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Au rythme régulier de notre monture

Chapitre 2

L'idylle continue

Hétéro
L’IDYLLE CONTINUE
Voilà... j’avais embrassé Marie-Hélène. Et pour être tout à fait précis, j’avais même, pour la première fois, embrassé une jeune fille.
Durant toute la semaine qui suivit, je me demandais si je n’avais pas rêvé, et, si j’attendais impatiemment le week-end suivant, je crois que je le redoutais aussi un peu : quelle allait être l’attitude de Marie-Hélène lorsque nous nous reverrions ? Était-ce pour elle aussi sérieux que pour moi, ou ne serai-je qu’une simple aventure à peine ébauchée, sans lendemain ?
Bien sûr, ses réactions lors de ces quelques heures passées ensemble, ses douces paroles, sa tendresse à mon égard, tout me laissait penser qu’elle tenait à moi, que nos liens étaient solides. Il n’empêche ! Je savais que, tant que je ne l’aurai pas revue je me poserai une foule de questions... auxquelles seul le week-end à venir apporterait des réponses.
J’étais donc assez fébrile lorsque je la revis, le samedi suivant. Quand je lui fis la bise pour lui dire bonjour, je sentis que ses lèvres n’étaient pas loin des miennes. Elle paraissait en forme, gaie, ses yeux brillaient et son sourire était étincelant.Alors que je sellais mon cheval elle vint me rejoindre dans le box.
— Tu m’as manqué, tu sais !— Toi aussi, Marie-Hélène ! Tu m’as beaucoup manqué, je n’ai pensé qu’à toi toute cette semaine...
Ses lèvres furent rapidement sur les miennes et nous échangeâmes un court mais délicieux baiser.
— Ici, devant tout le monde, je préfère que nous restions discrets... mais nous trouverons toujours le moyen de passer quelques petits moments ensemble....
Et en effet, nous profitâmes de tous les moments... tous les prétextes pour nous retrouver le plus souvent possible étaient bons ! Et quand nous étions entourés, nos yeux parlaient pour nous, et ce furent des semaines, enfin... des week-ends enchanteurs, passés le plus souvent possible les yeux dans les yeux, mais aussi la main dans la main.
Nous nous découvrions vraiment, et notre entente était merveilleuse.Mais cette entente faisait aussi que, de plus en plus, nous désirions autre chose...Et puis il y eut un samedi soir...
Le moniteur et son épouse s’étaient absentés et nous nous retrouvâmes tous les deux seuls au club. Après un dîner en tête à tête nous nous retrouvions sur le canapé, devant la télé. Main dans la main, et Marie-Hélène avait posé sa tête sur mon épaule.

