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Rwanda

Chapitre 3

Donald 3/4

Divers
Personnages apparus dans la première partie :
Manon : C’est moi, je vous raconte mon fantasme. Céline : C’est ma mèreCédric : Ami de la familleJennifer : Femme de CédricEmma : Mon amie, fille de Cédric et JenniferPère Jean : Père BlancSylvie : Zoologue Spécialité primatologueDjongo : Gorille dominantMayombé, Kuimba et Sheila : Les 3 gorilles femelles du groupe. Asato et Baku : 2 Gorilles adultes soumis à Djongo.

En me levant ce nouveau matin, je constatai que maman manquait d’entrain.
— Demain, c’est le départ... je me faisais à la vie ici, l’hôtel, les gens, Sylvie, le groupe, Asato...
Aujourd’hui Manon, tu ne viens pas avec nous, Sylvie veut observer comment ils réagiront s’ils ne te voient pas.

Maman ne se lava pas, et ne porta pas de culotte sous sa blouse grise...
Après le départ de ma mère, je fis une grasse matinée, puis déjeuner, piscine jusqu’au déjeuner. J’observai les clients, je devrais plutôt dire les clientes qui sont très largement majoritaires, de 25 à 60 ans, tous les âges sont présents, 2 couples dont les hommes, ont dépassé la soixantaine alors que les femmes n’ont pas encore atteint la quarantaine. L’hôtel est cher, tous ces clients sont riches...
Je m’habillai pour le déjeuner, puis allai sur la terrasse, je commandai un coca light et regardai une dernière fois le magnifique paysage qu’offrait le lac Kivu... Les oiseaux et les pécheurs qui en vivent... Je rêvais... les yeux fermés...
— Bonjour Mademoiselle Manon...

Je sursautai, mes yeux ouverts se portèrent sur un pantalon bleu cobalt, ceinture en crocodile bleu marine, chemise d’un blanc immaculé, tout en haut le visage est d’un noir ébène.
— Bonjour Monsieur, est-ce que nous nous connaissons ?— Oui, Manon, je suis Donald Kagame, nous avons fait connaissance lors de la réunion où vous assistiez avant que votre mère réalise un important investissement. Je suis le Président de l’Assemblée du Secteur, et c’est moi qui présidais la réunion.

Bien évidemment que je me souviens, il était assis en face de ma mère, les autres participants, humblement, étaient toujours d’accord avec ce qu’il disait, ses yeux allaient de ma mère à moi, les miens étaient rivés aux mouvements de sa bouche.
— Est-ce que je peux m’assoir ?— Bien sûr, excusez-moi, je suis surprise...— Comment se passe votre séjour ?
Bla, bla... Bla, bla, bla...
— Nous sommes très satisfaites...
Bla, bla...

Mes yeux se fixèrent sur son visage, ses yeux perçants braqués sur moi, ses dents blanches, plus blanches que sa chemise, éclairaient ce visage noir de jais, je guettai l’apparition de sa langue rose...
Il parlait si bien, j’étais subjuguée... Sa main vint recouvrir la mienne qui reposait sur la tableJe devais retirer ma main... j’en fus incapable... Est-ce que la paume de sa main est d’un aussi joli rose que sa langue ? Je devais savoir... Je retournai sa main, posai ma main sur ce rose si attirant... elle y est restée, collée...
Que se passa-t-il ? Quand je repris mes esprits et ouvris les yeux, j’étais devant le grand miroir de ma chambre, nue, mes vêtements à mes pieds, au-dessus de ma tête une autre tête noire, souriante, un chapelet de perles blanches dans la bouche...
Je me retournai et devant moi... nu, se trouvait le David de Michel Ange... ce n’était pas le vrai, celui-ci était noir... plus beau encore... mesurait 1,90 m, grand et puissant, il me prit dans ses bras et délicatement me déposa sur le lit...
C’était une bête, un prédateur décidé à me consommer, me consumer... il m’attaqua, sa langue vint lécher mes oreilles, ses dents les mordillèrent, il lécha ma nuque, la mordilla, j’étais paralysée, je voulais crier, mais ne le pouvais pas... l’animal s’attaqua à ma langue, je l’abandonnai et il en fit selon son bon plaisir... pour mon plaisir... non pas mes tétons...à droite, à gauche, il les lécha, les suça avant de les saisir entre ses dents... Il lava mon ventre avec sa langue... pour lui faire croire que j’étais morte, je restai immobile, ainsi il abandonnera son assaut.
Hélas... mes râles lui indiquèrent que sa proie était à sa merci...
L’imprudent mit sa tête entre mes cuisses, sa langue pénétra entre mes grandes lèvres, il était à ma merci, je levai mes jambes qui enserrèrent sa tête... pour qu’il ne s’échappe pas, mes mains appuyèrent sur sa tête...ça y est, j’avais gagné, seule sa langue qui me fourrageait pouvait encore bouger... il croyait pouvoir me dévorer de l’intérieur, mais j’emplis sa bouche de ma cyprine...
L’animal était puissant et avait des ressources, à genoux devant moi, il posa mes jambes sur ses épaules, j’étais épuisée, j’abandonnai le combat...
Alors, ses mains s’emparèrent de mes hanches, me soulevèrent en m’attirant à lui, mes grandes lèvres ouvertes donnaient l’accès à ce lieu qu’il convoitait, délicatement il commença à faire son chemin...
Quand il trouva l’obstacle, il me susurra à l’oreille... C’est maintenant...
Il força... Une légère douleur... Quelques gouttes de sang sur le drap... J’étais devenu femme...
Il n’avait progressé que de quelques centimètres... maintenant, la voie était dégagée, la lance de mon guerrier ne mit que quelques minutes à atteindre l’utérus...
Vlan, vlan et vlan...
L’épieu mit 10 minutes avant de ressortir triomphant et répandre sa victoire sur mon ventre... mon nombril... mes seins... mon visage...
Vaincue, je m’allongeai sur lui, étant mon prisonnier, il ne partira pas...
Épuisée, je m’endormis...
Il ne dormit pas. Quand je me réveillai, j’étais toujours à plat ventre sur lui, mes jambes de part et d’autre de son bassin... sur mon ventre, je sentis cette protubérance qui reprenait vie...
Je me redressai et fus émerveillée de voir ce gland tout rose émerger de ce bambou tout noir...
Est-ce que ce rose a du goût ?...
Il comprit ma curiosité et m’aida en guidant ma tête vers le fruit désiré... J’ouvris la bouche, le gland passa à travers mes lèvres, j’ouvris grand mes mâchoires, l’obstacle des dents passé, il progressa dans ma bouche, atteint la luette, j’eus un haut-le-cœur, il n’en eut cure et continua sa progression. Quand je sentis ses testicules sur mon menton, j’ai pensé que le gland ne devait plus être très loin de mon estomac... Donald fit l’amour à ma bouche... Pas une goutte de sa semence ne m’échappa... je fus rassasiée...
— Ta maman va bientôt revenir, je dois te quitter...
Reviens

