt ans de plus que moi, mais on s’est trouvés énormément de points communs. On est devenus très amis par la suite. Je suis sûr que vous l’apprécierez aussi.
C’était à n’en pas douter. Si tous les amis de Simon étaient comme lui, il y avait fort à parier que la soirée serait pimentée.
— Ils arriveront pour l’apéro, nous a dit Simon en se levant. En attendant, profitez ! Moi je vais aller voir ce qui se passe en cuisine.
Nous ne nous sommes pas fait prier pour profiter. Nina et moi avons batifolé dans l’eau, nus, pendant un long moment, tantôt en train de se chamailler, tantôt en train de se câliner. Au bout d’une demie-heure environ, nous avons entendu des cris et des grognements provenant de l’intérieur. C’était sûrement ce que Simon appelait "aller voir ce qui se passe en cuisine". Ces cris de plaisir bestial nous titillaient, aussi bien Nina que moi, et rapidement, nos chastes câlins sont devenus plus érotiques, et tandis que ma belle me branlait, une main sur mes bourses et l’autre sur ma queue, deux de mes doigts s’étaient déjà enfoncés entre ses cuisses. Elle m’a fait jouir ainsi, assez amusée de voir mon sperme évoluer dans l’eau claire de la piscine, entre nos deux corps.
— Ce n’est sûrement pas la première fois que ça arrive, m’a-t-elle chuchoté.— Je vois que vous savez comment profiter, a dit Simon alors qu’il revenait vers nous. Nos invités arriveront un peu plus tôt que prévu, d’ici une demie-heure. Si vous désirez aller vous préparer...
J’ai remercié Simon pour l’information, avant de me plonger à nouveau dans l’eau. Nina m’a rejoint, histoire de se rafraichir, puis nous sommes montés dans la chambre nous sécher et nous préparer. Nous avions par contre déjà pris l’habitude de ne pas porter grand chose, aussi il a été assez difficile pour nous de choisir une tenue adéquate. Nina a opté pour une robe en coton, légère, avec, pour la forme, un petit string en dentelle en-dessous. Pour ma part, je ne me suis pas embarrassé de sous-vêtements, et ai enfilé un pantalon en lin et une chemise. Nina m’a souri et m’a embrassé, puis nous sommes descendus sur la terrasse. Simon nous y attendait déjà avec trois verres de vin blanc. Lui aussi avait opté pour le pantalon fin et la chemise légère. La température extérieure en cette fin d’après-midi n’aurait de toutes façons pas pu permettre plus. Nous avons trinqué et siroté notre vin, puis Kriestin nous a rejoint sur la terrasse. En plus de son éternel sourire, elle portait un petit tablier en dentelle, qui ne couvrait cependant qu’à peine son sexe. Ses cheveux étaient attachés en chignon avec un ruban de dentelle également, et elle avait enfilé une paire de bas noirs et des talons assortis.
— Ah, voici notre servante pour la soirée. Vous lui demanderez ce que vous voudrez, elle vous le donnera. N’importe quoi.
Puis la sonnette a retenti, et Simon a claqué les fesses dénudées de sa jeune servante.
— Va ouvrir, ce doit être eux.
Kriestin s’est empressée d’y aller, et est revenue quelques minutes plus tard, accompagnée d’une grande brune longiligne. S’il s’agissait bien de Marietta, elle ne faisait pas du tout son âge, on lui aurait donné quarante ans tout au plus. Perchée sur de hauts talons, elle portait une robe bustier qui lui arrivait au milieu des cuisses à peine. Sa chevelure, brune, ondulée, tombait sur ses épaules bronzées. Derrière elle se tenaient un jeune homme, simplement vêtu d’un short en coton blanc, pas plus grand qu’un slip, et d’un débardeur, et une jeune femme habillée également de la même manière. Tous deux restaient en retrait, têtes baissées, et ne nous avaient même pas jeté un regard. J’ai soudain eu la désagréable impression de revivre une scène de Salò ou les 120 journées de Sodome, et je me suis tout de suite interrogé sur le type de relation qu’entretenaient ces trois-là.
