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Roxanne

Chapitre 12

Erotique
[#23] :: 21 JUIN - JOUR 355 - ROXANNE

355. Dix jours avant la fin de ma mission. Quand j’y repense, je me dis que le temps passe vite. Trop vite. Alors que nous sommes en train de dîner, mon corps se met à trembler et me ramène à la réalité. Je pose ma fourchette sur la table et me cramponne à ma chaise. Je chauffe. Je brûle. Je sens monter l’angoisse, la peur. Mon ventre hurle de l’intérieur. Je regarde le garçon assis en face de moi d’un air désemparé. Je lui confie mes craintes, mes désagréments, mon impuissance. Nous échangeons rapidement devant l’urgence de ma situation. Je l’appelle à l’aide, le somme de venir à bout du mal qui m’habite.
Je me lève tant bien que mal et fait rapidement le tour jusqu’à lui. Je grimpe sur la table sans réfléchir. Mon corps est au bord de l’éruption. Mes cuisses tremblent. Je supplie à nouveau le garçon de m’aider. Ses mains glissent sous mon peignoir et attrapent le tissu de ma culotte déjà trempée. Je me tourne et me penche en avant. Ma poitrine s’écrase tandis que mes fesses s’élèvent. Je lui demande de se dépêcher, d’arracher mon dessous s’il le faut. Le jeune homme s’exécute et descend brusquement ma dentelle le long de ma jambe. Mes mains se crispent. J’ai peur. J’émets des petits cris d’angoisse. Je lui avoue ne plus tenir. La langue du jeune homme écarte l’entrée de mon vagin. Une vague de chaleur détonne en moi. Je serre les dents. Sa bouche se colle davantage contre mon sexe. Ses doigts agrippent mes fesses. J’entre en éruption. Un puissant jet s’échappe de ma vulve. Le garçon s’en abreuve sans retenue. Il me boit, m’aspire, me vide de l’intérieur jusqu’aux dernières gouttes de mes sécrétions.
Mon esprit revient. Je descends délicatement, prenant soin au passage d’emporter avec moi la corbeille de fruits posée au coin de la table. J’avance vers le salon, la culotte baissée au niveau des genoux, en invitant mon petit protégé à m’accompagner pour le dessert. Je pose le plat sur la table basse et demande au garçon de bien vouloir s’asseoir sur le tapis. Il se pose à côté de moi. Je le repousse en arrière d’une main. Il s’allonge sans rien dire. Mon corps bouillonne. Mes tétons sont durs. Il me regarde. Je sais qu’il meurt d’envie de me dévorer. J’ouvre mon peignoir étouffant et passe une jambe de chaque côté de ses épaules. Je m’accroupis lentement au-dessus de lui, le sexe encore brillant de salive, à quelques centimètres de son visage. Il reste sage, sans rien dire, en détaillant chaque repli de ma vulve, de mes lèvres grandes ouvertes.
