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Routiers

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Nous étions partis, mon épouse et moi-même pour deux semaines de vacances dans le Cantal, fin septembre. Nous n’aimons pas la foule estivale et l’arrière saison présente bien des avantages, peu de monde, tarifs plus attractifs, meilleur service et, nous étions chanceux, un très beau soleil. Nous avions choisi le Cantal car nous voulions vraiment nous « perdre » dans la nature. Nous sommes un couple de 35 ans et mon épouse est une belle rousse aux formes généreuses. Notre vie sexuelle n’est pas des plus excitante, mon épouse étant très traditionnelle et très peu demandeuse, à mon grand regret. Ce jour là, nous roulions sur une départementale et j’avais l’impression que nous étions seul au monde. Nous n’avions croisé durant la dernière demi heure que 3 camions de transport de bois. Mais c’est ce que nous étions venus chercher…Nous avions réservé un gîte à 50 km de là, et les clés nous attendais cachées sous une certaine pierre (en tous cas c’est ce que le propriétaire nous avait dit, ne souhaitant pas se déplacer un samedi soir pour nous accueillir. Cela nous convenait aussi parfaitement, pas de conversation barbante à tenir !Ma femme portait ce jour là une robe aux fines bretelles, boutonnée sur l’avant. Les bretelles étaient trop fines pour pouvoir porter un soutien gorge. Son opulente poitrine était donc libre sous le tissus et je pouvais admirer ses seins tressauter quand nous prenions un nid de poule, nombreux sur cette route. Elle portait des sandales à lanière à haut talons compensés, qui mettaient en valeur ses jambes bien galbées quand elle marchait. Très excitante en fait…Alors que j’observais ses cuisses bronzées, la voiture roula dans un nid de poule et j’entendis un grand boum. Heureusement je ne roulais pas trop vite et je pu me garer rapidement. Le pneu avait éclaté, ce qui n’était pas trop grave, mais l’essieu avait bougé, ce qui l’était plus. Je ne pouvais pas changer la roue moi-même. Je sortais mon téléphone portable pour appeler une dépanneuse, mais malheureusement pas de réseau ! Le prochain village se trouvait à 5 km et nous y trouverions certainement un téléphone. Comme nous devisions avec mon épouse pour nous mettre en route à pied, un camion de transport de bois arrivait en sens inverse. Je lui fis des signes pour l’arrêter, et nous fûmes soulagés de le voir se ranger sur le bas côté. Un homme d’environ 55 ans, pas très grand et ventripotent dans son marcel en descendit. L’archétype du routier ! Il nous demanda ce qui nous arrivait et comme je lui expliquais il me dit qu’il n’était pas étonné. La route n’est pratiquement empruntée que par des camions de bois surchargés, et les poids conjugué aux rigueurs de l’hiver provoquait tellement de ravages que la DDE avait renoncé à réparer. Il nous proposa de nous amener à un relais de transport forestier qui se trouvait un peu en retrait à 3 kilomètres, ou nous pourrions téléphoner, manger et même dormir si le dépannage prenait trop de temps. Il était vraiment sympa !Bien sur nous acceptâmes et il me dit de monter à droite de la banquette et que ma femme, la plus petite des deux se mettrait au milieu. Il faudrait se serrer un peu mais on n’en avait pas pour longtemps. Je m’installais et je remarquais que quand ma femme grimpa les marches pour s’asseoir il s’avança pour avoir une vue sur ses jambes et sa culotte. Je ne fis pas de remarque, je n’avais pas envie qu’il prenne la mouche pour si peu. La cabine de son camion n’était pas bien grande et c’est vrai que nous étions serrés comma des sardines. Chaque fois qu’il passait une vitesse, sa main heurtait, involontairement mais plus certainement volontairement, le genou de mon épouse qui ne pouvait pas l’enlever. Je remarquais qu’il prenait aussi beaucoup de nid de poules et qu’il jetait, sous prétexte de me parler, des coups d’œil appuyés sur la poitrine de ma femme. Heureusement nous arrivions déjà, et alors qu’il engageait la marche arrière pour garer son camion, ma main frotta la jambe de ma femme un peu plus haut, jusqu’à mi cuisse, relevant même un peu la jupe. Il fit comme de rien n’était. Me femme tira sur sa robe, comme il descendait du véhicule. Quand elle voulut descendre, il attendait toujours en bas, et soudain elle trébucha. Heureusement, le routier se trouvait là quand elle tomba et il put la récupérer dans ses bras. Il l’avait toutefois saisi par une fesse et par un sein, et il ne se gêna pas pour profiter de l’aubaine et pour flatter les rondeurs de mon épouse. Il la reposa à terre, et encore sous l’émotion de sa chute, elle ne parut pas s’être aperçu de quoique ce soit.