— Marietta, ma chère ! s’est exclamé Simon en se levant. Viens là, je vais te présenter nos amis du jour.
La femme a posé la bouteille de vin qu’elle avait ramenée sur la table avant d’embrasser Simon sur la bouche, puis s’est tournée vers nous.
— Je te présente Marc et Nina, a dit Simon. On les a rencontrés sur le ferry pour venir ici, et ils sont arrivés ce matin.— Bonjour Marietta, enchanté, ai-je répondu en voulant lui serrer la main.
Mais Marietta avait visiblement d’autres façons de faire, et m’a embrassé à pleine bouche également. Elle en a fait de même avec Nina, puis s’est assise sur l’un des sièges autour de la table. Aussitôt, les deux jeunes sont venus se mettre de part et d’autre de Marietta.
— Enchantée, jeunes gens, a-t-elle dit. A moi de vous présenter Gabriel, et Loukia. Ce sont mes petits amours. Allez dire bonjour, mes chéris.
Et tour à tour, Gabriel et Loukia ont fait le tour de la table en embrassant tout le monde sur la bouche, comme il était visiblement de coutume. Je n’avais strictement rien contre les plaisirs homosexuels, bien que je n’y ai jamais goûtés, mais j’ai eu un petit mouvement de recul, surpris par la bouche du jeune homme contre la mienne, préférant nettement celle de sa comparse. J’ai regardé Nina, qui elle n’avait pas eu de problème à embrasser tout ce petit monde, et lui ai fait de grands yeux interrogateurs. Je me demandais qui étaient ces gens, mais après que Kriestin nous ait tous servis en nourriture et en vin, Marietta nous a donné un début de réponse en nous racontant son histoire.
Voilà cinq ans que son mari était parti. Marietta le savait infidèle, puisqu’ils recevaient régulièrement les maîtresses de Monsieur à domicile. Cela ne la dérangeait pas outre mesure, elle en profitait également, de temps en temps, lors de parties à plusieurs. Mais il était quand même parti. Dans l’idée de se venger, Marietta a passé les trois années qui ont suivi sa séparation à traîner dans les clubs libertins, et à coucher avec tous ceux et celles qui lui passaient sous le nez. C’est ainsi qu’elle a d’abord rencontré Gabriel. Après avoir couché deux ou trois fois avec le jeune homme bien bâti, elle s’est rendu compte qu’il prenait un certain plaisir à être dominé. Tous les deux très excités par cette situation, ils ont convenus que Gabriel serait l’esclave de Marietta, à temps partiel, quand il le pourrait. Travaillant sur l’île, il l’était finalement devenu les trois quarts du temps. Puis, un an après leur rencontre, Gabriel a présenté Loukia à Marietta. Loukia travaillait dans le même bar que Gabriel, et ils étaient devenus assez proches, et se confiaient énormément l’un à l’autre. Elle lui a donc raconté ses penchants pour la soumission, et Gabriel a sauté sur l’occasion, lui présentant celle qu’il appelait désormais Madame. C’était bien trop beau pour Marietta, qui a bien volontiers accepté ce deuxième petit esclave personnel. Elle vivait partiellement avec eux depuis un an à présent, les logeait et les nourrissait, les considérant, selon ses propres mots, comme ce qu’il lui restait de famille sur l’île.
Une bouteille avait été finie et la moitié d’une autre vidée durant le récit de Marietta. Elle nous a alors demandé quelle était notre histoire, et à notre tour nous avons tout raconté, de notre rencontre lorsque nous étions enfants, puis la colocation bien plus tard, Nina se soumettant à moi, puis notre histoire de dominant et de dominée se transformant en histoire d’amour sans limite et sans tabou. Le temps de tout raconter, nous finissions le plat préparé par Kriestin, et nous entamions une troisième bouteille de vin blanc. Simon a alors proposé que nous passions au dessert, ce qui a fait sourire Marietta.
— Est-ce que l’on pense au même genre de dessert, a-t-elle demandé à son hôte et ami avec un sourire.— Peut-être.— Très bien. Les chéris, dit-elle en s’adressant à Gabriel et Loukia, soyez polis et allez proposer du dessert à nos invités.— Oui Madame, a répondu le jeune homme.
