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Roxanne

Chapitre 5

Erotique
[#09] :: 15 AOÛT - JOUR 46 - ROXANNE
Je n’ai pas réussi à retrouver le sommeil depuis la semaine dernière, depuis cet après-midi incroyable. Cette nuit encore, je redoute ces longues heures où je resterai sans rien faire, sans rien dire, sans rien voir, à laisser mes yeux scruter les ténèbres. Et je repasserai en boucle les images et les sensations qu’à graver le garçon au fond de moi.
Je rejoins mon petit protégé qui, devant la baie vitrée de la salle à manger, observe la vie des immeubles d’en face grâce au télescope de son anniversaire. Je prends une chaise et m’assieds en silence à côté de lui. Je lui demande s’il voit quelque chose d’intéressant. Non, rien pour le moment ne finit-il par me répondre. Le garçon se redresse et me propose de prendre sa place. Le bâtiment ciblé est à cent mètres de nous. Le grossissement de la lunette est amplement suffisant pour espionner le moindre détail de vie privée des occupants. J’ajuste le télescope sur les appartements illuminés. Il avait raison, il n’y a pas grand-chose à voir. Soudain, le garçon m’alerte et m’indique une succession de fenêtres qui viennent de s’allumer un peu plus bas. Je braque la lentille dessus et découvre un couple en train de s’enlacer et de s’embrasser. Je souris. Je m’écarte de l’appareil pour le laisser regarder. Il s’accroche à l’appareil, tout intrigué, presque émerveillé par ce spectacle.
Je lui demande de me raconter en direct ce qui se passe entre les deux personnes. Il m’explique maladroitement, avec ses mots à lui, un peu gêné aussi, les différents évènements de la scène. Les caresses, les bisous, les positions. Il me vient alors l’idée de le chatouiller pour pouvoir accéder à la lunette. Mon petit protégé sursaute au contact de mes doigts sur sa taille. Il rouspète tandis que je rigole. Je bascule le télescope et l’oriente un peu plus haut, m’obligeant à me pencher davantage sur l’appareil. Au même moment, dissimulé derrière une rangée de rideaux mal tirés, j’aperçois un autre couple qui s’enlace. Très vite, l’homme se jette sur la poitrine de la femme et lui malaxe sauvagement. Mon corps réagit aussitôt. Je profite de cet instant insolite pour parler ouvertement au garçon à côté de moi au sujet de la semaine dernière, de ce qu’il a fait et ce qu’il m’a fait.
Je lui avoue tout, les yeux toujours braqués sur ces doigts, cette poitrine, cette cambrure et le visage de cette femme. Je lui explique mes insomnies et le résultat de cette fois-là. Je me laisse entendre lui demander, avec son accord évident, s’il serait d’accord pour recommencer. J’insiste sur le fait que je ne l’oblige à rien et que cela me fait plaisir. Nous discutons quelques minutes.
Je décolle finalement mes yeux de la lentille et la cède à mon petit protégé. Sa tête se rapproche, son visage se colle à l’appareil, ma poitrine est à une dizaine de centimètres. Je décide alors de défaire discrètement la ceinture de mon peignoir et de la laisser pendre dans le vide. Nous échangeons à nouveau le contrôle du télescope. La lunette s’incline, mon buste se penche en avant, mes petits seins glissent hors de mon vêtement. Le garçon gesticule. Je retiens ma respiration. Les mains froides du jeune homme soulèvent mes mamelles l’une après l’autre. Je pousse un puissant gémissement. Mes paumes s’accrochent au télescope et s’y cramponnent. Pendant qu’il pétrit mes seins, une vague de chaleur s’empare de moi. Je lui fais savoir qu’il peut en disposer quand il veut, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Ses doigts se resserrent immédiatement. Je gémis de plus belle.
Je l’invite à attraper mes longs tétons, à les prendre comme il l’entend, à jouer avec autant qu’il veut, les étirer à leur maximum, les modeler, les titiller, les façonner, les aimer. Ses doigts lâchent le galbe de mes petits seins et viennent soigner le contour de mes mamelons. Le jeune homme redessine délicatement mes petites aréoles . Je halète fort, agrippée à la lorgnette comme une détraquée. Je vibre de partout. Mes tétons durcissent encore. Les doigts du garçon écrasent mes pis et les tendent vers l’extérieur. Mon cœur explose. Je crie de bonheur. Je hurle de plaisir. Il tord mes mamelles à toute vitesse. J’ai la poitrine en feu. Il tire mes deux longues tétines vers le plafond et maintient la pression pendant de longues secondes, puis les relâche brusquement. Je meurs à petit feu. Je tombe doucement à quatre pattes sur le parquet et m’effondre.
Ce soir, dans mon lit, je m’étends sur les draps, le peignoir ouvert, seins nus, les pointes dressées. Des répliques me traversent le corps de temps en temps. Je me laisse sombrer petit à petit, pensant à demain.
