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Roxanne

Chapitre 4

Erotique
[#07] :: 05 AOÛT - JOUR 36 - ROXANNE
Ce début d’août est chaud et passe à toute allure. Mais aujourd’hui est un jour spécial, c’est l’anniversaire de mon petit protégé. Pour fêter ça, j’ai acheté un cadeau, qui j’espère, lui fera plaisir. J’ai pensé à un télescope pas trop cher, mais de bonne qualité. N’ayant pas le droit de sortir de l’appartement, la seule chose que je puisse lui offrir est d’observer le monde à l’abri derrière la baie vitrée qui longe l’appartement. C’est la meilleure idée que j’ai trouvée et je suis sûre qu’il va l’aimer.
Je lui ai promis que nous ferions son gâteau ensemble. Je suis donc allée chercher les ingrédients qu’il me manquait et à mon retour, nous avons commencé la préparation. Des œufs, de la farine, du sucre. Nous lisons attentivement la recette que j’ai retrouvée dans un carton. Les étapes s’enchaînent. C’est la première fois qu’il fait un gâteau. Il a le sourire jusqu’aux joues. Ses mains sont pleines de pâte. C’est très drôle à voir.
Les choses prennent soudain une nouvelle dimension. Nous versons du chocolat fondu dans le saladier. Mon doigt plonge alors dans le reste collé à la casserole et va se plaquer contre son front. Il ne bouge plus et cherche à comprendre ce qu’il vient de se passer. Je rigole d’abord silencieusement avant d’éclater de rire. Il ne lui a pas fallu longtemps avant d’assouvir sa revanche en me tartinant le bras de pâte à gâteau. Je lui dis d’arrêter en gardant un air amusé. Le garçon plutôt malin ne m’écoute pas et réitère ses assauts culinaires. J’ai maintenant une joue blanche de farine. Notre jeu continue de plus belle. J’enfonce entièrement la main dans la casserole et la ressors noire de cacao. Je me retourne lentement vers mon petit protégé qui recule aussitôt. Je m’approche, prête à attaquer. Il fait le tour de la table en prenant soin de garder une bonne distance. Puis soudain, j’accélère, je me lance à sa poursuite. Nous nous pourchassons dans la cuisine pendant cinq minutes.
Nous rigolons beaucoup.
Nous cessons nos jeux idiots et revenons finir ce gâteau. Bien décoré et prêt à cuire, je le glisse dans le four et lance la cuisson. Vingt minutes à tuer avant de pouvoir le déguster. Je me retourne vers mon petit protégé et le découvre en train de ramasser du doigt les restes de pâte et de farine tombés sur la table. Je m’avance discrètement. Mes mains l’agrippent par la taille et entament une séance horrible de chatouilles. Le garçon hurle de rire. Il se débat, tente de s’échapper, en vain. Je relâche mon étreinte au bout de deux longues minutes en lui signifiant que le jeu est fini. Il n’en croit pas un mot. Sa main, couverte de bave, s’avance vers moi. Il tente de me pincer la taille, mais mon bras l’arrête à temps. Son autre bras se lève et vient me mordre le flanc. Je tressaille nerveusement. J’arbore alors un grand sourire menaçant. Le garçon rigole en s’enfuyant. Je me lance à sa poursuite dans tout l’appartement. Il essaye tous les moyens imaginables pour m’échapper.
Passer sous la table, bloquer la porte, mettre une chaise en guise d’obstacle, rien n’y fait. Ma proie se retrouve dans le salon et finit par s’arrêter sous les effets de la fatigue. Nous nous faisons face l’espace d’un instant. Chacun de nous se jette sur l’autre. On dirait un combat de chats. Je sens ses doigts m’attaquer de tous les côtés. J’arrive à saisir ses bras d’une main et à lui dévorer le flanc de l’autre. Il rigole sans pouvoir s’arrêter. Au bord de l’épuisement, il se laisse tomber en arrière. Il s’effondre violemment dans le canapé. Enfin à ma merci, je grimpe sur lui et l’immobilise sous mon poids. Mes mains le chatouillent de plus belle. Il n’en peut plus. Je lui demande de se rendre. Pas de réponse. Il continue de se débattre dans tous les sens. Ses mains essaient de m’agripper, mais je me défends. Il est à bout.
