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Rock Obsessions

Chapitre 1

Trash
Si vous y étiez, vous diriez sans doute que c’est le pire concert que vous avez vu de toute votre vie. Sur scène, le visage écarlate, les doigts tordus sur le manche de ma guitare, je peine à aligner convenablement les notes de mon solo. Hugo, le chanteur de notre groupe, me fusille du regard. Momo, notre batteur, cogne ses fûts de toutes ses forces. J’ai l’impression qu’il essaie de masquer ma maladresse. Pourtant, j’étais bon pendant les répétitions. Nous n’avons pas de bassiste, nous n’en avons pas trouvé. Je m’appelle Carl, comme mes amis, je suis proche de la trentaine et notre groupe s’appelle Rock Obsessions.
Ça devait être notre premier concert pendant ce festival réservé aux groupes amateurs organisé par une banque ou la municipalité, je ne sais plus. Ils ont dressé la scène au milieu d’un champ. Il n’y a pas plus de vingt personnes dans le public. Heureusement pour moi. On l’attendait tellement notre premier concert. On rêvait de rencontrer nos premières groupies. On rêvait de sexe, de rock’n’roll et de bières gratuites. Heureusement qu’il y a Rachel. C’est la sœur d’Hugo et notre seule fan pour le moment. Elle danse comme une folle devant la scène et hurle mon prénom avant chaque solo. En fait, c’est elle que le public regarde. C’est elle qui fait le show dans son short coupé trop court dans l’un de mes vieux jeans et le tee-shirt des Ramones qu‘elle m’a emprunté. Son regard enfiévré me fait rater mes notes à chaque fois que je le croise.
J’ai voulu me la jouer rock star. Je suis monté sur scène nu dans mon jean. Le frottement de ma guitare sur mon sexe dur ne fait que m’exciter davantage. J’ai envie d’ouvrir ma braguette et de libérer la bête coincée à l’intérieur.
— Branlez vos manches les mecs ! Faites monter la sauce !
Qu’est-ce qu’elle peut être vulgaire, Rachel ! Elle se fiche totalement de ce que pensent les autres et continue de danser comme si elle avait le feu au cul. En fait, je crois qu’elle l’a. Elle a envie, envie de moi. Son regard me le crie. Mais moi, je pense à une autre. Je suis carrément ailleurs.
Le dernier morceau s’achève et nous quittons la scène dans l’indifférence générale. Nous rangeons nos instruments dans la fourgonnette que le père de Momo a bien voulu nous prêter. Hugo et moi échangeons quelques mots.
— On aurait pu saluer le public en partant, non ?— Que des connards.— On reste pour écouter les autres groupes ?— Des connards eux aussi.
J’ai l’impression qu’Hugo en veut, à moi et à la terre entière. Rachel nous rejoint et aussitôt sa main vient claquer bruyamment mes fesses.
— C’était super ! T’es mon Guitar Hero, Carl !
Je la remercie d’un baiser pas trop appuyé, les autres nous regardent, et lui rend la politesse en claquant doucement ses fesses à moitié nues. Elle est en sueur, épuisée d’avoir dansé. Ça aussi, ça m’excite. Elle murmure quelque chose à mon oreille. Un larsen étouffe sa voix. Le groupe suivant vient d’entamer son show. Il semble encore plus mauvais que nous. Je me sens presque soulagé.
— Qu’est-ce que tu as dit ? J’ai pas compris, Rachel.— Arrête. Tu m’as très bien compris.

Elle me fait son sourire en coin, celui qui me fait craquer. Pendant le trajet du retour, Hugo et Momo ne disent rien. Ils paraissent froids et distants à mon égard. Sont-ils fâchés à cause de mes maladresses ou parce que les orgies avec les groupies sont remises à une date ultérieure ? Les deux, sans doute. Rachel brise le silence.
— T’es fâché, frérot ?— Pas du tout, répond Hugo. Je réfléchissais... Je suis pressé de rentrer. Il faut que je compose de nouveaux morceaux. — Moi je reste avec Carl. Il l’a mérité.— C’est toi qui le dis, sœurette.

