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La route des vins

Chapitre 1

Hétéro
Samedi 20 juillet, en ce petit matin tiède du mois de juillet, nous passons nos vacances en Alsace dans la famille de mon mari. Ses parents habitent un petit village paysan et charmant dans la campagne typique de la région, un peu en dehors des grosses agglomérations comme Strasbourg ou Colmar, mais restant très accessible par la route.
Cette année encore, nous apprécions de quitter notre appartement citadin et notre ville polluée et stressante pour venir voir la famille en dehors des fêtes de Noël, trouver l’air frais et la verdure de la campagne, ainsi que le calme paisible de la nature.
Outre la gastronomie du cru connue et reconnue pour être généreuse, mais aussi délicate, le temps s’arrête vraiment dans ce petit coin de planète où l’on apprécie l’air et l’art champêtre d’y vivre. Dans ce cadre juste magnifique qu’est la campagne d’Alsace, au milieu des maisons à colombages et de toutes les places fleuries des villes et villages, la chaleur douce de l’été nous détend et nous permet vraiment de nous ressourcer.
Avec Sam, mon mari, nous aimons ces petites vacances, les enfants pouvant sans crainte profiter des champs ou des forêts avoisinantes, et faire du vélo sur les sentiers agricoles qui jouxtent le village.
Mes beaux-parents, Angèle et André, jeunes retraités, profitant également de notre présence et de leurs petits-enfants, pour nous faire découvrir la région, le terroir et les spécialités locales. Ils sont toujours ravis de nous recevoir et nous accueillir dans leur modeste demeure.
Bref, nous passons une agréable première semaine avec eux, avant de repartir dans quelques jours sur la capitale, retrouver nos boulots et notre quotidien.Aujourd’hui, avec mon beau-père André, c’est le jour des grosses courses et de notre approvisionnement en liquides spiritueux. En voiture, le coffre spécialement aménagé pour tous nos achats, nous sillonnons la mythique route des vins afin de faire quelques emplettes dans les caves et chez les petits producteurs locaux.
A chaque arrêt, et sur les conseils avisés d’André et de ses connaissances, nous visitons les caves et profitons de l’accueil chaleureux des viticulteurs commerçants qui nous offrent des dégustations de leurs dernières productions.
Ainsi, d’échoppes en vitrines et de granges en caves, nous faisons nos achats pour l’année, choisissant quelques cartons de Riesling, Muscat ou Pinot selon nos goûts... ou nos envies de plats culinaires à venir.
Bien évidemment, après 3 visites de producteurs, Sam et moi, étant peu habitués à déguster autant de breuvages, sommes vite dans un état d’ébriété avancé, et l’euphorie (pour ne pas dire autre chose) nous coule dans les veines...
André, souriant et joyeux aussi, n’est pas encore complètement cuit, et donc se charge de nous conduire pour finir la tournée avant de rentrer à la maison...Assise sur la banquette arrière avec Sam, nous rions comme des enfants, et évidemment, Sam commence quelques attouchements que je ne peux réprimer, tellement je me sens pompette...Il faut dire qu’avec mon pauvre physique, mes 1.58m, mes 51 kilos, toute mouillée, et mon 90b avec ma taille 34, je n’ai pas la corpulence pour résister à l’alcool ni à ses envies... Echangeant d’abord quelques baisers discrets, Sam commence à glisser ses mains sur moi et me chatouille...
Oubliant notre chauffeur complètement ivre, j’en oublie aussi mes 34 ans, mon statut de mère de famille, et redeviens une ado entre les mains expertes de mon mari qui me donnent le frisson.
Ses doigts courant entre mes cuisses nues, sur mon ventre et sous mon débardeur, ses baisers dans mon cou m’électrisent totalement et je ne remarque même pas qu’il a déjà dégrafé mon soutien-gorge et ouvert mon short en jeans pour accéder à la dentelle de ma culotte...
Sous ses mains, je me sens si bien et j’ai très chaud. L’alcool me désinhibant, je lui rends ses caresses et ses baisers sans me soucier du spectacle ou des bruits coquins que nous échangeons dans nos murmures... mes mains caressant son sexe qui durcit au travers de son pantalon, sans parler de l’envie naissante au creux de mon ventre aussi...Bref, nous flirtons, sa bouche parcourant mes lèvres, mon cou et venant même sur ma poitrine mise pratiquement à nue... Je soupire de ses caresses avant de me ressaisir et le repousser en panique, voyant l’œil pétillant de mon beau-père dans le rétro...
— Vous pouvez continuer les enfants... vous avez raison d’en profiter...— (riant aussi) Heu... Non ça ira... on va se retenir... faudrait pas qu’on prépare un 3eme petit enfant si vite...

L’alcool aidant, malgré ma honte, nous rions tous de bon cœur dans la voiture, même si je sais que ce coquin de beau-père a bien dû se rincer l’œil sur mes formes et mon ventre blanc. Collée contre ma portière, je me dépêche de me réajuster, de son côté, mon mari Sam bande encore sous son short et je me moque un peu de lui ainsi... mais il me cloue le bec en me présentant mon soutien-gorge retiré à mon insu...
