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ROUTIER SYMPA

Chapitre unique

Gay
ROUTIER SYMPA.

Je me nomme Johan, j’ai vingt-deux ans, blond, un visage avenant avec une fossette à chaque joue et un physique de jeune premier. D’ailleurs, je suis mannequin et pédé dans la vraie vie.
Mon trip, c’est les aires d’autoroute et plus particulièrement les chauffeurs poids lourds. Étant pro-européen, j’accepte volontiers toutes les nationalités pourvu qu’elles soient open (bon, ce n’est pas gagné avec certains...)
Ce soir, j’ai décidé d’aller traîner près de Montélimar à l’aire de la Coucourde. Il est proche de vingt et une heures en ce mois de juin et la nuit commence à tomber.
Je me gare à proximité de l’emplacement réservé aux camions et je m’aventure sur le chemin qui mène au lieu de drague. En me retournant, je remarque un type qui sort de sa cabine et qui me suit.Il n’est pas franchement à son avantage, sans doute un transfuge de l’Est. Gros, bouffi, un peu ivrogne sur les bords... tout ce que j’aime !
Mais bon, j’ai trop envie de me vider les couilles.
Je l’observe de loin. S’étant arrêté, il sort sa queue et se met à pisser dans les herbes hautes. Pas gêné, le mec. En même temps, il en a une grosse qui me fait saliver. Je n’étais pas parti pour sucer, mais son sucre d’orge me fait envie.
Je finis par me rapprocher jusqu’à me retrouver à quelques centimètres de lui. Il a fini d’uriner depuis un petit moment déjà, mais ne semble pas pressé de remballer le matos. Sans me démonter, j’empoigne son engin que je manipule avec douceur. Il ne tarde pas à s’allonger.
Belle bête que je tiens dans le creux de ma main. Un bon 21 centimètres qui ne passe pas inaperçu. Diable, ça ne rigole pas dans les Balkans.
J’appuie sur le gland pour évacuer les dernières gouttes, puis fais mine de le prendre en bouche. Il me retient et m’indique de le suivre à l’aide de grands gestes.
Je lui emboîte le pas, un peu déçu. J’aurais bien aimé me le faire en pleine nature. Manifestement, il a d’autres plans pour nous deux.
Le routier se dirige vers l’avant de son camion. Il s’est garé un peu à l’écart, dans un endroit où la cabine est presque sous les arbres. Les roues écrasent la végétation mal entretenue, laissée à l’état naturel. L’endroit est tranquille, bien à l’abri des regards. Finalement, on ne peut rêver mieux. Je vais pouvoir le piper en toute quiétude.

Le routier commence à baragouiner quelques mots dans sa langue natale, mais cesse de parler quand il comprend que je ne capte rien. Qu’il économise sa salive, ce con, elle lui servira à tartiner son œillet quand je passerai à l’action.
Il me fait signe de monter à l’intérieur. La nuit est déjà tombée, mais il préfère tirer les rideaux pour ne pas être dérangé.
Il s’installe confortablement, les genoux bien calés contre le tableau de bord. Il baisse son short pour se mettre à l’aise. Le mec est plutôt costaud, avec des muscles saillants et un petit bide d’hétéro. Je me suis assis côté passager et m’imprègne de l’atmosphère feutrée qui règne dans la cabine. On s’y sent bien, même si la chaleur commence à envahir l’habitacle. Une petite veilleuse ajoute à ce romantisme ambiant.
Il s’est désapé entièrement et se gratte les couilles qu’il a volumineuses comme pour m’inciter à lancer les hostilités. Je me penche et gobe cette queue dressée. Elle sent fort, un mélange à la fois de pisse, de sueur, de sperme séché... Sans doute a-t-elle mariné dans son jus depuis plusieurs jours. Je lui malaxe les boules pour le mettre en confiance. C’est vrai qu’elles sont lourdes et bien pleines.
Il n’a pas dû cracher depuis plusieurs jours...
Le routier redresse ma tête et empoigne sa bite qu’il décalotte complètement. Il joue avec, s’applique à la faire reluire avant de m’obliger à l’emboucher au maximum de mes possibilités.
Le nez dans son pubis odorant, je sens ses grosses baloches taper contre mon menton. Sa queue est sacrément longue et chaque fournée me fait défaillir. Je dois m’interrompre à plusieurs reprises pour ne pas suffoquer.
Mais je sens bien que je l’ai chauffé grave. Il me saisit la tête d’autorité et imprime des va-et-vient puissants comme s’il baisait une chatte. Je salive un maximum sur son manche et mes lèvres coulissent tout en l’aspirant. J’évite de mettre les dents qui râperaient sa bite et m’applique à ouvrir la bouche en grand, même si ma mâchoire finit par devenir douloureuse.
