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Rose et son père

Chapitre 2

Inceste
Doucement, Rose sentit l’étreinte autour de ses seins se relâcher. Et avant qu’elle ait eu le temps de faire un pas en arrière pour se dégager complètement de son père, il saisit la nuisette quelle portait par le décolleté et tira d’un coup sec. Dans un bruit de tissu déchiré, Rose se retrouva nue, à la vue de son père. L’éducation qu’elle avait reçue lui dictait de cacher sa nudité, mais pour tout dire, elle n’était pas gênée d’être nue face à lui. C’était embarrassant, mais elle ne ressentait aucune honte, aucune envie de se cacher. Alors elle ne bougea pas d’un pouce. Elle resta là, les tétons fièrement pointés vers lui, sa toison brune à découvert. Il approcha les mains de ses seins nus puis pinça les tétons entre son pouce et son index. Rose dut se retenir pour ne pas gémir. Sa main droite se mit à malaxer un sein tandis que sa main gauche lâcha prise. Alors il se pencha et commença à titiller le mamelon du bout de la langue. Les bouts de Rose se faisaient de plus en plus durs. Il finit par la mordre à pleine dents, comme s’il essayait de prendre tout son sein dans la bouche. Elle ne put retenir un petit hoquet de plaisir. La peau blanche et fragile de la jeune fille marqua instantanément, de fines traces violacées marbraient son sein. Alors que la bouche de son père passait à l’autre sein, de sa main libre il vint explorer la toison brune de sa fille. Sa main forma d’abord une coupe qui semblait faite pour recueillir ce jeune pubis. Puis il passa la main entre les cuisses de Rose, qui avait fermé les yeux. Du bout des doigts, il sentit la cyprine qui commençait à lubrifier sa fente. « C’est bien ce que je pensais, tu aimes ça, petite pute! Dégage maintenant! Et rase moi cette forêt vierge, on n’est pas en Amazonie !» lui dit-il dents serrées.
Rose regagna sa chambre. Elle était furieuse. Son père l’avait prévenue, interdiction de quitter la maison, et il allait faire d’elle son jouet, son esclave sexuelle. Au pensionnat, elle avait enduré toutes les humiliations. Mais jamais on avait touché à son intimité. Elle ne redoutait pas qu’il la touche, elle en avait envie. Mais se donner tout entière à lui, lui être soumise la rendait furieuse.
Depuis longtemps elle se touchait, se caressait. Depuis sa puberté, bien des fois elle s’était demandé ce que ça pourrait bien lui faire d’être avec un homme, ‘pour de vrai’. Elle avait longtemps fantasmé, longuement imaginé… Parfois, seule dans son lit, elle imaginait être avec un homme tandis que ses doigts allaient et venaient dans son intimité humide.Elle avait toujours admiré son père… Et elle l’aimait. Mais son esprit de contradiction avait toujours pris le pas sur l’amour qu’elle ressentait pour lui.Dans sa tête, les pensées s’entrechoquaient. C’était un grand remue-méninge… Elle avait envie de sexe, c’était indéniable. Mais elle ne voulait pas céder à son père, cela aurait été comme abandonner, lui faire un cadeau à lui, qui ne lui en avait jamais fait. Mais quoi qu’elle en dise, elle appréciait l’idée que son père vienne en elle, et maltraite son corps, la cyprine que son père avait sur les doigts en était la preuve. Alors oui, Rose était furieuse. Elle rêvait qu’il recommence, mais elle se promettait de tout faire pour cacher son plaisir quand elle serait avec lui. Pour un temps au moins.
Assise devant sa coiffeuse, elle se regarda un long moment dans le miroir. Elle pensa à Damien… Que penserait-il s’il savait? Elle se mit à pleurer de rage, le visage dans les mains, quand quelqu’un frappa à la porte. Ce devait être Judith, son père ne prendrait pas la peine de frapper. « Entrez »La vieille femme entra dans la pièce en poussant un plateau à roulettes, elle posa sur le lit un paquet, et tira les rideaux avant de s’approcher de la jeune fille.-Oh Mademoiselle Rose, il ne faut pas pleurer… Un si joli visage! Ne vous inquiétez pas, tout ira pour le mieux… J’en suis persuadée. Et puis, je suis là moi!-Merci Judith…-Non non, ne me remerciez pas! C’est mon travail d’être là pour vous, votre père m’emploie pour ça, et uniquement pour ça.-Que voulez vous dire?-Je veux dire que je ne serai dans cette maison que tant que vous y serez. Votre père m’a engagée il y a une semaine, pour préparer votre arrivée, et je quitterai cette maison sitôt que vous aurez fini vos vacances ici. Je connais les projets de votre père pour vous. Je sais que ce sera dur. Mais si lui veut vous briser, moi je serai l’épaule sur laquelle vous pourrez vous reposer. Puisque vous n’avez pas le droit de sortir, autant avoir une alliée à l’intérieur, n’est-ce pas?-Sans doute… Mais alors, vous savez?-Oui, je sais tout… Songez un peu au cadeau que vous fait votre papa, il vous offre de devenir une femme, une vraie femelle…-J’y songerai, merci… Qu’avez-vous posé sur mon lit?-Un paquet de la part de votre père, il veut que vous portiez son contenu pour votre première leçon. Mais avant toute chose, il m’a demandé de vous aider à vous épiler.-Non, je vais y arriver toute seule!-Allons allons, ne dites pas de sottises! Je vous vois mal vous coller des bandes de cire sur la chatte et vous les retirer seule! C’est un coup à vous massacrer l’abricot! Allons, pas de manières entre nous! Déshabillez-vous!