Tout en plaisantant et râlant, j’essaie de lui reprendre, mais il le jette au fond du coffre et hors de ma portée pour que je ne puisse le remettre... m’expliquant vouloir profiter encore de la vue de mes jolis seins ronds et tendres sous le débardeur échancré...
Un peu fâchée, je n’ai guère le choix que d’accepter et essaie de cacher ma blanche poitrine qui déborde sur les côtés ou qui pointe déjà par l’effleurement du fin tissu à bretelles.Poursuivant notre route, avec les courbes sinueuses, la tête me tourne un peu et j’ai quelques nausées. L’euphorie laisse place à un léger malaise. Non que je sois souvent malade en voiture, cela vient peut-être de l’alcool et la chaleur de l’été qui règne au-dehors ou dans la voiture malgré la clim.
Arrivant sur notre dernière visite de cave, je suis heureuse de pouvoir sortir de la voiture afin de calmer mes maux de ventre et mes esprits tout en prenant l’air...Sam et André prenant les devants, je reste en retrait et ne déguste rien cette fois-ci. Je me promène dans la boutique climatisée, regardant les alambics, les bouteilles et tonneaux en exposition...Tout en déambulant tranquillement dans les rayonnages, plusieurs clients (dont la plupart sont des personnes âgées) et des vendeurs me regardent, me sourient sans dire un mot et par politesse, je leur rends leurs sourires...
Mais en passant devant une vitrine et un miroir, je comprends vite le pourquoi de tous ces gens si heureux de me voir...Dans la salle d’expo fraîche et fortement climatisée, je me vois dans le reflet, le galbe de ma poitrine moulée dans mon débardeur, mes épaules blanches et frêles quasi nues, les tétons durs et pointant au-devant, comme prêts à couper du verre... tout cela avec un petit short en jeans moulant au ras des fesses, posé sur mes fines jambes blanches, je ne passe pas inaperçu auprès des hommes de la salle qui admirent mon physique de jeune femme ultra-sexy...
Le rouge me montant aux joues, je prends la fuite discrètement et retourne sur le parking pour me cacher à côté de la voiture le temps qu’ils finissent leurs achats...
Le temps passe et je tourne un peu en rond... m’asseyant sur un banc, je profite un peu du soleil qui me réchauffe pour bronzer et essayer d’oublier cette petite exhibition soft et fortuite. Malheureusement, les hommes ne sont pas très longs à revenir (pour une fois) et nous reprenons la route pour la maison...André, toujours taquin, me demande pourquoi je ne suis pas resté avec eux... car cela fut dommage de ne pas avoir pu apprécier les rondeurs de leur pinot gris excellent selon lui...Ne répondant pas, je fixe le paysage qui défile... sachant très bien que son allusion de rondeur était davantage pour moi que pour le vin.En roulant, la vue au-dehors est superbe, la courbe bleutée des Vosges découpant la ligne d’horizon avec parfois une ruine de châteaux forts qui se distingue dans la montagne colorée... Les églises romanes et gothiques se succèdent au travers des petits villages que nous traversons. Tout cela me donne l’idée de programmer une randonnée pour le lendemain. Ce que Sam approuve afin de profiter encore mieux de cette belle région et cette route si mythique.
Dans le jardin, autour de la table et à côté du four à bois, nous profitons de la douceur du soir et dégustons des tartes flambées maison en buvant quelques bouteilles achetées dans la journée. Les enfants criant et jouant au ballon un peu plus loin, nous partageons notre journée avec Angèle, restée à la maison durant notre escapade, bien évidement André, riant aux larmes sous l’emprise de l’alcool, et ne pouvant se retenir, raconte aussi ma gêne lors du dernier arrêt et qui, selon lui, aurait pu nous faire gagner une meilleure remise sur l’achat des bouteilles.
Bref, la soirée avance, j’ai de nouveau la tête qui me tourne et j’ai hâte d’aller me coucher... au dessert, je repense à notre virée et aux paysages traversés, et profite de l’occasion pour inviter André et Angèle à nous accompagner pour la randonnée si les enfants veulent aussi venir avec nous le lendemain...
Cela serait sympathique de pouvoir flâner tous ensemble parmi les vignobles, les ruines médiévales et l’histoire de la région par un si beau soleil tout en marchant au grand air.Malheureusement, Angèle, très catholique, ne veut pas manquer l’office dominical du matin et les enfants préfèrent dormir ou jouer avec les chats plutôt que nous accompagner...Seul André serait partant, mais son épouse lui rappelle son engagement avec leur voisin pour la coupe d’un arbre et donc il abandonne également l’idée...Ne reste plus que moi et Sam, prenant l’affaire avec philosophie, je me dis que cela nous fera aussi du bien d’être juste tous les 2 dans le calme de la nature... en amoureux.La nuit tombant, les enfants allant se coucher avec la mamie, nous rangeons la table avant de tous nous saluer pour la nuit... Sam, un peu saoul, me taquine un peu et me pince la fesse pendant que je nettoie les assiettes avant de se poser dehors pour observer les étoiles. La vaisselle terminée, je le rejoins, l’air est frais, mais encore très doux, sans doute 20/23 degré ce soir avec la brise. Sam est assis sur une chaise de camping sur la terrasse et doucement je me glisse sur ses genoux, et me blottis contre son corps, très amoureusement et tendrement (comme durant notre jeunesse)...