Je relâche finalement la pression pour le laisser reprendre son souffle. Comme je m’en doutais, le garçon tente un ultime assaut. J’attrape ses deux mains en plein vol et les plaque au-dessus de sa tête. La minuterie du four sonne. Victoire. Nous restons là, sans bouger, sans nous parler. Il respire fort. Son regard semble perdu. Je sens son cœur au bout de mes doigts. J’ai froid. Un courant d’air passe entre nous et me caresse le ventre. Je jette un coup d’œil et constate que la ceinture de mon peignoir s’est relâchée. Le garçon me regarde. Il observe ce qu’il a sous les yeux. Légèrement entrouvert, mon vêtement lui permet de découvrir mon ventre, mon nombril et mon thorax. Je n’ose pas bouger de peur d’élargir l’ouverture. Il semble fasciné. A califourchon sur lui, ma culotte parfaitement exposée, quelques poils dépassent de chaque côté. Une boule se forme au niveau de mon entrejambe. Je crois que je rougis, légèrement morte de honte.
La pression au bout de mes doigts diminue, je relâche ses mains et me tourne rapidement sur le côté. J’attrape ma ceinture au vol et la noue à ma taille. Je me lève du canapé et me dirige vers la cuisine tout en ayant remarqué la bosse dans le pantalon du jeune homme. Mon esprit parvient à garder le contrôle. J’inspire lentement et me reconcentre sur le dessert. J’appelle le garçon qui bondit aussitôt du salon pour me rejoindre, heureux de bientôt pouvoir savourer son gâteau ou de ce qu’il a pu voir. L’odeur qui envahit la pièce nous donne l’eau à la bouche. Nous sommes impatients d’y goûter. Pour faire passer le temps plus vite, nous décidons de décorer l’appartement jusqu’à l’heure du repas.
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[#08] :: 08 AOÛT - JOUR 39 - ROXANNE
Nous finissons de déjeuner dans une chaleur épouvantable. Nous faisons la vaisselle, nettoyons la table, rangeons la cuisine. Ne sachant pas quoi faire cet après-midi, je propose à mon petit protégé de faire ce qui lui plaît. Il réfléchit. A voir son visage au bout de quelques secondes, je comprends qu’une idée a fait irruption dans sa tête. Le garçon me fait asseoir sur un tabouret dans le salon et part sans prévenir. Il revient l’instant d’après, les bras chargés, et dépose sur la table basse tout un tas de pots de peinture. Il se tourne vers moi, le regard un peu perplexe et me demande s’il peut me maquiller. Je rigole et trouve l’idée originale, sans doute due à l’émission que nous avons vue à la TV la dernière fois. Le garçon est ravi. Il se retourne vers ses instruments et se prépare. Les pots s’ouvrent, la peinture coule. Il m’invite à ne pas bouger. Seuls mes yeux le suivent du regard. Il se concentre un instant puis se lance à l’assaut.
La pointe de son pinceau vient caresser ma peau. La sensation des poils et de la peinture est très étrange, surprenante, mais aussi très agréable. Le garçon s’en donne à cœur joie. Mon visage se noie sous les coups de pinceau. Il n’oublie aucun endroit. Le nez, les yeux, le front, la bouche, les joues. Il descend progressivement le long de mon cou où il me barbouille également et sans ménagement.