— Faut faire attention ma petite dame, faut dire que vos talons ne sont pas fait pour un camion.— Oui, vous avez raison, merci de m’avoir rattrapée !— Avec grand plaisir.Nous nous sommes dirigés vers le bâtiment principal, qui semblait être un énorme chalet, tout en bois. Le parking était rempli d’une vingtaine de camion identique à celui de notre sauveur. Il y avait un bâtiment annexe qui semblait être des chambres, de style Motel.Le routier nous expliqua que c’était le relais des forestiers. Les compagnies forestières s’étaient cotisées pour le construire et y avait installé un gérant pour que les chauffeurs puissent s’y arrêter pour pas cher. Le routier nous précéda dans le relais et nous découvrîmes une grande salle, à la fois bar, restaurant, salle de billard et de télé. Il y avait environ une vingtaine de routiers dans la salle. Il salua plusieurs collègues et nous proposa de nous offrir une bière, bien sur nous avons accepté. Il me dit qu’il y avait plusieurs cabines pour téléphoner près des toilettes. Je me dirigeais vers celle-ci pendant que les bières arrivaient et que ma femme restait en sa compagnie. Je passais plusieurs coups de fils à mon assurance, étant renvoyé d’un service à l’autre pour être finalement mis en relation avec un dépanneur local, mais qui était en intervention. Il fallait que je rappelle dans 1h. Quand je revenais à la table, trois autres routiers s’étaient joints à ma femme et notre sauveur. Ce dernier me les présenta rapidement, il s’agissait de chauffeurs travaillant pour la même compagnie forestière que lui. Le premier était jeune, environ 25 ans, très maigre et petit. Le deuxième était un espèce de monsieur muscle au crane rasé, tout à fait dans le style Monsieur propre. Le troisième avait environ 45 ans, portait une barbe sale et il lui manquait plusieurs dents. Je m’aperçu qu’il y avait déjà quelques verres de vide sur la table. Comme je prenais le mien en expliquant le résultat de mes coups de fil, les hommes commandèrent une autre tournée. Comme je voulais la payer, il me dirent que je payerai la prochaine, puisqu’on avait le temps. Je bus rapidement ma première bière et attaquait la deuxième aussitôt. Ma femme me dit qu’elle en avait déjà bu trois, et qu’elle se sentait un peu saoule. Il faut dire qu’elle n’a pas beaucoup l’habitude de boire…Les hommes trinquaient en portant des toasts à tout et n’importe quoi, les verres descendaient rapidement. En payant ma tournée, je m’aperçu que les bières étaient très bon marché, certainement subventionnées par les entreprises forestières. Ma femme qui venait de finir sa cinquième bière me glissa qu’il fallait qu’elle aille aux toilettes et s’éloigna en chancelant sur ses talons compensés. Les hommes la suivirent du regard, je fis celui qui ne voyait rien. Je commençais d’ailleurs à être un peu saoul également, n’étant pas non plus habitué à boire autant en si peu de temps. Les routiers eux ne bronchaient pas, ils semblaient complètement normaux. Mon épouse revint quelques instants après, toute rouge. Je lui demandais si ça allait, elle me dit que oui, mais qu’il n’y avait qu’un seul WC à la turque pour les hommes et les femmes avec une porte qui ne fermait pas bien. Et quand elle s’est mise à uriner, un homme à ouvert la porte. Elle l’a refermé immédiatement mais dans le mouvement elle a uriné sur sa culotte, qu’elle a été obligée d’enlever. Cela me fait rire, et pompette comme elle est, elle rit aussi.Un des routiers nous propose alors de faire un billard. Mon épouse accepte, elle aime bien ce jeu. Je regarde l’heure et m’aperçois qu’il faut que je repasse un coup de téléphone au dépanneur. Je leur dit d’y aller que je jouerai la deuxième partie. Nous finissons nos bières et je me dirige vers la cabine de téléphone, pendant que ma femme et les routiers vont aux tables de billard, tout en recommandant une nouvelle tournée au passage.
