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La route

Chapitre 1

Zoophilie
Ma vie a commencé au printemps de mes seize ans, le jour où comme à mon habitude, je faisais la sieste sur ma couverture dans le foin dans notre grange.J’habite chez mes parents et je viens souvent me cacher à cet endroit pour échapper aux assiduités de mon beau-père Alfonse qui a beaucoup d’humour et qui chaque fois que j’ai le malheur d’être seule avec loin me fait sa blague à deux balles « Véronique, Alfonse va te l’enfoncer ».Alfonse à bientôt soixante ans mais pas toutes ses dents.Maman qui a pour doux prénom Annabel à presque trente ans de moins que lui.Elle sait le goujat qu’est cet homme, mais elle a la reconnaissance du ventre malgré ses trente-quatre ans, Alfonse nous ayant recueilli alors que j’avais six ans et que nous étions à la rue après que nous être faits expulser pour retards de paiement de l’appartement situé dans la ville de Caen.Maman est fille-mère et a galéré toute sa vie allant même jusqu’à épouser Alfonse malgré son âge espérant rapidement hériter de la ferme où nous vivons.
Mes parents sont partis à Paris pour le temps du salon de l’agriculture avec notre taureau de race normande de plus de 1000 kgs déjà champion depuis trois ans. Notre taureau s’occupe avec ses grosses couilles de nos quinze vaches et j’aime regarder lorsque mon beau-père pratique une sailli.Il rentre dans deux jours et jusque-là je dois m’occuper de la ferme et surtout des animaux. Pour cela, je dois me lever à cinq heures, me laver dans une cuvette à l’eau froide avec souvent le regard d’Alfonse sur mon abricot blond quoique maman lui ait interdit de venir dans la cuisine lorsque je me lave.En début de matinée, je dois rentrer les vaches, faire la traite heureusement automatisé dans la station qu’ils ont faite aménagé, mais qui grève une bonne partie de leurs revenus en remboursement. Il y a deux ans, ils ont profité de la mise en place du tout-à-l’égout pour construire des Wc dans un coin de la cuisine. Un tuyau d’évacuation monte vers un placard à l’étage où leur prochain moyen leur permettra d’aménager une salle de bains.
Pendant leur absence, je m’occupe des poules, canards et de la dinde que l’on tue pour Noël ainsi que mon pote le cheval Bourriquot qui finit sa vie entre le champ et son écurie.Depuis le jour de mes seize ans, j’ai quitté définitivement l’école qu’il est vrai, j’apprécie guère, car Alfonse refuse de nourrir une bouche inutile et comme je l’ai entendu dire à un voisin qui passait devant la propriété alors que je glandais derrière une haie et qu’il l’interrogeait sur mon avenir « de toute façon, fainéante comme elle finira de toute façon en faisant la pute. » Le passant avait ajouté « ce jour-là, tu m’appelles, je serais son premier client. »Voilà la haute estime qu’ils avaient de moi aussi lorsque c’est après midi là, après avoir fait ce que j’avais à faire, je suis allé dans la grange dormir dans le foin quelques minutes.
Un bruit de voix m’a réveillé, j’ai avancé ma tête vers la partie inférieure de la grange pour voir deux femmes un homme et leurs deux chiens, assis sur des bottes de paille.Les deux chiens sont des chiens loup dont l’un est tout blanc.
• Allé Gaëlle dépêche-toi, Atos attend et tu sais qu’il a horreur de cela.Brutus couché.
Ce que je découvre est étonnant pour moi bien que je vive au milieu d’animaux.
