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Roxanne

Chapitre 7

Erotique
[#13] :: 17 OCTOBRE - JOUR 109 - ROXANNE
La journée d’aujourd’hui s’est bien passée. La cohabitation avec le jeune homme continue de fonctionner. Je repense au chemin déjà parcouru pendant que je sors d’un bon bain chaud. La vapeur d’eau emplit la pièce. C’est rare que je veuille m’isoler pour m’occuper de moi. Je me surprends à faire des choses que je ne faisais pas avant. Je sèche ma peau trempée et m’avance vers le miroir de la salle de bain, situé juste au-dessus du lavabo. La buée rend mon reflet flou. Je passe la main sur le verre et chasse le surplus d’eau, mon visage retrouve sa clarté. Je respire lentement, les yeux braqués sur mon corps de femme que je ne reconnais pas. J’ai l’impression d’avoir changé, d’être différente, mais en quoi. Mes nuits sont devenues régulières, j’arrive à parler de plein de choses avec le garçon. Je m’ouvre à lui, trop peut-être. Ma perception du bien et du mal reste superflus, le psychologue du travail pourrait comprendre ce que j’éprouve, mais à quoi bon. Mes doigts attrapent des produits les uns après les autres, huiles et baumes en tout genre qui, soi-disant, sont bons pour le corps. J’applique tant bien que mal chaque onguent sur mon visage, mon buste et tout le reste. Les odeurs sont agréables. Je me sens à la fois fraîche, belle et désirable.Mais la réalité reprend vite le dessus. Mon cœur accélère quand je sens couler du lait de mes mamelons. Je panique, fautive, devant cette situation. J’avoue avoir empêché mon petit protégé de s’occuper de mon corps aujourd’hui et en assume les conséquences. Je ne m’attendais pas à déborder autant. Mes seins sont gorgés et prêts à exploser. Mon corps pivote, je respire fort. J’avance, les mains plaquées sur la poitrine, recouverte de lactose, et me penche au-dessus de la baignoire. J’ai mal. J’appelle le jeune homme à mon secours pour qu’il me sorte de cette horreur. Il arrive. Mes doigts relâchent le bout de mes seins et attrapent ma serviette posée sur le côté que je m’empresse de glisser entre mes jambes pour cacher mon intimité. La porte s’ouvre au même moment. Le garçon entre, stupéfait et s’approche. Je lui explique en quelques phrases mon sérieux problème et lui conjure de bien vouloir m’aider. Aussitôt, ses bras m’enlacent, il prend mes tétines entre son pouce et son index. Le lait jaillit par petits jets au fond de la baignoire, quelle délivrance. Ma bouche gémit de bonheur à chaque fois qu’il écrase mes mamelons. Mes muscles tressaillent, mes jambes vacillent. Je me tiens autant que possible, d’une main, au rebord en céramique. La douleur disparaît à mesure que mon plaisir augmente. Le jeune homme me vide. Les doigts qui retiennent la serviette entre mes cuisses deviennent humides, je me surprends même à faire de petits va-et-vient involontaires qui bouleversent encore plus mon état. Je perds pied. Il agite mes tétons. Ses mains trempées de blanc me transportent. Je m’entends lui dire de continuer. J’halète férocement. Je coule. Ma serviette tombe sur le carrelage, laissant mes cuisses dégouliner.Mon pauvre corps s’affaisse de lui-même. Je glisse vers le sol et m’assois par terre, la poitrine enfin purgée. Des spasmes irréguliers parcourent ma peau et me font sursauter. Je poursuis mon chemin et m’allonge le plus naturellement sur le carrelage de la salle de bain. Le jeune homme encore debout n’en perd pas une miette. Si bien que la seconde d’après, il suit mon exemple et se met à genoux tout près de moi. Ses mains caressent mes pieds, mes chevilles, mes jambes. Ses doigts écartent le restant de serviette que j’ai osé rabattre sur moi. L’air souffle à nouveau sur mon intimité tandis que les yeux de mon petit protégé découvrent ma véritable apparence. A ma grande surprise, il agrippe d’une main mon pubis transpirant et vient se placer au-dessus de moi. Sa bouche s’ouvre et mon mamelon disparaît. Il tient fermement ma toison rousse et me bouffe les seins à tour de rôle. Mon dos se cambre, j’essaye de lui échapper, en vain. Il tire mes pointes, les aspire comme jamais. J’ai mal. Mais le plaisir me rend folle, la douleur n’a pas d’effet. Je gémis de plus en plus fort. Je le supplie de se calmer quand j’y arrive mais rien n’y fait. Il me suce encore et encore, et je soupire encore et encore. Mes jambes se retrouvent involontairement autour de ses reins. Ma tête gît sur les carreaux. Mes ongles crissent, mes doigts tremblent. Mon cœur bat férocement. Le garçon dévore ma poitrine sans se rendre compte du temps qui passe. Les secondes et les minutes filent.Le silence de nos respirations reprend le dessus. Il est là, contre moi, la tête posée sur mon buste et la langue éprise d’un de mes tétons. Il fouille gentiment mes poils pubiens comme s’il y cherchait un trésor. Nous ne bougeons pas, nous restons sages, enlacés l’un l’autre. Je me sens bien, un peu crasseuse mais tant pis. J’ai mon foutu rapport à faire. J’hésite à me lever et à mettre un terme à cette extase. Finalement je savoure un peu plus ce pur moment de complicité que je n’aurais jamais pensé partager, encore moins avec un client, encore moins avec ce garçon. Quelle soirée. Je crois qu’il m’a lécher et sucer pendant plus d’une heure. Merci.