Dans l’ascenseur qui nous ramène à mon huitième étage, Rachel commence à s’occuper de moi. Elle déboutonne mon pantalon et y glisse une main.
— Tu t’es rasé les couilles. T’as pensé à moi en le faisant ?
J’ouvre la porte de mon appartement. Elle entre la première, m’entraîne en tenant ma queue. D’un geste brusque, elle retire son tee-shirt et me fait face, arrogante et fière de ses seins en poire aux aréoles larges. Mes doigts viennent taquiner ses tétons bourgeonnants. Elle secoue sa tignasse noire. Ses bras m’enlacent avec douceur et la pointe de sa langue vient titiller la mienne. Mon pantalon disparaît sans que je comprenne comment. Elle me pousse sur le canapé.
J’ai envie d’une pipe alors j’écarte les cuisses. Rachel vient y plonger sa tête. Elle joue avec mon prépuce qu’elle embrasse, suçote. Elle y fourre sa langue et me lèche le gland. Elle se caresse le visage avec ma queue, la fait glisser sur ses joues, son nez.
— Putain, ce que j’aime l’odeur de ta grosse bite !
Elle la couvre de baisers, puis descend sur mes couilles. Elle les embrasse, les renifle. Ses lèvres jouent avec mon scrotum. Sa longue langue descend plus bas, encore plus bas. Elle vient flatter mon anus. Je me crispe un peu. Mes couilles remontent. Ma queue gonfle et libère une petite goutte. Rachel s’en empare d’un doigt preste qu’elle porte à sa bouche.
— Miam ! Miam !
Elle rit puis engloutit soudain mon sexe jusqu’à la garde. Elle me regarde fixement derrière les poils de mon pubis, de ce regard salace qui me donne des frissons. Elle me suce sans ciller. Dire qu’il y a une heure à peine, je me sentais si nul et là, dans sa bouche, j’ai l’impression d’être le roi du monde. Elle salive. Ça coule aux coins de ses lèvres. Dans une autre situation, je ne trouverais pas ça très sexy, mais là, j’ai envie de l’embrasser.
Elle crache sur ma bite. Elle étale la salive sur toute la longueur. Elle crache encore et me la couvre d’une couche si épaisse que ses lèvres peuvent maintenant y glisser sans la moindre résistance. Sa bouche va-et-vient frénétiquement. Je l’encourage en prenant sa tête entre mes mains. Je vais et je viens dans sa bouche que je baise comme une chatte. Mais comment fait-elle pour tout avaler ?
Elle semble vouloir marquer une pause. Haletante, elle s’éloigne de mon sexe auquel elle reste liée par un filet de bave. Elle lève délicatement ma queue. Une par une, elle suce mes boules. Elle sait que j’aime ça. Puis elle prend dans sa bouche mes deux boules à la fois, tout en astiquant ma queue sur son visage.
— Je sens que tu vas venir bientôt. Elle est tellement dure. Ça doit te faire mal.
Elle suce son index et l’enfonce bien mouillé dans mon anus.
— Oh dis donc, ça rentre plus facilement que la dernière fois. Il te faudra bientôt deux doigts.
De sa main libre, elle empoigne mes couilles et se met à les tordre. Un tour complet. Puis elle tente un second tour. Je serre les dents. Rachel prend autant de plaisir à me faire jouir qu’à me faire souffrir. C’est vraiment douloureux, mais je ne dis rien. L’excitation est trop forte maintenant, j’ai besoin d’elle pour m’emmener jusqu’à l’explosion. Sentant l’orgasme proche, Rachel me suce de plus en plus fort.
L’éjaculation est si forte, le plaisir si violent, que je pousse un long cri. Rachel tombe en arrière, la main sur la bouche pour n’en perdre aucune goutte. Elle cherche un verre pour y cracher mon sperme. Puis elle y ajoute une rasade de Jack Daniels.
Elle se couche sur le canapé, elle allume une clope et attend que je lui rende la politesse. Je lui retire son petit short. Je ne peux m’empêcher de le porter à mon nez et d’en humer le parfum humide. Je caresse l’intérieur de ses cuisses. Je dépose un baiser sur sa pêche, puis l’ouvre doucement avec le pouce et l’index. Ses petites lèvres apparaissent. Je les suçote une par une. Ma langue va titiller la zone entourant son clitoris. Sa chatte est maintenant totalement ouverte. En attente.
Rachel avale une gorgée de son cocktail whisky-sperme puis tire une nouvelle bouffée de sa clope. Je commence à la lécher de haut en bas. Ses gémissements me guident. Ils m’indiquent quand mes coups de langue doivent devenir plus agressifs, intrusifs. Ma bouche se colle à sa vulve. Je la sens se contracter autour de ma langue. Elle jouit. Une giclée de cyprine frappe le fond de ma gorge et me fait tousser.
Rachel se met à genoux et se branle la minette devant un verre. Elle le remplit d’une seconde giclée de son jus de femme, qu’elle rallonge au Jack Daniels. Elle me le tend. J’avale son whisky-cyprine d’un seul trait. Rachel colle brusquement sa bouche sur la mienne dans un baiser de folie. Elle me dévore les lèvres et la langue.
Lorsque ma queue retrouve de sa splendeur et de sa raideur, je la pénètre. Ses formes dansent au rythme de mes coups de reins. Ses doigts pincent mes tétons. Elle est à nouveau en plein orgasme. Je dépose une série de baisers entre ses seins. Je sors ma queue poisseuse, m’en sers pour agacer son clitoris puis replonge en elle. Elle se tourne et me présente son cul, superbe et ferme. Elle sait que c’est là que j’aime jouir. Mais au moment de mon second orgasme, c’est à une autre femme que je pense.