La dénommée Gaëlle ôte ses affaires, attrape Atos, le chien gris et lui caresser la verge.J’ai déjà vu un membre de chien jusqu’à l’hiver dernier où Médor notre chien de garde bâtard est mort de vieillesse.Alfonse, pense-le remplacer m’est pré-texte le manque de temps pour aller à la S.P.A. Une fois la verge du chien en état, La grande fille brune se met à quatre pattes et en deux secondes, se fait enfiler.Une minute et elle chante à qui veut l’entendre que son nœud est entré et que c’est toujours aussi bon de se faire prendre par son amant.Ces cris redoublent lorsque son compagnon décharge et lui remplit le ventre.Le chien descend de son dos et je le vois du haut de mon promontoire se retourner et rester collé à la fille qui a toujours le sexe en elle.
• Valérie vient me sucer, elle en a encore pour vingt minutes après, on ira visiter la maison pour voir s’il y a quelque chose à bouffer, en arrivant j’ai eu l’impression qu’il n’y avait personne.
La dénommée Valérie se met en position et commence à dénuder la verge du garçon.C’est à ce moment que Brutus entre en jeu.J’ai dû faire du bruit, car je le vois lever la tête et me regarder en émettant un grognement.
• Brutus, j’ai dit couché, tu as peur des souris.
Mais Brutus, persiste au point que celui qui allait se faire sucer se lève et regarde vers moi.Je recule précipitamment, mais quelque chose a dû attirer son attention, car je l’entends monter à l’échelle.
• Il y a quelqu’un, j’ai vu de la paille tomber, sortez, nos chiens ne vous veulent aucun mal.
J’avance et je me montre, de toute façon le chien m’a repéré et continuera à grogner.
• Les filles, devinez qui nous mate, une jolie petite girelle blonde.
La girelle est paniquée, mais je suis bien obligé de descendre.J’ai conscience que mon short ras la moule donne une vision au garçon imprenable, mais lorsque j’arrive à deux barreaux du bas, le coup de langue que je reçois est bien trop grand pour être la sienne.
• Valentin, Brutus, voudrait bien lui dire deux mots, il doit se souvenir de la jolie brune qu’il a saillie la semaine dernière à Angoulême dans la maison pendant l’absence du mari.• Oui, et je suis sûr qu’aujourd’hui il sera enchanté d’en monter une aussi jeunes.• Non, dites-lui que je suis encore vierge et que j’ai peur d’avoir mal.
Quelle défense, je me serais donnée à lui en baissant ma culotte, j’aurais été plus vite.
• Surtout, évite de paniquer, Brutus est un spécialiste, depuis qu’il est en âge de bander, il en a déjà dépucelé deux, tu sais ce que l’on dit, jamais deux sans trois.Dépêche-toi, enlève tes fringues sinon, c’est Brutus qui va le faire avec ses dents.
Moment insensé lorsque j’enlève mon tee-shirt montrant à tous mes seins bien développés mais que je laisse toujours dénudés chaque fois que je m’occupe de la ferme la sueur étant désagréable entre mes seins. Au moment de défaire mon short la pensée stupide qui me vient, c’est me faire déflorer par Brutus ou par Alfonse celui qui doit me l’enfoncer autant choisir le chien, pas de risque de devenir fille-mère comme ma maman.
• Évite d’avoir peur, regarde pour moi tout se passe bien, je sens le sperme d’Atos voyagé dans mon ventre et cela fait quatre fois que j’ai des orgasmes. Aucun homme te donnera autant de plaisir.