Rose s’exécuta, sans grande conviction. Elle resta debout au milieu de la pièce un instant, ne sachant trop ce qu’elle devait faire. Sentant la jeune fille un peu perdue, Judith lui dit de s’asseoir. Elle s’affaira quelques instants au dessus de son plateau roulant, puis se retourna avec tout un tas d’accessoires dans les mains parmi lesquels Rose identifia notamment une tondeuse électrique... Elle commença par déplier sur le lit une immense serviette éponge, et d’un geste de la main, elle fit comprendre à Rose qu’elle devait s’allonger dessus, ce qu’elle fit sans broncher.D’un geste, Judith lui écarta les jambes, dévoilant ainsi son intimité. Rose était crispée, ses mains s’agrippaient aux draps. La vieille gouvernante sentit la tension de la jeune femme. Elle lui intima de fermer les yeux et de respirer profondément. Elle avait posé sa main sur celle de Rose, et cette dernière commençait à se sentir un peu plus légère. Elle sentit la main de Judith parcourir sa toison, puis un bruit, le moteur de la tondeuse, un contact froid sur son pubis… Elle sentait de temps à autres la main de Judith s’activer pour faire tomber sur la serviette les poils coupés par la tondeuse.-On ne vous a jamais épilée Mademoiselle ?-Non…-Ca va être douloureux alors. Serrez les dents, votre père a bien précisé qu’il ne voulait pas vous entendre crier. Mordez l’oreiller si besoin.Elle sentit se déposer la cire chaude, puis la pression de la main de Judith sur la bande… « Un… Deux… Trois ! » Et une douleur sans nom qui se diffusait dans tout son bas ventre.La séance de torture dura près de trente minutes, Judith l’avait même faite mettre à quatre pattes pour épiler le pourtour de son anus et la raie de ses fesses. Elle était à présent lisse comme un bébé.Il ne restait plus rien, elle était lisse comme à ses cinq ans.
-Voulez vous que je vous montre maintenant? A finalement proposé Judith-Quoi?-d’où vient le plaisir d’une femme…Rose ouvrit les yeux et se redressa un peu, en appui sur les coudes. Elle vit le regard de Judith, fixé sur son sexe grand ouvert, offert. Elle fut alors parcourue par un frisson mêlé de désir et d’appréhension. « Oui » souffla-t-elle, n’osant pas le dire tout haut.Alors Judith s’agenouilla entre les jambes de Rose et posa ses lèvres sur le nombril de la jeune femme. Puis elle descendit, et déposa un baiser sur son pubis, et descendit encore, lécha son clitoris, et descendit encore, et introduisit sa langue sans sa fente. Elle prit un peu de recul, et après deux petites secondes d’observation, elle finit par dire « un si joli con, quel papa ne voudrait pas le prendre à sa fille? » puis elle positionna deux doigts à l’entrée du vagin de Rose pressa un peu et commença un lent va-et-vient. Elle n’introduisait pas plus de deux phalanges dans sa fente, elle devait garder son hymen intact pour son père. Mais les mouvements de ces doigts experts arrachaient à la jeune fille de longs soupirs laissant présager qu’elle aimait ce que lui faisait la vieille. Alors pour augmenter encore le plaisir de sa jeune protégée, elle plaça sa bouche sur son petit bouton et commença un cuni de tous les diables. Elle suçait, tétait, mordillait et lui titillait le clitoris sans le moindre ménagement pendant que ses doigts agiles allaient et venaient de plus belle.Rose finit par se cambrer, tous ses muscles se crispèrent et dans un feulement animal elle se laissa retomber sur le lit, à demi-consciente. « Vous venez d’avoir votre premier orgasme Mademoiselle. » murmura Judith au creux de son oreille. Elle déposa un baiser sur le lobe de son oreille, la mordillant un peu au passage lui arrachant un dernier frisson de plaisir et laissa Rose tout essoufflée, allongée au milieu du lit, couverte de sueur. Avant de quitter la pièce, elle lui rappela de prendre une douche et d’enfiler le contenu du paquet avant 15h, son père viendrait la chercher. En attendant, elle n’était pas autorisée à quitter sa chambre.
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