-----[#14] :: 02 NOVEMBRE - JOUR 125 - ROXANNEMa respiration revient, mon cœur se calme. J’ouvre les yeux et redécouvre avec plaisir le regard du garçon blotti contre moi. Il relève la tête et mon téton ressort trempé de l’intérieur de sa bouche. Sa langue vient nettoyer le bout de mon sein tout en attrapant une dernière goutte de lait au passage. Je suis complètement vidée, j’ai chaud, j’ai soif. Je retire le reste de peignoir sur ma peau et file, le pas fragile, en petite culotte vers la cuisine me servir un grand verre d’eau.De retour dans le salon, je réalise la situation grotesque de mon petit protégé. Il m’attend sagement, l’air décomplexé, ma robe de chambre sur le dos. J’éclate de rire. Je ne peux m’empêcher de le charrier et de me moquer de son nouveau look. La soirée prend une tournure inhabituelle. Nous rigolons un bon moment ensemble jusqu’au moment où je lui propose, pour plaisanter, de le maquiller comme une vraie femme. Il acquiesce à condition de me travestir moi aussi. J’accepte le défi sans hésiter.Je l’attrape alors par la main, le lève du canapé et nous partons dans la chambre. J’ouvre en grand les portes de mon armoire et en sort une tonne de vêtements. Il y a de tout, des tenues de travail comme des habits de tous les jours. Nos affaires se retrouvent entassées sur le lit. Je me lance. Je saisis un de ses pantalons au hasard et l’enfile de justesse. J’endosse également un de ses t-shirts. Mon petit corps de femme passe sans trop de mal, ma poitrine est compressée, la pointe de mes seins ressort, le tissu est tendu à l’extrême, on ne peut pas dire que je nage dedans. De son côté, le garçon revêt sans trop de problèmes ma tenue de travail. Je constate qu’il est aussi à l’aise que moi. Nous rions. Le moment arrive où, un peu sournoise, je l’invite à porter de la lingerie féminine. Il s’arrête net, un peu surpris et ne voit pas tout de suite où je veux en venir. Je lui rappelle alors que je suis habillée en homme et lui en femme, qu’il se doit de se vêtir comme tel. J’ajoute également être prête à mettre un de ses caleçons s’il va jusqu’au bout. Le temps qu’il réfléchisse, je termine de retirer ses vêtements et me retrouve en petite tenue. Ma poitrine respire à nouveau. J’approche de ma commode, ouvre un tiroir et ressort un ensemble de lingerie accompagné d’un grand sourire. Je le sens nerveux, mal à l’aise. Ses yeux fixent avec attention les morceaux de dentelle entre mes mains. Je l’invite à venir se placer face à moi sans lui laisser plus de temps pour cogiter. Je pose sur ses maigres épaules un joli soutien-gorge qui ne sert pas à grand-chose vu sa morphologie. Je l’attache tout de même au creux de son dos et ajuste les bretelles. Je rigole de le voir comme ça. C’est une situation très absurde. Je lui tends alors une petite culotte en dentelle. Le jeune homme hésite un instant mais ne bronche pas. Je l’incite à aller jusqu’au bout de son propre défi et lui assure de fermer les yeux le temps qu’il lui faudra pour la mettre. Mes paupières se ferment aussitôt. J’entends le bruit de son sous-vêtement tomber puis ses doigts s’emparent du dessous dans ma main.Une bonne minute passe, mes yeux retrouvent la lumière. Le voilà ravissant. Je m’approche. Mon index passe sous l’élastique de ma culotte et le redessine. Je l’invite à tourner sur lui-même pour l’admirer. Je regarde ses reins, son dos, ses omoplates, ses épaules. Je m’avance un peu plus et me colle contre lui. Le bout de mes tétons s’écrase contre sa peau. Ma bouche s’avance et lui chuchote au creux de l’oreille, en plaisantant, que je trouve ses fesses magnifiques et relativement bien mise en valeur par la dentelle. Il ne bouge pas. Il n’oublie pas pour autant de me rappeler à l’ordre. Je fais mine d’être outrée et en profite pour passer derrière lui avant de lui donner une petite fessée bien méritée. Nous rigolons tous les deux. Suffisamment à l’abri dans son dos, je fais glisser ma petite culotte le long de mes jambes et la récupère dans une main. Il a très bien compris ce que je fais