Au retour de maman, j’appris que sa journée s’était très bien passée... au-delà de ses espérances... Sylvie avait tenu à commencer à enseigner à Djongo et Asato comment faire l’amour en position du missionnaire, ce n’était pas parfait, mais c’étaient des étudiants de bonne volonté, il suffira de persévérer...
Maman a dit à Sylvie que, quand elle reviendra, si elle avait besoin, elle sera ravie de continuer d’être son assistance et travailler pour la science...
En rentrant à l’hôtel, elle fut interpellée par le concierge qui tenait à lui faire quelques confidences sur l’hôtel.
— Vous savez qu’en Thaïlande, beaucoup de chambres d’hôtel sont réservées par des hommes seuls, qui viennent chercher les trésors cachés que seules les jeunes filles thaïes peuvent offrir...
Vous avez sans doute remarqué la forte proportion de clientèle féminine dans notre hôtel, c’est une clientèle fidèle... qui vient chercher les trésors que seuls les hommes africains peuvent offrir. Les hommes qui accompagnent leur épouse sont à la même recherche, ils sont candaulistes...
Pour assurer la sécurité de nos clientes, il est interdit qu’elles invitent dans leur chambre des hommes non répertoriés par l’hôtel... Quand vous vous sentez seule, pour rompre l’ennui, je vous suggère d’aller faire une visite à la « Salle de Billard » à côté de la réception... Là-bas, les Africains ne présentent aucun danger, que ce soit physique, économique ou sanitaire, chacun d’eux a fait l’objet d’une enquête policière et les visites médicales sont régulières et obligatoires pour garder l’accréditation... Ils fixent librement le prix de leur service, celui-ci peut aller de 0 à un maximum de 50 000 francs rwandais... Dans le courant de la journée, il y a toujours au moins une demi-douzaine d’hommes, en début de soirée, ils sont rarement moins d’une vingtaine... ».
— Maman.— Oui ma chérie.— Avant que je me marie, il faudra me confier à un chirurgien esthétique spécialiste de la reconstitution d’hymens...— Raconte...

Nous partîmes le lendemain.
Le concierge se vit octroyer un généreux pourboire.
— Merci Madame.
Ce sera toujours un plaisir de vous revoir dans notre établissement.
— Nous reviendrons sans aucun doute...

Le samedi suivant, nous sommes allés nous confesser en l’église Notre-Dame de Clignancourt, loin de notre base... Nous fûmes pardonnées après avoir, chacune, récité 3 paters et 6 ave...
Le dimanche, à la messe à laquelle nous participions en compagnie de Jennifer, Emma et Cédric, nous avons ainsi pu communier.
Comme vous avez pu vous rendre compte, je ne suis plus vierge, mais je suis pardonnée... Mon futur mari n’y verra que du feu, car maman est assez riche pour me faire remettre un hymen par un spécialiste.
En attendant, je peux en profiter, pas à Paris, nous sommes trop connues, mais en allant visiter la famille de Sylvie et en allant dans la Salle de Billard...
Maman m’a bien sermonné en me disant que c’était notre secret...À quoi bon connaître des secrets si on ne peut pas les confier à quelqu’un... si Emma savait, elle serait jalouse... cette sainte-nitouche que j’adore...
Que pensez-vous de mon fantasme ? Et de moi, car soyez bien convaincus que c’est vraiment un fantasme qui m’habite...
Est-ce que je vous déçois ou vous excite, filles ou garçons qui m’avez lue, est-ce que vous vous êtes masturbés en me lisant ? Qui s’est dit : « j’ai le même fantasme » ?...
N’oubliez pas de me récompenser en cliquant sur « J’aime »... Si le cœur vous en dit, je serais ravie de lire vos commentaires...
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