J’attrape d’une main la queue d’une cerise dans la corbeille de fruits. Je la porte à mon sexe. Je la fais glisser le long de ma fente jusqu’à l’entrée de mon vagin. D’une légère pression du doigt, je l’insère lentement, la fait tourner et tremper dans mon jus de femme. Je ressors la cerise d’entre mes jambes et la tends à mon petit protégé qui la croque instantanément. Je me redresse une seconde et m’agenouille encore plus près de lui. J’attrape un nouveau fruit dans la corbeille et le replonge dans mon sexe. La tête du jeune homme se soulève et bascule en arrière. Son souffle chaud fait frissonner mes petites lèvres. J’adore. J’en veux plus. Le fruit ressort à peine de l’entrée de mon vagin que le bout de la langue du garçon vient se loger en moi. Je gémis. Ses mains attrapent brusquement mes tétons. Mes muscles se crispent. Le garçon attrape entre ses dents le fruit tout juste sorti de mon intimité et l’avale. Sa bouche se rapproche et il me mange le sexe une nouvelle fois. Je bascule en avant sous l’effet de l’excitation. Mon corps s’effondre sur celui du garçon. Ma tête vient se poser au niveau de son caleçon. Il tire ma poitrine dans tous les sens, mes mamelons sont déformé par la pression. Je respire fort, je grogne presque. Il saccage l’entrée de mon vagin à grands coups de langue. Par réflexe, mes mains s’accrochent à son sous-vêtement. Je sens son sexe excité à travers le tissu. Je ne tiens plus. Sa bouche va et vient entre mes jambes. Sa langue dérape, mon petit orifice se resserre avant d’être trempée de salive. Le garçon continue de plus bel, alternant entre l’entrée de mes fesses et celle de mon sexe. Mes veines explosent une nouvelle fois. La chaleur se répand. Je tire sur son caleçon involontairement, m’agrippant le plus possible à lui, libérant au passage une bonne partie de son anatomie. Ma vulve se dilate et libère de puissants jets de sécrétion directement dans la gorge du garçon qui n’en loupe aucune goutte.
Alors que mon exaltation n’en finit pas, le jeune homme me fait rouler sur le côté et nous échangeons nos places sur le tapis. Il se lève une seconde, le temps d’enlever son caleçon et de revenir au-dessus de moi. Son sexe gorgé de sang balance près de mon visage. Je le regarde, fièrement dressé, tandis que ma vulve coule encore. La main du garçon caresse mes petites lèvres une à une. Je me cambre, les poings serrés, et me rapproche à plusieurs reprises de son attribut masculin. Je me vide entière, les cuisses bien écartées. La peau chaude et veineuse de son sexe caresse ma joue pendant qu’il s’amuse à nouveau avec mes tétons. Je reste étendu sur le tapis et le regarde passionnément. Je vois son désir, son plaisir, ses soupirs. Je pousse des petits cris à chaque fois qu’il tire sur mes mamelles. Je sens des filets de sécrétions coulées entre mes fesses. Ses doigts accélèrent encore. Une énième vague de chaleur ravage mon corps. Je convulse. J’explose. Mon bassin se relève de lui-même et ce sont plusieurs salves de liquide qui jaillissent. Je me délecte, la bouche ouverte, le souffle coupé, le membre tendu du garçon au coin de l’œil et qui ne cesse de se transformer. Le jeune homme se balance d’avant en arrière, prononçant mon nom entre deux souffles de soulagement. Il se frotte de plus en plus. Je ne bouge pas. Le bout de son sexe chaud laisse derrière-lui une fine trace de son passage. Le garçon s’affole. Ses doigts écrasent un peu plus mes tétons. Ses testicules s’étalent sur le haut de mon front. Sa verge glisse facilement. Il m’appelle. Il pousse de grands cris. Il tire brusquement ma poitrine vers le plafond. Je me cambre et ouvre encore plus la bouche. Tout son sexe va et vient contre mon visage jusqu’au moment où, après de violents spasmes, mon petit protégé décharge sur moi un torrent chaud et visqueux de semence. Son éjaculation dure de longues secondes. Son fluide blanchâtre coule de chaque côté de ma figure. Je ne vois plus rien. Je reste immobile. Des gouttes dégoulinent jusque dans mes cheveux. J’avale timidement ce qui me tombe dans la gorge. Son sexe gluant repose le long de mon nez, entre mes deux yeux. Le garçon caresse mon corps en guise de réconfort. J’attends quelques minutes, allongée sur le tapis mouillé de cyprine, mon petit protégé contre moi.

