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Roxanne

Chapitre 11

Erotique
[#21] :: 22 MARS - JOUR 265 - ROXANNEEn ce bel après-midi de printemps, j’ai décidé qu’il était temps de nettoyer les fenêtres de l’appartement. J’enfile une paire de gants en caoutchouc, prends mon seau, mon éponge, mon balai, et me dirige vers la baie vitrée de la salle à manger. Les carreaux sont pleins de mousse. Je trempe le bout de ma brosse dans l’eau savonneuse, l’essore deux ou trois fois et vient la plaquer contre le verre. Le ménage me détend. J’aime beaucoup ça. Et ces vitres avaient grand besoin d’être décrassées. Le soleil est déjà haut dans le ciel. Les fenêtres sèchent rapidement. J’attaque à l’éponge les zones difficiles. Collée au carreau, j’ai une pensée pour lui, pour aujourd’hui. Il reste cent jours avant la fin de mon contrat. Je m’arrête une seconde, réalisant la vitesse à laquelle le temps file, l’évolution de notre relation, nos rituels quotidiens, puis reprend mon ménage. Cependant il y a quelque chose qui m’obstine, qui m’inquiète même. Cela fait maintenant plus d’un mois que mon corps réagit bizarrement. Il m’arrive d’avoir des orgasmes involontaires, puissants comme minimes. C’est plus fort que moi, si bien qu’a chaque fois, un petit torrent de fluide jaillit de mon sexe. Je cherche encore à comprendre comment arranger cela, en vain.Soudain, un bruit sourd retentit derrière moi. Une porte s’ouvre. Mon petit protégé sort de la chambre. A peine levé, le garçon me rejoint. Nous nous disons bonjour. J’ai aussi le droit à une bise sur la joue. Comme toujours, je sens son regard sur moi. Il m’observe. Je serre la main, l’éponge se tord sur elle-même, de l’eau glisse sur la vitre. Il est là et ne bouge pas. J’enchaîne un à un les carreaux jusqu’au moment où le garçon se colle à moi. Ses bras m’enlacent délicatement par la taille. Je suis surprise d’autant d’affections. Mon corps s’immobilise, mon éponge se fige sur le verre, l’eau qui s’en échappe coule le long de la fenêtre. Les mains du garçon passent sur mes côtes et approchent de mon ventre. Mon coeur bat plus fort. Je sens ses doigts dénouer la ceinture de mon peignoir. Mes poings se resserrent. Mon éponge est sèche. J’avale ma salive. Le tissu de ma robe de chambre bouge dans le vide. Très vite, le garçon rentre ses bras à l’intérieur pour y écarter d’avantages les pans de mon vêtement. J’ai la chair de poule. Ma respiration accélère. Il caresse mes hanches, délicatement, tendrement, et saisit ma culotte. Ses pouces glissent sous l’élastique. La dentelle se tend. Ses mains autour de ma taille font danser mon dessous qui remue dans tous les sens. Mon corps s’affole. Le tissu me rentre dans les fesses et appuie contre mon sexe. Le garçon relâche ma culotte et fait chuter mon peignoir au sol.Je m’en vais reprendre mon ménage mais les mains de mon petit protégé viennent pincer mes tétons. Je sursaute. Quelques gouttes de lactose giclent contre la vitre. Ses doigts s’emparent de mes seins. Ils les compressent, les contournent, les remontent, les écartent, les palpent. Je me penche un peu plus à chaque seconde. Ma poitrine se colle à la vitre, mes tétons s’écrasent sur le carreau froid et humide. Deux trainées blanches coulent en contrebas. Je tremble. Mon ventre bouillonne. Mes hanches vacillent au rythme des caresses. Mes genoux fléchissent. Mes muscles tressaillent. Je n’arrive plus à me contenir. Mon corps se relâche brusquement accompagné d’un profond souffle de soulagement. Mon sexe se gonfle. Mes lèvres vaginales s’écartent et libèrent une vague de jouissance conséquente qui s’écoule de part en part de ma culotte. Le liquide chaud m’éclabousse l’intérieur des cuisses. Au sol, nos pieds baignent dans une immense flaque transparente. Je ne bouge plus, je suis tétanisée. Je ferme les yeux, honteuse mais aussi comblée.Je sens à nouveau les doigts du garçon m’attraper la taille. J’ouvre à nouveau les yeux et sans attendre, mon corps pivote, mes seins se décollent de la vitre, quelques gouttes de lait tombent au sol. Il plaque mon dos à la fenêtre teintée de blanc. Je ne tiens plus. Nous nous regardons sans rien dire. Mes jambes cèdent. Je disparais lentement vers le sol jusqu’à poser les fesses dans la flaque de fluide transparent. Le garçon me saisit alors par les cuisses et les ramène vers lui. Mon dos lacté se détache du verre et se couche sur le parquet trempé. Le regard braqué sur le plafond, je ne dis rien, je reprends mon souffle. Le garçon profite de cet instant pour soulever mes jambes et les basculer en arrière. Mes pieds se collent contre la vitre encore laiteuse. Je suis coincée, impossible de bouger. Ses doigts