Comme vous devez vous en douter, je ne gagne pas ma vie en tant que musicien. J’ai un vrai métier. Je suis dessinateur industriel. En fait, je travaille surtout en intérim. Je fais de courtes missions suffisamment espacées pour me laisser du temps à consacrer à mes deux passions. La musique et cette femme à laquelle je pense sans cesse, même entre les cuisses de Rachel. J’en suis raide dingue depuis la première vidéo porno que j’ai vue d’elle. Jour et nuit, je ne pense qu’à sa chevelure rousse, ses yeux gris, sa bouche. À son corps sublime parsemé de taches de rousseur ondulant sur le mien. Elle s’appelle Luna Heat.
Il y a peu, Luna a quitté son partenaire qui est également son associé dans la société de production qu’ils ont créée pour diffuser leurs œuvres pornographiques. Michael, c’est son petit nom, a engagé des poursuites contre elle. À cette occasion, des informations ont été divulguées sur le web qui m’ont permis de découvrir la véritable identité de Luna. Je ne la divulguerai pas ici et préfère continuer de l’appeler par son pseudonyme d’actrice porno. Il faut aussi que je vous précise qu’elle a débuté assez naïvement sous son vrai nom en tant que simple modèle. Ce qui simplifie grandement mes recherches. Elle n’envisageait peut-être pas de faire du porno à cette époque. Selon Michael, c’est l’argent qui l’a motivée à basculer vers la pornographie. Lui, bien sûr, ne voulait pas... Luna est une geek et une acheteuse compulsive. Elle a de gros besoins d’argent. Par chance pour ses admirateurs, notre déesse rousse a aussi de gros besoins sexuels.
J’ai rempli mon disque dur de milliers de ses photos et de plusieurs centaines de vidéos. Je crois bien avoir rassemblé ses œuvres complètes. De ses premières photos érotiques, regards timides, petits seins et pubis qu‘elle cache d‘une main pudique. Jusqu’à ses vidéos plus récentes, regard farouche, poitrine augmentée et jambes écartées sur son épilation intégrale. J’ai récupéré et analysé toutes les informations personnelles et photos privées publiées par le vindicatif Michael. Et me voilà rôdant dans le quartier où vit Luna Heat, deux jours après le concert le plus nul de l’histoire du rock.
C’est plutôt joli, ici. De beaux pavillons pour cadres moyens avec une belle pelouse. Des barbecues et des BMW partout. Je ne connais pas son adresse exacte, mais je sais qu’elle vit là. Je ne suis peut-être qu’à quelques mètres d’elle et cette idée enflamme ma tête. Toutes ces scènes de cul passent simultanément devant mes yeux. Elle est là quelque part. Peut-être, est-elle en train de jouer avec ses godes favoris. Dans ma tête, elle est tout contre moi. Je suis brûlant de fièvre. Mes jambes tremblent. Les sens aux aguets, je scrute le silence. Comme si j’allais l’entendre gémir, là, maintenant. Je déconne complètement.
Et si je la trouve, je fais quoi bordel ? Je ne vais quand même pas frapper à sa porte et lui dire un truc nul du genre : - Bonjour je suis votre plus grand fan. Je suis fou de vous. Je veux tourner avec vous. Je veux tout faire avec vous.
Merde, j’ai dit quoi là ? Je veux tourner avec vous ? J’avoue, j’en ai rêvé parfois. Faire du porno. J’ignore si j’aurais le cran de le faire. Déjà, monter sur scène me demande de gros efforts. Alors, me mettre à poil devant des inconnus et une caméra, bander, baiser, jouir... Pas si simple quand on y pense.
Après avoir passé la journée dans son quartier, je suis rentré bredouille. Je me suis assis nu devant mon ordinateur. J’ai lancé une de ses vidéos sur le second écran, celle où elle goûte au plaisir anal et vaginal avec deux godes. En me caressant d’une main, j’ai observé à la loupe les photos la montrant dans sa vie quotidienne. Luna, sans maquillage, pas très bien coiffée, en jean et pull moche, préparant un osso buco dans sa cuisine ou se promenant en forêt avec son labrador. Ou encore en train de passer sa moto au Karcher. Elle a l’air d’une femme ordinaire sur ces photos volées. Il est même difficile de l’imaginer en pornstar déchaînée, capable de faire jouir des hordes de masturbateurs.

Hé! Une seconde... Cette remorque porte-moto sur cette photo, je l’ai vue ce matin ! C’était chez elle ! Je suis passé devant chez elle ! Putain, ça y est ! Je l’ai trouvée ! Je sais où elle habite. Je vais pouvoir la rencontrer. Lui parler. Mais pour lui dire quoi ? Comment m’y prendre pour l’aborder, lui faire comprendre que je ne suis pas un de ces pervers qui la harcèle sur les réseaux asociaux. Que je l’aime vraiment. Que je la veux plus que tout. Que je suis prêt à donner toute mon énergie sexuelle et ma vie pour elle.

Comment vais-je faire ? 
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