Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 43 J'aime
  • 0 Commentaire

Le roi aux perles

Chapitre unique

Divers
Il était une fois dans une contrée lointaine et reculée un jeune roi nommé Hiro. A 25 ans, il est d’une beauté inégalée. Bâti comme un guerrier, il a la force d’un titan et la souplesse d’un félin. Sa magnificence n’a d’égale que la bonté de son caractère. Hiro est doux comme il est brillant. Comblé par tous ces dons, il n’a qu’un seul défaut, la cupidité.
Bien conscient de ses nombreuses qualités, il sait que l’univers lui revient de droit. Il a l’ambition d’être l’homme le plus riche du monde. Mais pas en or, non... En amour des femmes.
Ainsi fait-il construire dans une aile de son château une cinquantaine de chambres, toutes plus fastueuses les unes que les autres. Ors et tentures, baldaquins et traversins, rien n’est épargné pour faire de ses appartements de véritables écrins. Il parcourt ensuite le pays par monts et par vaux, à la recherche des cinquante plus belles jeunes femmes du royaume. Sur son passage, toutes se pâment et rêvent d’être choisies, mais seules les beautés les plus exceptionnelles peuvent repartir avec lui, à la condition suivante :
Chacune sera traitée comme la reine qu’elle mérite de devenir, on fera d’elles des femmes plus fortunées que jamais elles n’auraient pu l’imaginer, elles vivront dans le faste et l’abondance, si elles consentent à cette unique loi : vivre nue, jour et nuit, au creux de leur lit, dans l’attente de la visite du roi.
Peu hésitent longuement et quand vient la fin de son périple, Hiro rentre accompagné des femmes les plus merveilleuses que l’on eût jamais vues. Des blondes diaphanes et longilignes, des brunes vives et farouches, des rousses flamboyantes, des yeux verts, bleus, dorés, des peaux brunes comme le basalte ou pâles comme l’albâtre, des corps fermes et puissants ou d’autres ronds et onctueux. Toutes différentes, mais chacune avec au creux du ventre, un désir ardent pour leur nouveau prince.
Une fois son harem installé, chaque jeune femme nue dans sa chambre, Hiro satisfait contemple son œuvre et se félicite d’avoir réuni une si extraordinaire collection. Il convoque alors son plus fidèle serviteur et ordonne qu’on lui apporte un sac de riz, ce qui fût fait.
Le tout premier soir, Hiro rend visite à chacune des femmes, son petit sac de riz accroché à la ceinture. Il frappe doucement à la porte de la première, et entre. Elle se tient là, étendue au milieu de ses draps défaits, les cheveux en cascade sur les oreillers, nue, sublime.
Le roi, saisi par cette vision, s’approche tout doucement. Lorsqu’il est tout près d’elle, il pose une main douce au creux de son cou et demande à voix basse si elle se trouve bien accueillie. A ce contact, la jeune femme intimidée frémit et répond par l’affirmative, dans un souffle. Le roi, d’une lente caresse, laisse alors descendre sa main le long de son corps, sur ses seins, son ventre. Il glisse ses doigts sur ses cuisses tendres puis se faufile entre elles, jusqu’à trouver son con humide et chaud, où, d’un geste habile... Il place un petit grain de riz.
La jeune femme n’a pas le temps de se remettre de son émotion que le roi dépose un baiser chaste sur son front et quitte la chambre, laissant celle-ci tremblante et brûlante de son désir inassouvi.
Et auprès de chaque femme, tout au long de la nuit, il répète le même manège exactement. Il s’enquiert de leur bien-être dans le creux de leur oreille, puis laisse descendre une main langoureuse sur leurs corps vibrants jusqu’à placer un unique grain de riz entre leurs lèvres humides, pour s’éclipser aussitôt, les délaissant soudainement, incandescentes et insatisfaites.
Au petit matin, le roi s’est endormi dans son propre lit, épuisé par cette nuit de rencontres, et tandis qu’il songe paisiblement, les cinquante jeunes femmes se tournent et se retournent, ne parvenant pas à trouver le sommeil. Alors que le soleil se lève à peine, toutes n’espèrent qu’une seule chose, le voir décliner de nouveau pour que viennent le soir et la visite promise de leur prince.
Le second soir en effet, Hiro, reposé, frappe à chacune des portes. Ce jour-là, la première chambre visitée est celle d’une magnifique femme à la peau brune et aux cheveux courts. Ses tout petits seins délicats et légers surplombent une taille très fine et de larges hanches aux fesses rebondies. A peine entend-elle la clé tourner dans la serrure qu’elle se sent fondre. Hiro s’approche, se penche doucement sur elle pour l’embrasser avec gourmandise tandis qu’il lui bande les yeux. Ainsi aveuglée, la jeune femme ne peut se fier qu’à ses sensations et guette chaque effleurement avec exaltation. Son souffle se fait plus court. Bientôt, elle pourrait jurer que son amant a six bras tant ses mains semblent être partout à la fois. Sur ses petits seins qui se dressent sous ses caresses, fermement agrippées à ses fesses, un pouce se faufilant dans sa jolie bouche ou passant dans ses cheveux courts.
Elle ploie sous les caresses et ses gémissements se font de plus en plus rauques, mais c’est véritablement lorsqu’elle sent son roi se pencher entre ses jambes et la douceur fulgurante de sa langue sur elle que la jeune femme croit défaillir.