Ensemble, nous regardons les étoiles dans le silence de la nuit...Enroulés dans un plaid, nos corps se réchauffant l’un contre l’autre, je lui adresse quelques baisers dans le cou et nous nous embrassons avec tendresse.Sa main sur mon ventre me chatouille un peu et me caresse, avant de glisser sur ma poitrine.Bien que fatiguée, mon corps est réceptif à ses caresses et je me laisse faire lorsqu’il me tient un sein et m’en pince le mamelon à la limite de la douleur.
— (un murmure à mon oreille) Tu es belle mon amour,... j’ai aimé notre après-midi ensemble... et comment tu étais dans la boutique...— (riant) n’exagère pas... la honte...— (interrogatif) Pourquoi ??? Tu es belle, tu le sais, tu es excitante comme cela... Pourquoi cela ne t’a pas plu ?— heu si... mais c’est très gênant... tous ces regards...— Et cela ne t’a pas... Excitée ?—... heu... un peu... si... mais...
Sam m’embrasse à pleine bouche et je fonds littéralement contre lui... ses mains investissent mon débardeur et me le retirent complètement, découvrant ma poitrine au clair de lune... je ne ressens plus le froid de la nuit, sa bouche et ses mains me réchauffant tout le corps dans un millier de caresses... L’un contre l’autre, nous nous déshabillons mutuellement sur la terrasse, bercés par la douce clarté des lampes du jardin et des étoiles...
Après un rapide coup d’œil autour de nous, ivre de désir, je me laisse glisser entre ses jambes et tombe à genoux devant lui... mon visage lui embrassant le ventre et les pectoraux pendant que mes mains ouvrent la corde de son short...
Doucement et délicatement, je me sers de lui et je l’entends soupirer sous mes baisers. Son phallus en érection jaillissant entre mes petits seins me donne envie de mon chéri. Envie de lui faire plaisir et d’en recevoir. Continuant ma descente câline. Son sexe est maintenant devant mon visage. Il est beau, tendu et large, son gland rond m’invitant à l’embrasser... je ne résiste pas et le prends en bouche pour le décalotter et le sucer avec délice.
Ses soupirs et sa respiration vont au rythme de mes allées venues... Je joue avec lui, le faisant sortir, passant ma langue très délicatement sur la corolle de son champignon ou glissant le long de sa tige avant de le replonger dans la chaleur de mes joues...
Sa main sur ma tête me caresse et il me tient les cheveux en formant une queue-de-cheval dans sa poigne ferme. Il aime me tenir ainsi, pour mieux voir mon visage coulisser sur lui, il me donne la cadence, plus ou moins vite, plus ou moins loin, je le sens grossir et durcir sous mes pressions, sa tige devenant veineuse et intense. Je le guide et l’accueille loin en moi afin de le rendre fou, je sais qu’il a envie de jouir alors, par provocation, je colle mon nez à son ventre, je l’avale presque et le fixe du regard pour savoir si je dois poursuivre ou s’il veut autre chose...
Dur dilemme pour lui... exploser dans le fond de ma bouche ou me prendre à sa guise ici... sur le sol ou sur la table sous les étoiles...Les yeux dans les yeux, je le fixe, la bouche pleine de lui... mes seins balançant sous moi à chaque mouvement... j’attends et fais durer le plaisir...
Mais pour finir, il me relève et me pousse contre la table... me retirant mon short, je suis à présent toute nue dans le jardin familial sous le ciel de la nuit étoilée et dans la brise...On s‘embrasse un moment, son sexe luisant de ma salive contre mon ventre palpite, puis il m’allonge avec tendresse...Je rigole un peu, car sur la table en bois, quelques miettes de pâtes à pain de la soirée me piquent le dos... mais je m’en fiche...Sam entre mes jambes, glisse sa queue sur ma fente lisse et fine... il ondule sur mon bourgeon et je l’accompagne avec mon bassin, puis d’une main agile, il se présente sur ma vulve et pousse d’un coup sec toute sa bite en moi afin de me prendre...
Totalement abandonnée, je me laisse pénétrer sur cette table... mes seins pointant vers les étoiles, mes jambes relevées et Sam me baisant avec vigueur et tendresse... ses mains jouant sur la peau fine et claire de mon ventre ou ma poitrine éclairée par la lune.
