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Roxanne

Chapitre 9

Erotique
[#17] :: 24 DÉCEMBRE - JOUR 177 - ROXANNENous voilà déjà au soir de Noël, le temps passe si vite. Je ne suis pas très branchée tradition mais pour une fois, pour mon petit protégé et surtout pour casser la routine, j’ai décidé de faire quelques efforts. Le frigo est rempli de bonnes choses à manger, l’appartement est décoré de rouge et de vert. Une légère lumière tamise la cuisine et le salon. J’ai peut-être vu les choses en grand. Après s’être fait livrer un bon repas, nous passons à table, assis l’un en face de l’autre. C’est très agréable. Le garçon et moi discutons longuement. Tantôt de lui, des mois passés ici, de l’appartement mais aussi de moi, de notre relation particulière sur laquelle aucun mot ne semble sonner parfaitement. Nous sirotons plusieurs cocktails entre deux rires. Je suis un peu gênée d’aborder certains sujets, certains souvenirs qu’il appelle ainsi. Encore plus quand sa bouche laisse échapper une volée de compliments qui me sont destinés. J’entends dire que ma robe est ravissante alors que cela me paraît superflu. Pour moi, ce n’est qu’un morceau de tissu, mais j’exagère. Je me risque au cours du dîner à le regarder dans les yeux, ceux-là même qui essayent de me caresser à travers le vêtement, ceux-là même qui tremblent de désir sans jamais le dire. La soirée avance à grands pas. Puis vient le moment du dessert.Je reviens à table, une pâtisserie bien présentée dans les bras. Je dépose le plateau et commence à couper une part pour le jeune homme visiblement encore affamé. La portion dans son assiette, sa langue sort subitement l’espace d’un instant. Quelque chose me trouble. Mes doigts abandonnent le couteau resté dans le plat. Je m’excuse auprès du garçon et quitte la pièce sans me précipiter, l’air de rien, avant de m’enfermer aux toilettes. Je transpire un peu. Je ne sais pas si ce sont les cocktails pourtant sans alcool ou le repas, peut-être les mots parfois très crus qu’il a pu dire depuis le début de la soirée. Mon corps me fait défaut une fois de plus. Soudain, on toque à la porte. Je sursaute. Le jeune homme m’appelle et me demande si je vais bien. La réponse est non bien évidemment. Et plus j’y pense, plus je crois savoir la raison de mon état. Alors qu’il continue de parler, je déverrouille la porte et l’entrouvre très légèrement du bout des doigts. Le silence remplit ma tête, quel calme soudain. Avachie sur la cuvette, je vois apparaître la silhouette de mon petit protégé, les yeux rivés sur moi et une part de dessert flottant dans une petite assiette. D’un geste de la main, je l’invite à rentrer et à refermer derrière lui. Chose qu’il fait sans protester. On s’observe, intrigué tous les deux sans vraiment savoir ce qui va arriver. Nos respirations se mêlent au vide. L’envie conjuguée à la peur fait battre mon cœur un peu plus fort. Le jeune homme ose s’approcher, s’agenouiller à mes pieds, le regard porté sur moi. Il me redemande comment je vais, ce qu’il passe. Je lui réponds d’une franchise absolue que ma robe n’est pas ravissante. Sa main glisse alors sur cette affreuse étoffe bon marché et me caresse le dessus de la cuisse. Je l’entends rigoler et me dire qu’il est prêt à me passer son pantalon si cela me remonte le moral. Un grand sourire vient trahir mon visage. Au même moment, ses mains attrapent le bas de ma tenue et remontent rapidement un peu plus haut, réchauffant ma peau une courte seconde avant que l’air frais de la minuscule pièce ne vienne me faire frissonner. Je le regarde faire, pleinement consciente de nos actes. Il agit sans me quitter des yeux, sans jamais arrêter de sourire. Le garçon me déshabille lentement jusqu’à la taille. Le joli string que j’ai trouvé au hasard dans ma commode ne met pas ma féminité en valeur. Je me sens vraiment mal à l’aise, horrible et misérable malgré les nouveaux compliments qui sortent de sa bouche. Je hausse les épaules, peu convaincue. Le jeune homme se dérobe alors et vient soigneusement poser les doigts sur mon dessous au niveau de mon pubis. Il me touche, teste mes réactions. Il soulève et joue avec