Je regarde mon petit protégé s’éloigner lentement. Il semble ravi de son travail. Il revient vers moi et me demande, tout timide, presque honteux, si je peux baisser mon peignoir. Surprise, j’hésite un instant. Véritablement inspiré de l’émission de TV, le jeune homme souhaite continuer son œuvre sur l’ensemble de mon corps. Je ne sais pas quoi dire. Je réfléchis un petit moment. Il semble déçu. Après tout, je lui ai bien proposé de faire ce qu’il voulait, ce n’est rien qu’un jeu avec de la peinture. Je souris finalement au garçon et commence à faire passer un bras puis l’autre à l’intérieur de mon peignoir. Mes mains se croisent puis viennent embrasser ma poitrine. Je demande alors à mon petit protégé, dont le sourire est revenu, de bien vouloir détacher la ceinture de ma robe de chambre. Je le regarde avec insistance et lui suggère d’aller d’abord se laver les mains.
De retour près de moi, ses doigts au doux parfum de savon délient le nœud de ma robe de chambre. Les pans de mon peignoir s’ouvrent. Un courant d’air prend d’assaut ma peau pendant que le vêtement tombe de mes épaules. Le garçon reprend ses pinceaux. La texture humide et gelée de la peinture me redonne la chair de poule. J’observe sagement les formes et les couleurs se dessiner une à une. Le haut de mon thorax resplendit. La pointe de son pinceau glisse le long de mes bras. Mon petit protégé s’applique. Sa petite brosse effleure mes doigts, déguise mes phalanges. Son trait de couleur contourne mes ongles. Le garçon transpire, mais reste concentré. Il s’attaque maintenant à mon dos. Son pinceau accélère, la peinture s’étale de ma nuque à mes reins. Il revient devant moi, trempe son instrument dans un mélange coloré et vient délicatement poser les crins de son outil sur le haut de ma poitrine. J’observe alors un changement dans son attitude.
Ses yeux qui ne voyaient que mon corps ne voient plus que la femme qui est en moi. Son pinceau s’engouffre sans peur dans mon décolleté, mais se retrouve piégé. Il continue sans s’arrêter. Ses doigts escaladent mes seins. Il passe ensuite par-dessous, délimite ma poitrine, fait le tour de mes atouts et revient jusqu’à mes doigts. Il me pousse, me défie, me prie de le laisser continuer son œuvre sans l’ombre d’une censure. J’hésite encore l’espace d’un instant, je cherche à savoir si le jeu va trop loin, mais n’y vois rien de dérangeant, au contraire, cela lui fait juste plaisir, pourquoi l’en priver. Mes paumes se décollent peu à peu de ma chair et mon buste reprend sa forme originelle. Mes tétons jusque-là écrasés se dressent fièrement. La pointe de son pinceau s’engouffre sans attendre. La peinture recouvre mes mamelles. Les bouts de ma poitrine tournoient et virevoltent dans tous les sens. Cette sensation nouvelle me transporte, m’enflamme.
Je ferme les yeux tant la chaleur qui bouillonne en moi est agréable. Mes muscles frémissent. Mon cœur palpite. Mes mains tremblent. Je tressaille à chaque passage, immobile, les doigts pendus dans le vide. Le garçon délaisse mes tétons barbouillés et s’attaque à une autre partie de peau immaculée. A partir de cet instant, je ne réponds plus de rien.
Debout face à lui, son pinceau passe partout. Les pots de peinture se vident très vite. Le garçon finit de maquiller le haut de mon corps et descend sur mon ventre. Ses doigts viennent ensuite longer les bords en dentelle de ma culotte. J’attrape naturellement mon dessous et l’abaisse doucement vers le bas pour lui faciliter l’accès. La pointe de son pinceau se fraie aussitôt un passage. Plus je descends et plus mes poils pubiens se dressent un à un. Les couleurs courent vers mon entrejambe. Le garçon ne s’arrête pas là. Il passe dans mon dos et œuvre sur le haut de mes fesses. La peinture fait disparaître ma peau. Au même moment, au bout de mes doigts, ma petite culotte s’échappe et tombe à mes pieds. Je redoute un instant le passage de sa main et de son pinceau sur mon intimité quand une traînée de gouache vient effleurer mon sexe et me faire sursauter. La tête de sa brosse fait des allers-retours entre mes cuisses. Je ne peux m’empêcher de pousser quelques gémissements.