Sa queue coulisse en moi sans difficulté, tellement le moment m’excite et me remplit de plaisir... nous faisons l’amour un moment comme cela, mais le sentant proche de la jouissance, je lui dis d’arrêter, ne voulant pas être fécondée ce soir...(une petite période dangereuse)... Compréhensif, son regard me rassure, mais ses reins me pistonnent avec violence, sa queue se retirant presque entièrement avant de replonger jusqu’au fond de moi... la sensation est intense, son pieu m’ouvre le ventre... je gémis, je soupire et je crie à chaque coup de reins... puis me ressaisit et me mords les lèvres afin qu’aucun voisin n’entende nos ébats fripons au milieu de la nuit.
Il me baise totalement, me pressant les seins avec force ou me faisant lécher ses doigts, son ventre venant buter contre ma chatte pleine et ouverte... je le sens, il va jouir, il se crispe... je le regarde inquiète s’il reste en moi sans protection. Mais au dernier coup de reins, il se retire dans un râle et crache son sperme sur mon ventre... remplissant mon nombril et aspergeant même mes seins par de longs jets épais et gluants...
Au bord de l’orgasme entre mes soupirs, je lui dis de ne pas s’arrêter, étalant son foutre brillant sur mes seins et lui bloquant une main sur ma poitrine pour l’exciter, je lui demande de me lécher la fente, pour me faire jouir aussi... Ce qu’il fait toujours à merveille...
Accroupi pour un cunni de délice, sa langue sur mon clitoris, je me cambre pour lui offrir ma vulve ouverte de désir, sa main libre venant jouer entre mes lèvres, j’ondule en regardant les étoiles et en me pinçant un mamelon d’excitation... mes reins en feu m’envoyant des décharges électriques dans tout le corps... je suis transpercé par un orgasme foudroyant, mes cris à peine étouffés par mes lèvres que je mords de toutes mes forces... Je tremble, pleine de spasmes de bonheur sur la table de la terrasse... couverte de sueur et de son sperme, j’ai la tête et les reins pleins de mille étoiles.
Épuisés et ivres, nous nous rhabillons rapidement, et nous rangeons rapidement la table en riant en sourdine... Comme 2 adolescents ayant fait une bêtise...A la fenêtre de l’étage, je remarque que le rideau a bougé... et qu’une silhouette s’en éloigne. Interpellant Sam, je lui demande quelle est la pièce qui correspond à la fenêtre... et il me répond que c’est la chambre de ses parents.
Mortifiée, je réalise que nous avons fait l’amour juste sous leurs yeux et que très certainement, ils nous ont vus et entendus en détail...
Rentrant dans la cuisine, j’ai les jambes qui tremblent un peu, grondant Sam de ne pas m’avoir prévenue de la fenêtre...Celui-ci rigole, et s’amuse de la situation... il essaie de me rassurer, mais en moi, je sais que nous avons été observés... ce qui me gêne particulièrement.Après une rapide douche, allant nous coucher, Sam et moi on se câline encore un peu dans le lit, ses mains sur moi me massent et me touchent tendrement, il me cajole et j’adore cela.
— Tu crois qu’on nous a vus avant ??— Possible... (rire)... Cela te dérange tant que ça ???— Ben oui...évidemment... Imagine ton père ou tes 2 parents...— et alors ???— Ben, ils n’ont pas besoin de nous voir... et nous entendre...— C’est vrai. C’est la famille... ils sont tellement pudiques (rire)— Tu es bête... Ce n’est pas ça. Mais c’est intime. En plus, j’étais totalement allongée et exposée sur cette table...— Ahhh... mais je pensais que cela t’excitait quand on te regardait...— (balbutiant) Oui... enfin non... enfin, tu sais bien... C’est la situation et le risque d’être surpris qui m’excitent parfois, mais je n’aime pas que cela soit fait volontairement...— Oui, je comprends... mais tu sais, moi aussi, je t’avoue que cela m’excite ce genre de situation... cela me plaît de savoir qu’on peut nous surprendre et nous regarder aussi... sans parler du fait que j’aime te voir en action...— Comment cela. ??? — Comme toi, j’aime le risque et j’aime aussi te voir faire... mais je t’avoue que si un jour ça arrivait... je ne sais pas comment je réagirais.— (riant et taquine grâce à l’alcool) Moi non plus... à tester...
Commençant à rire aux larmes de notre bêtise et notre discussion salace, nous nous enlaçons et nous embrassons avec passion avant de nous endormir l’un contre l’autre dans la douceur de la nuit.Le lendemain matin, il est presque déjà 8h30 lorsque je me réveille... Sam semble déjà être au petit-déjeuner et j’ai mal à la tête à cause de l’abus d’alcool de la veille au soir...
Dans la cuisine, André mon beau-père m’accueille avec le sourire, et un petit air malicieux... mais ne se permet aucun mot ou remarque sur ce qu’il aurait pu voir ou entendre... Sam et sa mère prennent leurs cafés tandis que les enfants, déjà debout et survoltés par le beau soleil, crient déjà sur la terrasse en courant après des papillons.