redescendent très vite et s’emparent de ma culotte imbibée. Il la tire, la fait remonter et la laisse pendre dans le vide au niveau de mes chevilles. Mon propre fluide féminin dégouline sur mon visage. Je referme les yeux. Je sens des gouttes visqueuses ramper entre mes lèvres. Elles coulent sur mes joues et ruissellent jusque dans mon cou. Puis les doigts du garçon m’attrapent délicatement les fesses. Ses pouces et ses index pincent mes petites lèvres. Mes défenses charnelles s’écartent. Ma vulve se découvre. Mon vagin s’entrouvre. Il m’élargit de plus en plus, la pression sur mes lèvres s’amplifie. Mon clitoris sort de sa cachette et se révèle. Un courant d’air me pénètre. Je ne me contrôle plus. Ma bouche s’ouvre légèrement. Le nectar contenu dans les fibres en dentelle de ma culotte envahit lentement ma gorge. Le garçon relâche mon sexe une seconde. Il recapture les plis de mon intimité entre ses doigts, m’écarte le plus possible et fait glisser sa langue au plus profond de moi. Mon esprit s’envole. Je ne réponds plus de rien. Le jeune homme me caresse, me creuse, me racle l’intérieur. Son organe fuit ma vulve une seconde et revient labourer de cyprine l’entrée de mon vagin. Il ameublit mon urètre et récure mon clitoris. Sa langue passe et repasse sans s’arrêter. Mon petit protégé se délecte de ma chair.Les minutes filent, sa bouche quitte mon intimité une bonne fois pour toutes, je me sens revivre. Ma vulve reste grande ouverte, mon clitoris ne dégonfle pas. Le garçon pose délicatement sa main, les doigts bien écartés, entre mes petites lèvres. Je m’attends au pire. Sa paume frotte mon sexe trempé de haut en bas et de bas en haut avant d’accélérer la cadence. Mon vagin coule à nouveau. Le garçon m’écrase le clitoris. J’ai chaud. Je brûle. Mon précieux organe est emporté à chaque passage. Mon dos se cambre. Je suis à bout et il le sait. Il accélère. Encore. Encore. Mon corps va exploser. Mon cœur palpite. Je vibre. Tous mes muscles se crispent et une nouvelle éruption jaillit d’entre mes jambes. Sa main se retire à temps. J’éjacule pendant près de cinq à dix longues secondes. La vitre est inondée de fluide qui très vite plonge mes pieds dans un bain visqueux. Cette puissante sensation me laisse pour morte.Je reprends lentement mes esprits. Mon petit protégé est à côté de moi. Il m’observe sans rien dire, me sourit, me caresse les cheveux. Je me redresse tant bien que mal, avec la tête qui tourne, et nous reprenons notre quotidien là où nous l’avons laissé. Un œil sur la vitre qui dégouline encore. Je retire ma culotte et termine ce que j’ai commencé dans le plus simple appareil, sous les yeux conquis du jeune homme.----------[#22] :: 07 MAI - JOUR 311 - ROXANNEL’horreur. La panique. L’angoisse. Une sensation désagréable met fin à mon insomnie ennuyante. Une violente vague de chaleur explose en moi. J’ai chaud mais j’ai surtout très peur. Je ne contrôle rien. Mes doigts tremblent et se crispent aux draps. Mes yeux cherchent du réconfort quelque part dans cette pénombre, en vain. La torpeur m’empêche de me concentrer, de bien relativiser, et même de comprendre ce qu’il se passe. J’ai beau essayer mais j’échoue lamentablement. Je jette un regard sur le côté, sur mon petit protégé qui dort toujours à poings fermés, puis je sature. Trop tard. Mon esprit cède, mon corps implose. Ma culotte se trempe tandis que mon sexe s’enflamme. Les draps subissent mon plaisir. Je lâche plusieurs petits bruits. L’extase me consume à petit feu pendant de longues et interminables secondes, au milieu de la nuit, sans avoir rien demandé.Voilà que le matelas bouge. Le jeune homme à mes côtés s’éveille difficilement et me demande ce qu’il m’arrive. Je ne trouve pas la force de lui répondre dans l’immédiat. Tout ce qu’il entend, c’est le rythme saccadé de mes respirations. Puis, la lumière vient tamiser la pièce d’une douce teinte colorée. Le garçon observe l’étendue du sinistre dans lequel je baigne. Il sort aussitôt de sous la couette et me harcèle de questions. Je fais signe de ne pas savoir. Il approche un peu plus. Sa main vient se poser sur le dessus de ma cuisse toujours transie par une chair de poule tenace. Il me propose alors d’enlever ma dentelle, ce à quoi je hoche la tête, l’esprit encore plus ou moins absent.Ses doigts glissent sous l’élastique et retirent ma culotte. Un filet d’air frais caresse la surface humide de ma vulve. Je suis allongée, les genoux fléchis, les yeux levés des fois vers le plafond, des fois vers lui. Je le regarde simplement faire, sans rien dire, sans rien penser. Il me fascine. C’est plutôt fou l’intérêt qu’il me porte, à moi et à mon corps. Mon précieux protégé essuie