J’ai vu Gabriel se lever, contourner la table et venir vers moi. Après s’être mis à genoux, il a posé sa main sur la ceinture de mon pantalon, prêt à le baisser. J’ai alors posé ma main sur la sienne avant qu’il ne fasse quoi que ce soit, et avec le sourire, lui ai expliqué que ce n’était pas mon truc. En me rendant mon sourire, il m’a dit qu’il n’y avait pas de soucis, avant de passer auprès de Nina. Celle-ci était beaucoup moins réticente, et à peine avait-il posé sa main sur son genou qu’elle écartait ses cuisses en grand, remontant sa robe sur sa taille. Elle l’a remercié en riant, puis la tête de Gabriel a disparu entre les jambes de ma bien-aimée. Concentré sur Nina commençant déjà à prendre son pied, j’avais à peine vu Loukia venir s’agenouiller à côté de moi. Cette fois-ci, je n’ai rien dit, et j’ai laissé la petite brune sortir mon sexe déjà en érection de mon pantalon. Sans attendre plus longtemps, elle l’a pris en bouche, et en a avalé le maximum possible. Ainsi nous offrions, Nina et moi, un beau spectacle à nos hôtes. Ceux-ci, au passage, n’étaient pas en reste. Simon avait attrapé Kriestin par la taille et, après l’avoir assise sur l’un de ses genoux, fouillait allègrement son sexe tandis qu’elle le masturbait. De l’autre côté de la table, Marietta avait relevé sa robe, sous laquelle elle ne portait rien, et avec son pied reposant sur la table, masturbait frénétiquement sa fente lisse et son clitoris, dont le capuchon était percé par un anneau.
A côté de moi, Gabriel faisait visiblement des prouesses. Nina avait transformé ses gémissements en petits cris de plaisir, si perçants que j’en serais presque devenu jaloux, si Loukia n’était pas si appliquée dans la fellation qu’elle me prodiguait. Avec une main sur mes bourses, elle avalait entièrement mon sexe, jusqu’à pousser son nez dans mes poils et à s’étouffer. Je gémissais d’aise, mais Nina a été plus rapide que moi. M’attrapant le bras au passage, elle a poussé un long grognement tandis qu’elle jouissait sur le visage du jeune soumis. Tout le monde la regardait prendre son pied en souriant, sauf Kriestin qui avait maintenant glissé entre les cuisses de Simon pour le prendre en bouche. Entre mes cuisses à moi, Loukia s’évertuait à me sucer comme une déesse. Les yeux fermés, je profitais de cette délicieuse caresse, lorsque j’ai sentis une deuxième main sur mes bourses. En les ouvrant à nouveau, j’ai découvert Gabriel, qui avait simplement glissé vers moi et qui, d’une main me caressait, et de l’autre tenait le crâne de Loukia. J’étais alors sur le point de jouir, et ai décidé de ne pas le repousser. La double caresse était bien agréable, peu importe qu’il s’agisse d’une femme ou d’un homme, finalement. C’est avec ce ressenti tout à fait nouveau pour moi que je me suis laissé aller bruyamment dans la gorge de la petite brune. Cette fois-ci, tous les yeux étaient tournés vers moi, y compris ceux de Nina qui caressait tendrement mon bras en reprenant son souffle. Gabriel et Loukia ont ensuite repris leurs places, après avoir échangé un baiser dégoulinant de mon sperme.
— Passons désormais au vrai dessert, a alors dit Simon en laissant Kriestin s’échapper d’entre ses cuisses, les lèvres luisantes.
La soumise de Simon est repartie dans la cuisine et en est revenue avec un nouveau plateau, où était disposées sept coupes de glaces. Les sorbets, goûts citron et mandarine, faisaient un bien fou. La chaleur de cette soirée, malgré le vent marin, était étouffante, et l’animation autour de la table n’aidait en rien à faire descendre la température. Un semblant de calme était revenu sur la terrasse, mais c’était sans compter sur Marietta.