Sentant mon chauffeur de plus en plus excité, je m’applique à lui prodiguer des gorges profondes. C’est ce qu’il kiffe le plus. Ma langue suçote son gland comme pour l’aspirer pendant que ma main s’active à le branler sur toute la longueur. Mais bientôt, une pression de sa grosse paluche me fait comprendre que c’est la douce chaleur de ma bouche qu’il veut et il me force à l’embrocher sans façon, me laissant à peine respirer.
De temps en temps, quelques mots slaves s’échappent de sa bouche. Notre routier a l’air d’apprécier. Sa jouissance ne semble plus très loin...
Je m’active à le satisfaire. Son mandrin est maintenant dur comme du bois et le gland gonflé, tendu à l’excès, suinte d’une mouille abondante.
Son bassin se tend vers mes lèvres, ses jambes s’écartent encore plus pour profiter. Il replace sa main derrière ma nuque et gémit à n’en plus finir. Sans prévenir, il jouit et m’abreuve de son sperme.
Une giclée chaude et crémeuse vient tapisser l’arrière de mon palais puis je sens un déferlement de foutre m’inonder la bouche. Le mec crache tout ce qu’il a accumulé dans les couilles depuis plusieurs jours.
Putain, quel torrent !!! Ma langue est gluante de sa semence alors que ce gros porc continue de cracher. Il finit par relâcher la pression. J’avale tant bien que mal les dernières gorgées. Elles ont un goût fort et salé, digne d’un mâle reproducteur.
Avec deux doigts, il saisit son manche et arrive à extraire deux dernières gouttes de son nectar qu’il porte à ma bouche. Puis il m’oblige à lui nettoyer le bambou.
Il fait mine de remonter son short quand je le stoppe dans son élan. Il croit quoi ?! Que j’en ai fini avec lui ? C’est mal connaître l’hospitalité française.
D’un geste décidé, je retourne mon routier encore sonné et le positionne contre le siège, le cul bien exposé et la tête dans la cabine.
Je vérifie qu’il ne proteste pas trop et pointe mon gland à l’entrée de ce gros cul balkanique. Mes genoux écartent ses jambes poilues pour une meilleure pénétration. Le pauvre ! Il n’a pas vu que je suis aussi bien monté que lui.
Je crache sur mes doigts, humecte ma bite et, bien ancré comme un navire sur un banc de sable, je m’enfonce d’un coup sec. La pastille cède sous l’assaut, arrachant au passage un juron en langue inconnue. Le gland, la hampe, bref, tout mon bazooka investit ce boyau graisseux. Un seul et unique coup de reins avant que mes couilles ne touchent ses fesses. 20 centimètres, pour sûr, vas-y avoir des séquelles plus tard. Il risque de marcher quelque temps, les jambes écartées dans les rues de son village.
Ça me fait bien marrer d’imaginer l’excuse bidon qu’il donnera à sa femme de retour à la maison. Si elle pouvait le voir, son mari si macho, en train de se faire ramoner comme une truie, la tête enfoncée dans la couchette et mordant les draps pour ne pas crier. Je vais lui déboîter le cul pour qu’il se rappelle bien sa traversée de la France. Ces pensées m’excitent tellement que j’en profite pour accentuer ma pression. Sa rosette est complètement explosée. Le sphincter élargi, coulisse mieux et mon pieu glisse toujours plus loin dans ce fourreau qui le serre à l’extrême. La douleur le fait se trémousser en tout sens, agitant son gros cul poilu autour de mon chibre d’acier.
Je décide d’en finir. Mes coups de bites redoublent de violence, mon dard pilonne ses cuisses et son trou s’agrippe à ma queue comme pour la traire. Je finis par jouir profondément en lui, le faisant gémir et se tortiller.
Nous avons à peine le temps de reprendre nos esprits que trois coups secs sont frappés à la vitre du camion.
— Gendarmerie nationale. Veuillez sortir du véhicule.
Pris de panique, nous avons juste le temps de nous rhabiller avant d’ouvrir nos portières respectives. Je tombe nez à nez avec un jeune militaire en treillis qui m’éblouit avec sa lampe torche.
Il m’intime l’ordre de descendre et me mitraille de questions. De guerre lasse, je lui indique mon véhicule garé juste à côté. L’interrogatoire reprend de plus belle. Qu’est-ce que je fous à cette heure dans la cabine de ce chauffeur, est-ce que je le connais, nous faisions quoi...
Devant ma mine renfrognée, il finit par perdre patience et m’ordonne de me tourner, les mains bien à plat sur la portière pour une palpation, comme il dit.