— C’est nul ce que nous regardons...— Oui... tu as raison.
En fait cela faisait longtemps que je ne m’intéressais plus à ce qui se passait devant mes yeux. Tout ce qui comptait pour moi c’était la présence de Marie-Hélène à mes côtés, la chaleur de son corps que je sentais contre le mien, les longs et doux baisers que parfois nous échangions. J’étais fébrile, dans l’attente de ce qui allait se passer, de la tournure qu’allait prendre notre relation. Mais je me sentais tout timide, tout confus, et j’attendais qu’elle prenne la décision sur la suite à donner à cette soirée. Car j’étais persuadé qu’il allait se passer quelque chose de beaucoup plus intime entre nous deux. Quelque chose que je redoutais aussi ! Car, même si je savais pouvoir compter sur sa douceur, sa tendresse et sur sa mansuétude à mon égard... je me demandais si je saurais être à la hauteur...Elle se leva, éteignit la télé et me tendit la main...
— Viens...
Je pris sa main et je la suivis jusque dans sa chambre. Une fois la porte refermée elle me plaqua contre celle-ci et se colla à moi, ses lèvres cherchant les miennes. Nous échangeâmes un long et tendre baiser.
— Tu as déjà fait l’amour ?
Je me sentis rougir, mais je la regardais dans les yeux et articulais lentement...
— Non... jamais !
Je n’eus pas à lui retourner la question
— Moi, si... tu m’en veux ?— Non... non, je ne crois pas. Bien sûr... cela aurait sans doute été plus romantique que nous découvrions cela ensemble, mais... d’un autre côté... je me sens si... si timide, si emprunté... Alors je me dis que c’est peut-être bien que toi, au moins, tu aies de l’expérience.
Elle se pressa de nouveau contre moi, nos lèvres se retrouvèrent. Et puis elle m’entraîna vers le lit.
Tout en continuant de nous embrasser, nous nous caressions par-dessus nos vêtements. Quand nous nous serrions l’un contre l’autre je sentais sa poitrine contre mon torse. Il me semblait qu’elle gonflait, que son chemisier était de plus en plus tendu.
Quant à moi je sentais qu’une grosse bosse commençait à déformer mon bas-ventre... Doucement je commençais à défaire les boutons de son chemisier... Elle s’était allongée, dos sur le lit, me regardait...
— C’est bien de prendre l’initiative... continue, je te laisse faire... tu es doux, tu es tendre... c’est bien, j’aime beaucoup...
Tous les boutons étaient défaits... j’enlevai les pans du chemisier de son jean.Sa poitrine, encore recouverte, triomphait sous mes yeux.
Elle portait un petit soutien-gorge bleu pâle, et je voyais ses seins qui se soulevaient, suivant le rythme de sa respiration qui s’était légèrement accélérée. Je posai mes lèvres sur sa bouche, glissai sur sa joue, puis me retrouvai sur son cou, que je couvris également de petits bisous. Ses épaules, sa gorge…
Par-dessus l’étoffe, ma main caressait ses seins, mes mains passaient sous son soutien-gorge, allant jusqu’à sentir ses tétons dressés du bout de mes doigts. Ma bouche continuait sa progression, suivait le contour se ses seins, descendait sur son ventre, jouait avec son nombril, avant de venir buter contre la ceinture de son jean.Prenant appui sur les coudes, elle souleva légèrement sa poitrine.
— Dans mon dos, mon soutien-gorge... il y a deux boutons pressions...
Je tâtonnai un peu puis finis par trouver l’attache... Mes mains pouvaient maintenant librement caresser ses seins. Je n’avais jamais vu une poitrine d’aussi près... ses seins étaient bien ronds, bien fermes. Assez menues, les aréoles étaient un peu plus sombres et les pointes de ses seins qui pointaient attiraient mes doigts.Cette poitrine ! C’était un tel bonheur de la caresser !
Mes mains avec impatience découvraient ces deux grosses pommes bien rondes que mon regard ne pouvait quitter. Ses lèvres s’étaient légèrement écartées et elle gémissait faiblement. Ma bouche remplaça bientôt ma main, et ses bras dans mon dos me pressèrent contre elle, tandis que je sentais sous mes lèvres durcir encore plus les pointes de ses seins.
Moi, je me sentais vraiment serré dans mon pantalon, serré à en avoir mal, surtout qu’en plus je sentais sa main qui caressait mon entrejambe. Et puis je sentis que l’on tirait sur ma ceinture... Cette dernière fut bientôt défaite, tout comme un à un les boutons de ma braguette, jusqu’à ce que sa main se referme sur mon sexe, par-dessus l’étoffe de mon slip.
Quelle sensation ! C’était la première fois que l’on me caressait, je sentais mon sexe tout dur, qui ne pensait qu’à quitter la prison de mes vêtements. Et puis, ses doigts passèrent sous l’élastique, je les sentis bientôt caresser mon gland... C’était si nouveau, si tendre, si excitant...
Ses doigts continuaient leur exploration, descendirent le long de la hampe tandis que de son autre main elle tâchait de faire glisser mes vêtements, et je l’aidais en me tortillant. Je fus bientôt nu entre ses mains qui continuaient de me caresser.C’en était trop, et je ne pus résister bien longtemps...
— Fais attention... attention, je crois... je crois...
Sa paume était serrée contre mon sexe, je sentais sa douceur, je sentais sa chaleur...Et je me sentis jouir, et je sentis mon sperme qui s’échappait sous ses caresses. J’avais bien chaud, je devais être tout rouge !
— Désolé, Marie-Hélène... excuse-moi... c’est... si nouveau, si troublant... je ne suis pas habitué... je n’ai pas pu me retenir.— Ce n’est rien... je comprends... ce n’est pas grave... et puis, tout à l’heure... tu pourras rester ainsi plus longtemps en moi...
J’embrassai sa bouche, j’embrassai ses paupières...
— Merci... merci... c’est si bon... tu es si tendre, tu es si douce... Tu sais... c’était bon, mais... je voudrais, moi aussi, te donner du plaisir !
Elle me serra contre elle
— Tu sais... avec ta bouche, tout à l’heure, sur mes seins, les petites pointes, dans ta bouche... c’était bon aussi !— Oui... tant que cela ? Alors... tant mieux !
Je la regardai dans les yeux...
— Mais je voudrais te donner... d’autres plaisirs...— Bien sûr... oui, moi aussi, j’en ai envie... toi aussi... viens enlever mon pantalon...
Je défis le bouton de sa ceinture, je fis glisser son jean sur ses hanches, sur ses cuisses, le long de ses jambes qui apparurent dans toute leur splendeur.
Elle portait une petite culotte bleu pâle, comme son soutien-gorge, assez transparente, et je pouvais voir ses poils pubiens, qui au travers de sa petite culotte me paraissaient assez foncés. Je vis aussi, sans trop savoir encore ce que cela était, qu’au-dessus de son sexe son slip me paraissait bien humide...
— Ce que tu es jolie, Marie-Hélène...
Ma joue était sur son ventre plat, mes yeux baissés vers ce dernier rempart qui me permettrait de la voir entièrement nue...Ma bouche était maintenant au-dessus de son sexe, que j’embrassais à travers le tissu. Je la sentais tressaillir. Doucement, ma main se dirigeait vers l’élastique de sa culotte. Deux de mes doigts passèrent en dessous, s’emmêlèrent dans les premiers poils de sa toison. Du bout de mes doigts je sentais sa chaleur, en même temps que son humidité.
Et puis je cherchai ses yeux, et elle lut dans les miens ma muette question. Elle baissa alors ses paupières en guise d’acquiescement, et lentement je lui ôtai sa petite culotte.
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