et n’ose plus bouger. Je saisis au passage un de ses caleçons posé sur le lit. Mon autre bras se lève et vient déposer délicatement sur son visage mon dessous en dentelle fraîchement retirée, lui chuchotant à l’oreille de bien vouloir fermer les yeux à son tour. Il proteste avec une pointe d’ironie. Mon corps contourne le sien, mes pieds s’arrêtent face à lui et j’enfile aisément son sous-vêtement. Quand je redresse la tête, ses yeux sont déjà grands ouverts. Nous sommes là, nous ne bougeons pas, nous ne parlons pas, nous nous observons l’un l’autre. Je regarde les traits de sa peau juvénile, les marques et défauts de sa petite carrure de jeune homme. Mon soutien-gorge autour de son torse est ridicule. Je souris, sans me moquer, sans trouver ça drôle pour autant, juste parce que l’instant est mignon. Une boule déforme ma culotte en dentelle, le tissu est tendu, ses poils pubiens dépassent abondamment. Je rigole, timide, nerveuse, flattée. Ma respiration s’accentue. Plus je regarde, plus sa mésaventure semble grandir et transformer davantage ma culotte, évidemment non adaptée à cette partie-ci. Je le sens gêné. Mes jambes avancent l’une devant l’autre vers le garçon. Je sens mes tétons durcir à chaque pas. Mes tétines se gonflent, se dressent. Mon buste se colle au sien. Ma poitrine se plaque contre son torse bouillonnant. Nos yeux plongent l’un dans l’autre. Mon dos se cambre, mon poitrail se relève, la pointe de mes seins caresse sa peau. L’accident involontaire qui souille ma dentelle appuie contre mon bas-ventre. Mon cœur bat plus fort. Ses doigts descendent de mes épaules. Je gémis. J’essaye de contrôler mes réactions, en vain. Le bout de ses phalanges contourne mes mamelons. Un frisson réchauffe mon corps déjà ardent. Il attrape délicatement la base de mes tétons, les touche, les tourne, les presse gentiment. Des petites gouttes de lait apparaissent et suintent entre ses doigts. Le jeune homme relâche mes tétines. Sa tête approche, sa bouche s’ouvre enfin, ses lèvres effleurent mon sein, ses dents mordillent mes tétons sur toute leur longueur. Le garçon me tète, il accélère, encore, encore. Mon lait perle vers le fond de sa gorge à chaque succion. Je respire fort. Mes hanches tremblent, vacillent, chancellent, emportant avec elles le tissu fragile de ma culotte. Emprisonnée dans mon dessous et mise à rude épreuve sans le vouloir, la boule à l’entrejambe du jeune homme s’agite et se déforme encore. Il pousse un cri de soulagement et m’attrape sauvagement les seins. Il aspire mes tétons et me trait la poitrine. Mes mamelles se vident pour notre plus grand bonheur. Je sens à présent un amas de chair brûlante glisser entre mes cuisses. Une masse chaude et tendre me traverse sans arrêt comme pour y trouver sa place. Je crie de plus en plus. Il dévore mes tétons. Mon corps tremble violemment, j’explose. Mes muscles se crispent. J’entends mon nom raisonner plusieurs fois. Nous poussons ensemble de puissants soupirs. Le temps lui-même s’arrête.Mes esprits reviennent peu à peu. Je me soulève sur la pointe des pieds et m’extrais tant bien que mal de l’emprise du garçon. Son sexe gonflé quitte l’intérieur de mes cuisses. J’essuie les dernières gouttes de lait sur mes mamelons et découvre alors, avec surprise, une quantité incroyable de semence agglutinée entre mes jambes et éparpillée sur la moquette. Je rougis. Le jeune homme s’excuse, gêné, honteux, me dit qu’il n’aurait pas dû, qu’il ne pouvait pas se contrôler, que c’était plus fort que lui. Je réalise alors que ma relation avec le jeune homme prend une drôle de direction et que nous ne contrôlons absolument rien. Je ne sais vraiment pas quoi en penser. En attendant, je préfère m’approcher du garçon au sexe encore dressé, à moitié sortit de ma culotte. Je le rassure, lui glisse un merci évocateur, l’embrasse sur la joue avant de tourner les talons et de partir me nettoyer dans la salle de bain, des images explicites relativement bien imprimées dans les yeux.
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