inutilement les draps. Je m’en veux un peu. Puis je le vois mettre mon sous-vêtement en boule dans le creux de sa main et le porter sur mon sexe. Il se sert de ma propre lingerie pour éponger mon entrejambe. L’effet est électrisant et me force une fois de plus à tressaillir. Le garçon continue. Il frotte le tissu sur mon pubis puis sur tout l’intérieur de mes cuisses, puis sur mes petites lèvres. Comme un réflexe involontaire, mon corps se redresse, ma main vient l’arrêter avant qu’il n’aille trop loin. Je le repousse gentiment et l’incite à se recoucher.C’est finalement tout le contraire puisqu’il attrape ma main et m’oblige à m’approcher. Le garçon arbore alors un grand sourire. Je réagis un peu complexée, lui expliquant que je n’ai pas la tête à jouer. Rien à faire. Je me retrouve avachie au-dessus de lui sans savoir quoi faire. Il me tire à nouveau vers lui. Je l’enfourche maladroitement, la poitrine ballante. Je lui demande ce qu’il compte faire, qu’il est tard. Et avant que je termine ma phrase, le jeune homme se réfugie entre mes jambes et prend mon sexe en bouche. Il me lèche partout, dans tous les sens, dans la moindre pliure qui dessine ma vulve. Je succombe instantanément. Je m’assois petit à petit sur son visage, sans pouvoir résister. La chaleur revient en quelques secondes. Je tremble. Les doigts du garçon lâchent mes fesses et viennent pincer mes mamelons. Des petits filets blancs se mettent à ruisseler le long de ses avant-bras. Je gémis de plus en plus, jusqu’au point de non-retour, jusqu’au moment crucial que je redoute un peu. Une onde de plaisir me transcende de part en part et un nouveau flot de sécrétions jaillit des profondeurs de ma chair. J’ai honte de moi.Quelques secondes de violents battements de cœur plus tard, je me redresse, anxieuse. Je découvre le visage du jeune homme complètement trempé. Il en rigole. C’est tout lui ça. Je n’en reviens pas. Tout en me caressant la poitrine avec tendresse, les paumes pleines de lait évidemment, l’expression dans ses yeux a quelque chose de bizarre, comme s’il attendait. Son air narquois le trahit rapidement. Je l’entends me demander de me retourner et me dire avec assurance qu’il en veut encore, qu’il adore me lécher le sexe. Je prends le temps de lui souligner qu’il est devenu incorrigible et que notre relation est plus que particulière, voire trop. On plaisante un instant puis je pivote sur moi-même. Je lui précise que je risque de m’effondrer et lui conseille d’y aller doucement, que tout ça est encore nouveau, pour lui comme pour moi, encore plus depuis que mon corps est incontrôlable. Il acquiesce et en profite pour faire rouler mes petites lèvres entre ses phalanges. Je respire fort à nouveau, me préparant au pire.Le souffle chaud du jeune homme court sur mon entrejambe. Il attrape mes fesses à pleines mains et les cajole à sa façon. Je sens ma vulve s’écarter, se tendre, s’étirer plus que de raison. Une seconde de confusion passe avant que mon petit protégé me fasse basculer en avant. Je me réceptionne sur les mains, surprise. Ses pouces repoussent mes petites lèvres sur les côtés. Je lui demande ce qu’il fait. Il me répond qu’il veut m’admirer tout entière, qu’il veut me découvrir sous tous les plans. Puis aussitôt, sa langue vient chatouiller mon intimité. Son muscle visqueux passe et repasse sans s’arrêter. Je flanche un peu plus vers l’avant, gémissant de plaisir.Une nouvelle déflagration détonne en moi. Je n’en peux plus. La pointe de mes seins effleure son ventre. Je serre les dents pour ne pas hurler. Une soudaine envie d’uriner m’effraie mais je suis incapable de bouger. La panique s’installe mais le plaisir s’accroît. J’aimerais qu’il arrête. C’est trop. Et puis. Et puis. Et puis tant pis. La vérité c’est que je veux qu’il me dévore jusqu’à l’âme et qu’il me fasse péter le cœur. Un flot sulfureux monte en moi. Je sens les derniers remparts de mon être se briser un à un. Je m’effondre doucement sur lui pendant qu’un orgasme ravageur me met en pièce. Un puissant jet de liquide vient arroser le visage du garçon. J’entends plusieurs fois mon nom avant de sombrer, de m’avachir comme un vulgaire cadavre, la tête posée sur son caleçon, à quelques centimètres d’une bosse bien dure.Je reste là, à quatre pattes, les en l’air, le vagin dilater, le sexe trempée. J’écoute simplement les battements de cœur qui font trembler le tissu de son sous-vêtement. La chaleur de ses parties me réchauffe la joue. Je me sens bien. Quelques caresses sur le haut des fesses et sur les cuisses suffisent à m’apaiser. Je m’endors en un rien de temps, fatiguée d’autant de jouissance.
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