mes poils qui dépassent sur les côtés. Puis il attrape l’élastique de mon sous-vêtement. Je l’arrête aussitôt et lui ordonne un peu fermement de reculer car je dois me soulager. Les cocktails de tout à l’heure appuient de plus en plus sur ma vessie. Il s’exécute à mi-mot. J’ai juste le temps de descendre ma petite culotte que le voilà à l’assaut de ma poitrine. Il s’engouffre sous ma robe, fait tomber une bretelle et sort un de mes mamelons. J’essaye de m’imposer, lui disant d’attendre que je finisse d’uriner, en vain. La sensation sur mon aréole suffit à me transporter. Il saisit mon long téton et le travail comme il a l’habitude. J’essaye de rester bien assise sur la cuvette pendant qu’un puissant jet éclabousse le fond du WC. Le jeune homme finit par exhiber la totalité de ma poitrine. Il s’en occupe avec brio, debout à côté de moi. Je me tords dans tous les sens, la robe maculée de lait, les pieds entravés par ma dentelle, l’entrejambe en pleine activité. De petites gouttes blanchâtres ruissellent sur mon ventre et s’infiltrent dans mon pubis. Je souffle fort. Une de ses mains vient frotter ma toison rousse tachetée de blanc avant d’être emportée jusqu’à sa bouche. Vient alors l’instant où une violente vague de froid me mord les seins l’un après l’autre. J’ouvre les yeux deux ou trois secondes et découvre avec surprise des petits morceaux de dessert étalés sur mes mamelons. La langue du garçon arrive aussitôt me nettoyer les tétines. J’exalte encore plus fort. Mes jambes tremblent. Je gémis. Mon nom résonne dans la pièce. Le garçon aspire une dernière fois mes longs tétons. Je vois ses mains disparaître vers mes pieds. Il enlève ma culotte et l’envoie valser par terre. Une nouvelle vague de chaleur remonte le long de mes jambes. Mes cuisses s’écartent à sa demande. Ses phalanges écrasent mes poils et viennent appuyer sur mon clitoris plus que gonflé. Je pousse un petit cri. Mon sexe, encore trempé d’urine, laisse échapper quelques dernières gouttes. J’essaye de prévenir le jeune homme mais rien n’y fait. Il dessine à plusieurs reprises les moindre plis de mon anatomie. Mes petites lèvres sont balayées de droite à gauche et inversement. L’entrée de mon vagin se dilate à chaque mouvement. Le lait continue de couler. La bosse qui déforme son pantalon attire mon attention malgré le plaisir qu’il m’inflige.Une pluie de compliments à mon égard flatte une nouvelle fois mon égo. Magnifique, incroyable, divine. Tant de mots que j’accepte sans réelle conviction. Si mes mains se cramponnent fermement à la lunette des toilettes pendant qu’il me fouille, lui s’agenouille brusquement. Sa tête vient se loger entre mes jambes qu’il soulève aussitôt. Mon corps s’abaisse tant bien que mal à la recherche d’une position plus confortable. Et là. Sa langue baveuse racle ma fente sur toute sa longueur. Je pousse un profond soupir avant de me laisser mourir de plaisir, à petit feu. Le garçon me lèche comme jamais, une vraie furie. Il passe partout. Ses mains attrapent mes lèvres, les tirent. Son visage s’écrase un peu plus contre ma chair brûlante et suintante.Et comme rien ne va comme je m’y attends, une énième sensation vient me donner le coup de grâce. Un froid assassin me désempare. Ma respiration se bloque, mes muscles se crispent. J’ouvre les yeux et découvre dans la plus grande stupeur, le visage frénétique du jeune homme, la bouche pleine de crème glacée. Je sens ses doigts garnir l’entrée de mon vagin comme s’il voulait colmater une brèche. Sa tête replonge en moi la seconde qui suit. Je succombe aussitôt, à moitié pliée en deux, sous les assauts délicieux de mon cher petit protégé.Quelques minutes plus tard, quand mes yeux se reconnectent enfin, je constate l’ampleur du massacre. La fin de soirée passe en un éclair. Je me vois retourner dans le salon en compagnie du garçon et m’effondrer à ses côtés dans mon canapé. Les images s’enchaînent. La table laissée à l’abandon, la TV allumée, les derniers spasmes rebelles qui me harcèlent. Peut-être aussi une dernière caresse, un énième compliment avant que mon esprit ne gagne les méandres infinis d’un sommeil que j’espère réparateur.