Elle est marrante la Gaëlle avec son chien collé à elle depuis dix minutes, elle a l’expérience qui me manque pour parler comme cela.Dès que j’ai enlevé ma culotte Brutus vient me lécher avant que j’enlève mon string pour me passer sa langue très râpeuse sur toute la hauteur de ma chatte.La sensation que j’éprouve est loin de me déplaire, je suis en train de basculer dans les amours zoophiles même si je dois l’avouer, j’ai déjà eu une, non, plusieurs fois depuis un mois une expérience insolite avec Bourriquot. Un jour que je lui défaisais son attache pour aller l’emmener au pré, j’ai passé ma main sur son encolure et j’ai remarqué que sa queue sortait de son fourreau, plus je le flattais plus, il bandait.J’étais attiré par ce long manchon mais apeuré de faire des gestes qui me semblaient contre nature. Le lendemain le cheval semblait attendre mes caresses, car en peu de temps l’engin était dehors.J’ai avancé ma main et je l’ai posée dessus. C’était mou et dur à la foi.J’ai avancé mon visage vers son gland et j’ai reçu des jets de semence sur mon visage mon tee-shirt et mon short. J’en avais partout.Pour respirer, j’ai ouvert ma bouche et le dernier jet est entré directement dedans.J’en ai avalé une grande rasade et j’ai bien apprécié.Heureusement que mes parents étaient partis en ville à la foire, car s’ils avaient été là, j’aurais eu du mal à justifier pourquoi j’avais pris une douche de sperme.Depuis, j’ai acquis de l’expérience et je me mets nue depuis qu’ils sont partis à Paris et chaque soir, je viens prendre mon dessert au bout de la verge de mon gentil cheval.J’arrive en forçant un peu à faire entrer dix centimètres de sa tige dans ma bouche et le sperme coule directement au fond de ma gorge.En pensant à mes turpitudes avec Bourriquot, j’ai l’impression de me donner bonne conscience pour me laisser faire par Brutus.Hier en quittant l’écurie, je calculais, comment me mettre par rapport à la bite de mon cheval pour que son sperme arrive dans ma chatte.Commencer par perdre ma virginité avec le chien pourrait me permettre de faire entrer Bourriquot en moi au lieu de simplement me faire arroser.
• D’accord Valentin, je souhaite éviter le viol alors j’accepte de le recevoir en moi de mon plein gré.Gaëlle, tu me jures qu’il sera doux.• Doux, tout dépend de son excitation pour toi, mais ce qui est sûr, c’est qu’à la sortie, tu seras devenu une femme différente dans ta façon de penser les rapports entre les humains et les animaux.• Alors guidé moi.• D’abord, enlève tout. Place toi a quatre pattes le long de cette botte de foin comme cela Brutus posera ses pattes dessus et ton dos sera protégé.
Dès que je me positionne, le chien vient directement recommencer à me lécher la chatte. Ses coups de langue sont amples et viennent caresser mon trou du cul.Je me tortille de plus en plus dans l’attente de ce que je vais ressentir.Le chien m’ayant assez léché il me saute dessus et ses pattes un instant me zèbrent les flancs.Il cherche son chemin, mais loupe l’entrée.Valentin bienveillant lui saisit la verge et la place dans la direction appropriée à une bonne pénétration.Brutus pousse un coup et je le sens passer mon hymen, car je sens mon ventre se déchirer.J’aurais dû avoir mal, mais la tige qu’il m’enfonce se double d’une forme grosse et qui grossit encore en moi.J’ai tellement le souffle coupé que la douleur est si intense que c’est autre chose que de la douleur. Si j’avais su cela, il y a longtemps que Médor m’aurait sailli, comment croire ce qu’il m’arrive pour la première fois de ma vie, j’ai un orgasme.J’avais ressenti des frissons en me masturbant, mais là je peux dire que je sais ce qu’orgasme veut dire.
• Gaëlle, maintenant que tu t’es libéré, vient voir, Brutus a bloqué son nœud, elle va ramasser la salope. Sûr qu’après elle va être accro, nous espérions trouver une chienne à Brutus comme tu es celle d’Atos, je crois que c’est fait.• Merci, merci de m’avoir amené celui qui vient de faire de moi une femme et qui grossit encore en moi. Vous êtes sûr que mon ventre va tenir, mais je m’en fiche, c’est trop B…
Les mots s’arrêtent là tout le temps où il me déverse sa semence au fond de mon vagin. Certe, moins abondant que Bourriquot mais suffisant pour que j’ai encore deux orgasmes aussi puissants que le premier.Grace à ces trois jeunes, je viens de faire un saut important dans ma vie.
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