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[#10] :: 05 SEPTEMBRE - JOUR 67 - ROXANNE
Je suis dans la cuisine, debout face au plan de travail, le peignoir ouvert, en train de préparer des tartines pour le petit-déjeuner. Sur la table, le bol du garçon fume en attendant d’être dégusté. Je repense à ces trois dernières semaines, à ces nuits où je trouve le sommeil et m’endors profondément. Les caresses de mon petit protégé sont incroyables, magiques. Je lui offre ma poitrine chaque jour quand il le souhaite ou quand l’envie m’en prend, il lui arrive de me toucher deux ou trois fois quand mon corps en redemande. C’est une situation indescriptible, qui peut être délicate, voire immorale, mais que personne ne peut comprendre. Je n’ai jamais vécu ce genre de chose avant et je n’ai aucune idée de quoi en penser.
La porte de la chambre s’ouvre. Je jette un coup d’œil rapide derrière moi. Le garçon traverse l’appartement et vient me dire bonjour. Je le regarde repartir vers la table tout en portant à ma bouche une tartine de beurre. Il tire sa chaise et s’assoit. Nous nous regardons, nous sourions. Je lui demande s’il a beaucoup faim. Ses yeux parlent pour lui. Je finis d’avaler ma tranche de pain, me lèche les doigts, prends l’assiette que j’ai préparée et me dirige vers la table. Les pans de mon peignoir balancent. Mon cœur accélère. La journée est déjà bien avancée, je n’en peux plus d’attendre. Je dépose le plat devant lui. Je reste immobile pendant qu’il se sert et s’apprête à manger naturellement son petit-déjeuner. Je n’hésite plus. Je soulève le bas de mon peignoir et pose mes fesses sur la table. Je me penche en avant. Ma poitrine sort un peu plus de mon vêtement. Ma main passe dans ses cheveux. Je lui souris, lui caresse la joue.
J’effleure alors délicatement de l’index le dessus de son morceau de pain, le bout de mon doigt ressort légèrement beurré. D’un geste rapide de l’épaule, ma robe de chambre s’ouvre à moitié. Ma poitrine respire. Mon index vient glisser sur mon aréole et enduire mon téton de graisse naturelle. Je tourne plusieurs fois sous le regard alléché du jeune homme. Je tends le doigt vers lui. Sa bouche s’ouvre, sa langue quitte l’obscurité, sa tête approche. Mes phalanges s’engouffrent entre ses dents. Il me lèche jusqu’à faire disparaître le beurre. Ma main revient doucement vers moi, mon doigt ressort trempé. Je me repenche alors en avant et enroule mes bras sur le haut de ses épaules. Sa langue, humide et chaude, touche timidement le bout de mon mamelon qui durcit à son contact. Il me lèche de haut en bas, ma tétine s’agite, je frémis de plaisir. Ma poitrine prend feu. Il s’arrête une seconde en guise de répit puis m’aspire brusquement le sein. Il emporte ma mamelle. Je pousse un petit cri.
Ses dents emprisonnent mon téton et me mordillent gentiment. Son autre main me caresse également.
Il détache son visage de ma poitrine pleine de salive. Nous nous regardons tendrement. Sa main quitte ma peau et s’en va saisir le pot de confiture déjà ouvert. J’inspire profondément. Il approche le bocal et y fait entrer mon sein en entier. Une sensation de fraîcheur me fait frissonner. Sa main s’écarte, sa langue revient plus féroce que jamais. Il aspire sans retenue la pointe de ma tétine fruitée. Mes doigts se cramponnent au bois de la table. Son autre main est toujours collée à mon sein. Je me laisse porter par ses gestes, par ses succions, par ses léchouilles. Le pot de confiture revient noyer ma mamelle de fruits rouges sucrés. J’en profite à mon tour pour saisir son bol de lait et le porter à hauteur de ma poitrine. Je trempe mon sein plusieurs fois. La langue du garçon se rejette sur moi. Il nettoie le bout de mon mamelon avec fougue, mon aréole retrouve très vite sa couleur rose pâle d’origine.
Le jeune homme me lèche jusqu’à la dernière goutte de lactose, jusqu’à la dernière tâche de gelée. Je tremble comme une feuille. Ses lèvres quittent mon sein et il m’embrasse le creux de la poitrine. Soudain, ses doigts attrapent mes deux longs tétons. Ils les tirent brusquement, mes mamelles s’allongent. Il les tord, les torsade, les tourne. Mes ongles s’accrochent à lui et s’enfoncent à moitié dans la peau de ses épaules. Il les façonne du bout des doigts. Je respire fort, je crie. Ma tête bascule en arrière, ma bouche s’ouvre en grand, un long et puissant soulagement s’échappe de ma gorge. Le jeune homme fait tournoyer mes tétons dans tous les sens, toujours tendu à l’extrême. Mes yeux voient flou. Mon esprit divague. J’ai très chaud.
Je ne bouge plus. Ses doigts me caressent la peau. Je retrouve peu à peu mon souffle. Mes tétons sont droits et durs. Je lève mes fesses de la table encore un peu sonnée et vais m’asseoir face à lui afin de terminer mon petit-déjeuner. Je réajuste mon peignoir. Nos regards se croisent. Je lui souris, ravie, comblée, conquise, heureuse. Nous discutons comme si rien ne s’était passé, sans jamais parler de ce qu’il me fait. Je mange tranquillement en gardant à l’esprit que la journée vient à peine de commencer.
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