Bref, la journée s’annonce encore belle et chaude... une belle journée d’été.Préparant nos sandwichs, je renouvelle ma proposition de randonnée, mais personne ne souhaite venir.André, natif de la région, nous conseille de reprendre la route des vins et d’aller vers le Sud et le « Kaysersberg et Ribeauvillé » ou plus près d’ici, tourner vers un petit village au-dessus d’Obernai et Barr. Sur une carte, il nous explique le chemin pour une randonnée proche du château du « Landsberg » et qui selon lui est assez facile, avec des ruines antiques et de très belles vues dans les vignobles et sur la vallée.
Bref, tout à fait notre recherche pour la journée, entre sport et détente, une marche de 15 kilomètres avec une pause pour le pique-nique en pleine nature sous le soleil radieux...Chaussures de marche, casquettes, bouteilles d’eau, barres de céréales, sandwichs, fruits, et même une petite bouteille de vin pour le midi dans un sac à dos glacière et nous voilà enfin prêts. Sam avançant la voiture, j’embrasse les enfants et leur demande d’être sage pour la journée avec papy et mamie... nous serons sans doute de retour avant le dîner de ce soir.
Le GPS en route, la clim avec, nous partons moi et mon chéri pour une journée de détente, loin du bruit et du stress... Ayant toujours vécu en ville, la beauté des paysages agricoles me laisse sans voix, jamais je n’ai vu autant de couleurs et de verdure à la fois... autant je préfère parfois la mer et le balnéaire, autant j’apprécie de redécouvrir cette belle région et son charme typique.
Arrivant au pied d’une chapelle à la limite d’un vignoble, nous stationnons sur un petit parking de terre, et immédiatement nous sommes accueillis par le cliquettement de cigognes sur la toiture de la bâtisse en face de nous...
Complètement immergée dans l’ambiance, je respire à pleins poumons l’air tiède et champêtre qui me fait du bien...Le sentier de gravillon est large, la montée semble simple, mais reste intense et rapidement nous transpirons dans l’effort et la chaleur... Il faut dire que même si les chemins de campagne semblent paisibles, ils n’en restent pas moins physiques. Sur notre guide, nous devons traverser un bois et une pairie avant d’arriver sur la grande ruine (lieu de notre première petite pause)... Main dans la main, nous avançons avec Sam et je me sens bien malgré déjà quelques crampes de muscles que je ne soupçonnais même pas d’exister...
A l’ombre du grand arbre, l’air est frais et le silence intact, aucun bruit de moteur ou de personnes... nous nous sentons uniques dans cet écrin de nature...En chemin, Sam prend quelques photos, et évidemment me fait poser sur les pierres de ruines ou les rochers... La vue est superbe. Hors du temps... mais déjà, nous reprenons notre route...
A droite, suivez le ruisseau sur 450 mètres, avant de le traverser puis continuez sur le sentier balisé d’un cercle rouge sur la gauche.Accompagné par les oiseaux, et quelques insectes volants (pas toujours identifiés) nous avançons encore... Le bruit du ruisseau et le vent dans les fourrés en mélodie sonore en guise de concerto.En bout de sentier, l’eau semble un peu profonde pour le premier passage et nous poursuivons quelques mètres plus loin afin de trouver mieux et pouvoir l’enjamber.De l’autre côté se trouvent une clairière, quelques herbes hautes, et une vue à couper le souffle... la montagne d’un côté, et les vignobles de l’autre, seuls au monde, nous profitons de l’horizon qui s’offre à nous.
Sam, gourmand et attentif à l’horaire, m’invite à prendre position dans ce lieu pour le déjeuner... Ravie d’avoir parcouru la moitié du parcours, cette pause ne sera que des plus agréables dans ce lieu de tranquillité absolue. Installés sur une couverture de camping et sortant notre déjeuner... la chaleur du soleil nous est témoin de notre plaisir à vivre l’instant. Prenant le temps d’admirer notre petit havre de paix... et d’en écouter la mélodie...
Après ce léger repas, et quelques verres de vins du terroir, je m’en vais faire la vaisselle au ruisseau, pendant que Sam range les quelques affaires...
Bien évidemment, Estelle, maladroite comme je suis toujours, et sans doute aidée par le vin blanc qui me tourne un peu la tête avec ce soleil, ma cheville se dérobe sur un caillou et je m’étale de tout mon long dans l’eau froide du ruisseau...Hurlante de surprise plus que de mal, je suis à plat ventre dans l’eau glacée, trempée de la tête au pied, complètement perdue et désorientée...Derrière moi, Sam, ayant entendu ma chute, arrive en courant, mais ne peut retenir son fou rire en me voyant pester à 4 pattes dans l’eau pour me redresser...Après 2 petites minutes de galère, il m’aide enfin à sortir de à et nous rions ensemble de la situation... Mes chaussures pleines d’eau, mon short trempé et mon t-shirt qui me colle à la peau, je ne suis pas belle à voir et c’est dégoulinante de flotte que je reviens vers la prairie et notre couverture...
— Déshabille-toi... on va faire sécher tout cela...— Non, mais... ça ne va pas... je n’ai rien pour me changer...— Mais arrête, tu es trempée, et avec le vent tu risques de choper la crève...— Mais arrête... et si quelqu’un vient ???...— pfff tu es bête, il n’y a personne ici. Nous n’avons croisé personne depuis ce matin... qui va donc te voir ici, c’est perdu et loin de tout...