-----[#18] :: 25 DÉCEMBRE - JOUR 178 - ROXANNELa lumière du jour m’éblouit, mes yeux peine à s’ouvrir. Le réveil est plutôt difficile, mais heureusement, une odeur agréable remplit l’appartement. Un œil après l’autre, j’émerge à mon rythme, vêtue uniquement de ma petite culotte de la veille, étendue sur le canapé et la poitrine fièrement dressée vers le plafond. Vient alors mon petit protégé de la cuisine, les bras chargés et mon peignoir sur le dos. Il arrive tout joyeux et dépose sur la table basse un joli petit déjeuner prêt à être dévoré. Je souris bêtement. Je l’observe, le regarde faire. Il se tourne finalement vers moi, me dit bonjour et me complimente abondamment. Ma jambe se lève et le coupe dans ses éloges. J’écarte tant bien que mal mon peignoir, en vain. Le garçon défait aussitôt la ceinture et entrouvrent mon vêtement, laissant apparaître le corps d’un jeune homme dont le sexe tente de percer le malheureux caleçon de coton qui l’entrave. Sa réaction me fait rire. Il cherche à s’excuser. Je le coupe à nouveau par un signe de la main, l’invitant à s’approcher un peu plus près. Il s’exécute en marmonnant des mots qui ne m’intéressent pas. Toujours allongée, la tête posée sur l’accoudoir, je tends les mains vers lui, attrape vivement le haut de son caleçon et le tire doucement vers le bas. J’entends mon nom. Je lève un instant la tête et lui dit qu’il n’a pas à souffrir pour autant, que c’est naturel et que ce n’est pas grave. Son sous-vêtement descend, son pubis surgit à l’air libre. Puis vient la base de sa verge, les veines bien dessinées. Encore un peu plus bas et sa virilité se tend devant moi. Je lâche l’affaire. Je prends quelques secondes pour admirer ce que j’ai sous les yeux puis me blottis à nouveau dans mon confortable canapé.Le garçon s’assied à l’extrémité de la banquette. Je sens son regard se balader sur mes seins, sur mon ventre, sur ma féminité. Soudain, ses doigts m’électrifient, glissent le long de mes jambes. Il me surprend, d’habitude si féroce, aujourd’hui si doux. Ma respiration accélère légèrement. Les bouts de ma poitrine s’érigent. Le jeune homme poursuit son exploration aux abords de ma petite culotte. Je le laisse faire malgré mes yeux attentifs qui redoutent chaque action. Je le vois m’effleurer, dessiner le contour de mon dessous, enrouler les poils de ma toison qui osent dépasser. D’un simple appui et à la force de mes abdominaux, je soulève mes fesses. Une seconde suffit pour que le garçon retire ma pièce en dentelle usagée. Une bonne fois pour toute libérée, il revient se fondre entre mes cuisses. Sa main caresse mon sexe, mon pubis. Il me tarit à nouveau d’éloges tout en inspirant mes charmes. Ses doigts peignent à plusieurs reprises ma pilosité puis retracent le contour de ma vulve. Je reste stoïque malgré moi tandis qu’un filet de fluide coule déjà de mon vagin. Il passe et repasse, remue tendrement mes lèvres. Il les attrape entre son pouce et son index, les tend, les palpe. J’adore. Le jeune homme s’arrête ensuite sur le haut de mon intimité. Je le sens titiller doucement mon clitoris, l’agiter. Mes soupirs commencent. Je coule littéralement. Un gémissement involontaire s’envole alors que les doigts de son autre main fendent délicatement ma vulve de haut en bas. L’entrée de mon vagin se dilate et un nouveau flot de sécrétion s’échappe. C’est trop et il l’a bien remarqué.Mon corps se redresse, je suis sur le point de partir. Au même moment, mon petit protégé m’attrape par la taille et me fait chavirer à nouveau dans le fond du canapé. Nous rigolons un instant. Je lui confie mes sensations, lui me dit qu’il a faim. Il passe alors