— Je n’en peux plus... Viens là ma chérie, a-t-elle dit à Loukia qui commençait à peine sa glace.
La jeune fille s’est immédiatement exécutée et est allée s’agenouiller entre les cuisses encore ouvertes de sa Maîtresse. Celle-ci a alors pris une cuillerée de son sorbet, et l’a étalée contre sa fente.
— Mange, a-t-elle dit.
Et Loukia s’est mise à lécher. J’ai fini ma glace sans pouvoir détacher mon regard de la petite brune faisant couiner sa Maîtresse de plaisir. A côté de moi, Nina avait l’air de ne plus en pouvoir non plus.
— Il faut que je jouisse encore, m’a-t-elle dit en chuchotant. Même manger de la glace m’excite...— Ces gens m’excitent, moi aussi, lui ai-je répondu. Montrons-leur...
Nina s’est levée, attirant ainsi les regards autour de nous, et a fait passer sa robe au-dessus de sa tête. Le petit string qu’elle portait a glissé le long de ses cuisses, et tout le monde a pu apprécier la plastique parfaite de ma déesse. Elle m’a regardé avec un sourire, puis s’est agenouillée entre mes cuisses. Mon pantalon s’est rapidement retrouvé sur mes chevilles, et mon sexe profondément planté dans sa gorge. Ses mains étaient posées sur mes cuisses, et je sentais sa langue contre mes bourses, et les muscles de sa gorge se crisper sur mon membre, et je me disais, en râlant de plaisir, qu’aucune femme ne suçait aussi bien que Nina. La fellation, cependant, n’a pas duré. Nina voulait se faire baiser. Et afin de faire profiter tous nos amis du spectacle, elle est allée se mettre à quatre pattes sur la chaise longue à côté de la piscine, à deux mètres de la table où nous mangions. Nous admirions tous la position de ma belle, ces fesses splendides entre lesquelles nous pouvions apercevoir son petit trou brun, et juste en-dessous, une belle fente déjà baveuse. J’étais tellement subjugué par le spectacle que j’en ai presque oublié qu’elle m’attendait.
— Viens, a-t-elle dit en soufflant presque, viens me baiser.
Comment refuser. Je me suis levé et l’ai rejointe tout en finissant de me déshabiller également. Passant derrière Marietta, je me suis rendu compte que Loukia était toujours affairée entre ses cuisses, mais qu’elle nous regardait maintenant avec beaucoup d’intérêt. Je n’ai pas résisté à l’envie de m’agenouiller derrière Nina, d’écarter ses fesses et d’enfoncer mon visage dedans. J’ai léché ses deux orifices avec voracité, juste le temps d’une minute, juste pour le show. Toujours pour le show, je lui ai envoyé une fessée, puis une deuxième, avant de me relever et de, cette fois, glisser mon sexe en elle. Mes mains sur ses hanches, je l’ai baisée avec force. Face à la mer et au ciel qui prenait ses couleurs nocturnes, d’un bleu orangé, j’aurais pu croire que nous étions seuls à cet instant. Mon membre allant et venant dans les profondeurs de Nina, ses couinements de plaisir, mes mains agrippant et claquant ses fesses. Mais un son rauque derrière nous m’a ramené à la réalité. Marietta venait de jouir.
Nina m’a repoussé pour pouvoir changer de position. Je me suis assis sur la chaise longue, et elle est venue me chevaucher, le dos contre mon torse. Dans un rythme toujours effréné, elle montait et descendait sur ma queue, les cuisses ouvertes en grand pour que l’assistance n’en loupe pas une seule miette. Et en même temps, quel spectacle nous devions leur offrir ! Nina était déchaînée. Elle sautait sur mon sexe à m’en faire souffrir, ce que je lui rendais bien en écrasant l’un de ses seins dans une main et en triturant son clitoris de l’autre. Marietta, qui avait laissé Loukia tranquille, s’est alors levée de sa chaise et s’est accoudée à la table, le derrière bien relevé.
— Gabriel ! a-t-elle crié.