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[#24] :: 29 JUIN - JOUR 364 - ROXANNE
Encore. Encore. Encore. Encore et encore. C’est tout ce que je désire. Qu’il me tète et me lèche encore un peu plus longtemps. Le moment est plutôt mal choisi mais tant pis, mon corps en a décidé autrement. J’implore mon petit protégé de continuer à s’occuper de mes longs tétons pendant que je termine d’uriner. La honte est devenue un sentiment quotidien, surtout quand je le vois à genoux, penché vers l’avant pour coller sa bouche sur les bouts de ma poitrine. Mais que c’est bon. J’adore. Ça me rend folle. Un orgasme plus tard, le garçon se lève et sort des toilettes avec un grand sourire. Moi je reste ébranlée sur la cuvette en attendant de reprendre mon souffle.
J’entre dans la chambre quelques longues minutes plus tard, mon peignoir en vrac sur l’épaule, la culotte plus ou moins bien remontée, la poitrine à l’air et les tétons durement dressés. Je jette mon vêtement dans le panier de linge sale qui traîne au pied du lit depuis ce matin. Les secousses qui font vibrer mon corps à n’importe quel instant en sont responsables.
Mon esprit s’égare encore une fois. Je réalise que demain ce sera fini, tout s’arrêtera, du moins entre lui et moi. Cette année est finalement passée très vite. Trop peut-être. Notre relation spéciale a évolué de manière exponentielle. Moi qui avais peur au début, qui trouvait ça immoral, j’ai en fin de compte cédé à un flot de pulsions que je n’imaginais pas. Lui par contre, il s’est éveillé, il a grandi je crois. Il est plus jeune que moi mais il a su m’apprendre des choses et pour ça, je lui en suis reconnaissante. C’est peut-être bête, mais il a changé ma vie. En tout cas, ma vie de femme. Celle que j’avais oubliée.
N’importe quoi. Je rigole une seconde, mes réflexions sont naïves. Me voilà face à la machine à laver, le panier de linge dans les bras. J’inspire profondément et pose le tout par terre. J’ouvre le hublot et programme le lavage. Alors que tout est bien silencieux, quelque chose vient me pincer les flancs. Je sursaute en poussant un petit cri, en plus de découvrir le jeune homme à mes côtés. Un vrai ninja. Vexée, je fais mine de froncer les sourcils pendant qu’il rigole et me concentre à nouveau sur mon linge. J’invite également le garçon à me donner un coup de main pour trier les vêtements. Il s’exécute nonchalamment. Il attrape un chemisier par ci, le jette sur les tas que j’ai commencé à faire et continue.
Alors que la répartition des affaires touche à sa fin, mes doigts descendent et font glisser ma culotte vers le sol. J’aime me sentir nue maintenant. Ma dentelle finit sur le tas de lingerie et une idée me vient en tête. Je me tourne vers le garçon et lui somme de me donner son caleçon. Une gêne s’installe. J’ose afficher un léger sourire pour détendre l’atmosphère, ce qui marche. Mon petit protégé porte les mains sur ses hanches et retire son sous-vêtement en un éclair. Mon regard s’attarde, un peu volontairement, sur son sexe qui commence à se déformer.
Mon sourire grandit au même rythme que son membre se dresse. Je tourne finalement la tête, ravie du spectacle, et lance au jeune homme une pique qu’il n’attendait pas. Je blesse sa virilité avec panache et m’en vais attraper le linge pour le mettre dans la machine, le plus naturellement possible. Heureusement qu’il est beau joueur. Son corps se penche, son bras s’allonge, sa main vient saisir ma culotte fraîchement retirée avant de la porter sur son visage. Je ne sais plus quoi dire. Il renifle le tissu sous toutes les coutures. Malheureusement pour lui, le jeu doit cesser, j’ai encore du pain sur la planche, et il le sait. Incorrigible, fatiguant mais attachant. Je lui dérobe sa relique, la fous sur son tas respectif et lance, enfin, ma fichue machine.