Il n’a pas tort, la petite brise de la clairière qui caresse les hautes herbes est avec mes vêtements mouillés, bien fraîche... et je commence à grelotter sur place... Coincée ici pour un petit moment (le temps que mes affaires sèchent), je regarde aux alentours afin de me rassurer sur d’éventuels randonneurs qui pourraient me découvrir ainsi... mais le froid sur la peau et la situation ne me laissent pas beaucoup de choix, je retire donc mon t-shirt, mes chaussures et mon short et me retrouve rapidement grelottant en sous-vêtement au milieu de cette nature luxuriante et calme...
Sam, aimable, récupère mes vêtements, les essore et les étale dans l’herbe au soleil pour les sécher. Pendant que de mon côté, je m’allonge en sous-vêtement sur la couverture pour un bain-de-soleil forcé afin de me réchauffer...
Finissant de ranger nos sacs, Sam me rejoint et je me blottis contre lui en regardant passer les nuages. Le soleil est tiède et la brise fait réagir mon corps... Mes cuisses nues et blanches portent encore quelques infimes gouttes et la chair de poule s’efface péniblement... mes seins pointent dans mon soutien-gorge encore mouillé et dont la dentelle est devenue transparente avec l’eau... mon ventre encore humide ne tremble plus de froid, mais laisse ma peau fine et délicate briller sous le soleil.
Sortant ou devrais-je dire ressortant le reste de la bouteille de vin et quelques fruits, Sam m’invite à un dessert et quelques douceurs sucrées pour passer le temps. La tête ivre et le corps plein de désirs, nous regardons les nuages...
Sam me caresse les épaules et le cou, il laisse ses doigts jouer sur mon corps et l’électrisent doucement.Je me sens bien... si bien que mon ventre cherche ses mains pour plus de tendresse.Sous le soleil d’été, sur cette fine couverture dans ce pré... nos corps s’apprivoisent et nous nous embrassons avec passion...Ses mains sur moi. Ma bouche sur ses lèvres. Je me laisse bercer et guider.Rapidement, nos actions deviennent coquines et sans nous parler, nous laissons nos corps prendre possession l’un de l’autre.Sa main dans ma culotte glisse sur ma fente humide et sa bouche frôle mon cou... il est doux, délicat et j’aime beaucoup les sensations qu’il m’offre. De mon côté, j’ai retiré son t-shirt et lui embrasse le torse...
Ma main dans son short, je sens entre mes doigts son chibre durcir et grossir sous mes va-et-vient pour le masturber...
— Tu veux... ?— (dans un soupir) mmm oui...

Excitée et saoule, j’ai envie de faire l’amour avec mon chéri... ici... en pleine nature... afin de faire corps avec les éléments qui nous entourent.En quelques secondes, je suis couchée sur lui... en 69... je sens son souffle entre mes cuisses et ses doigts qui écartent le tissu protecteur afin que sa bouche déguste mon bouton gonflé de désir. Sa bouche est chaude, douce et délicieuse... sa langue me fouille et me butine et je gémis sous ses baisers.
Devant moi, je repousse son short et son caleçon sur ses genoux afin de libérer sa queue qui jaillit devant mon visage, je l’embrasse timidement du bout des lèvres, lui masse les bourses et le caresse délicatement pour le découvrir, mais l’envie est trop forte et je plonge sur lui pour le prendre tout entier dans ma bouche...
Entre mes lèvres, je le sens en forme, glissant sur ma langue et allant loin vers ma gorge... sa main touchant mon dos et ma nuque pour me bloquer lorsque ses reins poussent en avant son mat délicieux tout entier en moi...
Sous moi, je le sens onduler, et j’ondule sur lui en cadence, mes fesses à demi nues au soleil, sa main me tenant et sa bouche me léchant avec passion...Je sens que je ne tiendrai pas longtemps à tant de plaisir et me retourne afin de lui faire face et le chevaucher...Doucement, je glisse sur lui... son sexe large et tendu contre ma fente, j’écarte ma culotte et le prends en main... mes yeux brillants, et le sourire aux lèvres, je me touche et caresse mon clitoris avec son engin dur et chaud... puis doucement, le fixant d’un regard intense, je m’assois et m’empale sur lui, le faisant entrer dans mon ventre brûlant de désir...
Pleine de lui, mon bassin danse sur son pieu qui me remplit... son gland rond bien calé au fond de moi me fait frissonner, et chacun de mes mouvements me fait gémir.Sous moi, il m’admire, caressant mon ventre, sortant mes seins blancs de leurs écrins pour les pincer et les malaxer... La chaleur du soleil m’enivre et je me sens bien...Tellement bien que je ne remarque pas que dans les buissons, à quelques mètres de nous, un promeneur nous observe et profite pleinement du spectacle...