Je suis maintenant complètement saoul et je me trompe de numéro trois fois avant d’avoir le dépanneur. Il me dit qu’il ne pourra pas venir ce soir car il a terminé son service et qu’il viendra à la première heure le lendemain. J’ai du mal à lui expliquer ou nous sommes et ou est la voiture, mais après de longues minutes, il a compris. Il faut dire que j’avais du mal à avoir l’esprit clair. En passant au bar je demandais au patron, un géant d’au moins deux mètres et 150kg, si il lui restait une chambre de libre et il me rassura en me disant qu’il m’en réservait une.Quand je rejoins nos nouveaux amis au billard, c’est à ma femme de jouer. Je m’aperçois qu’un bouton de sa robe s’est défait, et que son décolleté est maintenant carrément obscène. Quand elle se penche pour jouer, ses deux gros globes apparaissent et si on est bien placé on doit pouvoir distinguer les tétons. Trois des routiers sont d’ailleurs juste en face d’elle. Bien sur, elle ne s’est aperçue de rien. Alors que j’aurais du intervenir pour qu’elle reboutonne sa robe, comme anesthésié par l’alcool, je n’ai rien dit. Après tout, sur la plage elle fait bien du sein nu, alors… Tout à ces réflexions, je me retrouvais à nouveau avec un verre en main, une nouvelle tournée ayant été commandé. Mon épouse tenait à peine debout maintenant, s’appuyant régulièrement sur sa canne ou sur le billard pour ne pas tomber. La partie était serrée. Quand ce fût à nouveau à son tour de jouer, elle avait un coup difficile à faire, qui lui demandait de s’allonger sur le billard, à cause de sa petite taille. L’équipe adverse lui dit qu’elle n’arriverait jamais à réussir le coup. Echaudée par l’alcool et le faible écart au score, elle dit qu’elle allait quand même tenter le coup, elle s’allongea sur la table et décolla même un pied du sol pour être mieux positionnée. Elle avait simplement oublié qu’elle avait une robe courte et surtout qu’elle n’avait plus de culotte. Le résultat fut que sa robe se souleva, dévoilant le bas de ses fesses et ses lèvres intimes à la vue de tous ceux qui étaient derrière elle. On voyait même une partie de sa toison rousse. Toute concentrée à son coup, elle frappa la balle et la rentra, sautant de joie et exultant, tout en tapant dans la main de son partenaire. Tout avait été très vite, et je n’avais pas eu le temps d’intervenir. Le coup réussi permit à l’équipe de ma femme de remporter la partie et plusieurs toasts furent encore portés. Ma femme me dit qu’elle me laissait la place et qu’elle allait s’asseoir car elle était un peu « pompette ». Complètement bourrée, oui…J’entamais ma partie, ma femme paraissant dans un état second, à moitié endormie sur sa chaise. Elle se leva à un moment, me dit qu’elle se rendait aux toilettes, tituba légèrement et retomba sur sa chaise. Un routier bedonnant la soutint et lui permit de se relever. Il déclara qu’il l’accompagnait pour ne pas qu’elle s’écroule. Je continuais ma partie, tout en buvant régulièrement, chaque fois qu’une des équipes rentrait une boule. J’étais à mon tour complètement bourré. J’avais perdu la notion du temps, mais quand la partie s’acheva, mon épouse n’était toujours pas revenue. Un peu inquiet, je me dirigeais d’un pas titubant vers les toilettes, que je trouvais vide. Je demandais à un des routiers proche si il avait vu mon épouse, il me répondit qu’elle était peut être dans notre chambre. J’allais uriner pour vidanger un peu toute la bière et me dirigeais vers la chambre. La porte était entrouverte et quand je la poussais, un spectacle hallucinant m’apparut.Ma femme était allongée sur le dos sur le lit, sa robe déboutonnée jusqu’à la taille, dévoilant entièrement ses gros seins. Le routier qui nous avait secourus lui avait relevé les jambes sur ses épaules et était en train de la pilonner de son sexe épais, alors que deux de ses amis se masturbaient en caressant les seins de mon épouse. Celle-ci semblait presque endormie, le regard dans le vide.
