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Le romantisme n'est pas mort (il dort)

Chapitre 1

Lui

Hétéro
Tout a commencé quand j’ai aperçu le string qui dépassait de son pantalon, alors qu’elle était assise à la terrasse de ce resto minable. Elle mangeait de la pastèque, il me semble, avec les doigts, comme dans un western. Enfin, ce n’était pas exactement un string, d’ailleurs, c’était plutôt une sorte de brésilien, très suggestif. Il paraissait à vue de nez être à moitié transparent, pas complètement, mais sans doute assez pour voir les poils pubiens au travers, par exemple, le dessin de ses petites lèvres, même, sûrement. J’imaginais tout à fait ce que ça pouvait donner en la débarrassant mentalement de toutes ses autres fringues, parfaitement superflues. En même temps, je me disais, sans raison valable, je le reconnais, qu’il devait être parfait pour être arraché avec les dents.
Une heure après, l’imprimante de l’étage souffrait de son sixième bourrage papier de la journée et, chemin faisant, je me retrouvai fortuitement avec elle dans l’ascenseur de droite de notre lieu de travail. Je constatai rapidement que la tension sexuelle créée en moi par la vision fugitive de sa lingerie affriolante n’était pas encore tout à fait retombée. Un instant, j’ai hésité à lancer la conversation sur les trois métamorphoses de l’esprit, de Nietzsche, et puis je me suis dit qu’elle n’était sans doute pas très intelligente, ni guère cultivée et que tout ceci ne nous mènerait donc pas bien loin. Elle aurait pu même avoir l’impression que je me foutais de sa gueule, chose qui arrive souvent dans le monde réel quand on essaye de lancer une conversation d’un niveau intellectuel à peu près acceptable.
Bon, du coup, j’ai opté pour une approche pleine de finesse, du style : « dis donc, t’as fait péter le string aujourd’hui ! » (alors même que j’avais tout à fait conscience qu’il ne s’agissait pas d’un string, stricto sensu). Là-dessus, elle a fait semblant d’être choquée, alors qu’elle était juste vaguement étonnée, en même temps que flattée par le fait que je puisse m’intéresser à la vie trépidante de ses petits dessous. Pourquoi être flattée qu’un mec comme moi s’intéresse à ce qui se rapporte quand même de manière assez directe à son cul ? - je ne saurais vraiment pas l’expliquer, tellement cela me semble absurde. Mais peu importe. Sans doute, a-t-elle senti à ce moment-là le contact du tissu sur sa vulve, entre ses fesses. Finalement, elle a pouffé et ses pommettes ont un peu rosi. Dès lors, je savais qu’elle n’aurait probablement rien contre le fait que je glisse ma bite dans ses différents orifices.
Je pouvais même, sans trop m’avancer, avoir la certitude que je n’aurais pas trop à insister pour qu’elle me lèche le gland. Comme nous nous en étions tenus jusque-là à des rapports professionnels assez distants, cela faisait quand même une belle évolution, dans un temps assez court.
Même si son visage ne portait aucun défaut évident, on aurait du mal à qualifier B de belle femme. Néanmoins, il me semblait que ses traits avaient plutôt tendance à s’affiner avec le temps. Très sensiblement, dans son look, son comportement général, elle gagnait en sophistication. Les cheveux très noirs, la lèvre inférieure légèrement retroussée, les pommettes hautes : le mélange était original, un peu étonnant et finalement plutôt réussi. Ah, si ! je notais finalement qu’elle avait les deux dents de devant légèrement écartées : rien de rédhibitoire, cependant, d’autant plus qu’elle était particulièrement bien roulée. Un corps fin, mais bien formé, un petit cul légèrement bombé et de bons seins qui remplissaient sans mal des décolletés qui invitaient parfois à de profondes méditations.
De fait, sans avoir jamais véritablement fait de trip pseudo sentimentale sur B, je m’étais déjà souvent masturbé en pensant à elle, et je n’avais vraiment rien contre la réalisation d’un vieux fantasme.
Dans ce genre de situation, il faut sauter sur l’occasion pendant que la porte des possibles est entrouverte, événement rare et précieux. Je lui ai donc proposé, d’un ton vaguement mystérieux, d’aller visiter la salle de réunion du 7ème. Sur le coup, elle n’a pas semblé comprendre. La salle était un peu à l’écart et pas souvent utilisée. Dans une sorte d’étourdissement un peu irréel, nous nous y sommes donc retrouvés tous les deux. La pénombre ne cachait pas grand-chose de nos faiblesses réciproques, malgré le ronron de l’ordinateur et la lueur quasi religieuse du projecteur qu’on avait oublié d’éteindre. B se tenait debout, là, un peu raide, offerte sans en avoir l’air, elle souriait bêtement, un peu gênée, je crois. Ce moment-là n’est pas très agréable, mais ça a quand même duré un peu parce que je ne savais pas par où commencer. Pas mal de trucs me tentaient, sauf peut-être de l’embrasser. Oui, non, l’embrasser, ça ne me disait trop rien. Peut-être à cause des dents ? J’hésitai.
J’aurais aimé la culbuter directement sur cette longue table terriblement professionnelle, la mettre à poil, la sodomiser tout en la gratifiant de petits noms cochons. J’avais très envie de ça, mais je le constatais une fois de plus, ce n’est pas toujours évident de réaliser ses envies, comme ça, à brûle-pourpoint. Bon, j’ai quand même fini par lui rouler une pelle juste parce que c’était mon ouverture habituelle et que je ne savais pas comment démarrer autrement. Une fois lancé, de toute façon, tout passe, ou pas loin. Rapidement, j’ai déboutonné son pantalon : ça, c’est un bon moment ! J’avais d’ailleurs une énorme érection, presque douloureuse, impressionnante. Puis je glissai prestement ma main dans son slip brésilien, le fameux, jusqu’à atteindre son pubis. Elle n’avait pas beaucoup de poils, d’après ce que je pouvais sentir, ce qui se révéla ensuite visuellement exact : une coupe soignée, étroite, comme si elle avait prévu son affaire.