Le jeune homme s’avance vers moi, la langue pleine d’excuses, les yeux plein d’envies. Au même moment, un courant d’air frais cajole ma chair. Je sens mon palpitant s’emballer, prêt à redécoller. Le souffle chaud du garçon me paralyse. Ma respiration prend de l’ampleur. J’entends les doigts du garçon plonger dans le petit bac à côté de l’étendoir juste dans mon dos. Il cherche, fouille puis revient aussitôt. Je m’attends au pire. Il me susurre mon nom à l’oreille, me demandant mon autorisation pour ce qui s’apprête à suivre. Je lui accorde évidemment, sans grande résistance. Ses bras passent de chaque côté de mes hanches, remontent vers ma poitrine. Une matière froide, austère, vient caresser mes seins et glisser lentement vers mes mamelons tout durs. Puis surgit un coup de tonnerre, une morsure brutale. Le jeune homme relâche progressivement les pinces à linge qu’il vient d’accrocher à mes tétines. J’ai mal. J’ai peur. Mais allez comprendre pourquoi, j’aime ça. J’aime ce qu’il fait, ce qu’il me fait. La douleur est bien présente. Le sang afflue vers mes tétons. Je me sens fragile et forte à la fois.
La machine à laver vibre de plus en plus. Tout mon corps me démange. Je sens mon sexe fondre sous la chaleur. Les doigts du garçon attrapent tendrement les miens. Il me guide vers l’avant, pointant l’engin en furie. Je ne rêve pas, j’ai bien compris ce qu’il a dans la tête. J’hésite un peu, perplexe, mais un filet de cyprine ruisselle le long de ma cuisse et brise mes entraves. J’avance, pose la main sur le dessus de l’appareil, lève une jambe l’une après l’autre et me hisse en douceur. Le jeune homme m’invite à rester à genoux et dos à lui. Je ne bouge plus. Les vibrations balayent ma chair, je tremble. Mes seins aussi. Mes mamelons aussi. J’ai mal. Mais j’exalte.
Cette fois, ça y est, toute mon âme en redemande vraiment. Le garçon toujours dans mon dos passe ses mains entre mes jambes. Je lui ordonne de me toucher, de ne pas me laisser agoniser mais plutôt d’en finir avec moi. Il traverse jusqu’à effleurer les poils de mon pubis, les tire un peu, m’ôte un soupir suivi d’un mouvement de bassin involontaire. Il trace ensuite sa route sur mon bas-ventre, mon nombril, la base de ma poitrine et enfin, les pinces. Je hurle dès qu’il les touche. Je me relève par réflexe mais me rabaisse aussitôt. Il me guide, m’entraîne vers le bas. Mon dos se creuse, mes fesses se lèvent, ma vulve se fend.
Entre deux petits gémissements, un brin de lucidité me permet d’agripper les paumes du jeune homme et de réclamer leur présence au niveau de ma féminité. Il rigole mais le fait tout de même. J’imagine la vue qu’il doit avoir, là, derrière moi, le fessier en évidence. Une réalité stupéfiante et divinement belle. Mon bassin ondule. Mon pubis s’écrase sur ses bras. Mon clitoris s’aplatit. Mes petites lèvres s’étalent. Je commande à nouveau le garçon et lui fait pivoter les mains sur la tranche. Quel délice. Ses phalanges m’ouvrent le sexe en deux. Je transpire. J’ai chaud. Ses pouces me taillent en pièces et me martèlent.
Mon sexe se dilate davantage. Mon cœur s’emballe. L’orgasme emporte tout. Je ne respire plus. Je laisse simplement mon urètre déverser une petite averse de fluide et le plaisir me ronger les muscles, les os, chaque millimètre jusqu’à ma mort.Je reprends vie. Calmement. Je jette un œil au jeune homme derrière moi, le temps de constater que son pénis est toujours dressé, sans doute prêt à exploser. Je lui demande combien de temps il reste au programme. Vingt minutes environ. Je souris, lui aussi, puis je retourne à ma position précédente, vibrante, transpirante, dégoulinante, le bout des seins douloureux, pour un nouveau chapitre ardent dont je compte bien profiter.
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