Comme je m’approchais, le routier qui l’avait soutenu pour l’amener aux toilettes, et qui se trouvait derrière la porte, me prit par le bras :— Écoute, on est déjà trois à se l’être tapée, mais y en a d’autres qui ont envie et on peut pas leur refuser, alors soit tu regarde gentiment, soit il va falloir qu’on te maîtrise.— Mais comment est-ce possible ?— T’avais sans doute remarqué qu’elle nous allumait sans s’en rendre compte en nous montrant ses gros nichons et qu’elle n’avait pas de culotte, alors quand je l’ai amené aux toilettes, elle était pas bien fraîche. Quand elle a faillit s’étaler par terre, je l’ai rattrapé en agrippant ses nichons, et elle n’a rien dit, alors je l’ai soutenu en continuant de lui tenir un sein dans ma main et en le sortant de la robe. Elle était tellement bourrée qu’elle ne se rendait compte de rien. On est rentrée aux chiottes et il y avait Robert et Guy qui pissaient, alors ils m’ont aidé à la mettre sur les toilettes en la tripotant bien sur. Et on n’a pas fermé la porte pour la regarder pisser, les nibards à l’air et nous montrant sa jolie chatte rousse. Au bout de 2 minutes elle avait fini mais elle ne bougeait plus, alors on s’est occupé de lui essuyer la chatte en en profitant pour lui mettre des doigts, puis on l’a raccompagné à votre chambre et je l’ai baisé en premier. Elle bougeait pas, mais qu’est qu’elle est bonne, j’ai pas eu le temps de la limer longtemps, tellement elle m’avait échauffé et je lui giclé au fond de la chatte. Bon alors, tu nous laisse en profiter tranquillement ?— Oui…— Je préfère ça, t’es sympa et je voulais pas que cela se passe mal entre nous.
Je ne sais pas ce qui m’a pris d’acquiescer, mais certainement le mélange de l’alcool, de la puissance érotique de la scène à laquelle j’assistais et du récit que le routier venait de faire ont eu raison de mes limites. Je dois même avouer que malgré l’alcool, j’étais pris d’une puissante érection.André, le routier qui la besognait en ce moment commença à gémir, sortit son gros sexe et répandit sa semence sur la toison rousse de mon épouse tout en la traitant de salope, de pute…La place laissée vide fût alors immédiatement investie par un des autres routiers qui se masturbait auparavant. Il ne fut pas long à venir et en poussant de gros râles et éjacula au fond de ma femme. Son compère n’eut pas le temps de la pénétrer et il rapprochât son sexe du visage de mon épouse et le recouvrit de sa liqueur épaisse et chaude et visant au maximum la bouche. Mon épouse ne réagissait toujours pas, étant comateuse. Attiré par le bruit, le patron fît alors irruption dans la chambre.— Qu’est-ce qui se passe ici ? Ce motel n’est pas un bordel !— Calme toi Jeff, c’est pas une pute et un mac, c’est un couple « libéré »— Ah, ok, alors dans ce cas là, pas de raison que je n’en profite pas hein ?— Vas-y, fais-toi plaisir !Je n’en revenais pas, c’est de ma femme qu’ils parlaient !Sans attendre, le géant défit son ceinturon, baissa son pantalon et son slip. Sa verge, en semi érection, paraissait démesurée. Peut être vingt cinq centimètres. Après quelques allers retours avec sa main, elle se retrouva complètement bandée, ayant encore gagné en longueur et étant d’une épaisseur impressionnante. Son gland, rouge violacé, était gros comme une mandarine. Il le présenta à l’entrée de l’intimité de mon épouse, et même si elle avait vu passer dans la dernière heure plusieurs sexes, et qu’elle était lubrifiée par la semence déversée, le gland ne parvenait pas à pénétrer. Il saisit les deux jambes de mon épouse, les écartela au maximum et s’appuya de tout son poids. L’entrée résista encore un peu mais soudain le gland disparût dans son intégralité. Il commença alors des va et vient de plus en plus profonds, enfonçant chaque fois un peu plus la colonne de chair dans le vagin de ma femme. Il réussit à la faire pénétrer entièrement, je me demande comment cette énorme verge pouvait contenir dans le ventre de ma femme. Elle était toujours amorphe et le patron commença à accélérer la cadence. Il l traitait de tous les noms en la limant comme elle n’avait jamais été. A un moment, mon épouse fût prise de convulsion. Elle venait de jouir dans son sommeil comateux, comme l’attestait la cyprine dégoulinant le long de ses lèvres intimes.