son bras sous mes jambes et les rabats sur moi. Je me retrouve en boule, les genoux contre ma poitrine pleine à exploser et la vulve bien en évidence. Je m’apprête à lui demander ce qu’il a en tête quand mes yeux s’arrêtent sur la cuillère remplie d’un genre de confiture d’abricots qu’il tient au bout des doigts. Ni une, ni deux, un froid mordant vient s’étaler sur mon sexe. Je gémis une fois de plus. Le garçon fait passer le petit couvert en métal sur toute ma vulve et surtout sur mon orifice. C’est vraiment très bizarre. Je sens la gelée couler en moi, répandre sa fraîcheur dans mon intime fournaise. Et quand je pense que c’est terminé, je le vois approcher une petite crêpe déjà toute faite. Je prends alors une profonde respiration. Le jeune homme appose la crêpe sur mon sexe et me frotte avec. Il m’essuie, me nettoie. Il insiste bien sur l’entrée de mon vagin, là où mes sécrétions s’entremêlent à la confiture. Il réitère plusieurs fois de suite en dégustant entre-temps son petit-déjeuner insolite. Bouchée après bouchée, ma vulve reprend sa couleur originale. Quand soudain, pour bien finir le travail, l’index du garçon vient se figer en moi et me titiller de l’intérieur. Il remue frénétiquement pendant que sa bouche arrive et m’aspire, me lèche, me dévore. Ma respiration saccade, le plaisir m’emporte.Mon cœur se calme enfin. Mon petit protégé s’effondre dans le dossier du canapé sous mon regard assouvi. Mes yeux descendent sur sa verge dressée à travers mon peignoir, suintante d’excitation. J’avance alors à quatre pattes sur la banquette, a l’image d’un chat. Le jeune homme prononce une nouvelle fois mon nom, puis encore, et encore. J’hésite une seconde puis me laisse guider par les pulsions de son sexe. Du bout de l’index, j’effleure le haut de son pénis, glisse jusqu’à la base et vient englober ses testicules. Il sursaute, mal à l’aise, sans doute à cause de la différence de température. D’un geste de l’autre main, j’agrippe son poignet le plus proche de moi et le guide entre mes jambes. Je le tiens fermement, par les bourses, par l’avant-bras. Ses doigts, sa paume, le tout va et vient. Mon bassin bouge de lui-même. Mon intimité s’enflamme une fois de plus. Mes seins balancent légèrement. Des gouttes de lait ruissellent, chutent sur mon ventre. Nos visages se délectent tout simplement. Son majeur trop curieux cherche à me pénétrer, en vain, jusqu’au moment où mes phalanges insouciantes viennent câliner son gland avec trop d’émotions. Un puissant jet blanc détone, suivi de plusieurs autres plus petits. Un fluide visqueux recouvre doucement ma main tandis que le garçon s’excuse avec exagération. Ne sachant pas quoi faire, surprise évidemment, je pars me nettoyer dans la salle de bain.De retour, propre, les fesses et le pubis à l’air, j’arrive auprès du jeune homme après un rapide passage dans la chambre. J’offre à mon petit protégé un petit paquet noué d’un joli nœud. On se regarde sans vraiment comprendre ce qui se passe. Je l’invite alors à l’ouvrir. Tout joyeux, il détache l’attache de son cadeau et en sort un de mes strings que je n’ai pas lavé. Face à sa réaction quelque peu stupéfaite, je lui explique que c’est pour lui, que c’est comme un souvenir et qu’il pourra toujours me garder auprès de lui en quelque sorte. A ma grande surprise, il s’avance un peu et m’embrasse le pubis. Je crois que je rougis sur l’instant. Finalement, je m’assieds à côté de lui et nous commençons enfin notre vrai petit déjeuner, juste après lui avoir chuchoté au creux de l’oreille que les portes de mon intimité lui sont grandes ouvertes.
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