Et Gabriel est arrivé en courant presque pour venir besogner sa Maîtresse. Simon, lui, a opté pour Loukia, et l’a prise en levrette, à quatre pattes sur la terrasse. Nous étions tous affairés à prendre notre pied, sauf Kriestin, qui restait docilement debout à côté de son Maître. Alors Nina l’a appelée, et la jeune Hollandaise est venue, sourire aux lèvres, s’agenouiller entre nous. Je ne la voyais pas très bien, j’ai seulement vu sa tête blonde disparaître entre nos cuisses. De là, elle devait avoir une superbe vue sur mon sexe allant et venant dans celui de Nina. Puis j’ai senti sa bouche. Ses lèvres et sa langue titillaient mes testicules, remontaient sur ma hampe, et quand je les sentais disparaître, je me disais qu’elles s’affairaient sur la fente de Nina. Les gémissements de Nina redoublaient d’intensité. Puis j’ai à nouveau senti la bouche de Kriestin, qui cette fois me gobait une couille, faisant danser sa langue dessus. Elle m’a ensuite lâché et est remontée sucer le clitoris de Nina. C’en était trop pour celle-ci, qui a explosé dans un orgasme foudroyant. Ma queue a jailli hors du vagin de ma belle, mais Kriestin a sauté sur l’occasion, et m’a pris en bouche, au fond de sa gorge, le temps que l’orgasme terrasse Nina. Celle-ci s’est reposée un instant sur mon torse, mais ce n’en était pas fini.
Kriestin a lâché mon sexe, et j’ai senti la main de Nina l’attraper à la base. Mon gland a, un instant, glissé à nouveau contre cette fente trempée, puis est allée se loger entre ses fesses. Doucement, j’ai senti son anus s’ouvrir, et je me suis progressivement enfoncé dans son cul. Un moment, j’ai senti la langue de Kriestin qui revenait à la charge contre mes bourses, mais cela n’a pas duré. Passant ma tête au-dessus de l’épaule de Nina, qui avait le dos désormais collé à mon torse, je voyais la jeune blonde sucer avec gourmandise le clitoris de sa nouvelle amie. A peine remise du premier orgasme, le plaisir de Nina remontait en flèche. Je la sentais qui accélérait le rythme, et enfonçait mon sexe au plus profond de son anus. Kriestin était définitivement douée. Il ne lui aura fallu que quelques minutes pour faire jouir Nina à nouveau. Puis c’est moi qui ai chaviré, en sentant le cul de Nina se contracter autour de mon sexe. Je me suis retiré au tout dernier moment, et ai éjaculé abondamment sur la fente de ma belle et sur Kriestin, qui se trouvait juste en-dessous.
Mon Dieu que c’était bon.
Peu à peu je réalisais où nous étions. Tandis que Kriestin suçait mon sexe pour le nettoyer, je regardais ce qu’il se passait à table. Marietta nous regardait, une main plaquée contre son sexe, tandis que de l’autre côté, Gabriel et Loukia suçaient alternativement Simon, assis à sa place. J’aurais aimé pouvoir me prélasser dans cette débauche jusqu’au petit matin, baiser et baiser encore chacun des convives. Mais l’alcool et les orgasmes à répétition ont eu raison de moi, je me sentais somnoler. Je me suis relevé du transat, laissant Nina s’y installer, puis je me suis excusé auprès de tout le monde.
— Pas de soucis, a répondu Simon alors qu’il venait de jouir dans la bouche de Loukia. Ici tu es libre de faire ce que tu veux, souviens-toi. On se retrouve demain matin.
J’ai embrassé tout le monde, et plus particulièrement Nina, l’invitant à rester ici pour s’amuser et à me rejoindre après. Une fois dans la chambre, je les ai regardés par la fenêtre. Nina et Kriestin buvaient un verre de vin enlacées sur le transat, tandis que Marietta raconté je ne sais trop quelle histoire. J’ai hésité à redescendre, mais comme l’avait dit Simon, nous étions libres. Libres de manger, de boire, de baiser, ou de dormir. Et ce goût de liberté n’avait pas d’égal.
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