Il revient de plus belle en passant son instrument sur mes petites lèvres qui balancent au gré de ses mouvements. Le garçon poursuit ensuite ses efforts un peu plus, des jambes jusqu’aux chevilles, en ne laissant aucun endroit sans couleur. J’essaye de ne pas trembler tant l’implosion qui m’a secouée était saisissante. Mon corps est toujours en alerte, j’ai comme des papillons dans le ventre. C’est à la fois étrange et incroyable. La séance se termine enfin. Je suis entièrement recouverte de peinture aux motifs originaux et colorés. Je me sens à la fois nue, un peu honteuse, mal à l’aise devant lui. Mais aussi belle, désirée et agréablement surprise. Les yeux du garçon m’admirent. Je le laisse avec cette image de moi et m’en vais prendre une douche.
De retour dans le salon, je m’installe à genoux sur le canapé à côté de mon petit protégé qui regarde la TV. J’enroule ma serviette autour de mes cheveux et commence à les sécher. Je ferme les yeux. Soudain, le garçon m’interpelle et remarque que j’ai encore de la peinture. Je lui demande innocemment s’il veut bien m’enlever les dernières taches colorées pendant que je finis de me sécher. Il ne me répond pas. Je continue de frotter ma tête dans la serviette jusqu’au moment où je sens mon peignoir s’écarter. Son pouce vient gratter délicatement la base de ma poitrine. Mon décolleté s’ouvre un peu plus. Il remonte mon sein tout en le grignotant des ongles. Mes mains ne bougent plus. Mon corps se fige. Son pouce se pose délicatement sur le bout de mon téton. Mon cœur bat à toute allure. Il le secoue du bout du doigt, le fait aller et venir de droite à gauche et de haut en bas. Ma bouche s’ouvre, de l’air chaud souffle entre mes lèvres. Il fait maintenant le tour de mon mamelon.
Il redessine deux ou trois fois ma petite auréole le plus tendrement possible. Il attrape à nouveau mon téton et le serre entre son pouce et son index. Il le compresse puis le tire, puis recommence. Chaque pression m’apporte une bouffée de chaleur. Je laisse tomber ma serviette n’importe où. Mes mains quittent mes cheveux et se calent derrière le canapé. Il ne me lâche plus. Il étire mon téton à son maximum. Mes lèvres s’écartent, j’émets un cri. Mon sein se tend et se détend au rythme de mes gémissements. C’est maintenant toute sa main qui écrase et fait rouler la pointe de ma mamelle. Je me sens exploser de l’intérieur. Il pince mon téton encore plus fort, le tire, le tort. Il me relâche et me prend le sein. Je n’en peux plus. Ses lèvres viennent alors emprisonner mon téton. Ma mamelle tout entière se fait aspirer, encore et encore. Mon buste s’agite. Je crie du plus profond de mes entrailles et me laisse mourir de plaisir.
Le garçon relâche finalement ma poitrine, mon sein retombe. Sa langue vient lécher avec entrain le bout de mon téton déjà dur et trempé. Je me laisse faire.
C’est la première fois que je ressens quelque chose comme ça. Comme un venin qui me paralyse et m’empêche de bouger. En toute honnêteté, j’avoue avoir passé le meilleur moment de mon contrat jusqu’à maintenant. Je m’affale sur le canapé. Le tissu de mon peignoir au niveau de ma poitrine fait resurgir par moments les sensations procurées par le garçon. Je m’endors un peu fébrile, un peu fragile, encore un peu sonnée par cet après-midi, la poitrine à moitié dénudée, dans les coussins du canapé.
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