Dans mes plaintes de plaisir et mes gémissements, je n’ai qu’une envie... baiser, jouir, le sentir et le garder au fond de moi, que cela ne s’arrête pas et que tout mon corps ne ressente que le plaisir.Sam en dessous, me pistonne parfois avec vigueur puis laisse retomber la frénésie de ses coups de reins afin que j’ondule sur lui... le soleil sur nos corps nous réchauffe et le vent nous caresse...Soudain, le craquement d’une branche nous interrompt, et je me fige terrorisée sur Sam qui me sourit de ma crispation sur son chibre...
— Continue...— ... Sam, il y a quelqu’un... Non... arrête... Sam...— Et alors... Continue... pour une fois...

Joignant le geste à la parole, il me donne un violent coup de reins, et me plante sa queue dans le fond de la chatte, m’arrachant un petit cri de surprise... avant de me tenir fermement les seins pour me faire réagir...Perdue dans mes pensées, je me laisse faire... les sensations dans mon ventre continuant à réclamer le plaisir, mais la peur me serrant le cœur...Dans les buissons, la silhouette d’un homme apparaît doucement...Le randonneur voyeur doit avoir la cinquantaine et semble bâti comme un bûcheron... il me fixe avec de grands yeux brillants et lubriques... et immédiatement, je remarque sa grosse bite en dehors de son pantalon et sa main large en train de se masturber devant notre spectacle...
— Sam... S’il te plaît. Arrête-toi !!— Pourquoi, ça ne t’excite pas...— Mais... si... Mais... et toi... il vient... il va vouloir... ?— Et si tu osais, tu ne veux pas ???

Complémentent ivre ou folle, mon regard passe du sourire de mon mari à la queue épaisse de cet inconnu qui continue d’avancer vers nous...S’arrêtant à 2 mètres de nous, sans arrêter de s’astiquer la bite, il ne se présente pas, mais nous félicite pour ce moment et la vision que nous lui offrons... Afin de lui faire peur et bien qu’il semble physiquement plus imposant que mon mari, Sam lui adresse un regard noir et lui demande de rester à distance pour le moment.Ce que le voyeur accepte avec plaisir, tout en félicitant nos actes et admirant chacune de mes courbes...
N’osant à peine bouger, je sens que la queue de Sam reprend de la vigueur et continue de coulisser en moi avec tendresse et puissance...Assise sur lui, mes seins sautant en cadence sous les coups de boutoir, je sens monter en moi la honte et le plaisir d’être ainsi offerte et baisée sous leurs yeux émerveillés.
— (chuchotant) Tu veux ???— quoi ???— ... lui...— heu... oui... — Enlève ton soutien-gorge, montre-lui tout... et dis-lui de venir si tu le veux...
Machinalement, mes mains dégrafent le crochet de ma dentelle et libèrent totalement ma poitrine au vent de la prairie...Ondulant sur mon chéri, la chatte ouverte et pleine par le chibre de mon chéri, je le regarde avec mes yeux brillants et complices en me mordant les lèvres...
— Approchez-vous...— Ohh... Merci...

La bite tendue à la main, l’inconnu s’avance près de moi et je tends ma main afin de le saisir et maîtriser tout acte de sa part...Drôle de sensation... ma main posée sur ce nouveau sexe, Sam en dessous de moi et planté dans mon ventre, qui m’observe et le regard de ce type qui jubile de me voir le tenir tout en dansant nue sur le corps de mon mari qui me pénètre...Entre eux, je me sens bien, mais perdue... je branle un peu la queue du nouveau tout en essayant de maîtriser la cadence de Sam dans mon ventre...Les grandes mains du voyeur, me caressent les cheveux et les épaules, et il approche encore son corps de mon visage, et profite de me tenir fermement un sein...
Il attend, il semble patient, mais à la fois désireux d’en avoir plus...J’hésite... je le branle encore un peu à quelques centimètres de mon visage puis embrasse son gland brun et doux avant d’accepter finalement de le sucer complètement...Dans un râle de bonheur, le voyeur pose sa main sur ma tête et pousse sa queue dans l’antre chaud de ma bouche... Sam me tenant les hanches me plante sa queue tout au fond de moi et je me sens totalement prise par le plaisir...La nouvelle queue est douce, et large, moins longue que celle de Sam, mais suffisante pour me remplir les joues...Les mains du voyeur se promènent sur moi, tenant ma tête pour poursuivre la fellation et caressant mes seins qui ballottent dans chacun de mes mouvements...Sam surexcité par la scène est de plus en plus violent en moi et frappe avec force son pilier dans ma matrice...
Je ferme les yeux, cherchant ma respiration entre les coups de boutoir et les gémissements...Voyeur :
— Bon sang... je vais jouir... elle avale ta salope ???— Non... mais peut-être qu’elle veut que tu la baises aussi...