— Regarde comme ta salope de femme aime se prendre des grosses bites. Même dans son sommeil elle aime la bite ! Tu l’as bien eu Guy ?— Oui en gros plan !En tournant la tête, je m’aperçus que le dénommé Guy avait sortit son téléphone portable et filmé la scène. Au point ou nous en étions…Le patron sortit alors son membre gigantesque et retourna ma femme sur le ventre. Elle ne broncha pas. Il lui releva les fesses et entreprit de la pénétrer en levrette, de plus en plus violemment. Il profita de la position pour lui pénétrer l’anus avec le pouce, en utilisant le mélange de sperme te de cyprine comme lubrifiant.— Et bien ta salope de femme doit pas avoir eu beaucoup l’occasion de se faire enculer…Sa rondelle est bien serrée !— Non, je ne l’ai jamais sodomisée.— Et bien il y a un début à tout, mais on va pas commencer par moi, sinon elle va en crever !Tout en continuant de la besogner, il fit rentrer deux de ses énormes doigts dans l’anus de ma femme en les faisant coulisser de tout leur long. Il commença à pousser des han de bûcheron et à accélérer encore le rythme. Il sortit alors son pieu du fondement de mon épouse et présenta son gland à l’entrée de l’anus dans lequel il éjacula après avoir enlevé ses doigts.-Allez à toi André, agrandit lui le trouAndré présenta son sexe à nouveau gonflé de désir à l’entré de l’anus de mon épouse, frotta son gland contre le sperme étalée et appuya de tout son poids. L’anneau résista un petit moment, puis se détendit et s’ouvrit, laissant pénétrer en son sein le membre érigé.— Je savais que cette salope allait se laisser enculer— Quand on y sera tous passé dessus, tu pourras lui défoncer le cul quand tu voudras, elle sentira plus rien passer.Je voyais en gros plan l’anus de ma femme distendu, subir les coups de butoir du routier. Il se cramponnait à ses fesses et la sodomisait violemment en poussant des cris roques. Au bout de 4 ou 5 minutes, il lui inonda le fondement de semence chaude et se retira, aussitôt remplacé par un de ses compères. Ils la besognèrent ainsi chacun leur tour. Quand vint le tour du patron, malgré les multiples pénétrations que l’anus de mon épouse avait subit, il eut du mal à la pénétrer, tant son membre était phénoménal. Il demanda à ses collègues de lui écarter les fesses, et tenant sa verge à mi hauteur, appuya sur la rondelle récalcitrante. Soudain, le gland énorme fut comme aspiré et la colonne de chair pénétra d’un coup. Dans son inconscience, ma femme poussait de petits cris, mélange de douleur et de plaisir, peut-être.Une fois empalé profondément, le patron souleva mon épouse comme un fétu de paille, s’allongea sur le lit en la tenant au dessus de lui, nous présentant sa poitrine et son sexe écartelé. Répondant à l’invitation silencieuse, un des routiers s’avança et lui pénétra le sexe, lui prodiguant la première double pénétration de sa vie. Pendant que le patron continuait à la besogner comme un damné, ils se succédèrent un après l’autre et je dois avouer que cette fois ci je pris mon tour, jouissant comme jamais je ne l’avais fait. Quand nous eûmes tous finit, le patron se retira de son fourreau. L’anus était distendu à un tel point que l’on pouvait voir profondément à l’intérieur, il retourna ma femme et se positionna au dessus de son visage.Il éjacula dessus en déversant une quantité de sperme incroyable. L’intégralité du visage de mon épouse était maculé par le sperme, du front jusqu’au menton. De grosse trainée coulaient de ses lèvres dans sa bouche entrouverte. Il essuya son gland aux cheveux roux de ma femme et nous laissèrent seuls. J’en profitais pour la sodomiser, n’étant pas sur que je pourrais le refaire un jour et je lui éjaculais aussi sur le visage. Après cela je la déshabillais complètement, la lavais et la mettais au lit.Le lendemain, nous n’avons pas prononcé un mot au sujet de la soirée, mais je voyais bien que pendant quelques jours elle a eu du mal à s’assoir…
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