Mes doigts se faufilèrent encore un peu plus bas. Sa vulve était déjà bien humide, ce qui est toujours agréable : j’imaginais aisément qu’elle n’avait jamais dû connaître une situation aussi excitante. Peut-être me trompais-je, mais je m’en foutais bien : ça me plaisait de le penser. Je passai cette fois mes deux mains sous le pantalon pour caresser ses fesses : bonnes courbes, très douces, avec l’agréable sensation du tissu léger et doux sur mes doigts avides, mes mains nerveuses entre le soyeux de la culotte et le velouté tiède de la peau. Je passai encore dessous et glissai vaguement un doigt entre ses fesses. Elle me semblait être en pleine confiance, posée, réceptive. Je la défroquai donc complètement et m’agenouillai devant elle, comme un dévot. Je contemplai un instant son pubis, lui écartai les jambes, jaugeai son sexe ouvert et luisant, puis le lapai une fois, comme pour goûter : parfum léger, très agréable, presque fruité, et capiteux.
Dès ce moment, je savais que j’allais finir par lui lécher l’anus, qui, j’en étais convaincu, devait avoir un goût amer et délicieux, une consistance à la fois douce et ferme. Néanmoins, tout en étant obsédé par cette perspective oblique, je m’attelais à lécher son clitoris avec application. Elle frémissait et finit par s’asseoir sur le rebord de la table, pour être plus à son aise, tout en tirant ma tête à elle pour que je continue mon œuvre. Elle a joui très vite et assez violemment, se retenant visiblement d’être trop expressive pour ne pas nous trahir : c’était charmant.
Après ça, elle a voulu s’occuper de moi en saisissant ma bite à travers ma braguette ouverte. Mais j’avais le sentiment de ne pas en avoir fini avec elle. Je l’ai donc retournée avec autorité pour pouvoir admirer son cul : c’était vraiment beau à voir. J’ai encore hésité à lui écarter les fesses pour admirer son petit trou et m’en occuper tout de suite comme il se doit, mais, bon, juste après son orgasme, dans le léger reflux d’excitation, ça me paraissait un peu abrupt. Je me suis donc décidé à la prendre en levrette, en guise de temporisation, pourrait-on dire. Quand je l’ai pénétrée, elle a poussé la petite exclamation indéfinie habituelle (mélange de surprise, de crainte, de plaisir, et de quoi d’autre encore ?). Les femmes font ça par politesse, j’imagine. Personnellement, elle était tellement ouverte et trempée que je ne sentais pas grand-chose, sinon la tiédeur de ses chairs. Tout en la besognant, je ne faisais que regarder son cul.
J’écartais ses fesses pour contempler son anus. Il était vraiment chouette, bien régulier, un peu brun, la raie poilue, mais très nette. J’en étais vraiment dingue, au point que j’ai bien failli éjaculer sans le vouloir. Et j’étais là au bout de cette longue table d’apparat, mâle dominant pénétrant la femelle subjuguée, comme un seigneur exerçant dignement son droit de cuissage sur une modeste paysanne croisée dans l’ascenseur du château. Je devais donc agir en chef, ou au moins, en directeur général, au minimum, en tant que directeur commercial, et aller jusqu’au bout de mon idée. Alors, je me suis de nouveau agenouillé et j’ai commencé à lui titiller le clitoris avec mes doigts. Elle s’est encore plus penchée en avant, abandonnée à mes caresses, ce qui m’a encouragé à poursuivre. J’ai donc pris ses fesses à pleine main pour les écarter. J’ai commencé par mettre un léger coup de langue sur son petit trou, elle a sursauté, il me semble. Le goût était parfait.
Elle a légèrement tortillé et je me suis dit que c’était une invitation à continuer. Je me suis donc mis à lui lécher l’anus pour de bon, tout en la masturbant. Je finis par glisser gentiment mon index dans son cul et je sentis son sphincter se contracter dessus. Ses mains moites couinaient sur la table à mesure qu’elle s’agitait. Elle a de nouveau joui, à peu près en même temps que moi, alors même que rien ni personne ne s’occupait de mon membre. J’ai appelé ça "l’éjaculation immaculée".
On a alors échangé un regard un peu stupide. Je crois que dans mes yeux on devait pouvoir lire un mélange de fierté et une expression bizarre, qui voulait dire : au fait, j’espère que tu étais bien d’accord avec tout ça et que tu ne vas pas porter plainte ou faire un signalement au directeur du personnel. On s’est rhabillé vite fait : j’avais du sperme plein le caleçon, mais je savais que je m’en arrangerais, comme je faisais chaque fois. Là, j’ai senti qu’avant de se séparer, il fallait que je dise un truc, juste pour dire un truc. Si je me souviens bien, j’ai sorti une phrase qui ne veut rien dire, mais imparable, du genre : « sacrée toi, va... ». Tout de suite après, je me suis dit que je n’avais ni touché, ni même vu ses seins, ce qui était quand même bien dommage. Je n’aurais jamais cru pouvoir faire ce genre de chose avec B.
Encore maintenant quand je la vois à son bureau, affairée sur son ordinateur comme une bonne petite employée, j’ai du mal à réaliser que tout ceci se soit réellement passé. J’en garde un bon souvenir, néanmoins, un très bon souvenir, même. Je ne peux plus passer devant la salle de réunion du 7ème sans repenser avec émotion à ce bourrage papier, à l’ascenseur et à sa manière si délicieuse de se mordre les lèvres pour ne pas crier.
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