Moi (choquée par leur discussion)... heu... Sam... heu... non... Voyeur : Ce n’est pas grave. C’est déjà bien comme ça... je vais lui gicler sur la face... arghhh»Se retirant in extremis, le voyeur recule d’un pas et présente son gourdin devant mon visage avant de l’astiquer et faire cracher plusieurs jets de foutre sur mon front, mon nez et ma poitrine dans un grognement animal...Sam ne tenant plus, éjacule aussi au fond de moi, sans crier gare et au risque de me féconder, et je sens sa semence me brûler le ventre et me faisant à mon tour exploser de plaisir par un orgasme fulgurant...
Tremblante de spasme, couverte de sperme, je m’écroule sur mon chéri qui finit de jouir en moi sous les yeux ravis du voyeur qui essuie sa bite dans mes cheveux et sur mon dos...Voyeur : « Ouahhh... et bien merci les jeunes... quel plaisir de vous avoir rencontrés... j’espère vous revoir bientôt»Sur ces mots, l’inconnu se rhabille et me touche les fesses avant de disparaître sur le sentier et la forêt.Epuisée et haletante, le ventre en feu, je regarde Sam qui me sourit.Sans avoir besoin de parler, nous nous comprenons et nous savons que ce moment restera pour toujours gravé dans nos mémoires...Après quelques minutes sans bouger, couchés l’un près de l’autre, nous restons en silence dans les bras l’un de l’autre...
Nue contre lui, le vent de la prairie me caresse et dresse mes seins vers le ciel... la peau encore humide de sueur, je me laisse bercée par les rayons du soleil qui m’embrassent. A côté, Sam me regarde et me photographie telle une nymphe de la nature...
Mes vêtements pratiquement séchés, je me rhabille, mais ne trouve plus mon soutien-gorge... Sans doute le voyeur l’ayant emmené en souvenir de son aventure...Dans mon short étroit, les seins libres sous mon t-shirt qui me colle encore un peu à la peau, nous rions de l’effet érotique et la vision que j’offre à mon chéri...Main dans la main, nous reprenons notre chemin... (Avec presque 1h30 de retard) et nous glissons dans la forêt fraîche de la colline. Suivant les indications du guide...A la fin du chemin balisé par le cercle rouge, passez à travers les vignes sur le chemin marqué par la crois jaune... sur 300 mètres puis allez à gauche vers la ruine de la chapelle médiévale et le cimetière du 17ème siècle.
Passé le cimetière reprendre, la route avec le disque bleu et descendez vers votre destination de départ.
Il est presque 18h30 lorsqu’enfin nous arrivons à la voiture... fatigué de la marche, mais aussi par nos émotions... nous nous parlons peu, car nos regards parlent pour nous... Sam m’embrasse avec passion et je me serre contre lui pour ce si bel après-midi. Une nouvelle porte de notre vie vient de s’ouvrir...
Bien que je n’en sois pas fière, j’ai envie de revivre (un jour) cet expérience et laisser nos corps aller à la nature sans contraintes ni peurs.A la maison, Angèle et André nous attendent, un peu inquiets de notre retard... les enfants nous accueillant avec leurs cris et leur fougue habituelle...A table, nous parlons de l’après-midi, des merveilleuses ruines que nous avons visitées et des chemins de traverses et des vignobles parcourus... Sam montre quelques photos aussi... en prenant garde à ne rien montrer de trop litigieux... la soirée se passe dans la bonne humeur et André regrette de ne pas nous avoir accompagné, car le voisin lui a posé un lapin et qu’il était absent sous prétexte d’urgence personnelle... bref rien de bien extraordinaire sauf une après-midi de gâchée pour André à attendre que le temps passe avec nos enfants.
La semaine s’écoule tranquillement, entre repas de famille et longue discussion.
Et déjà, le mercredi arrive, jour de notre départ...Les valises dans le coffre, nous saluons mes beaux-parents chaleureusement avant de prendre la route et l’itinéraire si pittoresque de la routes des vins que nous aimons tant.André, fripon, me prends dans ses bras comme toujours, mais cette fois ci me touche aussi les fesses avec fermeté en me remerciant de la jolie vu que je lui offerte durant notre séjour.Interrogative, je lui demande de quoi il parle mais ne répond pas et me souris simplement... interrompu par les enfants qui viennent à leur tour l’embrasser.Je n’en saurai pas plus... mais je suppose (vu sa main sur mon cul) qu’il a dû nous voir le soir ou nous faisions l’amour sur la terrasse...En voiture, nous démarrons pour nos 400 kilomètres de route... le bras tendu par la fenêtre, et roulant au ralenti, nous partons et je suis parcouru par un frisson lorsque je remarque que le voisin d’André et Angèle est en réalité le voyeur bûcheron que nous avons croisé dans notre randonnée érotique...
Tout en roulant, je le dit discrètement à mon mari qui me sourit... Comme s’il le savait déjà ou comme si cela fut presque prémédité...50 kilomètres plus loin, mon portable vibre dans mon sac... un SMS d’André me souhaite un bon retour avec pleins de smiley... puis 1 minutes plus tard c’est la photo de mon soutien-gorge perdu avec un message de André « Sacré coquine, tu as oublié quelque chose... A bientôt. »...... j’ai honte et à la fois cela me fait rire...(nerveusement)
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