Putain, une fouille au corps avec mon short rase foufoune et mon débardeur mini. Le mec abuse.
Mais bon, force doit rester à la loi, aussi j’obtempère. De l’autre côté du camion, ça n’a pas l’air de mieux se passer. Le gradé hurle sur le chauffeur, ignorant qu’il est étranger. Ils ne savent pas lire une plaque minéralogique dans la police ? Pourtant avec les gyrophares bleus restés éclairés à l’arrière du véhicule, elle est visible, la plaque.
— Vous fatiguez pas, chef, il est pas d’ici. De Roumanie, je crois, d’après les inscriptions sur sa remorque.
Mon jeune soldat me force à écarter les pieds et débute sa ’’palpation’’. Il commence par les épaules, descend jusqu’aux côtes puis, s’accroupissant, s’attarde sur mes fesses qu’il malaxe plus que de raison pour finir par mes mollets.
Toujours sur les genoux, il me demande de me retourner. J’ai alors ma queue à hauteur de sa bouche, à quelques centimètres. Je me suis remis à bander au contact de ses mains baladeuses et je vois à travers la lumière bleutée que le type reste figé devant mon manche durci.
Nous nous trouvons sur le bas-côté de la route, bien à l’abri des regards. Il fait nuit noire et aucune voiture n’ose s’aventurer dans l’allée à cause des gyrophares allumés. De l’autre côté du poids lourd, son supérieur est en grande discussion avec le roumain qui proteste tout ce qu’il peut.
Je sens mon jeune gendarme hésiter. Il serait tenté de faire quelque chose, oser l’impensable pendant ses heures de service... Là, à quelques mètres de son chef.
Je le devine prêt à renoncer. Aussi, je décide de prendre les devants. Merde, si je peux me faire un flic en patrouille, je ne vais pas me gêner.
J’avance mon bassin, jusqu’à toucher ses lèvres. Et comme par magie, je le vois ouvrir la bouche et frotter ses dents contre le lycra déformé par mon manche en rut. Bingo, je crois que je viens de toucher le gros lot.
J’extrais ma queue de mon short et la présente à sa bouche offerte. Il ne tente rien, accroupi dans l’herbe, sa lampe torche à la main. Seule sa langue effleure mon gland. Je précipite un peu les choses, chaque seconde nous est comptée. Je lui engouffre direct ma tige dans le gosier. Il a un mouvement de recul, sans doute surpris par le goût un peu âcre. Ben oui, je viens de fourrager un bon cul roumain qui ne devait pas avoir été lavé depuis longtemps.
Je lui bloque la tête et le force à poursuivre. Je suis aux anges, les rôles sont inversés. J’ai à mes pieds un séduisant militaire en tenue de camouflage en train de me faire reluire la queue pendant que son chef ferraille juste à côté avec un routier que je viens d’enculer.
Mon suceur prend bientôt de l’assurance si bien que je n’ai plus besoin de lui agripper la nuque. Ma bite coulisse de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elle bute au fond de sa gorge. Lui me paraît déchaîné, un vrai pro de la fellation. Je suppose qu’il n’en est pas à son coup d’essai. Combien d’automobilistes a-t-il arrêtés et combien de fois s’est-il mis à genoux, souillant son uniforme pour se faire crémer la bouche ?
Ses lèvres se resserrent autour de mon gland et l’humidité chaude de sa bouche me fait gémir de plaisir. Je sens que je ne vais pas me retenir plus longtemps...
Pris d’un tremblement bestial, j’explose dans sa bouche de petite suceuse. Ce flic est trop bon. Même après une éjaculation, je jouis comme un malade. Il pompe mon foutre si furieusement qu’un blanc crémeux a giclé aux coins de ses lèvres alors qu’il essayait de tout boire pour ne pas s’étouffer. Une partie vient s’écraser sur les cuisses de son pantalon kaki.
Pas sûr que son supérieur apprécie toutes ces taches suspectes sur son uniforme.
Il a à peine fini de tout avaler qu’il se relève et contourne à la hâte le camion.
— Rien à signaler de mon côté, chef. Le type est en règle.
Je ne demande pas mon reste et rejoins mon véhicule. Il est près de minuit lorsque je mets le contact. J’ai des étoiles plein les yeux. Je plane. Je suis bien...
J’ai les burnes à sec et je viens de vivre la meilleure baise de toute ma vie.
En passant devant eux, je comprends que mon routier n’est pas prêt de retourner au pays. On vient de le menotter pour refus d’obéissance.
Quant à mon suceur, il ne me gratifie d’aucun regard. Il est redevenu l’homme intègre chargé de faire respecter l’ordre.
FIN
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