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Roadtrip aux USA en famille

Chapitre 1

Inceste
Pour nos 30 ans de mariage à mon mari et moi, nous nous sommes fait comme cadeau un roadtrip de 3 semaines environ sur la côte ouest des USA, de Vancouver à San Diego, le tout en passant par les petites routes.

C’était un rêve pour nous depuis un sacré moment et nous avions prévu de le faire avec notre fils, le dernier de la famille et le seul qui vit encore à la maison avec nous. Une fois la date du voyage arrivée, nous prenons l’avion de France jusqu’à la ville du départ qui est Vancouver.

Petite présentation : Mon Fils : Alex, 21 ans, encore étudiant et il pratique le basket, a le physique qui suit, il a un caractère assez introverti, sans être timide, collé sur son téléphone ou son pc portable. Mon Mari : Thierry, 60 ans, travaille dans les assurances, assez blagueur, voire un peu beauf parfois, il a aussi un côté pervers/sadique par moments, avec moi dans certaines situations en public. Et moi : Nadine, 54 ans, infirmière dans une clinique, brune aux cheveux courts, 1,74 m pour 89 kilos, j’ai des formes dont des gros seins (90 e) sans forcément faire "ronde".
Enfin arrivés à Vancouver, pas le temps de niaiser, nous devions récupérer la voiture qui allait nous servir pendant ces 3 semaines, que mon mari a louée d’avance, ainsi que des objets qui nous serviront pour faire du camping et ainsi éviter de dépenser des mille et des cents pour des nuits d’hôtel toutes les nuits. Donc, dès la sortie de l’aéroport, nous filons directement aller chercher le véhicule.
Thierry s’était fait plaisir et avait loué un Dodge RAM, un gros 4×4 à l’américaine avec énormément de places, du moins en théorie, car une fois sur place, on s’est vite rendu compte que le Dodge RAM qu’il avait loué n’était pas celui qu’il nous avait montré avec un habitacle bien plus grand que le modèle normal, et surtout, la benne qui devait accueillir toutes nos affaires avait rétréci et était déjà "pleine" d’une énorme roue de secours, donc dilemme avec nos 3 énormes valises. Après vérification le véhicule était bien celui que mon mari avait réservé sans s’apercevoir du détail qu’il était équipé pour faire du tout terrain, on a quand même essayé de récupérer un autre véhicule, mais sans succès.
On a quand même réussi à caler les 3 valises sur les places arrière, mais du coup, on avait tout juste la place pour nous 3, sans compter tout le kit qu’on devait récupérer juste après pour le camping, une fois arrivé à l’endroit où on devait récupérer tout le matériel pour le camping (1 grande tente, du matos pour cuisiner, des matelas gonflables et quelques autres objets qui nous serviraient) le tout n’était pas lourd, mais encombrant, tout ça est dans un genre de pack qui doit faire la taille d’un petit frigo environ.

Alors que nous essayons de trouver un espace pour caser le kit de camping pendant une bonne dizaine de minutes, force est de constater que nous avons un problème.

Mon mari s’est vite rendu compte que le seul endroit où le kit pouvait être mis, nous devrions sacrifier un siège, alors après quelques minutes de réflexion, il a décidé de placer l’encombrant à ma place, donc côté passager à l’avant une fois sanglé aux sièges, tout était nickel. Seul hic maintenant, où moi, je vais voyager ?

À la fin du chargement de la voiture, il n’y avait suffisamment de places que pour deux personnes : le conducteur et une personne assise sur la banquette arrière directement derrière le conducteur.

Thierry a finalement suggéré,
— Alex et toi, vous pourriez vous serrer derrière.

C’est vrai qu’il restait une demi-place au niveau central de la banquette arrière, mais bonjour l’inconfort, impossible de s’asseoir droit, obligé d’être limite assis sur une cuisse...
— Pendant 3 semaines comme ça ?

Demanda Alex.
— Ça ne va pas être très confortable, mais bon, on fera plus de pauses que prévu, pas trop le choix, si c’est trop inconfortable, t’as qu’à aller sur les genoux de ton fils ! Répondit Thierry avec un rire sadique.
Nous voilà donc partis pour le périple de 3 semaines, direction le Sud, le tout en passant par des petites routes, histoire de profiter un maximum du paysage, avec un temps estival. Nous prenons enfin place dans le véhicule direction les USA. Puis peut-être au bout de 10 minutes de routes, la position dans laquelle je suis obligé de me mettre pour m’asseoir devient totalement insupportable, et ce, malgré mon fils à côté qui essaye de me faire quelques cm en plus de place, mais rien à faire, la place est bien trop ridiculement petite.

Thierry me demanda avec sarcasme,
— Alors confortable ?
Avec le coude droit de mon fils enfoncé dans mon sein gauche et les valises de l’autre côté,
— J’ai connu mieux !
Nous étions juste en dehors de Vancouver depuis environ 30 minutes que j’ai vite compris que ça ne serait pas possible.
— Ça marchera pas, c’est insupportable.— Vous n’aimez pas être entassés comme des sardines ? Aux pires assieds-toi sur ton fils ! Me dit mon mari.
Je n’étais quand même pas très à l’aise à l’idée de m’asseoir sur les genoux de mon fils, d’autant plus que je portais une robe d’été avec seulement un léger string. Mais la position était devenue trop inconfortable pour continuer ainsi, donc à un moment, j’ai demandé à mon fils si cela ne le dérangeait pas si je m’assieds sur ses genoux vu que la place entre le siège avant et arrière était encore assez large.
— Ça te dérange si je m’assois sur tes genoux, car là, c’est pas possible.— Ouais, pas de soucis, ça sera moins chiant. Réponds mon fils, acceptant donc tout en étant sur son téléphone.
Je suis monté sur ses genoux et je me suis assis.
— Maintenant, c’est mieux non ? Demanda Thierry en regardant dans le rétroviseur.

J’ai demandé à mon fils.
— Ça va, je ne suis pas trop lourd ? — Non, ça va, répondit-il en bougeant légèrement.
Alors que Thierry continuait de conduire, j’ai vite remarqué deux choses.
1. Porter une robe courte et étriquée était une mauvaise idée, car j’étais maintenant assise sur les genoux de mon fils, ma jupe s’arrêtait à mi-cuisses et était très fine et avec mon string étroit c’était la seule barrière entre mon vagin et mon fils.2. Le pénis de mon fils était dur et je le sentais pulser contre mes fesses. Je pouvais sentir sa virilité dressée directement sous moi.
À chaque déformation sur la route, sa queue frottait contre moi, et même si j’essayais de me contrôler, cela me faisait un peu mouiller. J’ai envisagé de m’ajuster là où j’étais assise, mais j’avais peur que cela l’embarrasse si je le laissais entendre que je sentais son érection. Alors à la place, j’ai essayé de contrôler mes rebonds en appuyant mes mains sur le dossier du siège devant.
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