Alors que l’excitation est à son comble et qu’elle est sur le point de céder au plaisir, soudain, plus rien. Plus une caresse, plus un baiser et lorsqu’elle soulève le bandeau de ses yeux, le jeune roi a disparu de nouveau. Avec rage, elle se laisse retomber sur le lit, brûlante déception, ardent dépit.
Et ainsi avec chacune des femmes ce soir là encore.
Hiro, jouant de tous les talents qu’il possède, ses mains agiles, sa peau fondante, sa bouche ourlée s’ouvrant sur une langue virtuose, tout en lui œuvre à amener ces femmes au plus près de la pâmoison pour les laisser ainsi, essoufflées, au seuil de l’orgasme.
Car le jeune roi a un plan, une vision. En se comportant de la sorte et en entretenant ainsi son harem avec le plus grand soin, portant chaque soir l’excitation à son comble et s’évertuant entre leurs cuisses ruisselantes, il espère bientôt pouvoir récolter au creux de leurs vulves les plus belles perles que l’on eût jamais vues. Polies par la cyprine, lustrées par le désir, ainsi Hiro cultive-t-il le trésor le plus rare et précieux jamais possédé.
Le temps passe et bientôt dans le château, on n’entend plus que râles et gémissements au détour des couloirs. Les jeunes femmes, rendues folles de désir, ne vivent plus qu’au rythme de leurs sens et sentent monter en elle la colère provoquée par tant de plaisirs confisqués. L’atmosphère est lourde et chargée de soupirs. Au château de la luxure, le roi cultive ses perles.
Enfin, avec l’hiver, vient le temps de la récolte. Ce soir-là, Hiro entame sa ronde comme à l’accoutumée. Dans la première chambre, il se penche sur une jeune femme selon son habitude. Celle-ci, avide, n’en est plus aux tressaillements subtils des débuts. Elle se jette sur lui avec avidité, l’enfourche aussitôt, coinçant sa tête entre ses deux cuisses. Hiro se laisse faire de bonne grâce et la jeune femme ondule bientôt langoureusement au-dessus de lui, promenant ses mains sur sa poitrine. Sentant l’orgasme s’approcher, il la fait soudain basculer sur le ventre et enfonce ses doigts profondément dans son con trempé. Surprise, la jeune femme se cabre de plaisir, gémissante et suppliante. Du bout de ses doigts, tout au fond, Hiro sent ce qu’il est venu chercher. Il attrape d’un geste adroit la petite bille dure et l’extrait de la jeune femme à qui il arrache un dernier cri de frustration.
Là, dans sa paume, luit la plus extraordinaire perle qu’il lui ait jamais été donné de voir. Elle est grosse, nacrée, quasiment phosphorescente. Et semble être entourée en permanence d’une lymphe cristalline. Un véritable trésor.
Au petit matin, le roi a réuni dans sa petite bourse les cinquante perles de plaisir. Elles sont toutes plus belles les unes que les autres. Certaines plus grosses, d’autres plus petites, mais brillant plus intensément, aux couleurs variées, irisées... chacune est unique.
Comblé par son butin exceptionnel conquis après tant de labeurs, le roi fait monter les perles sur sa couronne et réalise ainsi son rêve, devenir l’homme le plus riche du monde en amour des femmes.
Le soir même, pour fêter son succès et récompenser toutes celles qui lui ont permis d’y accéder, Hiro décide qu’après tant de frustration, il est de son devoir de les combler. Il les convoque alors le soir même dans la grande salle de bal, immense et majestueuse. Il trône là, sa couronne ornée de perles sur la tête, surplombant de l’estrade les cinquante jeunes femmes nues, roi de la luxure. Un grand banquet est donné en l’honneur des concubines, on offre à manger et à boire à foison. Un orchestre joue une musique envoûtante et bientôt, l’ivresse aidant, les corps se délient, les peaux se frôlent et la fête tourne rapidement à l’orgie.
Partout, les femmes s’embrassent avec voracité, les mains caressent, agrippent, pénètrent. Les yeux roulent et le son des soupirs et gémissements emplit le palais. Hiro déambule entre les petits groupes, fier et ardent, il se joint aux ébats, de-ci, de-là. Il empoigne un cul magnifique à la chatte trempée, il la pénètre d’un grand coup de reins conquérant. La jeune femme pantelante ploie sous l’assaut passionné d’Hiro, et bientôt se laisse aller à l’orgasme le plus fulgurant qu’elle eut jamais atteint, extase tant attendue, patience enfin récompensée.
Au son des cris de plaisir libérateur, un attroupement s’est formé autour du roi et de sa partenaire. Toutes veulent leur part de jouissance. Hiro ravi et flatté les convie volontiers à se joindre à eux. Mais les caresses se transforment bientôt en griffures et les corps enlacés deviennent rapidement une masse vorace et frénétique. Hiro tiraillé de toutes parts disparaît sous les amas de chairs insatiables. Car la frustration répétée chaque jour a fait naître en ces femmes une colère sourde et un désir carnassier. Il sent une première morsure, puis une autre. Ses membres ne lui appartiennent plus et il finit par perdre connaissance au milieu de ces corps nus, partagé entre toutes ces femmes sublimes qu’il a lui-même réunies.
Ainsi périt le roi aux perles, dont l’avidité n’eut d’égal que la félicité. Son œuvre légendaire restera aussi célèbre que la nuit de sa mort et l’on racontera longtemps encore comment un homme audacieux collectionna des perles uniques au monde, produites au creux des vulves des femmes. Quant à la couronne, elle a, depuis, mystérieusement disparu.
Diffuse en direct !
Regarder son live